Vues: 597 Created: 2014.11.01 Mis à jour: 2014.11.01

Infirmière Bénévole

Chapitre 8

Patricia invite le couple vers la salle de soins et demande à l'homme de s'installer sur la table d'auscultation, il a revêtu une blouse jetable lassée dans le dos ce qui laisse apparaître ses fesses, son épouse porte la même casaque que Patricia, fendue également, elle me regarde à la dérobée, du visage à la braguette, pendant que son mari s'allonge en posant les pieds sur les étriers que Patricia règle assez haut et large de façon à avoir un plein accès à son orifice, il ne bande pas, sa verge molle pend lamentablement sur ses bourses…

L'épouse semble un peu forte de fesses et de poitrine à ce que je peux discerner au travers de sa tenue, mais elle a de beaux yeux (Dis-moi qu'tu m'aimes…), je ne bande pas spécialement, une demie molle tout au plus, j'écarte la fente de devant pour le lui montrer, elle détourne le regard mais revient dessus, Patricia m'a prévenue qu'elle était l'une des femmes bi de l'immeuble, celle qui savait renvoyer l'ascenseur avec la langue et les doigts, peu importe, j'ai un anus à dépuceler aujourd'hui…

Tout en enfilant ses gants latex, notre Infirmière interroge son patient sur le but final de la consultation… Est-il toujours disposé à franchir le pas…? Il répond à voix basse que oui, son épouse s'approche et le prend par la main, rassurante, elle lui dit qu'il a fait le bon choix, qu'il ne le regrettera pas, qu'elle a toutes confiance en l'Infirmière et son assistant… dit-elle en se tournant vers moi, Patricia sourit devant cette belle complicité amoureuse, l'épouse m'interpelle gentiment, - Hein…? Monsieur l'Assistant…? Vous allez faire cela comme il faut…?...

- Rassurez-vous Madame…. ainsi que vous Monsieur… je met un point d'honneur professionnel à pratiquer cet acte pour votre entière satisfaction et surtout le confort anal de Monsieur, Madame Patricia ne pas choisie par hasard, et s'il en est besoin, je peux montrer d'abord à Madame la façon de laquelle je procède, si là est votre souhait et que votre mari le permet…? Patricia nous observe tout en lubrifiant son index qu'elle enfonce doucement dans l'anus du mari puis le majeur s'ajoute…

L'épouse est hésitante, attendant que son homme lui donne sa permission, la situation m'excite fortement et ma verge bandée en se redressant sort inopinément par la fente de mon pantalon médical, ce qui n'échappe à personne, le mari découvre avec émotion la chose qui va lui défroisser les trente six plis, sa femme me lance des œillades gourmandes et interroge son homme du regard, Patricia retire ses doigts gantés de l'anus du puceau en lui imposant un petit lavement à la poire pour plus de propreté…

Elle demande à la dame si elle s'est lavementée avant de venir, afin de pouvoir aussi profiter de mes disponibilités, celle-ci la rassure sur sa propreté rectale tout en lui proposant de le vérifier, Patricia me demande alors de la remplacer pour injecter la poire au mari pendant qu'elle la fait se pencher, mains sur les pieds, pour un touché rectal de contrôle, j'insère la canule dans l'anus du mari et pendant l'injection, nous regardons tous les deux, notre Infirmière enfoncer un doigt vaseliné puis un autre, dans l'orifice de sa femme qui laisse passer un soupir de contentement…

Tout en lui faisant son lavement, j'effleure la verge et les bourses du mari, il n'est pas insensible à mes attouchements et son sexe commence à réagir, Patricia à équipée la poire d'une canule spéciale faite de plusieurs renflements arrondis que j'appelle le "Plaisir Chinois", en référence au boulier asiatique, car il donne du plaisir "sans compter", d'ailleurs, le mari semble très satisfait par les mouvements que je donne à l'objet, avançant les fesses à la rencontre de la canule et contractant son orifice à la sortie des boules…

