Vues: 373 Created: 2015.01.04 Mis à jour: 2015.01.04

Matinée Troublante…

Chapitre 6

Dans les jours qui suivirent l'épisode du cierge, acte honteux s'il en est mais qui lui avait apporté un plaisir anal plus que satisfaisant, Marie-Meredith se sentait bien plus calme, loin de ses obsessions aux relents de dépravation, comme si de s'être fouillée le petit orifice, avait eu pour effet de la rendre plus sage, et de calmer l'endroit qui l'avait faite pécher, elle si respectueuse des interdits sacrés…

Son sphincter lui avait rappelé la chose en allant aux wc, et elle s'était jurée de ne plus le mal traiter, pensant que la petite gêne qu'elle ressentait encore, était un signe du ciel en guise d'avertissement, on est punit par où l'on pêche se souvint elle, adage pieux de son éducation chez les Sœurs à quatre bras, l'une d'elles l'ayant punie avec un martinet, après l'avoir surprise au réveil un matin, la chemise remontée frottant son traversin…

Et puis Marie-Meredith ne pouvait se laisser distraire par des désirs impures, alors que la maison devait être tenue dans un ordre impeccable, ainsi que son image et son autorité, alors elle mit une blouse et retroussa ses manches, donnant elle-même l'exemple pour les tâches ingrates que le petit personnel rechignait à bien faire, elle se donna entière au travail domestique pendant les jours suivant, se couchant aracée et contente d'elle même…

Ce fût tard une nuit que ses fantômes revinrent, fantômes dépravés de ses envies honteuses,

acteurs de scènes de sexe vues les jours précédents, et qui venaient en rêve lui troubler le sommeil, verges bandées vers elle, réclamant le coït… elle se réveilla pour chasser le cauchemar, prenant de suite conscience que son corps était moite et qu'une de ses mains était entre ses cuisses, titillant le bouton de sa vulve brulantes en caresses somnambules…

Sa gorge était nouée et sa bouche toute sèche, elle voulue boire de l'eau mais elle n'en avait plus, alors elle se leva pour aller en cuisine, prendre dans le frigo une bouteille d'eau bien fraîche, nue sous sa chemise de nuit, pieds nus sur le carrelage, pensant que la froideur calmerait ses esprits, elle descendit aux communs sans mettre la lumière, d'être ainsi dans le noir lui donna des frissons, un fantôme sodomite pourrait jaillir des ombres…

Une fois dans la cuisine, la lumière du frigo éclaira les objets les plus proches, posée sur une chaise la blouse de Gudrun, au milieu de la table, une corbeille de légumes, elle boit pour étancher la soif qui la tiraille mais le trouble revient, lui mouillant l'entrejambe pourtant elle ne dort plus, Marie-Meredith regarde autour d'elle et son regard se pose sur la blouse de Gudrun et la panière de légumes, son ventre la torture et son anus frétille…

L'inconsciente libido la submerge et se révèle à elle, un concombre magnifique siège dans le panier, entouré de carottes aux formes suggestives, la blouse lui rappelle la scène de sodomie et Gudrun enculée, troussée jusqu'aux hanches, ses pointes de seins sont dures et passant quelques doigts au milieu de ses fesses, elle se frotte la fente en touchant sa rondelle, elle sait qu'elle va céder au désir de la chair et pendre son plaisir…

Pourquoi prend-elle la blouse pour la porter au nez, elle préfère les hommes, malgré qu'elle ai gouttée aux plaisirs saphique en pension chez les sœurs et à ceux des lavements de la Mère Supérieure, elle y cherche des parfums liés à l'accouplement, celui de Gudrun avec son amant, le concombre est la verge qu'elle a vue dans ses fesses, plus grosse que celle du jardinier, peut-être qu'une carotte lui préparerait l'endroit…?

Elle se touche et se branle, la vulve et l'orifice, elle empoigne le concombre et s'en frotte le sexe, sa mouille est abondante, le cucurbitacée est de suite enfoncé, Marie-Meredith s'élargie le sphincter en se rentrant deux doigts, elle trouve sur la blouse des traces du coït qu'elle se met à lécher, saisissant une carotte elle remplace ses doigts et se remplit l'anus,

elle vagie sans retenue, le plaisir est trop fort, la blouse sent le sexe, elle la renifle encore..

Au moment où elle va s'enculer du concombre, la porte de la cuisine s'ouvre et Gudrun apparait juste dans l'entrebâillement, Marie-Meredith se fige comme l'enfant prit en faute,

paralysée de honte par l'image qu'elle donne, de plus elle lâche un pet en sortant la carotte de son anus ouvert à l'entrée du concombre, Gudrun ne dit rien et regarde la scène, employée respectueuse de Marie-Meredith, et femme compréhensive…

A SUIVRE….

Comments

mondoi Il ya 8 ans  
dudu Il ya 8 ans  
mondoi Il ya 8 ans  
patou39 Il ya 8 ans  
arthur Il ya 8 ans