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Vues: 625 Created: 2014.07.27 Mis à jour: 2014.07.27

Lavement avec un bambou

Chapitre 1

Cet été, j'étais en mission pour trois semaines dans une région très reculée d'Afrique, avec pour seule compagnie mon guide, Mike, et Pierre, un collègue qui m'aidait dans mon travail.

Après une semaine de vie dans la jungle à étudier la flore locale, j'eus un soucis bien gênant : je n'avais pas réussi à aller aux toilettes depuis la veille. J'essayais de me rassurer et de ne pas y penser, mais une voix dans ma tête sonnait comme une alerte ! Il fallait que j'arrive à aller aux toilettes sous peu, ou bien j'allais vraiment devenir constipée. Et ici, pas le moindre hôpital ou la moindre pharmacie dans les parages, il allait falloir faire avec les moyens du bord. A ce propos, je n'avais aucune idée de comment m'y prendre.

Je finis par craquer en fin d'après-midi, après avoir échoué plusieurs fois d'aller faire caca, et avouai ma constipation à mes deux compagnons de voyage. Comme moi, ils arrivèrent à la conclusion qu'on étaient trop loin pour regagner un hôpital ou une pharmacie.

-Ça prendrait une semaine de retourner à la ville la plus proche ! Fit Mike. Il va falloir faire sans ça, avec les moyens à disposition.

Pierre attrapa un sac et fouilla dans une trousse médicale d'urgence, mais n'y trouva ni laxatifs, ni nécessaires à lavement pour me soigner.

-Il n'y a rien là-dedans, fit-il en reposant le sac.

-Que va-t-on faire alors ? Demandai-je, inquiète.

Mike proposa sa solution :

-On peut te faire un lavement avec des moyens naturels, expliqua-t-il. Avec un bambou vidé qui sert de tube, on peut t'injecter un laxatif comme pour un lavement.

Je fis une légère grimace. L'idée de devoir m'enfoncer un bambou dans le cul était en effet peu réjouissante. Cela ne me plaisait guère, mais je n'avais pas vraiment le choix.

Mike connaissait aussi une recette à base de végétaux qui avait un fort pouvoir laxatif. Je lui demandai s'il ne connaissait pas plutôt quelque chose à avaler, plutôt qu'à m'injecter dans les fesses, mais il me répondit que non.

-Bon, très bien, fis-je. Et comment on s'y prend, exactement ?

Mike m'expliqua plus en détails :

-Il va falloir te mettre un morceau de bambou vidé dans le cul, pour commencer. Je ne pense pas que tu arriveras à le faire seule, il faudra qu'on t'aide pour ça.

Je fis la grimace. Je n'avais pas prévu de faire un lavement devant eux ! Encore moins de les laisser me l'administrer ! Mais là aussi j'évitais de discuter car je n'avais pas d'autres solutions à proposer.

-Ensuite, poursuivit-il, il faudra te coucher et l'un de nous devra te verser le laxatif avec sa bouche, en se servant du bambou comme une paille pour souffler dedans.

"Beurk, pensai-je."

-Je sais que ce n'est pas très agréable comme technique, ajouta-t-il, mais crois-moi, c'est probablement la seule chose à faire si tu es constipée.

J'avais accepté à contrecœur. On n'avait ensuite pas perdu de temps. Une fois la solution expliquée, Mike expliqua à Pierre comment préparer sa recette laxative, et partit lui-même chercher un bout de bois. On m'avait demandé de choisir qui allait s'occuper du lavement, et j'avais choisi Pierre sans vraiment savoir pourquoi. Les deux me dirent que si je voulais, je pouvais déjà retirer ma culotte, mais je préférais la garder jusqu'au dernier moment.

Assise sur une chaise sous la tente qui servait d'abri, je ne manquai rien de la préparation : Mike avait récupéré un bâton de bambou d'une vingtaine de centimètres de long, et aussi beaucoup trop large à mon goût.

-Il n'y a pas plus petit ? Enfin, plus fin ? Demandai-je d'une voix peu rassurée.