A côté de nous, le touché rectal de son épouse se prolonge, j'aperçois l'autre main de Patricia s'activant sur la vulve de la femme, alors qu'elle-même stimule la sienne en se frottant sensuellement contre un montant de la table d'auscultation, le mari bande et je me laisse aller à quelques caresses péniennes du bout des doigts et d'un décalottage entre pouce et index, l'homme me remercie pour cette douce attention et m'autorise aimablement à une démonstration dans les fesses de sa femme je finis le lavement et l'envoie sur le pot…

C'est un pot de faïence provenant de Bretagne, Corentin il paraît, en avait aussi un, l'homme s'assoit dessus pour vider ce qu'il a, et sa femme m'approche, toujours fouillée par Pat, elle me saisit la verge et la porte à ses lèvres, pendant que son mari se vide dans le pot, il la regarde faire en branlottant sa verge qui dépasse du pot de chambre, Patricia retire ses doigts de l'anus de la dame et après inspection déclare qu'elle est propre et dispo pour évaluer mon sexe ainsi que ma méthode de pénétration anale…

L'épouse suce très bien, me durcissant complètement, pendant que son mari finit son expulsion, je prend un préservatif sur le guéridon à produits médicaux et contourne la dame toujours penchée en avant, Patricia envoie l'homme s'asseoir sur le bidet et lui lave les fesses pendant que je prépare l'orifice de sa femme, la vaseline et les doigts de notre infirmière on assouplit l'œillet et mon gland s'introduis sans forcer sur les chairs, l'épouse glousse d'aise et commente au mari…

- Hummm…! Hooo…! Très agréable…! Hummm… Monsieur l'assistant connait bien son affaire… Toi aussi mon chéri, tu vas aimer sa verge… Elle est de bonne taille mais entre sans douleur…

Patricia a finie de laver son patient, elle l'emmène vers la table lui préparer l'anus, cette fois c'est à quatre pattes qu'elle le fait s'installer, nous offrant une vue sur son petit trou plissé, elle entame un massage préparatoire en lubrifiant l'endroit, elle lui masse le bourrelet de la pulpe de ses doigts afin de l'assouplir et le rendre accueillant, ma verge est maintenant entièrement entrée dans les fesses de sa femme, je demande si ça va, si elle sent bien la chose, elle me répond que oui et bouge son derrière, pour me faire comprendre qu'elle souhaite des vas et viens…

Je me met en mouvements en la tenant aux hanches, quelques aller-retour fait avec douceur, puis je ressort ma verge pour la lui mettre encore, et ainsi plusieurs fois, pour qu'elle sente mon gland lui élargir l'anus, elle hoquette à chaque fois que la boule de chair lui perfore l'orifice, mais d'une voix enjouée commente à son mari l'effet que je lui fais… Hooo… Mon Chériii… Notre homme est un coquin… Si tu savais… Hummm… Ce qu'il me fait… Ahaaa… C'est divin… Tu vas aimer perdre ton pucelage avec lui…

Mais point trop n'en faut, je dois me préserver pour le cul de son homme et c'est avec regrets, que je me retire d'elle, je remercie la dame de m'avoir accueillie, elle me souffle à l'oreille qu'elle a aimée aussi, Patricia est passée du massage au doigtage et de sa main gantée le fourre de deux doigts, le lubrifiant déborde sur les bords du cratère et le touché rectal provoque quelques sons, sur un signe de sa part, j'approche le guéridon, dont les tiroirs contiennent différents objets d'auscultation rectale, dont elle va se servir pour bien préparer l'homme…

Comme l'épouse se plaint de ressentir un vide, en son endroit intime où j'étais juste avant, Patricia l'autorise à prendre celui qu'elle veut pour se remplir elle-même pendant qu'elle officie, la femme choisie un plug, au diamètre respectable, et se l'enfonce séant, sans même le lubrifier, en poussant un soupir, notre hôtesse Infirmière retire ses doigts des fesses, me désigne de la main l'objet qu'elle veut y mettre, c'est une verge de latex aux dimensions moyennes, du 18 sur 3,5, parfait pour commencer, il n'aura pas plus gros, car après ce sera l'assistant, précise-t'elle…

L'épouse est attentive aux réactions de son mari quand Patricia lui enfonce le sexe de latex, penchée sur lui, elle lui caresse les cheveux en lui chuchotant des mots doux et rassurant à chaque fois qu'il gémit, elle n'oublie pas non plus de se passer une main entre les fesses pour faire bouger le plug qui est elle et se toucher la vulve, j'aperçois un filet de mouille qui lui pend d'entre les lèvres… Patricia à commencée le jeu des vas et viens et sodomise l'homme en douceur tout en lui caressant la verge et les boules, elle lui dit qu'il prend bien, qu'il est ouvert…

Patricia me confie à l'oreille qu'elle a la chatte et le cul en feu, j'avance une main sous sa casaque, en effet, son sexe est bouillant et trempé, je la sensualise un instant en la masturbant et lui enfonce mon pouce dans l'anus, quel beau quatuor nous formons là, chacun et chacune faisant monter l'excitation de l'autre par le visuel et les attouchements en attendant le grand moment du dépucelage, l'épouse par instant, vient vérifier de la main la dureté de ma verge et l'entretenir, Patricia sodomise son mari et moi j'attend l'ordre de lui faire le cul…

Notre Infirmière retire le gode des fesses de l'homme et se tournant vers moi me dit qu'il est prêt, elle abaisse la table d'auscultation pour que le postérieur soit à la hauteur de mon bas-ventre et me laisse sa place, l'épouse m'enfile une autre capote, fébrilement, Patricia vient derrière elle lui bouger le plug de quelques vas et viens dans le rectum, puis elle s'harnache d'un gode ceinture, le plus gros qu'elle possède surnommé "Le Petit Cheval", l'épouse sait que c'est pour elle et debout lui tend sa croupe en écartant largement les cuisses…

Je pose mon gland sur l'entrée plissée et vaselinée de son mari, elle fixe son visage, Patricia la prend vaginalement, la femme pousse un crie rauque, son mari aussi, je viens de lui entrer mon gland dans le sphincter après quelques poussées, et bien que Patricia l'ai savamment préparé, je ressent avec plaisir son étroitesse anale, sans doute contracté par son appréhension, l'entrée du conduis m'enserre la queue, l'épouse, le visage penché sur les fesses de son homme, contrôle mes poussées en me disant "- Doucement…Doucement…", je m'arrête un instant puis continus…

- Ca va aller… rassure l'Infirmière, "- Poussez Monsieur…! Poussez…!", dit-elle en continuant de fourrer son épouse qui elle, entre deux soupirs, lui conseille aussi de pousser et lui dit que ça rentre… l'homme gémit sous l'envahissement de son rectum mais continu à me tendre sa croupe sans essayer de se soustraire à la pénétration qui l'envahit, je déguste la situation et les sensations ressenties, que c'est bon un anus vierge, de savoir que personne n'est jamais passé par là, et de savoir que c'est un hétéro qui vous reçoit dans son fondement, hummmmmmhaaaaaaa…!

Je prend mon temps pour lui rentrer toute ma longueur, sa femme lui décrit l'état de son anus et ce qu'il reste encore à lui mettre dedans, elle y va aussi de petits bisous et coups de langue, autant sur l'orifice que partout sur mon dard, Patricia s'est retirée du vagin de la dame, posant la ceinture du "petit cheval" au sol, dressé vers son intimité, accroupie à ses pieds, elle s'empale dessus, d'une main en fuseau, elle tente maintenant de lui la mettre entière, le couple n'est plus que gémissements et moi j'avance encore pour les derniers centimètres…

Je fais une pose sans bouger, le temps qu'il s'habitue à cette présence en lui, je demande si ça va ou s'il veut que j'arrête, il fait Non… de la tête mais me dit que c'est gros, je bouge un peu les reins, d'une façon circulaire, histoire de l'élargir avant le ramonage, je tripote son sexe qui est devenu mou, puis au bout d'un moment, je repart en arrière, je sais ce qu'il ressent, je l'ai vécu aussi, j'y vais au ralentis jusqu'à voir mon gland au bord de son anus, un peu de lubrifiant et je m'enfonce encore, l'endroit s'est détendu, il me reçoit sans peine…

Son épouse, après quelques gémissements plaintifs, s'est laissée pénétrer par la main toute entière, Patricia la travaille en lui doigtant l'anus, accroupie sur "petit cheval" à se faire du bien, j'entame une série de petits vas et viens pour voir si mon puceau en tire du plaisir, il ne proteste pas et se laisse ramoner, gémissant doucement à chaque mouvement de verge, je le maintient aux hanches pour bien le besogner, son épouse le regarde se faire sodomiser et vient le conforter dans le choix qu'il a fait de franchir la barrière…

- Hooo mon Chéri… Si tu savais comment cela m'excite de te voir ainsi… Tu aimes ça hein…? Dis-le moi que tu aime ça…

- Ouiii… J'aime ça… mais c'est gros…

- Mais non… C'est juste ta première fois… Tu n'as plus honte au moins…? que ce soit un homme qui te sodomise…?

- Un peu quand même… mais moins…

- Mais c'est meilleur qu'un gode non…?

- Hummm… Ouiii…

- Tu vas jouir par les fesses… Et puis maintenant on peut inviter de nouveaux amis… Toi aussi tu peux le faire à d'autres… Hein…?

- Hummm… Ouiii… Ahaaa…

- Tu aime ça hein…? Elle est bonne dans tes fesses, la verge de l'assistant…?

- Hummm…Ouiii… Ahaaa…

- Allez Monsieur l'assistant…! Mettez-lui une bonne secouée… Cassez-lui son petit cul… Il aime…

J'obtempère aux désirs de la dame, j'accélère mes coups de reins et burine son mari, je lui fais comme pour elle, ressortant mon gland plusieurs fois pour lui défoncer le bourrelet, puis je lui lime le conduis rectal en le griffant aux fesses, j'attrape ses testicules et les serre dans ma main,

son épouse se crispe et ses yeux se révulsent, elle pousse de petits cris, l'orgasme qui la submerge lui fait perdre l'esprit, elle se vide tout à coup d'une fontaine généreuse, arrosant Patricia par saccades puissantes, puis elle choit sur le sol, terrassée par la jouissance…

Son mari lui aussi ne tarde pas à jouir, il bredouille des mots agité par des spasmes, un sperme épais et blanc s'écoule de sa verge, son anus s'ouvre et se contracte autour de mon engin, j'en profite pour lui mettre de puissants coups de bite et je jouis moi aussi, mais au fond de la capote, j'aurais bien préféré lui arroser le conduis, pour qu'il connaisse tout d'une vraie sodomie… Je me retire de l'anus du mari et, à mes pieds, je vois que les deux femmes n'ont pas encore finies…

Maintenant en soixante neuf, l'Infirmière dessus, l'épouse lui mange la motte et se sert de "petit cheval" pour lui fourrer le cul, l'orgasme de Patricia, aussi fort que le sien, l'asperge de giclées qu'elle avale goulument…

Avant de se changer dans la pièce à côté, le mari, toujours masqué, vient me serrer la main en me remerciant, il m'a trouvé très bien dans mon rôle d'assistant pour le soin demandé, et il en gardera un excellant souvenir… Peut-être à l'occasion, nous pourrions nous revoir…

FIN…

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DantonLuc Il ya 3 ans