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Vues: 403 Created: 2014.07.27 Mis à jour: 2014.07.27

Lavement avec un bambou

Chapitre 4

Le lendemain, je me réveillai fatiguée aux côtés de Pierre. Il était encore tôt. Celui-ci dormait toujours et mes vêtements étaient encore éparpillés partout dans la tente. Je me levai et entrepris de les récupérer pour me rhabiller.

Comme pour le premier lavement, il avait fallu toute une nuit pour que la sensation de gêne ne disparaisse complètement.

Pierre me rejoignis dehors au moment du petit déjeuner, et Mike suivit peu après. Une fois tous là, j'expliquai ma situation et on décida de prendre la route vers la ville, pour que j'y vois un médecin.

De là où nous nous trouvions, Mike consulta une carte des environ et annonça trois jours de marche.

Plus tard sur la route, avec Pierre, on fixa le prochain et dernier lavement au lendemain soir, à la moitié du trajet, si bien sûr j'étais encore constipée, ce qui serait fort probable.

Le premier soir, après une bonne journée de marche et un bon repas, on installa tous les trois notre campement dans une zone nettement plus désertique. Par chance, on y découvrit également un joli coin de paradis : un petit oasis dont l'eau était bien fraîche.

Une fois seuls, on décida d'y aller pour s'isoler avec Pierre. Il faisait encore suffisamment chaud pour pouvoir aller se baigner dans l'eau, et comme on était que tout les deux, on décida d'y aller à poil, histoire de prendre un bain de minuit.

La baignade fut cependant de courte durée : la nuit devint assez vite fraîche et on n'y voyait en plus presque plus rien. Et surtout on avait tous les deux envie de sexe !

On sortit donc de l'eau tout trempés, puis on étendit une serviette sur la mini-plage qui bordait l'eau. Pierre s'assit dessus et me prit contre lui (mon dos contre son ventre) pour commencer à me faire des caresses, tout d'abord sur mes seins, puis très vite ses mains descendirent rejoindre mon entre-jambes encore mouillé. Il en profita pour me caler deux doigts, ce qui eu pour effet de m'exciter davantage. Dans le bas de mon dos, je pouvais sentir son pénis se durcir.

Pour compléter ces préliminaires, il se pencha sur mon épaule et me chuchota à l'oreille :

-Tu veux un doigt dans ton petit trou aussi, ma petite constipée ?

-Vas-y, répondis-je, mais juste un doigt !

Tout en restant dans la même position, il glissa une main plus profondément dans mon entre-jambes, jusqu'à finalement atteindre mon anus. Il le repéra facilement, le toucha un peu du bout du doigt, et me demanda de pousser.

Je forçai légèrement sur mon bassin, et Pierre réussi sans peine à introduire son doigt dans mon cul de quelques centimètres. Ensuite je m'amusai à crisper mon anus pour mieux sentir son doigt faire des petits va-et-vient.

Finalement, Pierre laissa tomber rapidement les caresses sur mon sexe, pour se concentrer sur mes fesses uniquement. D'une main il me caressait, de l'autre il me doigtait le cul.

-Mmmmh, fis-je. Toi, tu as envie de m'enculer !

Il mit quelques secondes à répondre.

-Et toi, qu'est-ce que tu en penses ? Répondit-il.

Il accentua son doigté en faisant des mouvements plus amples et donc plus profonds. C'était probablement sa façon silencieuse de me dire qu'il en avait envie, lui.

-Je veux bien essayer, fis-je. Après tout, tu m'as enculée ces derniers jours avec un morceau de bambou, je pense que j'apprécierai mieux quelque chose de plus doux.

J'accompagnai ma phrase d'une caresse sur son sexe tendu, et attendis qu'il arrête de me doigter pour me mettre dans une position plus adaptée à la sodomie. Mon choix parut le surprendre assez.

-Tu veux bien qu'on le fasse debout ? Demandai-je.

Il accepta la proposition, et je fis quelques pas vers un arbre solide pour y prendre appui. Pierre vint se placer derrière moi, le sexe en érection. Je préférai utiliser cette position plutôt qu'en levrette ou couchée, car je me sentais plus libre de mes mouvements pour l'accompagner dans le rapport.

Une fois très proche de moi, il tenait son pénis qu'il glissa entre mes fesses, selon un angle favorable à la pénétration. Je sentis son gland chaud me toucher l'anus, et me préparait à la sodomie.

-Prête ?

-Prête !

Tout en tenant mon bassin de ces deux mains pour me stabiliser, il avança le sien vers moi, doucement.

Son gland me força, puis délicatement se mis à rentrer dans mon cul. C'était évidemment mieux que le bambou niveau sensation, mais un peu plus gênant qu'un doigt seul quand même.

Je pris appui sur l'arbre devant moi et le laissait faire à son rythme. Il remonta de nombreuses fois son pénis dans mon rectum, avant d'accélérer la cadence. Mais je l'arrêtai dans cette frénésie car les mouvements trop rapides et brutaux commençais à me faire mal.

-On reprendra une autre fois, fis-je. C'est un bon début pour moi.

Il stoppa petit à petit, puis sortit avec un bruit succion son pénis de mon derrière, ce qui me soulagea quelque peu.

Ne voulant pas m'arrêter là, je l'invitai à me suivre sur la serviette pour s'occuper de mon autre trou. Il effectua donc une rapide toilette et vint me rejoindre sur la mini-plage. Cette fois, c'est en position couchée que je le reçu.

Il s'allongea délicatement au-dessus de moi, puis conclu notre séance nocturne en me faisant l'amour.