Vues: 390 Created: 2015.01.04 Mis à jour: 2015.01.04

Matinée Troublante…

Chapitre 5

Quand elle émerge, il est presque que midi, elle bondie hors du lit affolée, que va penser le personnel, elle toujours la première sur le pont, dans une tenue soignée, elle se regarde dans la glace et ne voit qu'une femme hirsute et fripée, elle se sent poisseuse, la honte reprend le dessus quand elle se remémore ce qu'elle a vue et ce qu'elle a fait, elle a cédée à des démons enfouis en elle, la voila rabaissée au niveau d'une fille de joie se dit-elle, d'une câtin, d'une sodomite même, elle se précipite sous la douche pour effacer les traces de sa mauvaise conduite, à l'eau froide, l'autopunition qui corrige les déviances de la pensé et du corps, reprendre le contrôle et la maîtrise de soit, elle doit agir face au laisser-aller de ses employés, se montrer ferme et exemplaire, se trouver une excuse sans défaut pour son retard, mais malgré toutes ses résolutions, elle sait que quelque part en elle, sommeil maintenant le spectre du désir charnel et sodomite.

Quand elle arrive dans le hall, tous le monde est occupé à son poste, la femme de chambre finie de passer l'aspirateur, ça lui va bien, vu ce qu'elle faisait à Hubert il y a peu, elle ne l'a pas entendue arriver, le major d'homme l'accueil en bas de l'escalier, la saluant poliment sans lui faire remarquer son retard, cela vaut mieux, qu'il reste à sa place, Marie-Meredith s'approche de Roseline qui sursaute en l'apercevant, "Bonjour Madame…" dit-elle d'une voix empreinte de surprise, elle passe à la cuisine s'enquérir du repas, Gudrun, très affairée, la salue poliment, la politesse des sodomites sans doute, Marie-Meredith sort faire un tour rapide au jardin pour voir si Robert a reprit le travail, elle le trouve occupé à arracher les mauvaises herbes, il la salut respectueusement, elle de même, non sans revoir mentalement ce qu'il faisait avec Gudrun dans le cabanon…

Elle ne peut s'empêcher de se demander s'il s'est lavé la verge après son coït anal, son tour d'inspection fait, elle passe à table, se préparent mentalement à avoir des entretiens individuels avec son petit personnel, mais en aura-t-elle le courage, et puis, leur dire qu'elle "à vue" ce qu'ils faisaient sans être intervenue signifierait qu'elle est restée à les regarder faire et de là, ils pourraient glousser entre eux, se gausser d'elle en disant que c'est une perverse qui aime regarder des copulations sans être vue, une vicieuse qui matte, une sainte-nitouche onaniste, elle décide de juste remettre les pendules à l'heure avec chacun et chacune, sur la ponctualité et l'assiduité au travail, rien de plus.

L'après-midi, après les avoir un peu sermonnés, elle s'installe à son bureau dans la bibliothèque pour régler quelques factures et préparer des commandes d'alimentaire à faire livrer par ses différents fournisseurs par le biais d'internet, mais elle n'arrive pas à se concentrer, sans cesse lui reviennent à l'esprit, les images copulatoires et fellatrices des ses employés, surtout celles de sodomie que son anus lui rappel par de petites démangeaisons qu'elle n'ose apaiser d'un doigt de peur d'être surprise par quelqu'un, la main entre les fesses fourrageant dans sa culotte, elle se tortille sur son fauteuil devant son ordinateur, ses pensées vagabondent et sans apercevoir, elle tape le mot "sodomie" sur son moteur de recherche.

Au nombre incalculable de sites dédiés à cet acte qui s'offrent à elle d'un seul coup, elle prend conscience honteusement qu'elle dérive vers le stupre, la fornication rectale, elle cherche à s'auto-justifier en ouvrant la page consacrée d'un forum de magazine féminin bien connu, les questions, les réponses, les conseils, les détails, elle lit tout sur le sujet, se demandant comment des femmes peuvent parler aussi librement d'une tel chose, et bien sur, elle finie par lire aussi les interventions des hommes, qui eux ne s'embarrassent pas, que ce soit dans les détails graveleux et un langage cru très imagés, à la différence des femmes qui en parlent plus à mots couverts…

Certaines interventions masculine sont illustrées par une image qui ne laisse aucun doute sur leur libido et d'autres donnent des liens vers des sites pour adultes consacrés à la chose, elle ne sait pas si c'est par une mauvaise manipulation de sa sourie ou inconsciemment qu'elle vient de cliquer sur l'un d'eux et voila que devant ses yeux ébahis, s'ouvrent des images et des vidéos d'actes de sodomies de toutes sortes, elle est impressionnée par la taille de certaines verges et de la dilatation extrême des orifices des femmes, après une série de photos, elle visionne le cœur battant, plusieurs vidéos, elle sent qu'elle humidifie son siège et cède à sa démangeaison anale en passant ses doigts dans sa culotte pour se frotter l'anus…

Les scènes de sodomies se succèdent devant elle, elle à donnée un tour de clef à la porte de son bureau et la voila maintenant qui se caresse en regardant des femmes se faire prendre par derrière, le doigt pour calmer sa démangeaison à provoqué l'effet contraire, augmentant l'envie de se gratter, elle finie par le glisser en elle, et de son autre main se stimule la vulve mais cela ne lui suffit plus, elle veut une grosse chose pour mieux se satisfaire, que pourrait-elle trouver qui fasse l'illusion d'une verge longue et dure au fond de son derrière,

c'est là qu'elle aperçoit, posé sur le linteau ornant la cheminée, le chandelier

d'argent pourvu de ses grands cierges…

Son cœur en fait un bon, voilà bien un objet à la forme phallique, alors sans hésiter, elle se saisit d'un cierge qu'elle porte à sa bouche, le suçant comme une verge, elle y dépose salive puis elle s'assoit dessus, accroupie sur son siège, tenant le dard d'une main, dressé vers son fondement, elle s'empale par les fesses faisant entrer en elle cette tige qui la comble, la voilà qui s'encule sans aucun état d'âme, poussant sur son sphincter comme elle fait aux wc, mais c'est pour recevoir et non pas se vider, elle bouge sa croupe pour bien sentir l'objet,

lui perforer l'anus de plusieurs vas et viens, elle s'imagine assise sur le sexe d'un homme, à qui elle fait offrande de son étroit conduit…

Elle se touche la fente et branle son bouton, ne s'arrêtant que pour mettre la lecture d'une nouvelle vidéo en route, peu à peu nait en elle l'envie d'être saillie comme les filles qu'elle regarde, mais jamais elle ne pourra ou osera le demander à son mari, ça ne ce fait pas dans son milieu et quelle honte elle ressentirai de révéler ses envies de sodomie, que m'arrive t'il se demande t'elle, comment en une seule matinée ai-je pu me laisser aller aux plus bas instincts, à ma mort, j'irai en enfer se dit-elle, j'y serrai empalée par le fondement au milieu d'un buché éternel, mais même cette pensée tragique et douloureuse ne la convainc pas d'arrêter sa masturbation vulvaire et rectale, elle finie par en jouir arrosant son fauteuil devant les assauts d'un diable Africain surmembré dans les fesses d'une Asiatique hurlante, défigurée par la douleur…

Comments

mondoi Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans