Vues: 371 Created: 2015.01.04 Mis à jour: 2015.01.04

Matinée Troublante…

Chapitre 4

Troublée plus que choquée, Marie-Meredith remonte à l'étage, pour se passer la tête sous l'eau froide, sa culotte lui colle désagréablement à la vulve, elle s'auto-flagelle en pensées, comment a-t-elle pu rester ainsi derrière la porte à regarder vicieusement cet acte de débauche, sans même intervenir pour y mettre fin, pourquoi cette émotion en elle, l'image de la verge bandée lui revient sans cesse, et celle des caresses prodiguées dessus par la femme de chambre aussi, elle revoit encore et encore la scène de vice, de découvrir cela à son âge, tant d'années perdues par la méconnaissance des plaisirs du corps de l'homme, par les interdits liés à la religions, à l'éducation, à son paraître bourgeois, bien sur, elle a été satisfaite par son mari qui l'a honoré un bon nombre de fois, mais quel plaisir a-t-elle ressentie, elle n'a pas de souvenirs brûlants tel que celui qu'elle vient de voir…

Pensive, elle part vers le hall, Marie-Meredith se demande maintenant ce qu'elle va faire vis-à-vis de ses employés, doit-elle prendre des sanctions ou simplement les réprimander, d'ailleurs seuls Hubert et Roseline ont étés pris en faute, le jardinier et la cuisinière restant introuvables, elle décida de remettre ses interrogations à plus tard et d'aller les chercher au jardin, Gudrun, cuisinière Allemande, a l'habitude d'aller ramasser elle-même au potager, les légumes dont elle a besoin pour ses préparations culinaires, sans doute y est-elle en compagnie de Robert, le jardinier, qui garde toujours un œil sur ce qu'elle vient prendre, Marie-Meredith se rassure en se disant qu'au moins ces deux là doivent être afférés à leurs ouvrage, elle traverse le perron d'un pas léger et se dirige vers le potager, personne…

Gudrun doit être en cuisine à présent se dit-elle, elle décide d'aller voir au cabanon de Robert, une baraque en bois et toit de chaume, un atelier où il remise ses outils et les fruits du verger, elle s'approche d'une des fenêtres pour regarder à l'intérieur s'il est la… Son cœur fait un bon, elle écarquille les yeux pour être sure de bien avoir vue à travers les petits carreaux salit, mais pas de doute, elle n'a pas de vision, Gudrun, jupe troussée sur le dos et culotte à mi-cuisses, est courbée en avant sur l'établi, offrant sa croupe à Robert qui, pantalon baissé, la besogne ardemment la tenant par les hanches, Marie-Meredith croit vivre un cauchemar éveillée, ce rajoutant à la scène de fellation qu'elle a surprise tout à l'heure, voila maintenant qu'elle assiste malgré elle à la copulation frénétique du reste de ses gens de maison…

Elle pense encore défaillir mais se raccroche au rebord de la fenêtre, une malédiction est-elle sur sa maison, l'ombre d'un démon du stupre plane-t-elle au dessus d'elle, Marie-Meredith se reprend et vat pour entrer dans le cabanon pour mettre fin à la débauche quand, prise d'un doute, elle se ravise, ce sont des adultes majeurs, que pourrai-t-elle leur dire ou leur faire pour qu'ils cessent leur diabolique coït, Robert est veuf et Gudrun n'a jamais été mariée, devant ses yeux, le troussage continue, à travers la mince cloison de bois, elle entend l'établi qui craque sous les assauts de l'homme et les râles de plaisir de Gudrun, leurs mots échangés dans un souffle court, elle regarde et écoute, comme hypnotisée…

Un souffle de vent frais passant sous sa jupe lui fait sentir que ses humidités lui coule à présent sur les cuisses, Marie-Meredith sent quelque chose changer en elle, sa colère devient sentiment de frustration, elle se dit qu'elle est peut-être passée à côté de beaucoup de choses sexuellement quand elle voit avec quelle liberté, ses gens, ses employés issus de "la France d'en bas" s'en donnent à cœur joie, profitent de la vie et de leurs corps, en plein jour, sans éteindre la lumière, au risque d'être surpris, ils font l'amour sous toutes les formes, elle qui n'a jamais dépassée les limites du correct-fuck, elle les regarde avec envie, cette croupe germanique secouée par les ruades d'un Robert dont elle voit la verge mafflue entrer et sortir, elle entend Gudrun lui dire -Encore…! Plus fort…!

