Le bilan de santé de Cécile se termine mais son futur mari très dominateur et possessif a décidé de contrôler complètement sa sexualité en lui faisant poser des anneaux sur les grandes lèvres de façon à empêcher toute pénétration et un cache clitoris pour éviter les plaisirs solitaires.

Pour cela Cécile est conduite en salle d’opération et attachée solidement en position gynéco et bâillonnée comme le veut la coutume de cet établissement. On commence par réaliser une toilette intime complète et minutieuse.

Comme prévu, je suis donc de retour dans le centre six mois après ma coloscopie, mais cette fois pour vérifier le problème qui avait été détecté lors de mon bilan, c'est-à-dire la présence de sable dans la vessie, pour refaire une série d’examens avec l’urologue.

On m'a prévenue à la prise de rendez-vous qu’il fallait que je m’attende à être là au moins deux jours peut-être trois.

J’ai donc posé un vendredi de RTT et je me présente comme convenu le jeudi soir au centre après ma journée de travail. Je suis comme d’habitude très bien accueillie par le personnel, je remplis et signe quelques papiers.

Je suis conduite dans ma chambre et je dois me déshabiller complètement et attendre l'arrivée d’une aide-soignante qui, comme a l’accoutumée, m’équipe de bracelets aux poignets et aux chevilles qui servent à immobiliser lors des examens, ainsi que d’un collier.

Je reste quelque temps dans ma chambre entièrement nue avant que l’on vienne me chercher pour la machine à laver. Je pensais échapper à cette épreuve vu l’heure tardive de mon arrivée, mais non.

Je suis donc emmenée dans cette salle et comme à chaque fois attachée debout les jambes bien écartées et les bras tendus vers le haut. Ensuite c’est toujours le même scénario, l’eau et le savon qui sont pulvérisés, ensuite on vient me frotter et rinçage avant la soufflerie pour me sécher.

À la sortie de mon lavage on n’informe que depuis ma venue il y a un nouveau protocole, avant de voir l’urologue je dois passer une visite avec un médecin généraliste, afin qu’il s’assure que je n’ai pas de contre-indication. Je me retrouve donc en chemise d’hôpital dans une petite salle d’attente afin de rencontrer le docteur Véronique l’Huiller que je ne connais pas encore.

L’attente fut assez courte. Je suis invitée à entrer dans son cabinet et je suis tout de suite installée sur la table de soin. Elle est accompagnée par deux jeunes filles qui sont en école d’infirmière et qui sont en stage.

Après un petit interrogatoire sur mon état de santé, la médecin ordonne à une stagiaire de me prendre ma tension et à l’autre ma température. Je me retrouve donc avec un thermomètre dans le derrière et le brassard de la tension. Tout va bien de ce côté, ma température est correcte. La doctoresse décide ensuite de pratiquer un toucher rectal, elle s’installe entre mes jambes, lubrifie ses gants et commence à me masser l’anus pour rentrer, mais je ne suis pas allée à la selle aujourd’hui et me trouve chargée. Elle m’injecte donc un puisant laxatif en gel que je dois garder le plus longtemps possible, le tout sous l’œil des stagiaires

Quelques minutes après, je suis donc en train de me vider, toujours en position gynécologique, sous l’effet d’un puissant laxatif qui doit être prescrit à mon avis pour la constipation chez l’éléphant, vu l’effet qu’il a sur moi.

Les deux stagiaires me font ensuite une toilette intime avant de me reconduire dans ma chambre pour passer la nuit. Un peu plus tard une aide-soignante vient m’apporte mon plateau repas.

Le lendemain matin je fus réveillée de bonne heure par une infirmière qui vient me faire une prise de sang et recueillir mes urines du matin.

Quelque temps après en guise de petit déjeuner j’ai seulement droit à boire 2 litre d’eau.

En moins d une heure : drôle de petit- déjeuner auquel je ne suis pas habituée. Bon enfin bref j’arrive tant bien que mal à avaler toute la bouteille. Je suis ensuite conduite chez l’urologue et installée toute de suite sur la table d’examen et l’on me précise bien que je ne de dois pas avoir de fuites comme d’habitude solidement attachée le médecin me pose toute une série de questions et commence à me palper la vessie qui est de plus en plus pleine. Cela devient pénible, ensuite il me fait une échographie. C’est très désagréable car il appuie en continu sur la vessie mais ça ne dure pas très longtemps.

Puis je fus détachée pour être installée sur un fauteuil spécial destiné à faire un bilan uro-dynamique.

Le médecin me demande de faire pipi normalement sur le fauteuil qui est bourré de capteurs. Ceci lui permet de contrôler la quantité d'urine évacuée ainsi que le débit. Ce fut un vrai soulagement pour moi de pouvoir enfin vider ma vessie.

Je suis ensuite reconduite dans ma chambre afin de pouvoir continuer tranquillement à éliminer toute cette eau avalée avant.

A mon retour dans ma chambre il y a une jeune colocataire qui vient d’arriver.

Pour elle c’est son premier passage ici et elle aussi va être attachée pendant tous ses examens mais contrairement à moi elle ne l'a pas choisi. C’est sa belle-famille qui l'a inscrite ici afin de vérifier son état avant son mariage.

Mais peu de temps pour discuter, elle part pour sa toilette et sa visite d’admission.

Après le repas le repas du midi je retourne chez urologue.

Je suis ré-attachée en position gynéco cette fois. Les examens sont un peu plus pénibles. Tout d’abord on m’introduit une sonde urinaire dans l’urètre pour vider celle-ci complètement. L’introduction est un peu douloureuse mais dès que j’entends l’urine couler dans une bassine la douleur diminue d’intensité mais ce n’est que pour un court moment car pour l’examen d’après ma vessie doit être vide. Pour vérifier l’infirmière bouge la sonde et à chaque mouvement des picotements apparaissent.

Ensuite l’urologue introduit un fibroscope. C’est une camera miniature. Ce n’est pas très agréable mais supportable. Je peu suivre la progression en direct et sens la camera bouger en moi. Cette fois je n’ai plus de dépôt ce qui est une bonne nouvelle.

Par contre à la fin de cet examen on m’annonce que j’ai mes sprinklers urinaires légèrement détendus et que si on ne fait rien je risque d’avoir des fuites urinaires dans le futur. Il faudrait me remusculcler le plancher pelvien et pour cela il me faut des séances d’électrostimulation.

Pendant ce temps Cécile ma jeune colocataire qui est la pour un contrôle technique avant sont mariage passe sa visite d admissions sans être ménager surtout que visiblement elle n’est pas trop coopérant mademoiselle na pas voulu se mette nue pour la visite d’admission les infirmières on du faire appel a la sécurité pour la maitriser et l attachée dans la machine à laver. A la sortie elle fut installer de force en position gynécologique bâillonnée et les yeux bande mais même dans cette position très inconfortable aucun signe de bonne volonté de sa part ; les infirmières relève les mensurations qu’elles peuvent et arrive tant bien que mal à faire ce qu’elles mon fait lors de ma propre visite admission c'est-à-dire un prélèvement de selles et une prise de sang

Le médecin en charge des visite d admissions essaye temps bien que mal de continue son examen mais il lui est pour lui impossible de prendre une tension correcte ou encore d’écouter le cœur celui-ci décide donc de la renvoyé dans sa chambre en espérant qu’après le repas Cécile soit devenu plus conciliante mais c’est peine perdu lorsque l’infirmière dépose le plateau repas de Cécile celle-ci le fit valdinguer d’un revers de main digne d’un grand joueur de tennis

Quand a moi a cette heure je devais normalement quitte cet établissement car ma série d’examen du système urinaire est terminer mais comme il a été détecte ce petit problème de sprinkler on me propose soit de partir comme prévu et de prendre rdv si je le souhaite pour faire des séance de rééducation ou bien de rester cet après midi et demain matin pour commencer la rééducation et de venir la finir selon mon emploie du temps a venir en venant juste pour la séance .

Je choisi donc de rester et de commencer cette rééducation

Je suis donc conduite dans le cabinet d’une sage femme qui est très gentille et très accueillante, je retrouve ici les deux stagiaires qui étaient présente lors de ma visite d’admission de jeudi soir.

Des mon arrive la sage femme me pose une question qui me surprend, elle me demande si j’ai changé d’avis pour la soumission car je peu refuser puisque ceci n’est pas un examen mais un soin, ma repose est non j’ai bien ce jeu de soumision donc je continu

Elle m’invite à passer dans la salle a cote et à me dévêtir

Je dois donc me mettre debout au centre de la pièce devant la sage femme qui m’accroche les mains au plafond et me place une barre d’écartement aux chevilles.

La sage femme tout en mettant ces gant n’explique qu’elle va commencer par une rééducation manuelle du périnée puis une elle va me mettre une sonde de stimulation électrique dans le vagin tout en m’expliquant sa elle introduit délicatement 2 doigt puis m’indique d’essayer de contracter plus le devant ou derrière a gauche ou a droite cela fait très bizarre d essayer de ce contracter sur les doigts de cette jeune femme