Voici un nouvel épisode un peu plus court, car j'étais assez occupé ces deux jours-ci.

Après s'être occupé de ranger le matériel et changer mes draps, Diane revint dans la chambre et m'annonça que je pouvais me rhabiller si je voulais.

-Élisa. Toi, tu vas porter cette tenue, comme ça tu seras prête à passer en salle d'opération pour ta coloscopie.

Elle lui tendit une sorte de chemise ouverte qui laissait visibles le dos et les fesses de la personne qui la portait.

-Ok, maintenant, prends ces cachets.

L'infirmière lui donna deux comprimés et un gobelet d'eau.

-C'est pour que tu t'endormes, expliqua-t-elle.

Élisa les prit, puis avala le tout, avant de poser le gobelet vide sur sa table de chevet. Diane allongea la jeune fille dans son lit, et cinq minutes après, elle dormait comme un bébé. Je ne pensais pas que ça agissait aussi rapidement.

Mais Diane ne s'arrêta pas là : elle glissa une main sous le dos d'Élisa, puis la retourna sur le ventre, et espaça ses pieds d'une cinquantaine de centimètres, la laissant son derrière à l'air.

-Je vais vérifier qu'elle a bien tout évacué, sinon je devrai lui refaire un lavement dans son sommeil, m'expliqua-t-elle.

Elle sortit alors un petit écarteur métallique, qu'elle enduisit de vaseline. Elle approcha l'instrument de sa patiente, et lui planta dans le cul, cela ayant pour effet de libérer un gaz.

Couché dans mon lit, je ne voyais pas très bien la scène. Diane fit tourner la vis de serrage de plusieurs tours, puis alluma une mini lampe vers l'anus ouvert de sa patiente.

-Ok, c'est bon, elle est bien propre, jugea-t-elle.

Elle éteignit sa petite lampe, puis tira l'écarteur directement du derrière d'Élisa avant de la recouvrir.

-Le docteur va venir la chercher dans une petite demi-heure, me fit Diane. Je viendrai après t'apporter ton repas, puis je t'emmènerai prendre ta douche.

Je hochai la tête, la laissant quitter la chambre.

Sur le côté, ma compagne de chambre dormait paisiblement sur le ventre. Diane venait de partir pour un bon moment, et le docteur n'allait pas arriver avant un bonne vingtaine de minutes. Curieux, je me levai de mon lit, prenant soin de ne m'appuyer que sur ma jambe intacte, et m'approchai du lit d'Élisa.

Timidement, je soulevai sa couverture et la remontai jusqu'à ses jambes, découvrant ainsi son derrière.

J'écartai un peu ses fesses. Son petit trou était tout serré. Élisa dormait toujours profondément.

J'approchai mon doigt, le posai sur son anus, puis le rentrai de quelques centimètres.

-On est quittes, maintenant, chuchotai-je.

Son anus était tiède, et encore lubrifié. Je restai quelques secondes ainsi, puis aventurai mon doigt plus loin. La jeune fille bougea légèrement dans son sommeil. Je retirai rapidement mon doigt et remis sa couverture, puis regagnai mon lit.

Elle ne s'était pas réveillée.

Je profitai de ce moment de solitude pour me masturber silencieusement dans mon lit. Un peu après, un homme et une femme entrèrent dans la chambre pour emmener Élisa.