Vues: 461 Created: 2011.05.26 Mis à jour: 2011.05.26

Les bonheurs de Sophie

Chapitre 2

Tom embrassa tendrement son amie sur la bouche, puis il la prit doucement par l’épaule et la conduisit à la chambre. Là, il se plaça derrière elle et lui fit de petits bisous sur la nuque, le cou, le haut du dos et avec ses bras il enlaça Sophie de telle sorte que ses avants bras rehaussent sa poitrine comme un soutien gorge à armature pour mettre en valeur sa poitrine. Sophie ne disait rien, elle semblait apprécier son souffle dans ses cheveux et préférait lui laisser le choix des opérations.

Notre photographe émérite contourna Sophie, lui prit la main et comme dans un mouvement de danse lui fit faire demi tour pour se retrouver face à elle. Là, il déboutonna soigneusement les boutons de son chemisier, découvrit ses épaules et dégrafa la ceinture de son pantalon qu’il fit glisser le long des jambes, débarrassa les pieds des chaussures qui faisaient obstacle et l’ôta complètement.

- « Termine si tu veux bien, je vais m’alléger de mon côté, je te chargerai ensuite d’une mission de confiance. »

Sophie était superbe, une poitrine moyenne, des hanches bien proportionnées et surtout une cambrure des reins remarquable qui faisait ressortir son fessier rebondi et son ventre admirablement plat. Est-ce l’émotion ou l’inexpérience, toujours est-il que Sophie semblait hésitante et comme parcouru de frissons.

Tom suivait le déroulement des opérations avec attention. Comment savoir quelle était l’expérience de la jeune fille ? Il ne pouvait tout de même pas la questionner pour savoir si elle faisait l’amour régulièrement, avec des partenaires différents, si elle prenait la pilule... etc. Toutes ces questions auraient pu la bloquer. Il ne fallait en aucun cas rompre la magie de l’instant.

- « Tiens, voilà ton travail à présent » dit Tom en tendant un préservatif à Sophie à présent toute nue. « Tu vas l’enfiler toi même sur mon pénis, tu pourras ainsi faire connaissance avec lui, il est gentil, un peu raide déjà mais il n’attend que caresses de ta part. »

Cette occupation débloqua partiellement Sophie qui s’appliqua à enfiler le condom sur la verge grandement déployée comme on déroule un étui sur un parapluie pour en prendre bien soin, elle eut même l’initiative de déposer deux petits bisous sur les testicules ce qui accentua leur rétractation à la manière du train d’atterrissage d’un avion au décollage.

Tom entraina Sophie dans le lit et se mit à la caresser doucement avec la pulpe des doigts, sur le dos, les reins, sur les seins, le ventre, les cuisses et les fesses. Après un instant d’hésitation, Tom entreprit de caresser la vulve et les petites lèvres, doucement d’abord, puis avec audace ensuite. Tout se passait parfaitement, Tom s’hasarda alors à poursuivre ses effleurements sur la face cachée en remontant la fente dans sa grande longueur et en s’arrêtant un peu sur le petit cratère au centre de la lune. La réaction fut immédiate, Sophie se raidit et refusa la caresse.

- Non, pas là, je ne veux pas !

Bon, se dit Tom, voilà ce que je craignais, la miss est un peu coincée entre les fesses, il faudra de la patience et de l’entrainement, en attendant ce n’est pas aujourd’hui que je vais lui donner un lavement. La pauvre fille partirait en courant ! Mais prenons les choses avec philosophie, elle est disposée à la première étape, soyons positif.

- « Es-tu prête à l’intromission ? » demanda Tom toujours soucieux de l’accord de ses partenaires.

- « Viens » dit-elle en écartant les jambes, « prends moi ».

Tom se coucha sur Sophie et lentement mais fermement il la pénétra.

- « Alors ma belle, sent-tu l’effet de mon révélateur dans ton châssis ? Est-il nécessaire de pratiquer un bain d’arrêt ou de fixer de suite cette exposition ? Faut-il agiter un peu le réceptacle et le réchauffer pour faire monter l’image du plaisir ? J’aime quand il faut insister sur le temps de pause, réduire le diaphragme et écarter les marges de la zone sensible. Dis moi si l’épreuve te plait, s’il faut prolonger l’immersion, détourer la silhouette avec les doigts en étendant le contact à d’autres parties non visibles, faire baisser la température par un petit glaçon ou encore noyer la solution par un gel lubrifiant, un souffle chaleureux ou une action vigoureuse. ».

Pendant cette action et ces commentaires, Sophie se tortillait dans tous les sens. On aurait dit qu’elle refusait de se laisser aller, de s’abandonner au plaisir comme si l’acceptation de l’acte avait été trop rapide, pas assez négociée et finalement ressentie avec culpabilité. A trop solliciter un accord explicite, on risque de provoquer des remords. Il est des enchainements qui, parfois, ont besoin d’être vécus étalés dans le temps et pas toujours dans la foulée bien que restant dans la logique de l’acte.

