Vues: 818 Created: 2011.12.17 Mis à jour: 2011.12.17

Morganne

Chapitre 1

Bonjour à tous, voici une nouvelle histoire. Elle est un peu longue, mais comme elle est déjà bien avancée je préfère la poster en entier plutôt que par épisodes.

Je vous souhaite une agréable et excitante lecture ! 😄

Cet après-midi là, j'étais en compagnie de Cécile et Morganne, chez cette dernière, dans sa chambre. Je venais tout juste d'avoir seize ans, et me livrais avec mes deux amies à des jeux coquins d'adolescents.

Nous étions assis en cercle sur le lit.

-Perdu ! Fit Morganne après que j'eus jeté le dé sur le plateau fait maison.

Les deux filles me regardèrent, me parcourant rapidement de la tête aux pieds. Je ne portais plus sur moi que mon t-shirt et mon caleçon, et compris ce que ça signifiait.

-Allez ! Enchérit Cécile. Montre-nous ta petite saucisse !

Je rougis. Je n'avais pas eu de chance depuis le début du jeu. Morganne avait encore son pantalon et sa chemise sur elle. Cécile, elle, portait sa jupe et son soutient-gorge. J'allais donc être le premier à devoir montrer mon intimité.

Mes deux amies attendaient, impatientes d'en voir plus. Je dus donc me résoudre à retirer mon caleçon.

-Oh, il est tout petit ! Se moquèrent les filles et m'observant. Puis elles éclatèrent de rire.

-C'est parce qu'il fait froid, mentis-je.

En fait, c'était parce que j'étais stressé, je n'avais jamais participé à ce genre de jeu. J'avais accepté uniquement dans le but de peut-être pouvoir observer Cécile ou Morganne nue, mais n'étais pas préparé à l'inverse.

Soudain, quelque chose d'inattendu se produisit, qui nous paralysa tout les trois de terreur. Une porte en bas venait de claquer, et des pas montèrent l'escalier, droit vers nous.

-Morganne ? Tu es là ?

-Merde ! C'est ma mère ! Chuchota l'intéressée.

-Tu avais dit qu'il n'y aurait personne chez toi, fit Cécile sur un ton de reproche en essayant de retrouver ses vêtements, tout comme moi.

-Tanpis, cachez-vous tout les deux, fit-elle.

Elle eut juste le temps de nous pousser sous son lit avant que sa mère ne frappe à la porte de sa chambre.

-Morganne ? Fit la voix de sa mère derrière la porte.

-Oui, j'arrive, répondit-elle en se dirigeant vers la porte pour ouvrir à sa mère.

-Est-ce que tu vas mieux, ma chérie ? Lui demanda sa mère. Tu es encore malade ?

Morganne n'était pas malade, comme aucun de nous d'ailleurs. C'était une excuse qu'on avait tous inventé pour ne pas aller au lycée aujourd'hui. Il valait mieux que sa mère ne se rende pas compte de notre présence ici, sinon elle risquait d'avertir nos parents et nous aurions tout les trois des ennuis.

-Je vais un peu mieux, lui dit Morganne.

-Tu t'es bien reposée ?

-Oui.

Elle s'était placée sur le seuil de sa porte pour éviter que sa mère entre dans la chambre, mais celle-ci fit un pas en avant pour rentrer quand même. Ses pieds n'étaient plus qu'à un mètre de Cécile et moi, blottis sous son lit, à l'abri des regards.

Je remarquai que je n'avais pas eu le temps de remettre mes vêtements, qui étaient en boule sous le lit également. Cécile était juste devant moi, et j'avais mon sexe qui touchait son pantalon, au niveau de son postérieur, mais elle ne semblait pas préoccupée par ça pour le moment, écoutant ce qui se passait dans la chambre.

-Recouche-toi sur le lit, Morganne. Je vais reprendre ta température pour vérifier si ça va.

Elle venait de s'asseoir sur le lit, mais Morganne restait debout.

-Non, c'est pas nécessaire, répondit-elle, ça va mieux.

-Oui, je m'en doute. Mais il est toujours prudent de vérifier, on ne sait jamais.

-On ne peut pas faire ça plus tard, maman ?

Cette fois, sa mère fit un vide dans la conversation, se doutant probablement que quelque chose n'allait pas. J'espérai de toutes mes forces qu'elle n'allait pas regarder sous le lit. Si elle me découvrait cul nu là-dessous, je ne sais pas comment je justifierai ça à mes parents en rentrant.

-Qu'est-ce que tu as, Morganne ? Tu ne t'es jamais plainte d'être examinée, jusqu'à maintenant.

-Non, rien. C'est bon, je viens.

Elle revint sur le lit. Le matelas bougea quand elle s'allongea.

J'entendis une tirette s'ouvrir, comme celle d'un sac à main.

-Allez, Morganne. Baisse un peu ton pantalon et ta culotte, je vais te mettre le thermomètre.

En entendant cette phrase, je compris pourquoi Morganne ne tenait pas à se faire prendre sa température maintenant. Même à quinze ans passés, sa mère lui mettait encore le thermomètre dans le derrière. En y pensant, mon sexe se durcit légèrement, et je ne pouvait pas le contrôler. Pourvu que Cécile ne s'en rende pas compte. Je ne pouvait plus reculer mes fesses en arrière, car elles étaient bloquées contre le mur. La situation me mettait dans l'embarras, mais je n'étais pas le seul. Au-dessus de moi, Morganne se préparait au traitement désagréable que lui réservait sa mère.

-Allez, je compte jusqu'à trois, fit la voix de sa mère. Un. Deux. Et trois !

-Aie ! Se plaignit-elle.

-C'est bon, il est dedans. Garde-le un moment ainsi. Je reviens dans cinq minutes.

Cette fois, ça en était trop. En me représentant mentalement la situation, mon sexe grossit et se mit en érection en cinq secondes à peine. Cette fois-ci, Cécile s'en rendit compte sans aucune hésitation.

Comme la mère à Morganne venait de quitter la chambre, elle s'empressa de se décoller de moi pour sortir de notre cachette.

-T'es qu'un gros porc, Sacha ! Fit-elle à voix basse dans ma direction, après avoir constater du regard qu'elle avait eu raison de sortir de là.

J'étais mort de honte. J'avais envie de disparaître d'ici, et que tout ça ne soit jamais arrivé. Finalement, la curiosité l'emporta sur la honte, et je remis mon caleçon pour sortir à mon tour de cette cachette. Je vis alors Morganne, couchée sur son lit, sur le ventre, et les fesses à l'air. Un petit thermomètre en verre ressortait légèrement de son derrière.

Cécile était à côté de moi, et observait aussi avec curiosité son amie, tout en gardant le silence.

Morganne avait sa tête tournée vers nous, et étonnamment, elle paraissait tout à fait normale. On aurait dit qu'elle avait rejeté de son esprit tout sentiment de gêne, de pudeur. Elle resta ainsi, ne cherchant même pas à cacher ses fesses.

-On dirait que ça plaît à Sacha, fit-elle à son amie, en pointant du doigt mon caleçon tendu.

Elle avait eu un sourire aux lèvres assez séduisant, en disant cela.

-Il m'a touché, avec son pénis, fit-elle.

Elle voulait lui demander d'autres choses, mais Morganne lui rappela que sa mère allait revenir d'un instant à l'autre, et qu'il valait mieux qu'on retourne se cacher.

Cette fois, Cécile prit soin de se mettre hors de ma portée, se tenant derrière moi.

On attendit ainsi tout les trois pendant une bonne minute qui nous sembla à tous durer une éternité, puis on entendit les pas qui remontaient les marches de l'escalier.

-Je pense que c'est bon, fit sa mère. On va pouvoir retirer le thermomètre.

De nouveau, elle s'assit sur le lit, ce qui fit bouger le matelas.

-Hum, non, tu n'as presque pas de température. Je ne pense pas que tu aies la fièvre, Morganne.

-Oui, je t'ai dit que ça allait mieux, maintenant.

-Tu es sûr que tu ne veux pas voir un médecin, avant de retourner à l'école demain ? Demanda-t-elle.

-Non, c'est bon, je t'assure que ça va mieux.

-Ok. Et bien tant mieux, alors, ma chérie.

Elle allait prendre congé, quand elle s'arrêta au niveau de la porte, et fit volte-face.

Je me reculai contre Cécile, et écrasai sans le vouloir sa poitrine. Je sentis qu'elle avait étouffé un cri de douleur.

