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Vues: 896 Created: 2008.02.11 Mis à jour: 2008.02.11

L'école de puériculture

Chapitre 5

Ainsi, pendant plusieurs semaines nous pistons ses allées et venues, nous parvenons grâce à Lisa dont le père est serrurier à obtenir un pass pour rentrer dans la maison de notre professeur et nous décidons de pénétrer chez elle dès le samedi suivant, pendant qu'elle profitera du car pour faire des courses à Limoges. C'est Emilie et moi qui somment désignées pour cette mission, les autres donnant le change en se rendant à Limoges en portant les fameuses "couches tissus" que continue à nous fournir mademoiselle Smith.

Le samedi matin, le car parti, nous entrons sans difficultés dans la maison de notre professeur et nous décidons de nous attaquer dans un premier temps aux très nombreux albums photos du salon. Nous ne savons pas exactement quoi chercher, mais notre but est de découvrir des éléments pouvant nous permettre de faire chanter cette femme perverse.

Nous découvrons des photos classées par thèmes, beaucoup présentant des jeunes filles habillées en écolières et en couche-culotte, mais aussi des filles attachées et langées de force, beaucoup de photos prises dans la rue de jeune filles portant des couches sous leur jupe ou leur pantalon. Dans le deuxième rayonnage, nous trouvons des photos de jeunes africaines, puis ensuite de petites asiatiques qui paraissent particulièrement jeunes. Nous avons déjà vu des centaines de clichés, mais rien encore qui nous intéresse dans notre recherche.

Les albums terminés, nous descendons à la cave où nous savons trouver la collection de casettes vidéo. Je commence à les visionner sur la télé pendant qu'Emilie s'attaque à l'ordinateur portable qui se trouve dans la pièce d'à côté. Je découvre des vidéos que j'identifie aisément car elles ont été tournées dans l'école à l'occasion de l'intégration. Je découvre ainsi des vidéos d'élèves actuellement en troisième année et se trouvant donc encore à l'école. Les cassettes sont classées par années, et je visionne donc en accéléré les quinze dernières années. Sur la dernière cassette, je suis stupéfaite de découvrir que l'une des anciennes en train de mettre une couche à une nouvelle étudiante n'est autre que mademoiselle Smith elle-même ! Elle est parfaitement reconnaissable. Elle aurait donc été élève à l'école avant d'en devenir une des professeur. J'appelle Emilie qui se trouve dans la pièce d'à côté pour lui montrer ma découverte. Elle est aussi surprise que moi et m'indique qu'elle a découvert elle aussi beaucoup de photos et de vidéos dans l'ordinateur, documents semblant être le fruit des envois des correspondants étrangers de mademoiselle Smith.

L'heure tournant, nous décidons de quitter la maison en nous promettant de revenir à nouveau.

Le soir, après que les infirmières nous aient changé notre couche, nous nous retrouvons toutes les six dans la chambre d'Emilie. Nous faisons part de notre découverte aux autres filles. Nous estimons qu'il est raisonnable de penser que mademoiselle Smith a elle aussi subi l'intégration "maison" et qu'il doit bien exister des photos ou des vidéos d'elle en couches, reste maintenant à savoir si elle en conserve chez elle. Il nous faut retourner à son domicile jusqu'à ce que nous trouvions quelque chose. Ces sont Blanche et Lisa qui iront à leur tour samedi prochain chez mademoiselle Smith pour faire un roulement.

Le jour J, nous prenons le car avec notre professeur pendant que Blanche et Lisa rentre dans la maison. Elles se dirigent directement vers la cave pour reprendre notre travail de fourmis.

Quelques minutes plus tard, des bruits de pas venant de l'escalier remontant à la maison les alertes, il y a quelqu'un qui descend à la cave. Il n'y a pas d'autres issues, les deux jeunes filles sont coincées. La porte s'ouvre sur quatre femmes entre trente et quarante ans que ni Blanche, ni Lisa ne connaissent. L'une d'elle :

- Tiens tiens, que font ces deux petites filles dans un endroit où elles ne devraient pas se trouver toutes seules ? La curiosité est un bien vilain défaut et nous allons devoir vous punir.

Les deux filles sont entraînées par ces femmes dans la pièce principale de la cave où se trouve le lit double. Elles sont prestement déshabillées, et sont maintenant debout devant ces quatre femmes ne portant plus que leur couche.

Blanche est rapidement attachée sur une chaise, pieds et mains liées, puis un bâillon boule rouge est rapidement mis en place, empêchant la moindre parole. Lisa est quant à elle attachée sur le lit, jambes et bras écartés, le même bâillon lui barre le visage. L'une des femmes lui enlève sa couche restée propre. La découvrant maintenant entièrement nue, elle la complimente :

- Tu es très jolie ma chérie, tu me plais beaucoup.

A ces mots la femme se déshabille à son tour sous les regards incrédules de Lisa et Blanche, puis elle s'allonge sur la pauvre Lisa. Cette femme lui lèche rapidement les seins pendant que sa main droite fouille avidement le sexe de l'infortunée jeune fille. Lisa se débat et cris en vain, seuls des murmures étouffés sortent de son bâillon. Après de longue minutes le bâillon de Lisa est retiré, la femme se met en position de 69 et, positionnant son sexe sur le visage de Lisa, commence de son côté à lécher avidement entrejambe de la jeune fille. Lisa essaie d'échapper à l'emprise de cette femme en remuant sa tête mais en vain. Pendant ce temps et sans que les deux infortunées jeunes filles ne le remarque, une autre des femmes s'est déshabillée à son tour et elle enfile un instrument bizarre qui se révèle être un godemiché ceinture.