-Non, répondit-il. Un morceau plus petit risquerait de se casser, c'est dangereux et trop risqué.

De son côté, Pierre venait de finir de remplir la bouteille avec le mélange d'eau tiède désinfectée et de mixture végétale.

-Bon allez, fit-il. Je crois que c'est le moment de commencer.

Je pris mon courage et ma fierté à deux mains, et fit un effort pour me relever de ma chaise.

Les deux jeunes hommes se regardèrent un instant.

-Bon qui c'est qui va s'occuper de... ? Enfin, le faire, quoi !

Je n'osais évoquer l'insertion du bâton qui m'attendait d'un instant à l'autre.

-Je vais m'en occuper, dit Pierre. Mike, viens te mettre face à elle pour la rassurer, ajouta-t-il.

Je vis que Pierre récupérait le bâton de bambou, puis il vint se placer derrière moi. Je n'avais pas encore baisser ma culotte, mais au moment où j'allais le faire, Pierre s'en chargea pour moi. Il tira l'élastique vers le bas pour la faire descendre jusqu'aux genoux.

Même si je ne le montrais pas, intérieurement, j'étais morte de honte et de peur en sachant ce qui m'attendait !

Je sentis alors les mains de Pierre m'écarter les fesses. Ce fut une sensation très désagréable et humiliante, sachant qu'à présent il voyait parfaitement mon trou de balle.

-Espaces un peu tes jambes, conseilla-t-il, ça évitera que tu serres trop les fesses. Mike, tiens-la pour éviter qu'elle ne bouge quand je vais enfoncer le bambou.

Mike tendit les mains pour tenir les miennes, mais je l'évitai.

-Euh, je ne préfère pas qu'on me tienne, fis-je.

-Désolé, fit Pierre, mais il vaut mieux que si. Je n'ai pas envie que tu fasses un faux mouvements et que tu te fasses mal.

Je le regardais en tournant uniquement ma tête, et vis qu'il était sérieux.

-Bon, d'accord, acceptai-je.

J'espaçai mes jambes, et tendis mes bras en avant à Mike qui les attrapa. Je sentis alors avec horreur que Pierre venait de poser le bout du bambou sur mon trou du cul, ce qui me fit immédiatement me contracter.

-Allez, maintenant, essayes de penser à autre chose, fit-il.

J'aurais aimé y arriver, mais c'était peine perdue. Je restais là sans bouger à attendre le supplice arriver. Pierre maintenait pour le moment la pression sur mon trou de balle sans forcer. Mike lui me regardait gentiment d'un regard compatissant.

Soudain, une vive douleur surgit au niveau de mon derrière. Je voulus par réflexe faire un pas en avant en sentant le bambou forcer mon anus, mais Mike se plaqua contre moi pour m'empêcher de bouger. Alors je me mis à crier en sentant le bambou progresser dans mon cul contre mon gré. Le tout se déroula en quelques secondes, mais j'avais vécu ce moment au ralenti ! Une sensation de douleur et de gêne s'était mélangée en moi, tandis que je subissais cette insertion progressive.

A présent, le moment le plus difficile était passé. Pierre me lâcha les fesses, et Mike me lâcha les bras. Les deux hommes s'écartèrent un moment de moi en reculant de quelques pas.

J'étais là, debout au milieu de la tente, avec le morceau de bambou enfoncé et coincé dans mon derrière, qui dépassait de mes fesses d'une dizaine de centimètres. Pierre n'y avait pas été en douceur car ça me faisait encore très mal.

-S'il-vous-plaît, suppliai-je, retirer moi ça du cul ! Ca fait un mal de chien !

J'allais essayer moi-même de retirer ce corps étranger, mais Pierre m'attrapa le bras à temps pour m'en empêcher.

-Non, fit-il. Sinon on aura fait ça pour rien ! Essaye de te calmer ! Ca fait mal au début mais ça va s'atténuer. Quand ça te feras moins mal, on pourra commencer le lavement.

Mike comprit que la suite allait être embarrassante aussi, et s'éclipsa discrètement de la tente pour nous laisser tranquille.

-Tu aurais pu y aller moins fort, lui dis-je.

-Désolé, s'excusa-t-il, mais j'étais obligé de forcer si je voulais que ça rentre.

Mal à l'aise, je me mis à marcher frénétiquement sur place en essayant de me calmer. Le bambou était fermement calé dans mon derrière et ne bougeait pas d'un poil. Ca continua à me faire mal à l'anus mais doucement je sentis la douleur finir par se calmer.

Gêné aussi de me voir dans cette situation, Pierre essaya de me détendre en me caressant un peu le dos et en me disant de penser à autre chose, ce qui était inutile.

-Bon, voilà, fis-je après un moment à gigoter sur place. Je pense qu'on peut commencer, j'ai hâte que tu me sortes ça du cul !

-Ok, fit-il. Bien, couche-toi sur la couchette. Je vais m'occuper du reste.

Je fis comme il disait, et m'allongeais en avant sur le ventre sur le petit lit de fortune. Dans cette position, la partie du bambou qui dépassait pointait vers le haut et allait pouvoir servir à envoyer la mixture dans mon intestin.

Pierre se plaça à genoux à côté de moi, au niveau de mes fesses, et attrapa la bouteille. Il porta le goulot à sa bouche et se remplit une grosse gorgée. Le liquide ne devait pas avoir bon goût car je le vis faire la grimace. A moins qu'il ne soit dégouté de devoir m'envoyer ça dans les fesses...

Il se pencha au-dessus de moi, et porta sa bouche sur le bambou qui dépassait. Aussitôt, je sentis le contenu liquide arriver directement dans mon rectum. Pierre recracha tout dans le bambou et souffla dedans pour me faire absorber le tout.

-Ca va ? Me demanda-t-il en relevant sa tête.

-Pour le moment oui, à part que je vais avoir mal au cul pendant deux jours...

-Bon, on continue, fit-il. Il te reste encore pas mal de liquide à absorber. Mike à dit qu'il fallait utiliser au moins la moitié de la bouteille.

Je le vis reprendre une bouffée de liquide dans sa bouche, et attendis de le voir se pencher à nouveau sur mes fesses et sentir le liquide entrer. Après quelques ajout de plus, il termina la moitié de la bouteille. Je sentais à présent mon ventre se débattre face à ce médicament, m'incitant à aller faire caca pour tout évacuer, enfin !

-Bon, maintenant, je vais te retirer ça, et tu vas garder le mélange quelques minutes ensuite, expliqua-t-il. Tu es prête ?

-Oui, vas-y.

Je sentis sa main agripper le bambou qui dépassait, et serrait les dents en m'attendant à une nouvelle douleur. Au lieu de ça, Pierre tira doucement et le bâton glissa lentement hors de mon cul. La sensation de soulagement était telle que je l'aurais volontiers embrassé en récompense !

Le bambou enfin extrait, je sentis mon trou de balle se refermer sur lui-même, et Pierre partit mettre de côté ce morceau de bois. Il me laissa attendre seule dans la tente, me laissant reprendre mes esprits. Mais je ne restai pas longtemps : quelques minutes plus tard, l'effet du laxatif se fit sentir et je m'empressai de quitter la tente, et fuir derrière un buisson à une dizaine de mètres de là. Pierre et Mike me virent quitter la tente les fesses à l'air, et courir à petits pas précipités et les jambes serrées, mais je ne pensais plus du tout à leur présence. Une fois en place dans ma cachette, je m'accroupis et me soulageai instantanément ! Le liquide coula à flot hors de mon cul, et me procura là aussi une sensation de soulagement !

"Quelle scène ! Pensai-je. C'est pas agréable à prendre, mais au moins c'est efficace, sa solution !"

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mondoi Il ya 9 ans  
tursiop Il ya 10 ans  
patou39 Il ya 10 ans  
dudu Il ya 10 ans  
thermophil Il ya 10 ans  
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patou39 Il ya 10 ans