-Au fait, tu as été aux toilettes, aujourd'hui, Morganne ?

-Non, répondit-elle aussitôt à sa mère.

-Et tu n'as pas besoin ?

-Euh, non.

Sa mère refit quelques pas en direction de son lit.

-Tu es peut-être un peu constipée, comme à la rentrée. Tu veux que je te fasse un petit lavement pour te faire y aller ?

-Euh non, ça ira.

-Bien, d'accord.

Cette fois, sa mère quitta vraiment la chambre. On attendit tout les trois qu'elle soit redescendu tout l'escalier avant de revenir sur le lit.

Morganne s'était rhabillée entre temps. Cécile remit tout ses vêtements, et moi aussi.

-Ta mère te traite encore comme un bébé, Morganne ! Fit Cécile.

Elle ne répondit rien à cette remarque. Visiblement, elle n'avait pas envie d'en parler, ce que je comprenais parfaitement.

-Bon, maintenant, fit-elle, il va falloir que vous rentriez chez vous tout les deux. Ma mère pourrait revenir.

Une semaine après cet évènement, beaucoup de choses avaient changée. Je m'étais pas mal rapproché de Morganne, alors que Cécile avait tenu ses distances. Finalement, un soir, à la sortie des cours, c'est Morganne qui avait fait le premier pas, en m'embrassant.

Ce soir, elle m'avait invité chez elle, pour dormir. Elle m'expliqua que ses parents ne dormiraient pas à la maison ce soir-là. J'avais aussitôt sauté sur l'occasion et téléphoner à mes parents pour dire que j'allais dormir chez des amis.

Une heure seulement après la sortie des cours, nous étions chez elle. Alors, oubliant tout principe moraux, on s'était déshabillés et glissés dans son lit. Nous étions face à face, nos visages distants de quelques centimètres. J'étais couché sur elle, mes coudes en appui sur le matelas, mes mains caressant ses seins tout doux. Évidemment, cette situation me donna une érection, qu'elle sentit sur ses cuisses.

On avait déjà un peu parlé de sexe ensemble. Je savais qu'elle était vierge, et elle que j'étais puceau. C'était donc notre première fois à tout les deux. Elle glissa alors ses mains entre nos corps, et attrapa mon pénis. Je croyais qu'elle allait me masturber, mais elle m'aida à le guider à l'entrée de son vagin. Je compris qu'elle était prête, et poussa mon bassin pour la pénétrer. Ce fut assez difficile, et je dus pousser à plusieurs reprises avant de rentrer. Elle émit un "aie!" qui me fit penser à la fois où sa mère lui avait planté le thermomètre dans ses fesses.

Après, on enchaîna tout les deux une danse de plus en plus rapide. Elle jouit en premier, puis ce fut mon tour juste après, répandant ma semence en elle. Morganne préférait prendre la pilule plutôt que je porte un préservatif. Je restai en elle une bonne minute avant de me retirer, puis de m'affaler sur le matelas, épuisé par cet exercice.

On passa tout le reste de la soirée dans sa chambre, tout les deux nus, même pour manger. Un moment donné, la conversation vira vers ce qui s'était passé une semaine auparavant.

Elle m'expliqua que déjà à ce moment-là, elle avait envie de sortir avec moi. C'était pour cette raison qu'elle n'avait pas trop été gênée que je la voie ainsi, les fesses nues. Je lui parlai du lavement dont sa mère avait parlé, et elle m'avoua qu'elle en avait reçu un le soir même, parce qu'elle était en effet constipée.

Je me montrai curieux vis à vis de cet aspect "anal" dont elle semblait n'avoir aucun tabou à en parler avec moi. On était à présent de nouveau allongés dans le lit, sans la couette. J'avais envie de lui mettre ma main aux fesses, de la toucher à ce point sensible qu'était son petit trou, mais m'abstins, de peur qu'elle refuse ce genre de caresses.

Finalement, une fois encore, ce fut elle qui fit le premier pas vers moi. Voyant que j'étais intéressé, elle glissa gentiment un doigt entre mes fesses, et tomba directement sur mon "point sensible".

Ce touché fit jaillir plusieurs sentiment en moi, mélangeant tout dans ma tête : la panique, le plaisir, une certaine gêne aussi. J'avais l'impression d'être revenu en enfance, lors d'une des rares fois où le docteur avait dû me mettre un suppositoire à la maison.

-Ça va ? Me demanda Morganne avec le sourire, gardant son doigt contre mon petit trou.

-Oui, répondis-je en me serrant contre elle.

Je posai ma tête contre la sienne, attendant de voir ce qui allait se passer. Son doigt restait là. Alors, elle me demanda, tout bas, à l'oreille :

-Tu veux que je te mette un doigt ?

C'était vraiment bizarre comme situation. D'un côté j'étais timide, gêné, de ce qui était entrain de se passer. Mais elle, elle semblait tout à fait décontractée et normale.

Comme je n'avais rien répondu tout de suite, elle dût penser que je ne voulais peut-être pas, et enleva son doigt pour me refaire des caresses dans le dos, comme avant.

-Tu as peur ? Interrogea-t-elle.

-De quoi ? Demandai-je, perdu dans mes pensées.

-Que je te mette un doigt.

-Euh, non.

-T'as envie de me le faire ?

Je fus tenté tout de suite, mais encore une fois, j'avais un peu peur de me lancer, de ne pas bien savoir comment m'y prendre, de lui faire mal.

-Ok, mais après alors.

Elle me comprit, et approuva en hochant gentiment de la tête.

-Tu n'es pas obligé, tu sais, me rappela-t-elle en me fixant dans les yeux.

Plus tard dans la nuit, je me réveillai. J'étais en sueur, blottis contre Morganne. Je mis quelques secondes à me remémorer tout ce qui s'était passé, mais si la fin restait flou. Je me souvenais avoir refait l'amour avec elle, puis plus rien. Morganne dormait profondément, et respirait à grands coups.

Je jetai un coup d'œil à la fenêtre, et ne vis que l'obscurité. J'en déduisis qu'il devait être très tard, mais n'avais pas de réveil en vue pour vérifier. Finalement, je me rendormis contre ma copine.

Le lendemain matin, ce fut elle qui me réveilla, en me secouant l'épaule dans le lit. Je la tenais toujours dans mes bras, et elle voulait manifestement se dégager.

-Salut, fit-elle quand j'ouvris les yeux. Bien dormi ?

-Oui. Il est quelle heure ?

-Il est huit heure, répondit-elle.

Puis elle se leva du lit. Je l'observai, toute nue, à côté de moi.

-Je vais prendre une douche. Tu viens ? Me demanda-t-elle.

-Oui, j'arrive.

Je la suivis dans la salle de bain, et on prit une douche ensemble, chacun s'occupant de laver l'autre. Elle fit ça très soigneusement, n'oubliant aucune partie. Mon cœur se mit à battre plus rapidement quand elle passa ses doigts savonneux près de mon anus. Je m'en voulais un peu de n'avoir rien fait avec elle.

Quand ce fut mon tour de la laver, j'essayai aussi d'être très minutieux, comme elle. Je passai aussi mon doigt entre ses fesses et m'attardai sur son petit trou. Automatiquement, elle se courba un peu en avant, et je pris cela pour une invitation. Poussant mon index vers cette entrée étroite et serrée, je la pénétrai facilement grâce au savon.

Morganne était chaude, et douce, à cet endroit. Maintenant que je l'avais fait, je trouvais ça agréable. Je regrettais encore plus de ne pas avoir accepté sa proposition, la veille. Mais Morganne était compréhensive, et me donna une autre chance : au moment de me rincer, elle refit passer son doigt au même endroit, et attendit un peu. Ne sachant pas quoi lui dire, je l'imitai, et me penchai à mon tour en avant. Alors, sans autre avertissement, elle remonta son doigt dans mon intestin. C'était très agréable, elle me procura beaucoup de plaisir, et resta assez longtemps. Pour aller encore plus loin, elle prit mon pénis dans l'autre main et commença à me masturber. Je ne pus pas me retenir plus d'une minute avant d'éjaculer à nos pieds. Elle sortit ensuite son doigt.

-Voilà. Alors, tu en penses quoi ? Fit-elle.

-C'est super bien, avouai-je.

Elle m'embrassa, puis me fit, non sans un sourire un peu mesquin :

-Et bien, on pourra expérimenter quelque trucs, la prochaine fois, au lit.

Durant les jours qui suivirent, je ne pensai qu'à Morganne, attendant avec impatience notre prochain rendez-vous coquin. En attendant, elle me faisait patienter avec des bisous et des câlins, mais rien d'autre. Elle aussi avait envie qu'on se retrouve seuls comme la dernière fois, mais ne voulait pas le faire en présence de ses parents à la maison. Chez moi, c'était pareil, mes parents étaient là tous les soirs.

Un jour, l'occasion tant attendue se reproduisit. Les parents de Morganne passaient une soirée chez des amis qui habitaient loin, et ne reviendraient sûrement pas avant la fin de la matinée du lendemain. Je pris donc encore une fois le bus avec elle.

En arrivant chez elle, la première chose qu'on fit fut de balancer nos sacs dans la chambre et de faire l'amour, trop impatients l'un comme l'autre de recommencer.

Ce n'était que la troisième fois qu'on le faisait, mais je commençais déjà à prendre beaucoup plus d'assurance. Après qu'on ait joui tout les deux, on se reposa un quart d'heure, l"un contre l'autre, sans rien dire, la respiration haletante, jusqu'à ce qu'on reprenne nos forces. Ensuite, je dirai que ce fut la première fois que je prenais l'initiative sur elle. J'avais longtemps réfléchi avant de me décider, et de prendre la décision de me mettre un peu plus à son niveau. C'était excitant pour moi, et ça permettrait sûrement aussi de ne pas tomber trop vite dans la monotonie, en ce qui concerne notre couple.

Tout d'abord, je me suis redressé en position assise sur le lit. à ce moment-là, Morganne était encore allongée sur le ventre. Alors j'ai retiré la couverture de son corps, puis je me suis mis à cheval sur ses cuisses, et ai posé mes mains sur ses fesses. Elle a d'abord été un peu surprise, relevant en sursaut sa tête, puis, devinant mon intention, elle s'est recouchée correctement, me laissant "seul aux commandes".

Mon sexe était au plus dur, prêt à la perforer, mais ce n'était pas le but, du moins pas maintenant. J'écartai doucement ses fesses avec mes pouces, gardant mes mains appuyées dessus. Son petit trou serré est alors apparu à la lumière. C'était la première fois que je pouvais l'observer directement. Alors j'ai posé mon index dessus, elle n'a rien dit du tout. J'ai appuyé assez fort pour passer et je lui "mis un doigt", comme elle le formulait la dernière fois.

-Tu n'as pas eu mal ? Demandai-je.

Elle a retourné son visage vers à moitié vers moi, un air satisfait sur le visage.

-Non, j'aime bien.

Content de la savoir consentante, je commençai à lui faire un massage anal, plongeant mon doigt dans son cul et le faisant pivoter dans toutes les directions. Je me suis dit que j'avais beaucoup de chance de m'être mis en relation avec elle : Morganne se laissait tripoter sans problème au derrière, contrairement à beaucoup d'autres filles de son âge qui devaient probablement éviter ce genre de contact.

Tout en continuant de la tripoter, je me penchai sur elle, et lui dis dans son oreille :

-J'ai envie de te sodomiser.

C'était direct, mais ça se rapprochait plus de son caractère. Comme je m'y attendait, elle ne broncha pas.

-Oui, je sais.

Je ne savais pas si ça voulait dire oui ou non, alors elle m'a simplement fait :

-Vas-y.

Je retirai mon doigt, et pris un peu de recul. Morganne écarta ses jambes pour me laisser assez de place pour m'y allonger. J'avais conscience que ça n'allait pas être facile. Comme j'avais planifié ce moment depuis plusieurs jours, j'avais eu le temps de me renseigner sur des forums et de regarder des vidéos sur internet pour savoir qu'une bonne pénétration "par derrière" ne se faisait pas sans lubrifiant. Sauf que je ne savais pas où en trouver facilement, et j'avais un peu honte d'aller en pharmacie acheter de la vaseline. Peut-être que Morganne serait plus courageuse pour aller faire ce type d'achat à ma place.

Je pris mon pénis en main, et m'allongea progressivement sur elle en prenant soin de poser mon gland sur son anus. Je posai mon buste sur son dos, et mes mains au-dessus de ses épaules, puis commençai à laisser redescendre mon bassin, en douceur pour ne pas la brusquer. Je sentis mon sexe entrer doucement en elle. C'était serré, chaud, agréable. Je me demandais ce qu'elle ressentait à ce moment-là.

Soudain, je l'entendis se mettre à respirer plus fort.

-Morganne, tu as mal ?

D'abord, elle n'a rien répondu. Mon sexe continuait de progresser doucement, centimètres par centimètres, dans son derrière. Ensuite elle s'est mise à gémir, doucement.

-C'est trop dur, fit-elle. Tu me fais un peu mal au cul, là.

Je me retirai alors doucement, puis la laissai souffler sur son lit. En baissant la tête, je vis que son anus était devenu un peu rouge, et était légèrement dilaté. Puis je vis mon pénis et fus assez surpris. Le bout était "sale" sur quelques centimètres, chose que je n'avais par contre pas du tout prévu.

La prochaine fois, Morganne allait avoir besoin d'un lavement, si elle voulait qu'on recommence.

Elle se releva alors sur ses coudes et se retourna face à moi dans le lit. Elle tendit les bras pour m'attraper gentiment, mais j'arrêtai son geste.

-Désolé, fis-je. Il va falloir que j'aille me laver un peu.

-Immédiatement, ses yeux se baissèrent, et elle vis l'état de mon sexe.

Ses yeux s'ouvrirent grand sous l'effet de surprise.

-Oh, désolée... fit-elle.

-Je suis vraiment désolée, répéta-t-elle. J'aurais dû prendre des précautions, pour ça.

-Non, ce n'est rien. Je vais dans la salle de bain, je reviens tout de suite.

Après m'être lavé correctement, je rejoignis Morganne qui s'était enroulée dans la couverture. On refit l'amour encore une fois. Avant de nous endormir, je lui demandai :

-Au fait, tu voulais parler de quoi, comme précautions, tout à l'heure ?

Je ne sus pas comment, mais elle devina que j'avais une idée derrière la tête, et me sourit avant de répondre.

-Tu sais comment on fait un lavement ? Me demanda-t-elle.

-Jamais fait, fis-je. Mais je devine un peu près.

-Et bien, tu n'auras qu'à essayer, la prochaine fois, il y a tout ce qu'il faut ici à la maison.

On discuta encore un peu, puis on finit tout les deux par s'endormir.

Le week-end suivant, j'invitai Morganne à la maison. J'avais appris à mes parents que je sortais avec elle et ils n'avaient rien dit de spécial quand je leur avais dit qu'elle passerait peut-être un week-end avec moi.

Avant qu'on prenne le car pour rentrer, Morganne voulut absolument faire quelques courses. Des courses "coquines".

-Tu veux aller où ? Demandai-je. Dans une pharmacie ?

-Non, tu vas voir.

Restant discrète sur notre destination, elle m'emmena avec elle le long de plusieurs rues avant de s'arrêter à un endroit dont j'avais déjà entendu parler par des amis. Il s'agissait d'un sex-shop.

-Morganne, tu ne vas pas entrer là ? On n'est même pas encore majeurs.

-T'inquiètes pas. Je suis sûre que tout va bien se passer.

En réalité, je ne m'inquiétais pas vraiment pour ça, mais plutôt du fait d'emmener avec moi ma copine dans un sex-shop Je n'avais pas envie que des personnes qui me connaissaient me voit entrer là-dedans, même si c'était peu probable.

-Allez ! Viens ! Insista-t-elle en me tirant le bras. En plus il nous faut du matériel pour ce week-end si on veut s'amuser un peu.

Ce dernier argument me fit céder, et je la suivis à contre-coeur dans la boutique.

Le magasin était assez petit, et je ne vis heureusement aucun clients. L'homme qui tenait la boutique jeta un bref regard vers nous et haussa les épaules, préférant retourner à d'autres occupations. En effet, Morganne avait raison sur le fait qu'on allait sûrement pas être contrôlés. Elle m'emmena à travers la pièce avec elle et s'arrêta dans un petit rayon rempli d'accessoires.

-T'as vu tout ce qu'il y a ici ? Fit-elle.

-Oui, mais dépêche-toi, je n'ai pas envie qu'on soit surpris par d'autres personnes.

