Le père de Léa commençait à se sentir vraiment mal à l'aise, en même temps il était content que sa fille lui ait demandé de rester, elle semblait avoir toute confiance en lui. Le médecin était parti se laver les mains et Léa se déshabillait au fond de la salle, tournant le regard, son père la vit de dos. Ses fesses étaient nues, blanches, pas grosses mais assez charnues, pulpeuses pour ainsi dire, très jolies en tout cas. Le médecin revint et demanda à Léa de s'installer sur une table d'examen qui comportait des étriers, comme en gynécologie. La table était orientée vers le fond de la salle son père ne pouvait donc rien voir, et de toutes manières, il s'efforçait de détourner le regard.

Le médecin remonta les étriers et posa les pieds de Léa dedans de manière à bien dégager son anus.

- As-tu mal à l'anus Léa ? Demanda le docteur.

- Oui, un peu répondit-elle timidement.

- La douleur augmente quand tu pousse pour te soulager ?

- Oui j'ai des sortes de crampes, et la sensation que je n'arrive pas à assez ouvrir mon anus.

Il enfila un gant.

- Je vais palper ton anus et effectuer un toucher rectal.

Il commença par appuyer longuement sur les bords, puis glissa deux doigts dans l'anus de la jeune fille. Ça lui faisait un peu mal et elle grimaçait.

- C'est trop tendu, pas assez souple en effet Léa. Je vais te demander un petit exercice. Pousse comme pour aller aux toilettes.

La jeune fille s'exécuta à contre cœur. Deux longs pets sortirent. Le médecin continuait de palper son anus pendant qu'elle poussait.

- Il n'y a pas grand-chose mais cela t'empêche d'évacuer correctement, déclara-t-il. On va évacuer les matières, puis je te donnerai un gel spécial à appliquer pendant une semaine.

Il appela alors l'interne qui avait fait passer l'échographie et lui expliqua de s'arranger pour soulager Léa sans utiliser de lavement, il conseilla de procéder avec une technique souvent utilisée avec les patients paralysés et qui consiste à stimuler le rectum. Lui ayant d'autres consultations, il devait retourner dans son bureau.

Léa était soulagée de le voir partir, elle le trouvait un peu trop brusque dans ses mouvements.

L'interne lui expliqua la procédure :

- Ça va être un peu gênant Léa mais je vais devoir t'aider. J'installe un bassin sous tes fesses et tu vas pousser en position allongée, en gardant les pieds dans les étriers, pendant que je te stimulerai le rectum.

Léa qui avait vraiment de plus en plus mal au ventre se laissa convaincre. Regardant son gros ventre ballonné l'interne se dit qu'elle aurait bien besoin d'un massage. Il commença à masser le ventre rond de ses grandes mains chaudes. Cela faisait beaucoup de bien à Léa et lui permettait d'évacuer des gaz. Elle poussait légèrement quand elle sentait venir un pet et l'interne voyait son anus se contracter puis légèrement s'entrouvrir. La poussée faisait également s'ouvrir un peu plus les lèvres de son sexe et on voyait nettement l'entrée rose de son vagin. Quand l'interne arrêta, elle fut prise d'une grande crampe et grimaça.

- Mmmh, je ne peux pas te masser le ventre et en même temps stimuler ton anus Léa, dit-il d'un air embarrassé.

La jeune fille avait vraiment trop mal.

- Papa, tu peux me masser le ventre ? Demanda-t-elle.

Le père surprit ne vint pas tout de suite, tout gêné qu'il était. Il finit cependant par s'approcher sur la demande réitérée de sa fille.

Il posa ses mains sur le gros ventre de sa fille et commença à le masser doucement, en se gardant bien de regarder de manière trop insistante sur son entrejambe, il ne pouvait cependant s'empêcher de voir le début de sa fente et de son joli pubis brun. Il sentait beaucoup d'air se déplacer dans le ventre de sa fille et s'attardait parfois sur son joli nombril ressorti. Ses doigts appuyaient fortement sur le ventre tendu tout en en se déplaçant. Parfois il s’attardait sur son bas-ventre, surtout dans la zone droite qui était franchement dure au toucher. Quand une violente crampe faisait gémir Léa, il cessait d'appuyer et du plat de la main couvrait tout le ventre de sa fille en caressant doucement.

L'interne s'enduisit les doigts d'un produit lubrifiant et examina l'anus de la jeune fille. Son trou était entrouvert depuis l'examen du gastro-entérologue. Il glissa aisément deux doigts et commença à masser à l'intérieur. Il retira manuellement deux petites boules de matières très dures et sèches et les fit tomber dans le bassin.

- Léa il faut que tu pousse fort maintenant, pour que le reste vienne. Je vais aider en même temps.

La jeune fille s’exécuta, son père sentait le ventre se crisper sous ses doigts. Malgré le massage rectal, la jeune fille avait beaucoup de difficultés à évacuer.

L'interne partit alors chercher une petite poire à lavement. Il revint, et pendant qu'il remplissait la poire, il demanda au père de Léa de disposer une serviette sous les fesses de sa fille pour absorber l'eau qui risquait de s'échapper lors du retrait de la poire. Léa, n'y prêtant pas attention, continuait de pousser, ayant la sensation, due au massage, qu'un étron semblait près de sortir. En plaçant la serviette le père père de Léa ne pouvait éviter de voir toute l'anatomie intime de sa fille. Les lèvres de son beau sexe rose étaient grandes ouvertes, son clitoris était nettement visible, et son anus, en partie béant, se crispait et se relâchait en fonction de son effort de poussée. Cette vision le troubla énormément.

Léa qui avait perdu toute notion de pudeur dans son état de douleur s'écria presque :

- Appui sur le bord de mon trou, je n'arrive pas à faire sortir.

Il s'exécuta en posant délicatement son doigt au bord de l'anus et un morceau sec de matière sorti du petit trou béant. Suivit un gros pet qu'il sentit glisser entre ses doigts.

L'interne avait fini de préparer la poire, il en inséra la canule dans l'anus de la jeune fille et propulsa le liquide dans le rectum. Le père de Léa reprit le massage du ventre. La jeune fille garda le lavement quelques minutes, puis l'expulsa. Son père, qui regardait par petit coups d'oeil les fesses de sa fille, vit le jet d'eau sortir du trou qui se contractait. Puis le trou s'élargit et un gros étron se présenta. L'interne commença alors à masser les bords de l'anus de Léa, et au prix de beaucoup d'efforts, elle parvint à faire sortir cet énorme masse. Son anus était alors très dilaté et douloureux. L'interne lui appliqua donc une crème, tandis qu'elle évacuait beaucoup de gaz, et que son ventre se détendait peu à peu.

Après une douche prise à la clinique, Léa se rhabilla et sortit avec son père, une ordonnance dans la poche. Une fois dans la voiture elle s'endormit, épuisée par les efforts fournis.