Vues: 538 Created: 2016.10.22 Mis à jour: 2016.10.22

Eudes et Johann

Chapitre 1

Je vais publier le roman que je suis en train d’écrire, je ne voulais mettre que des extraits, mais j’essaie de le publier en entier. Je verrai bien s’il intéresse les lectrices et lecteurs de zity.biz ou pas. Il y aura plusieurs scènes CFNM (clothed females, naked males) ou CMNM (clothed male, naked male). Je raconte les aventures du fils d’un vicomte, au début du dix-neuvième siècle, avec beaucoup d’anachronismes. Il s’agit d’un récit gay, mais les héros sont aussi confrontés à des femmes. Pour ne pas avoir d’ennuis avec la modération, je précise que tous les personnages sont majeurs. Vous êtes libres de mettre l'âge qui correspond à vos fantasmes.

Je rêvais que j’enculais, pardon que je sodomisais un palefrenier lorsque je me réveillai ce matin-là. C’était le lendemain de l’anniversaire de mes ** ans, j’avais fêté la veille et trop bu. Je m’étais couché tard et le soleil était levé depuis longtemps en ce beau jour d’août 182*.

Noblesse oblige, je me présente : Eudes, rejeton du Vicomte de R***, habitant à Z*** dans le canton de Berne, Confédération Helvétique. Ma mère était française, c’est pour cela que j’écris dans cette langue. Je traduirai également les dialogues pour vous éviter le dialecte suisse alémanique.

C’était un bruit qui m’avait réveillé : les domestiques apportant une bassine d’eau chaude. C’était la journée du bain. J’ouvris les yeux et je vis un jeune homme au pied de mon lit, l’air emprunté dans son habit neuf. Je me souvins alors que c’était mon cadeau d’anniversaire : un valet personnel. C’était mon père qui l’avait choisi, un fils surnuméraire d’un paysan du village, il avait eu bon goût, très bon goût même.

— Bonjour Johann, approche-toi, je ne vais pas te manger.

— Bonjour, mon maître. Euh, avez-vous bien dormi ?

— Très bien, la nuit a été un peu courte.

— Et… Que dois-je faire ?

— Je sais que tu n’as pas suivi d’école pour devenir valet, je te dirai donc au fur et à mesure. Sois naturel, je t’indiquerai s’il y a quelque chose à corriger.

— Bien mon maître.

— Par quoi on commence ? Bon, le matin je bande, pardon j’ai une érection quand je me réveille. Ma mère me dit toujours que je dois parler comme un vicomte et pas comme un paysan. Tu me comprends ?

— Euh oui, je… j’en ai aussi à mon réveil.

— J’aime bien ta franchise. Ce n’est pas parce que je suis vicomte que nos corps fonctionnent différemment. Nous avons le même âge, tu peux aborder tous les sujets avec moi.

— Oui mon maître.

— Ou en étais-je… Oui je bande et j’ai besoin de pisser, pardon d’uriner, ce qui me pose un problème, je ne peux pas faire les deux en même temps. Va me chercher le pot, il est dans la table de nuit.

— Bien mon maître.

Je me levai et débandai. Je dis à mon valet :

— Tiens le pot pendant que j’urine.

Je relevai ma chemise de nuit, me décalottai (je le fais toujours avant d’uriner) et vidai ma vessie dans le pot. Johann tremblait un peu. Était-il impressionné par ma bite, pardon par mon pénis ? Après avoir secoué les dernières gouttes, je remis mon prépuce à sa place et dis à mon valet de ranger le pot.

— Voilà, dis-je ensuite à Johann. Une bonne chose de faite. Ce n’était pas trop compliqué. Tu es circoncis ?

— Euh… Je ne suis pas sûr, qu’est ce que ça veut dire ?

— Est-ce qu’on t’a coupé le bout de la peau du zizi ?

— Euh… Je ne pense pas. Pourquoi ?

— Simple curiosité déplacée de ma part, excuse-moi. Aujourd’hui c’est samedi, le jour du bain. Allons-y.

J’enlevai ma chemise de nuit (je pouvais quand même le faire tout seul) et j’entrai dans la baignoire. Je dis à Johann :

— Ma mère trouve toujours un prétexte pour venir quand je me baigne. Elle veut voir si je me développe bien, elle est déjà impatiente de me fiancer à la fille du Comte de G***. J’en ai marre, j’ai ** ans maintenant, je vais lui faire une surprise et j’ai besoin de ton aide. Prends ce savon et lave-moi.

Mon valet avait des gestes maladroits, il tremblait en me frottant le dos.

— Allons, lui dis-je, n’aie pas peur. C’est la première fois que tu touches un homme ?

— Euh… oui.

— Continue, lave-moi mon vit, pardon ma verge.

Johann la prit dans sa main avec une extrême délicatesse.

— Un peu plus d’énergie, elle en a vu d’autres, je me branles, pardon je me touche, comme je le dirais au curé pour lui faire plaisir si j'étais catholique, autant qu’ils fantasment sur les masturbateurs plutôt que sur leurs enfants de coeur. Te masturbes-tu ?

— Euh… Je ne suis pas sûr, qu’est ce que ça veut dire ?

— Est-ce que tu te caresses pour obtenir une éjaculation ?

Ma mère entra sans frapper comme à son habitude et interrompit cette intéressante conversation. Les caresses de Johann avaient fait leur effet et mon membre était à son apogée.

— Bonjour Madame ma mère, dis-je poliment.

— Bonjour mon fils. Je vous dérange ?

— Oui, vous me dérangez. Vous voyez bien que je suis en train de bander, pardon d’avoir une érection. Vous avez maintenant vu ma bite, pardon mon pénis érigé, votre curiosité est satisfaite, je vous demanderais de ne plus venir quand je suis dans mon bain.

— Vous êtes bien impertinent Eudes, mais je comprends votre gêne. Je dois quand même vous dire qu’elle est plus belle et plus longue que celle de votre père. Je me demande pourquoi je l’ai épousé. Il préfère les palefreniers à son épouse.

— Merci du compliment Madame ma mère. Si je puis me permettre, vous avez eu assez d’amants pour compenser.

Ma mère s’approcha pour mieux voir ma bite. Elle la prit dans sa main, en évalua la dureté, tâta les bourses.

— J’ai cependant peur que votre nouveau valet ne soit pas étranger à cet état. Je vous laisse, je ne reviendrai plus le samedi matin.

— Bonne journée, Madame ma mère.

Elle sortit en claquant la porte. Comme je parlais en français avec ma mère, Johann n’avait pas compris.

— Votre mère avait l’air contrariée, si je puis me permettre cette remarque mon maître.

— Tu peux. Elle pense que je suis un inverti. Et elle n’a certainement pas tort. Et toi, es-tu un inverti ?

— Euh… Je ne sais pas, qu’est ce que ça veut dire ?

— C’est un homme qui préfère les fils de paysans aux jeunes comtesses. Tu me comprends ?

— Je ne suis pas sûr.

— Tu as déjà une fiancée ?

— Non, me dit Johann en rougissant.

— Tu as déjà touché une fille ?

— Non, je suis… puceau.

— Plus pour longtemps je pense. Je vais te faire un aveu, je le suis aussi.

Comments

clyso Il ya 8 ans  
mondoi Il ya 8 ans