-C'est bon, détends-toi, on peut bien jeter un coup d'œil.

Elle attrapa sur une étagère un flacon de lubrifiant, puis repéra plusieurs poires à lavement, de gabarit différents.

Elle en choisit une moyenne, puis me tendit ses achats.

-Tu veux d'autres choses ? Maintenant qu'on est là, demanda-t-elle.

Je jetai un rapide regard pour survoler le rayon. Il y avait là des godemichés de formes variées, des vagins et des anus artificiels, rien d'intéressant pour nous.

Morganne attrapa un emballage et me le montra.

-Regarde, fit-elle. C'est des balles qui se mettent dans le cul, on en prend ?

-Si tu veux.

Satisfaite, elle me tendit ce nouvel achat. Je n'aurais jamais cru accompagner ma copine faire des courses dans un sex-shop Morganne était vraiment une fille hors du commun. De nouveau, elle me montra une nouvelle découverte : un gode-ceinture. C'était bizarre, mais l'idée pouvait peut-être me plaire. J'acceptai malgré le prix exorbitant de l'accessoire.

-Voilà, je pense qu'on a assez de choses, fis-je. On devrait y aller.

-D'accord.

On passa à la caisse, et on paya la moitié chacun. Le vendeur ne nous posa aucun problème.

Une fois arrivés chez moi, je présentai Morganne à mes parents. Elle se fit bien accueillir. On dû cette fois prendre notre mal en patience avant notre moment d'intimité car il fallait attendre la fin du repas pour ne pas jouer les associaux. Quand ce fut terminé, on souhaita une bonne nuit à mes parents, et j'accompagnai Morganne dans ma chambre, à l'étage.

Je fermai à clé, et le temps de me retourner je vis ma copine commencer directement à se déshabiller. En une minute, on se retrouva sous la couette, à pratiquer notre sport de chambre.

Morganne avait pour habitude de pousser des petits gémissements caractéristiques pendant que nous faisions l'amour, et je fus content d'avoir une chambre bien isolée du reste de la maison.

Plus tard, je me réveillai dans mon lit, en compagnie de ma charmante copine. Elle était bien réveillée, baladant ses mains sur mon torse. La lampe de chevet était allumée.

-Je me suis endormi ? Demandai-je.

-Oui, mais juste une vingtaine de minutes. Tu avais vraiment l'air épuisé, après l'amour, alors je t'ai laissé dormir un peu.

Petit à petit, mes yeux se réhabituèrent à la lumière, et mes mains se promenèrent sur le corps nu de Morganne.

-Tu es de nouveau d'attaque ? Me demanda-t-elle.

-Oui.

-Ok. Il y a un lavement au programme, je te rappel. On commence par qui ? Je t'en donne un ou tu m'en donnes un ?

Elle voulait m'en donner un ? C'était quelque chose que je n'avais pas du tout envisagé, pensant que ce serait pour elle qu'on avait pris la poire à lavement.

Mais après tout, ça ne pouvait pas être trop désagréable, et puis comme ça je verrai bien comment elle s'y prenait, c'était une bonne façon d'apprendre.

-On commence par moi, répondis-je.

-D'accord. Lève-toi, il faut aller faire ça dans la salle de bain.

On enfila chacun notre pyjama, et on rejoignis en silence la salle de bain qui se trouvait proche de ma chambre, et qui comportait heureusement des toilettes.

Morganne ferma la porte à clé. Elle avait déjà la poire en main.

-Tu en as déjà reçu, un lavement ? Demanda-t-elle.

-Non, jamais.

-Ok, alors mets-toi dans la baignoire, ça évitera que tu mettes de l'eau partout, comme c'est ta première fois.

Elle semblait parler d'expériences vécues, alors je lui fis entièrement confiance et m'installai debout dans la baignoire. Morganne commença à faire couler l'eau dans l'évier, en réglant la température pour qu'elle soit tiède, puis elle prit le tube de lubrifiant, et déposa une noisette du gel rose sur son doigt.

-Penche-toi en avant, je vais dilater un peu ton petit trou.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me penchai légèrement, et je sentis sa main m'écarter le derrière, puis son doigt venir directement étaler le gel dans mon rectum. La pénétration n'avait pas été douloureuse, mais son geste avait été tellement rapide que c'était fini avant que je puisse réagir. Morganne sortit son doigt, puis retourna remplir la poire à l'évier. Elle revint rapidement avec l'instrument plein d'eau, et me redemanda de me remettre dans la même position.

