Florence
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Vues: 644 Created: 2007.10.11 Mis à jour: 2007.10.11

Florence

Chapitre 9

J’AI HORREUR DES LAVEMENTS, ET POURTANT...

© Florence 2002 - flo.kls@free.fr

Lettre d’un clystérophobe à Florence.

Texte rédigé par Florence, inspiré par les confidences de Franki. et publié à sa demande.

Tout soumis inconditionnel que je sois à mon dominateur et malgré ma grande docilité et l’acceptation tacite des durs traitements qu’il me fait subir, je n’arrive pas à intégrer les lavements dans ma totale soumission.

J’en ai une phobie maladive et je les mets au rang de sévices insupportables, les seuls que je ressente ainsi. De lavement, il ne m’a jamais fait grâce d’aucun et les a tous menés à leur terme . Malgré mes cris, mes ruades, mes supplications et mes vaines dérobades. Pourquoi suis-je ainsi ? alors que dans tous les récits de cette rubrique, aucun et aucune ne se plaint d’en ’avoir reçus. Bien au contraire, ils semblent s’en délecter. Pourtant ils ne sont pas tous des soumis par nature.

C’est peut être parce que mon dominateur est un homme d’âge mûr et que je suis du même sexe ? Il s’appelle Jean-Paul et moi, Frank. Il exerce sur moi un ascendant irrésistible qui me fait accepter les tourments et les humiliations qu’il m’inflige, comme une grâce qu’il m’accorde. Pour aussi détestables que soient ses lavements, je revient toujours vers lui comme en manque de son autorité, sachant très bien que je n’échapperai que rarement à l’administration sévères de ses clystères précis et savamment ciblés.

Je n’en ai jamais reçus que de lui. Le premier fut pour moi un vrai supplice dont le cruel souvenir que j’en garde ouvre la liste grise des suivants. Il me les administre lui même, rarement en présence de « voyeurs » dont je redoute le sadisme plus que leur présence. Notamment pour ce qui est d’un couple de ses amis. Près de lui, je suis handicapé par l’angoisse de la crainte d’un lavement dont l’éventualité est toujours latente. Elle devient oppressante à mesure que mes craintes se confirment, paralysante dès que j’en ai la certitude et je tremble de tous mes membres dès que j’en perçois les préparatifs.

Ces préparatifs commencent généralement par l’ouverture d’un rideau qui fait découvrir au fond de son salon, une partie dont le sol est recouvert d’un carrelage d’un jaune tendre. Dans le fond de cette pièce à usage spécialisé, on découvre deux cuvettes de WC placées côte à côte. Une douche sans cuvette dont la grille d’évacuation se trouve au raz du sol, complète cet équipement sanitaire. Sur le mur faïencé d’un vert aussi tendre que le jaune du sol, sont disposés ça et là quelques anneaux dont à mes dépens, j’ai pu connaître l’usage. Au centre se trouve une forte table assez basse et à proximité d’elle, un meuble mobile, en verre au dessus libre et dont à l’intérieur on devine par transparence tout une panoplie de redoutables clystères. On remarque aussi la présence d’un meuble de même nature que le précédent mais haut et étroit et comportant des étagères sur plusieurs niveaux. Le tout baigne dans une lumière tamisée à plusieurs tons multicolores à dominante de rouge.

Cet ensemble est loin d’être lugubre. Il est surtout fonctionnel. Pourtant, je le visualise comme l’antre d’une sorcière. Ce qui m’agresse au premier abord c’est la présence à la vue de chacun des deux cuvettes de WC. J’ai été toujours très pudique et c’est pourtant là que je dois rendre les lavements, dans les meilleurs des cas, quand je ne l’ai pas lâché avant d’y arriver. En aucun cas, dans cette phase finale du lavement je ne peux échapper aux regards du Maître ou des éventuels et, heureusement rares voyeurs qui se délectent de mon humiliation.