Et l'autre de s'activer en elle à grands coups de reins, après quelques ruades, Robert se penche et lui parle à l'oreille, il semble lui demander quelque chose, elle fait "non" de la tête mais il insiste, Marie-Meredith entend des bribes…"petit trou" "œillet" "offre-moi"… Elle ne comprend la demande que quand elle voit Robert s'agenouiller pour lui écarter les fesses… Il y pose la bouche et caresse des lèvres la petite ouverture plissée, Marie-Meredith en a un hoquet, embrasser cet orifice, c'est Sodome et Gomorrhe, comment peut-on faire une chose pareille, elle qui pense avoir déjà dépassée des limites ce matin, jamais elle n'aurait imaginée une telle dépravation, quand on sait à quoi sert cet orifice, et même si l'on a une hygiène irréprochable…

Elle entend Gudrun gémir doucereusement, elle semble apprécier la caresse buccale sur cet endroit intime de sa personne, mais voila que Robert se relève et pointe son phallus sur l'entrée interdite, le cœur de Marie-Meredith bat à une vitesse folle, il ne va pas faire ça…?! il n'osera pas…?! se dit-elle…

Mais si, il ose, et pas qu'un peu, il dépose de la salive sur son gland violacé et appui sur le sphincter de la cuisinière, celle-ci l'encourage en lui tendant ses fesses et la verge pénètre l'anus d'un coup, comme aspirée, Gudrun pousse un cri rauque, souffre-t-elle…? se demande Marie-Meredith, un objet de cette taille dans un conduis aussi étroit doit-être une torture…?! pourquoi ne lui dit-elle pas d'arrêter…?! pourquoi l'encourage-t-elle…?!

Elle est désarçonnée, prendre du plaisir par là avec un thermomètre, une canule ou un doigt est acceptable mais un sexe de cette taille est inimaginable pour elle, quand on connait l'étroitesse de cet orifice, elle souffre pour Gudrun et s'interroge aussi, supporterait-elle une telle chose dans son anus…?

Et pourtant, elle continue de regarder le coït anal, le Robert besogne la cuisinière à présent, avec la même vigueur que précédemment, Gudrun pousse des râles de jouissance, Marie-Meredith voit que celle-ci se frotte la vulve d'une main active en émettant des jets … l'homme grogne, prit de soubresauts, il lui dit qu'il va jouir, Gudrun se tourne alors et se laisse asperger par les traits de semence, puis elle prend la chose en bouche…

Comment peut-elle faire cela sans dégout, se demande Marie-Meredith, la verge sort d'elle, avec ce que cela laisse supposer, à moins que Gudrun ne se soit généreusement lavementée avant la sodomie, dans ce cas, en serait-elle capable…? Ferait-elle la toilette d'une verge sortant de ses fesses…?

Perturbée par la scène de sodomie à laquelle elle vient d'assister, Marie-Meredith regagne la maison au pas de course, la tête en feu, elle ne veut pas être vue dans l'état d'excitation où elle se trouve, les images se bousculent, les visions copulatoires de Robert sodomisant Gudrun passent devant ses yeux, elle se trousse la robe et enlève sa culotte trempée, le parfum de sa vulve lui parvient aux narines, elle ne se contrôle plus, ou elle ne le veut plus…

Son sphincter la démange, le désir est trop fort, elle laisse glisser ses doigts entre ses fesses humides, elle frôle son anus mouillé de sécrétions, elle veut passer à l'acte, recevoir autre chose qu'une banale caresse, elle veut être saillie, prise comme l'était Gudrun, avoir une verge en elle qui lui fouille le rectum, elle pense même un instant, requérir aux services de l'engin de Robert , pour se faire dépuceler l'entrée de son derrière, mais c'est un employé, cela ne ce fait pas, à part dans certains livres que la morale réprouve… Mais comment font les femmes pour combler leurs envies, quand elles n'ont pas un homme pour les sodomiser…?! Elles se le font elles même, lui souffle une petite voix, et dans un acte fou, qui la voue aux enfers, elle se rentre deux doigts réunis en fuseau…

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
jojofun73 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans