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Vues: 360 Created: 2014.07.27 Mis à jour: 2014.07.27

Lavement avec un bambou

Chapitre 5

Le lendemain se passa comme une journée normale, bien qu'on fut épuisés de marcher autant. Vint alors, après le dîner, le soleil qui déclina à l'horizon, signe que la nuit arrivait. Je redoutais ce moment depuis le matin même, car c'était le moment qui avait été fixé pour me faire mon lavement.

Evidemment, j'avais essayé d'aller faire caca avant le repas, mais toujours sans succès. J'aurais pu mentir à Pierre et dire que j'avais réussi, mais je n'étais pas sûre d'arriver à tenir jusqu'au surlendemain matin.

J'étais assise dehors, contemplant le soleil entrain de finir de se coucher, quand Pierre vint me retrouver. J'étais comme les autres fois très stressée, surtout que maintenant je savais à quoi m'attendre comme sensation.

Mais il me rassura en me disant qu'il avait peut-être une idée qui serait moins désagréable.

-Quoi ? Demandai-je.

-J'ai préparé la mixture, expliqua-t-il, mais je pense qu'on peut la faire rentrer dans ton derrière sans utiliser le tube de bambou.

-Comment ?

Il m'attira à l'écart du campement, vers un coin plus tranquille.

-Hier, après la sodomie, commença-t-il, j'ai vu quand j'ai retiré mon pénis que ton trou du cul était assez dilaté. Alors je me suis dit qu'on pourrait faire ça pour faire couler le laxatif directement dans ton derrière.

Je levai les yeux vers lui. En effet je trouvai l'idée plus attirante que la solution basique d'utiliser un bambou. Peut-être un peu pervers, mais au moins pas trop douloureux, c'était déjà ça.

-En gros, une sorte de sodomie dont le but est médical ? Demandai-je.

-On peut voir ça comme ça, mais rien ne nous empêche non plus d'y prendre un peu de plaisir.

-Je te reconnais bien là, grand pervers ! Me moquai-je. Bon allez, je te suis.

On partit s'isoler tous les deux hors du campement, avec le matériel nécessaire. Pierre, prévoyant, décida même d'emporter aussi le morceau de bambou au cas où sa solution ne fonctionnerait pas.

On trouva au bout de dix minutes de marche un petit coin sympathique et isolé, près d'un gros rocher.

A l'aise, je m'y déshabillai, aussitôt suivie par Pierre. On installa avec une grande serviette une couchette improvisée, et Pierre me demanda de m'allonger sur le ventre. Cette fois, pas question de me mettre debout : l'objectif était de pouvoir verser le laxatif dans mon derrière via le récipient, et pour ça, la position couchée était la plus adaptée.

C'est ainsi que je m'allongeai sur la couchette, les jambes légèrement écartées. Pierre me mit deux doigts dans le vagin, me tripota un peu, et se servit de mon lubrifiant naturel sur mon trou du cul. En guise de préparation, il me planta dans le cul un doigt, puis deux en même temps, et fit quelques va-et-vient pour étaler le lubrifiant.

-Bon allez, c'est prêt, fit-il.

Il se plaça au-dessus de moi, puis descendit progressivement son bassin tout en dirigeant d'une main sûre son sexe entre mes fesses. Son gland atteignit mon anus, puis Pierre continua de pousser et il me pénétra. Je fus agréablement surprise de voir que dès ma deuxième sodomie, j'avais déjà beaucoup moins mal. Peut-être aussi que j'étais moins anxieuse.

Cette fois, couchée ainsi, je ne pouvais pas l'accompagner dans ses mouvements, alors je restai passive et le laissai se charger de tout.

-Ca va ? Ca ne te fait pas trop mal, demanda-t-il alors qu'il venait d'accélérer un peu.

-T'inquiètes. Un peu mais c'est supportable.

Tandis qu'il me sodomisait, je sentais le souffle saccadé de sa respiration sur ma nuque.

Il accéléra encore le mouvement, bien plus vite cette fois-ci. Je commençais à avoir mal mais compris qu'il allait conclure, alors je pris sur moi. Il ne lui fallu en effet pas plus de trente secondes de va-et-vient rapides pour jouir en moi.

-T'as giclé dedans ? Demandai-je en me redressant après qu'il se soit retiré.

-Oui, fit-il avec un sourire. De toute façon, tu ne vas pas garder ça très longtemps. D'ailleurs si tu peux te recoucher, avant que ton cul ne redevienne tout serré...

-Ah oui c'est vrai.

Je me remis en position, et il vint se mettre à genou juste à côté de moi. Il écarta mes fesses, et versa délicatement la mixture liquide. Celle-ci coula le long de ma raie, et je sentis la main de Pierre m'écarter mon anus en tirant sur la peau juste autour. Une partie du liquide coula alors en moi, tandis qu'une autre évitait mon trou et coulait par terre. J'eus plusieurs fois le réflexe inévitable de contracter mon anus en sentant le liquide m'envahir, mais Pierre s'amusa à mettre deux doigt dedans pour l'empêcher de se refermer totalement.

-Ca va ? Me demanda-t-il. C'est déjà presque fini.

-Oui, répondis-je. En tout cas je préfère ça au bambou, je pense qu'on va pouvoir l'abandonner ici d'ailleurs.

Je restai ensuite silencieuse en laissant Pierre finir le boulot, jusqu'à ce qu'il retire enfin ses doigts et m'autorise à aller me soulager. Je partis donc me cacher derrière le rocher, et comme d'habitude, le laxatif fit effet presque aussitôt.

-Je te rejoins au campement, fis-je à haute voix pour qu'il m'entende. Je connais le chemin du retour.

-Ok. A toute à l'heure.