La ‘sorcière’ qui hante l’antre de mes tourments ne tarde pas à surgir réellement sur scène comme quand fantastiquement elle apparaît dans mes rêves et mes cauchemars. Il s’agit d’une femme âgée nommée Rosa. Elle est laide boulotte et physiquement forte. Je n’ai jamais su quel rôle elle jouait dans la maison du maître. Elle entre porteuse d’un vaste récipient en verre blanc muni d’un bec verseur et plein du liquide fumant du ou des lavements, car il n’est jamais exclu que n’en reçoive plusieurs dans la même séance.

Déjà, à la couleur et à l’odeur de ce liquide j’essaie d’en juger la teneur en tel ou tel autre produit doux ou agressif. Elle pose ce récipient sur le meuble près de la table et commence à retirer de son intérieur les clystères et autres accessoires dont l’inventaire est loin de me rassurer. Je l’observe attentivement pour avoir une idée de ce qui m’attend. La fois dernière je la vis remplir à raz bords un bock dont je sais que sa contenance normale est de deux litres mais que, plein à raz comme il était, il les dépasse largement. Elle positionna précautionneusement le bock sur la plus haute étagère du meuble étroit, en lova le tuyau et lui emmancha solidement une forte canule dont l’effet sodomisant n’a rien à envier au puissant phallus du Maître quand il lui plaît de m’en faire la faveur. Il arrive qu’elle ajoute à ces préparatifs une ou plusieurs poires de différents volumes qu’elle remplit avec la même conscience, avant de les poser droites et alignées comme un rang de fusées prêtes à la mise à feu. Ce luxe de préparatifs et d’étalage n’augure rien de bon pour moi. J’en ai déjà mal au ventre et suis assailli de frissons qui parcourent furtivement mon corps au mépris de mon esprit qui tente de me conditionner à une docile endurance.

La ‘sorcière’ repart aussi anonymement qu’elle est venue, sans le moindre regard pour moi dont elle sait pourtant tout ce que je vais devoir endurer pour absorber son indigeste breuvage.

Je sais qu’elle va ensuite rester derrière la porte qu’elle aura laissée légèrement entrouverte. Pendant mon plantureux festin elle ne perdra rien de mes profondes manifestations, au niveau sonore desquelles elle jugera avec satisfaction de la bonne efficacité de son amère potion.

Elle n’intervient jamais pendant les séances de domination que m’applique le Maître, sauf ci celui-ci l’appelle à son aide. Cela se produit par exemple quand le lavement ne descend que très lentement du bock pour des raisons d’obstruction de mon circuit intestinal. Il l’appelle et elle accourt aussitôt pour surélever le réservoir au bout de ses longs bras tendus. Je sens alors une forte pression à l’endroit du blocage puis un déferlement torrentiel quand saute le bouchon.

Rosa semble agir dans le plus grand détachement. En réalité elle jouit intensément d’avoir en même temps que le son amplifié de mes lamentations, l’image de mes crispations, de mes ruades et de mes raidissements convulsifs qui témoignent des lancinantes morsures de ce lavement rebelle..

Son intervention terminée, elle repose le bock sur la sellette et, à pas lents, repart vers son poste de guet, avec sa fausse indifférence. Moi je reste. Le maître me maintient d’une main et de l’autre cale bien la canule en bonne place. Le lavement lui, continue...

Elle intervient aussi quand le Maître veut m’infliger un "Mastère". C’est de ce substantif pompeux qu’il qualifie l’odieux bock de trois litres, redoutable pièce maîtresse de sa panoplie.

C’est l’année dernière qu’un jour de déveine pour moi il acheta dans une brocante cette antiquité en tôle émaillée, dite de « collection » et dont il tient à réhabiliter l’usage comme clystère majeur. Hélas, il me fait participer à ces reconstitutions historiques dont je suis loin d’apprécier « l’impact » culturel.

Que ma bonne étoile point ne l’éclaire Et ne lui fasse découvrir chez un antiquaire Ces pièces de médecine héréditaire Que constituent ces clystères d’apothicaires. Ces longs cylindres d’étain pur A la grosse canule de bois dur Qui fustige les culs impurs.

Je le vois lui, en disciple d’Esculape En noire robe et chapeau pointu tenant en main cette arme de frappe, à une fusée toute semblable, armée, membrée, de son obus.

La scène devient noire et lugubre.

Nous sommes dans uns cave obscure. Je suis arc-bouté contre un vieux tonneau, la sorcière nous éclaire d’un piètre flambeau. Elle relève ma chemise et éclaire ma posture, mes fesses cuisent près de la brûlante torche. Le clystère vers elles avance sa pointe, Cherche mon trou sous ma chemise en porche, me transperce et m’ondoie de ferme force.

Je crie et me réveille en sursaut. Ce n’était qu’un mauvais rêve, mais ces images restent et m’obsèdent.

Heureusement, de Mastère il ne fait qu’exceptionnellement usage.

Quand cela se produit, au delà des deux litres habituels, mes coliques deviennent insupportables. Je crie et même hurle de douleur. Ce sont les seules fois ou je suis tenté de m’enfuir de la table pour me précipiter aux toilettes dont l’ouverture béante, loin de symboliser pour moi l’humiliation, est mon refuge salvateur. C’est là, qu’à l’appel du Maître, que Rosa surgit, fonce sur moi et me maîtrise de sa force herculéenne et de sa corpulence tentaculaire. Curieusement, son intervention m’est d’un grand secours car, en m’en privant, elle me soulage de c’est irrésistible envie de retraite précipitée. Il ne me reste plus qu’à subir le cruel « Mastère » jusqu’à sa dernière rincée d’un violent déluge.

Le rideau étant ouvert sur une scène dont je vais être le personnage central et dont j’imagine le sombre scénario, je reste prostré, osant à peine observer le décors, pendant que le Maître se tient debout à quelques mètres de moi. Plus je me rapetisse dans ma prostration, plus il me paraît grand et dominant. Il est souvent vêtu d’un élégant survêtement blanc sous lequel je le sais nu, ce qui facilite parfois ses intentions premières précédent le lavement qui m’attend quoi qu’il en soit.

Il tient toujours dans sa main gauche une fine badine dont il tapote sa main droite. Je suis toujours très impressionné par cette attitude qui me rend inconditionnellement dépendant de lui.

Cette dernière fois j’avais vu la grosse canule prolonger le bock. Ce n’est pas une certitude mais c’est seulement quand ce majestueux objet me nargue, que le Maître à décidé de me sodomiser avant le lavement. La raison en est mécanique, c’est parce que après une sodomie, l’anus du sujet, quel qu’il soit, reste trop dilaté pour recevoir des canules ou des sondes étroites qu’il ne pourra serrer efficacement.

Il ne dit rien mais me dirige à l’aide de sa badine comme le ferait un marionnettiste. Je sais ainsi si je dois m’agenouiller devant lui, faire jaillir son sexe et dans ma bouche l’engloutir entièrement. Dans le même langage du geste, je saurai si je dois interrompre cette fellation dont il exige qu’elle soit de la plus fine qualité, avant qu’il n’éjacule au fond de ma gorge ou si je dois me retourner et lui m’offrir en levrette à un énergique sodomie.

D’ordinaire je prends plaisir à ce genre de contact mais là, la hantise du lavement que je sais devoir recevoir sans rémission, m’interdit toute jouissance pendant cet acte que ma bisexualité m’autorise et dont en toute autre circonstances je tire le plus grand profit. Surtout si avant il m’a savamment rougi les fesses et artistiquement zébré les cuisses et le dos. Il sait que c’est après ces ‘faveurs’ que je suis le plus voluptueusement réceptif à la sodomie. Mais, revenant au cas présent, je souhaite seulement qu’il fasse durer son seul plaisir qui est mon dernier répit avant de franchir le seuil du « non retour ». Quand sur mon anus écartelé je perçois les battements de son éjaculation, c’est pour moi comme si ce lourd battant qui est en moi sonnait la fin de ma quiétude.

C’est encore par un mouvement précis de sa baguette que la non rémission du lavement m’est signifiée. Mon émotion est alors à son comble et je lui adresse d’inutiles regards suppliants auxquels il répond en pliant en arc de cercle la badine et en la faisant siffler dans l’air . A ce signal cinglant, je dois me mettre entièrement nu. Cette nudité accentue ma soumission et offre à son stick une cible tendre et fragile qu’il ne manque pas de cribler si mon comportement pendant la prise du lavement lui déplaît. Punition vraiment inutile car je crains beaucoup plus les morsures des lavements que celle des badines, cravaches, martinet, divers fouets et autres ‘douceurs’ de ce genre.

Je me dirige comme un condamné vers la ‘grotte maudite’ . Je jette en passant un regard malheureux sur les équipements qui m’attendent dans une ironique suffisance. Je prends place, résigné, sur la table de pénitence où Il me guide pour que j’adopte la position qui ce jour là lui agrée et dont je sais pour chacune le genre de désagrément qui fait sa particularité.

Une fois bien en place, le cœur battant, j’attends la pénétration, dernière phase avant le fatidique et douloureux ondoiement.

Curieusement, sous l’emprise de l’émotion, se sens mes testicules vibrer et se resserrer, j’entre en faible érection et ne peux contrôler une modeste éjaculation que le Maître feint de ne pas remarquer, ce dont je lui sais gré. Cette éjaculation ne me procure aucun plaisir et se produit dès que la canule ou la sonde m’investit et s’enfonce en moi. Je sais que c’est là l’acte dernier. Ce forage annonce l’orage. Il peut se déclencher d’un moment à l’autre et, dans un silence angoissant qu’il sait subtilement faire durer, fébrilement j’en attends les premières rincées.

Il ne m’avertit jamais quand il ouvre le robinet du bock ou quand il compresse la poire ou encore enfonce le piston de la seringue, mais je perçois immédiatement l’écoulement exécutoire. C’est chaud ça fuse et se répand comme une source naissante qui va rapidement grossir en un ruisseau impétueux qui va fougueusement creuser son lit dans mon ventre et, sans pitié l’endolorir . S’il utilise une canule courte, dès les premières sensations je me raidis, serre très fort et joue des muscles de mon bas ventre pour aider le liquide à trouver son chemin remontant. Puis j’essaie de me décontracter pour la suite. S’il utilise une sonde profonde la sensation de rejet n’est pas immédiate et je peux passer directement à la phase de décontraction. En aucun cas il ne m’aidera à supporter le traitement qu’il m’inflige stoïquement. Il restera sourd à mes plaintes, mes gémissements, mes cris, mes pleurs, et mes supplications d’arrêter, de m’accorder une pose ou de réduire le débit du lavement

Résultat du stress des préparatifs, je tombe d’un coup dans une profonde tristesse, celle ou je me sens vaincu après un combat contre moi-même, contre mes craintes, mes espoirs de grâce déçus, ma fragilité et mon impuissance à réagir. Il arrive, qu’à bout de nerfs ceux-ci cèdent et que je fonde en larmes, dans un total abandon.

Pendant ce temps, le lavement poursuit son cours sans tenir compte de mon état moral. Je dois rapidement reprendre mes esprits et gérer physiquement la situation. Je suis assailli par les petits tiraillements qui sont habituellement l’annonce d’un besoin naturel qu’il m’est interdit de satisfaire. Rapidement ils s’amplifient en flèche et se transforment en vives coliques dont je dois combattre la violence. Le lavement continue à m’investir, je produis des efforts inouïs pour contenir ce que j’ai déjà pris et la notion de ce qui me reste à prendre m’épouvante. Je commence à me tortiller nerveusement et à geindre péniblement par intermittence. Puis mes gémissements se rapprochent et se font plus rauques dans des halètements qui traduisent les cruelles poussées erratiques que m’inflige le lavement. J’en viens à crier ma douleur, à supplier et à implorer la clémence du Maître.

Il ne tient aucun compte de mon état. Il ne saurait le faire car dans son élément dominateur c’est le but qu’il recherche et il est implicite que dans ma nature de soumis je doive endurer sa fermeté. Tout attendrissement de sa part engendrerait une forme de faiblesse et ce n’est pas ce qu’un soumis peut attendre de son dominateur. Loin de me consoler ou de m’aider, il me rudoie s’il considère que je me plains trop tôt, me menace de punitions dont la plus cruelle consiste à m’infliger un supplément au volume initial du lavement. S’il utilise un bock, d’une main il me maintient la canule bien en place et suit mes contorsions. S’il se sert d’une poire ou d’une seringue, après chacune, quand il la retire vide, je suis dans l’angoissante espérance souvent déçue que celle là soit la dernière.