- « Et bien, chérie, tu n’as pas l’air d’apprécier ? Es-ce que je te fais mal ? »

- « Oui, ce doit être ça, tu me pénètre trop profondément, je n’ai pas l’habitude d’un pénis comme le tiens. »

- « Oh, mais je n’ai rien d’exceptionnel, tu sais, c’est peut être un problème de position, attends, je vais placer le traversin sous tes reins, ainsi, mieux cambrée ton vagin sera mieux déployé et tu devrais être plus à l’aise. »

Sans attendre de réponse, Tom glissa un coussin sous les lombaires de sa dulcinée et repris sa besogne avec application. Dans cette position, Sophie ne pouvait plus bouger, son bassin était renversé en arrière et son ventre comprimé par le poids (heureusement léger) de son compagnon. C’est là qu’un incident fortuit ouvrit de nouvelles perspectives à Tom. En effet, les mouvements de va et viens avaient pour conséquence d’écraser l’abdomen de Sophie et par inadvertance et peut être aussi parce que cette dernière se décontractait enfin, on entendit de timides prout prout ! La belle se laissait aller et petouyait allègrement ! Tom comprit immédiatement le bénéfice qu’il pouvait retirer de cette échappée. Il prit hypocritement un ton offusqué :

- « Et bien, ma chère, on se soulage ? Un peu de retenue que diable, on n’est pas dans un concours de pets à l’internat ! »

Sophie était toute rouge et se sentait déshonorée : péter sous l’assaut de son amant qui avait l’air d’être offusqué la mettait dans tous ses états d’autant que Tom ne ralentissait pas pour autant son ouvrage et s’efforçait en réalité d’appuyer au maximum sur son ventre pour en extirper les dernières bulles d’air qu’il pourrait encore contenir. Placée comme elle était, les jambes en croix, les reins en l’air et le ventre plaqué en arrière, elle ne pouvait rien faire. La pauvre fille due attendre honteusement que ses boyaux éjectent les derniers gaz qu’ils contenaient.

- « Je constate ma belle que tu aimes à te soulager dans l’action, ce n’est pas grave finalement mais le fond du problème c’est que si tu pètes c’est que tu as des gaz, n’est-tu pas constipée par hasard ? »

- « Je ne crois pas » répondit Sophie réconfortée de voir que son compagnon ne prenait pas la chose au tragique.

- « C’est très simple, depuis combien de jours n’es-tu pas allée à la selle ? »

- « Je sais pas, deux jours peut être ».

- « Et bien voilà, ne cherche pas plus loin, à ton âge tu devrais y aller matin et soir. D’après le Dr Kousmine spécialiste des intestins, tu devrais « faire « une saucisse de 15 à 20 cm » deux fois par jour. »

- « Tant que ça ? » Répondit Sophie incrédule.

- « Oui, ma mie et ainsi, tu n’aurais plus de ballonnements, de problèmes digestif, d’allergie alimentaire et tu préserverais ton capital santé.

Bien sûr, à cet instant, Tom aurait rêvé proposer un bon et copieux lavement mais son intuition et la réticence de Sophie à ses caresses anales lui conseillèrent de trouver une solution plus simple. Un traitement purgatif vigoureux aurait l’avantage d’être facile à faire avaler (à la fois au sens propre et figuré) et son effet libérateur et inéluctable serait différé dans le temps.

- « Je te propose un petit laxatif pour tout remettre dans l’ordre. Si tu suis mon conseil, dans trois jours tu n’entendras plus aucun gargouillis dans ton ventre et les passages aux toilettes seront ultra rapides. »

- « Que faut-il donc faire ?» demanda Sophie un peu inquiète.

Tom se leva, passa à la salle de bain et revint avec un verre d’eau, un sachet de poudre pharmaceutique et une boite de comprimés.

- « Tiens, voilà, je dissous ce sachet de sulfate de sodium, tu le bois d’un trait, ça c’est pour réamorcer le transit et en même temps, tu avales ces deux comprimés à libération prolongé. Ils contiennent du séné, c’est un produit naturel destiné à stimuler les mouvements des intestins. Dès demain tu seras soulagée ».

- « ça ne risque vraiment rien ? «

- « Penses-tu, mes grands parents utilisaient des purges une fois par mois, et ils se portaient fort bien ».

Que voulez-vous que Sophie fit ? Elle avait été gênée d’avoir manquée de maitrise, elle avait demandé conseil, on lui avait donné une solution (à boire !), refuser aurait été mal élevé. Elle but.

Constatant que des traces de poudre restaient au fond du verre, Tom rajouta un peu d’eau et agita le tout avec une petite culière pour s’assurer qu’elle profite au maximum de sa médication.

- « As-tu une chemise de nuit ou un pyjama ? Je n’ai rien amené. »

- « Tu sais ma belle, j’aime bien que mes amazones dorment nues mais si tu as froid, voilà un tee shirt XL, seules tes fesses risquent d’attraper un rhume ! D’ailleurs, j’en ai assez de te voir en pantalons, si tu veux bien demain nous irons en ville, j’aimerai t’offrir une jupe pour mettre tes jambes en valeur et des dessous bien adaptés pour que tes fesses puissent respirer. Ce serait dommage que de longs séjours de confinement flétrissent un fessier aussi tonique. »

Et Tom embrassa le derrière joufflue de son amie en guise de bonne nuit.