La première femme rassasiée se retire et remet le bâillon de Lisa qui voit horrifiée s'avancer la deuxième femme. Elle s'allonge sur elle et le godemiché trouve rapidement l'entrée du vagin de la pauvre Lisa. Celle ci pleure maintenant à chaude larmes pendant que le godemiché s'enfonce en elle à chaque coup de reins de la femme. Le calvaire dure quinze bonnes minutes.

La femme se retire enfin et la première revient vers Lisa avec une couche-culotte et une couche droite. Elle positionne les deux couches sous les fesses de Lisa, mais ne referme pas la couche culotte immédiatement. Elle prend une boîte et en sort des boules de geisha. Il s'agit de deux boules rouges reliées entre-elles par un fil qui s'entrechoquent dans le vagin et qui provoque des sensations intenses à celle qui les utilise. Sachant son vagin très sensible suite au viol prolongé par le godemiché, Lisa réalise qu'elle va horriblement souffrir. Elle ne peut cependant rien faire et les boules sont rapidement introduites au fond de son vagin, puis la couche est refermée. Elle est finalement détachée du lit et attachée sur une chaise comme Blanche. C'est maintenant au tour de cette dernière de subir le même sort part les deux autres femmes qui la regardent avec appétit. La journée se poursuit ainsi par toutes sortes de jeux lesbiens qui ne laissent aucun répit aux deux jeunes filles.

Le soir venu, les filles qui se sont rendues à Limoges sont surprises de ne pas retrouver Lisa et Blanche. Le dîner est servi sans que les deux filles ne réapparaissent et le soir ce sont les deux infirmières qui viennent changer les couches des quatre autres filles maintenant très inquiètes. Elles leur disent cependant qu'elles sont toutes les quatre attendues demain-matin au domicile de mademoiselle Smith. A ces mots, les filles comprennent que Lisa et Blanche ont été découvertes.

Le lendemain-matin elles sont accueillies par mademoiselle Smith dans son salon. Elles découvrent les quatre autres femmes présentent depuis la veille. Celles ci sans un mot s'approchent des quatre jeunes filles et leur mettent un bâillon boule puis leur attachent les mains dans le dos, direction la cave. Dans la grande pièce, les autres jeunes filles découvrent finalement Blanche et Lisa bâillonnées comme elles et attachées chacune à une extrémité de lit, allongées, les jambes relevées et attachées au plafond. Leurs fesses se touchent, mais les nouvelles venues ne comprennent pas immédiatement pourquoi les deux filles se trémoussent et gémissent.

Elles découvrent finalement un godemiché double de couleur rose dont une petite partie apparaît entre les deux sexes des infortunées jeunes filles, violées par ce god et qui, cruellement se violent mutuellement à chacun de leurs mouvements. Les filles sont reparties dans les différentes pièces pour une journée qu'elles ne sont pas prêtes d'oublier.

La dimanche suivant, Blanche et moi sommes à nouveau conviées chez Mademoiselle Smith. Nous retrouvons avec elle deux des quatre femmes de la semaine précédente.

Mademoiselle Smith est persuadée que nous sommes à l'origine de la rebellion des filles en couches et elle entend bien nous le faire payer. Nous sommes rapidement entraînées dans la cave. Nous sommes rapidement entièrement déshabillées, puis les mains attachées en l'air au plafond de la pièce.

Mademoiselle Smith se glisse derrière Blanche et commence à lui caresser les fesses et la poitrine. Elle passe une main entre ses jambes pour atteindre son sexe. Blanche serre instinctivement les cuisses mais mademoiselle Smith lui fait immédiatement écarter en menaçant de lui administrer une fessée.

Toujours derrière Blanche, mademoiselle Smith la maintient contre elle de la main gauche posée sur sa poitrine tout en la masturbant de la main droite.

Blanche, jambes écartées, gémit de plus en plus. J'observe la scène, impuissante, lorsque l'une des deux femmes se glisse derrière moi également et entreprend de me masturber. La pièce résonne maintenant aux sons de nos plaintes et gémissements.

Nous sommes ensuite détachées du plafond, puis je suis attachée sur le lit, allongée et les jambes maintenues attachées au plafond. Mademoiselle Smith sort le double godemiché rose et je comprends qu'elle veut installer Blanche en face de moi. Blanche le comprend aussi et tente de se débattre pendant que les femmes la force à s'allonger sur le lit. Pendant que Blanche se débat, l'une des femmes m'introduit l'une des deux extrémitées du god dans le vagin. Blanche est maintenant immobilisée et la femme n'a aucun mal à courber légèrement le god pour pouvoir le présenter devant le sexe de ma petite soeur. L'autre extrémité pénètre maintenant la pauvre Blanche.

- C'est vraiment mignon de voir ces deux sœurs si heureuses d'être ensembles ainsi, dit mademoiselle Smith, laissons les se donner du plaisir maintenant.

Les femmes quittent la pièce.

Le soir, de retour dans ma chambre nous savons que nous resterons en couches définitivement jusqu'à la fin de nos études et que d'ici là nous continuerons à alimenter les albums et la vidéothèque de cette perverse de mademoiselle Smith.

Fin