Je déteste les poires et les seringues. Entre chacune il me faut serrer les fesses pendant leur remplissage, comme en rétention. Puis de nouveau je dois écarter les cuisses me présenter pour recevoir la suivante, ce qui fait perdre le contrôle de la rétention. Il s’en suit une nouvelle pénétration que je doit prendre en serrant au maximum pour ne rien lâcher de ce que je contiens péniblement. Puis, suit une nouvelle injection toujours plus douloureuse que la précédente. Elle me fait perdre mon souffle dans un long cri qui déchire sinistrement l’espace de la pièce.

Cet enchaînement et cette escalade peuvent se répéter de quatre à cinq fois pour un lavement ordinaire. Le pire est quand, entre chacune de ces poires, vraiment d’angoisse , il y a aussi changement de position, et pour certains, mais ce ne fut jamais le cas pour moi, changement de donneur.

Avec un bock je bénéficie parfois d’une réduction du débit due à la baisse de son niveau pendant son écoulement, entraînant ainsi une diminution de la pression du lavement. Avec une poire on ne peut compter sur ce soulagement car si ça force un peu, le Maître n’en compresse que plus fortement le ballon.

La rétention qu’il m’impose après, est aussi douloureuse que le lavement lui-même. Les poussées sont aussi violentes. De tenir dans ces conditions un lavement abondant, est un véritable supplice que j’endure dans la forte sollicitation de mes contractions et dans la panique de ne pouvoir arriver à en maîtriser l’effet mordant.

La délivrance est le seul plaisir que puisse me procurer un lavement. C’est pour moi malgré mon humiliante position, un immense soulagement et aussi une fierté d’avoir pu tenir et prendre jusqu’au bout ce qu’il lui a plu de me donner. C’est certainement la raison pour laquelle, dans une étouffante appréhension, je réponds toujours à son appel.

Je ne sais chère Florence si mon cas mérite ton attention et s’il n’est pas trop audacieux de ma part de vouloir introduire ma lettre dans tes textes. J’ai besoin de savoir si je pourrai un jour guérir de cette phobie maladive et, en matière de lavements, servir mon maître autrement que par la stricte obligation d’obéissance, comme le font les personnages de tes récits.

Ils ont tous eu à faire à une Maîtresse, moi j’ai un Maître. Les maîtresses sont-elles plus douces que les Maîtres ?...

J’ai voulu me livrer à plusieurs expériences et en suis venu à administrer moi-même des lavements à des sujets de mon entourage. Ils se sont tous comportés comme vous le faites vous-mêmes en y prenant un réel plaisir, pourtant, je ne crois pas opérer différemment que Jean-Paul. Je Le l’ai chaque fois avoué à mon Maître. Il ne me l’interdit pas mais en profite pour justifier l’application d’un «Mastère » qu’il prétend devoir m’infliger par punition de principe pour ces incartades. En réalité, il adore m’imposer des « Mastères ». En temps normal, il espace très raisonnablement cette dure discipline. Là, il ne s’en prive pas, ce qui nourrit aussi la sourde satisfaction de Rosa.

Curieusement, ces punitions me confortent dans ces infidélités par le seul fait que j’en paie chèrement le prix fort

Devrais-je m’offrir à d’autres donneurs ou donneuses pour faire la différence ? Je n’ose m’y résoudre, pour lui rester fidèle malgré tout et honorer près de lui mon rôle de receveur soumis devant lequel je ne me suis jamais dérobé .

Amis clystérophiles aidez de vos conseils et votre soutien le piteux clystérophobe que je suis, à pouvoir se soumettre aux clystères avec autant de docilité que j’en montre pour toutes les autres pratiques SM. Je sais que lui aussi aimerait me voir aborder les lavements dans un joyeux consentement plutôt qu’avec une triste résignation.