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Vues: 419 Created: 2014.07.27 Mis à jour: 2014.07.27

Lavement avec un bambou

Chapitre 3

Vingt minutes après avoir quitté la tente en vitesse, temps qu'il fallu pour me vider complètement, j'étais de retour dans la tente de Pierre. Un peu inquiète de la douleur que je ressentais au cul, je décidai de lui demander s'il pouvait jeter un oeil rapide, pour voir si tout allait bien.

Je restai debout, et pivotai sur moi-même pour lui tourner le dos. Mes fesses déjà nues lui étant ainsi présentées, il n'eut qu'à les écarter délicatement l'une de l'autre pour faire un rapide contrôle visuel. En temps normal, jamais je n'aurais osé demandé une telle chose à quelqu'un, surtout un jeune homme comme lui !

-T'es un peu rouge, constata-t-il, mais rien de grave, ça devrait passer.

-Parles pour toi, fis-je sans vraiment faire un reproche. ça me fait encore un mal de chien !

Il me lâcha les fesses, et je me laissai un moment m'asseoir sur la couchette qui était installée là.

-Si ça te fais si mal, c'est peut-être aussi que tu as un trou du cul trop serré ou trop étroit, ajouta-t-il. Après tout, le gabarit de ce bambou n'est pas non plus hors-norme...

Je mis quelques secondes à réaliser ce qu'il venait de dire, et surtout de la signification de sa phrase.

-Comment ça un "gabarit hors-norme" ? Demandai-je comme pour être sûre d'avoir bien compris.Tu veux dire en comparaison avec un pénis ?

Pierre comprit que sa phrase était mal venue, mais mine de rien il avait réussi à attirer ma curiosité, si bien qu'au lieu de me rhabiller et repartir dans ma tente je restai assise sur le bord de sa couchette l'entre-jambe à l'air.

-Euh, oui, répondit-il un peu mal à l'aise. Enfin je dis ça parce que des tas de femmes l'ont déjà fait...

-Ben pour tout t'avouer, fis-je, moi je ne me suis jamais fait sodomiser.

"Bordel, qu'est-ce que je lui raconte là, pensai-je, voilà que je discute de sodomie avec lui maintenant."

-Ah bon ? T'es sérieuse ?

Je ne pus m'empêcher de rougir un peu et de baisser les yeux vers le sol.

-Ben oui, ça t'étonne tant que ça ?

Pierre hocha la tête.

-Un peu quand même. La plupart des femmes que j'ai connu m'ont dit qu'elles avaient essayé au moins une fois. Certaines m'ont même avouer qu'elles pratiquaient de temps en temps !

Ma tête tournai un peu. Je me demandai si c'était la fatigue, ou bien un autre sentiment. Je me rendis compte alors que je venais de commencer cette discussion avec Pierre en restant à poil sous la ceinture.

"Qu'est-ce que je suis entrain de fabriquer, moi !?"

-Quand même, fis-je en reprenant la conversation sur la sodomie, ça doit faire mal au cul, tu penses pas ?

Pierre s'était discrètement rapproché de moi. Il secoua la tête.

-A mon avis, on s'y habitue. Et puis, un pénis doit rentrer plus facilement, rien à voir avec la forme de ce bambou, au moins pour l'extrémité.

Je jetai un coup d'oeil vers son entre-jambe à lui, pour voir si je décelais un début d'érection sous son pantalon. Je le fis discrètement, car je ne voulais pas le mettre mal à l'aise. C'était plutôt rare qu'un homme disucte ouvertement de sexe avec moi, surtout qu'ici il s'agissait d'anal ! Rien de détectable au niveau de son pantalon, pas de bosse, rien.

"Dis donc, pensai-je. Il t'en faut à toi, des raisons !"

C'était à présent clair dans ma tête. Je savais ce que je voulais avec lui, et je décidai de pousser le "jeu" installé entre nous plus loin.

Me laissant basculer de la position assise à une position couchée sur le côté, je lui demandai :

-Ca me fait vraiment bizarre au cul. Tu ne veux pas regarder à nouveau s'il-te-plaît ?

Il se mit face à mes fesses, les écarta délicatement, le regard vers mon petit trou.

-Non, fit-il. Ton anus s'est complètement rétracté, et il est même un peu moins rouge maintenant.

-C'est comme si j'étais encore bouchée, fis-je. Enfin, constipée je veux dire.

-Ca, je peux le vérifier, proposa-t-il, mais ce sera un peu plus qu'un simple contrôle visuel.

On se comprit, et je lui donnai le feu vert pour le geste.

Je sentis alors le bout de son doigt se poser sur mon trou de balle. Il me dit alors :

-Pousses un peu comme si tu étais aux toilettes, maintenant.

J'obéi, poussant sur mes fesses tandis qu'il poussait son doigt dans l'autre sens. La réaction ne se fit pas attendre : son doigt me pénétra de toute sa longueur !

C'était bizarre, mais pas désagréable finalement. En tout cas pas à côté du bambou.

-Tu m'as l'air bien vidée, constata-t-il en faisant bouger son doigt.

Je contractai mon anus sur son doigt, et il le fit glisser hors de mon cul lentement.

Cette fois, en me redressant, plus aucun doute possible : Pierre avait bel et bien un début d'érection. Ma demande avait fonctionné à merveille.

Je rapprochai ma tête de la sienne, et il fit de même. Quelques secondes après, nos langues se carressèrent. Je tendis le bras pour éteindre la lampe qui fonctionnait encore, et on se retrouva dans l'obscurité. Un minute après, Pierre avait terminé de me déshabiller, et avait fait de même. La suivante, il me renversa en arrière sur la couchette. A ce moment, je mouillai tellement qu'il n'eut aucun mal à me pénétré. Et cette fois, ce n'était plus mon petit trou qui était sa cible !