-Ne me mets pas d'eau, demandai-je, comme c'est ma première fois.

Ma remarque fit apparaître un petit sourire moqueur sur son visage.

-Ce n'est pas comme ça que ça fonctionne, expliqua-t-elle. Il faudra que je t'en mette assez pour tout faire sortir. Si je t'en mets un tout petit peu, ça n'aura aucun effet.

Elle m'écarta ensuite une fesse pour repérer mon anus, puis vint y coller l'embout de la poire.

-Allez. Un, deux, et trois !

Je faillis tomber en avant. Heureusement, Morganne me rattrapa par le bras. L'eau commença directement à couler dans mon derrière. Elle avait fait rentrer la canule d'un coups.

-C'est bon, fit-elle, la pénétration à dû te faire un peu mal, c'est ce qui t'as surpris.

-C'est bon, c'est passé.

Immédiatement, je remarquai qu'elle avait eu raison de m'installer dans la baignoire, car un filet d'eau commençai déjà à s'expulser hors de mes fesses. La totalité de la poire fut injectée en une minute environ.

-Serres bien les fesses, je vais enlever la poire, avertit-elle.

J'obéis, mais ne pus empêcher un nouveau jet d'eau de filer dans la baignoire.

-C'est bon ? Je peux aller sur le cabinet ?

-Non. Je vais te mettre une poire supplémentaire.

Déjà, elle avait commencé à la remplir.

-Morganne, je sens que je dois aller aux toilettes, je suis sérieux.

-Oui, c'est normal, répondit-elle en tournant la tête vers moi. Mais retiens-toi, ce sera plus efficace avec deux fois plus d'eau.

-C'est difficile. Je sens que ça vient.

-C'est bon, j'arrive. Continue de bien serrer les fesses, je vais rentrer la poire doucement, cette fois.

Elle posa à nouveau le bout sur mon petit trou, puis le fit remonter lentement. Elle pressa ensuite à deux mains pour faire sortir l'eau. Cette fois, un mince filet d'eau coula en continu dans la baignoire, ce fut un peu plus difficile de me retenir.

Un peu avant la fin, elle m'accompagna jusqu'à la cuvette en gardant la poire enfoncée pour servir de bouchon. Quand elle l'enleva, un flot plus important se mit à couler.

-Tu veux que je reste avec toi ?

-Non, ça va aller, je te rejoindrai dans la chambre.

-Fais bien tout sortir jusqu'à la fin, expliqua-t-elle. Il faut au moins cinq minutes, en général, pour moi.

Puis en quittant la salle de bain, elle ajouta :

-Je vais enfiler le gode-ceinture, et je t'attends dans la chambre.

Quand elle eut quitté la pièce, je me demandai qu'est-ce que j'allais ressentir quand elle allait me "perforer", si ça allait faire mal ou si j'allais vraiment en tirer du plaisir. C'est toujours au dernier moment que je me mettais à stressé. Je ne savais pas ce qui m'avait pris d'accepter, au sex-shop, cet après-midi là.

Je restai bien assis pendant cinq minutes, comme elle me l'avait demandé, puis comme plus rien n'était ressorti depuis trente secondes, je me relevai et enfilai mon pyjama. Morganne attendait sous la couverture, seule sa tête dépassait.

Je dévoilai son corps en entier et vis le gros tube noir semblable à un pénis au niveau de son entre-jambe. L'objet était fixé par une ceinture qui passait autour de sa taille, et une autre qui passait rejoignait la première en passant entre ses jambes, un peu comme un slip, en fait.

Je fis passer ce gode dans mes doigts. Il était très dur et lisse, et se terminait par un bout légèrement pointu. Morganne y étala un peu de lubrifiant, et me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit. Elle se plaça derrière moi, à genoux, et posa son faux sexe sur mon petit trou, le faisant rentrer d'un petit centimètre pour qu'il garde cette position. Puis elle m'agrippa par la taille de ses deux mains. Dans cette position, elle n'aurait aucun mal à me pénétrer.

-Tu es prêt ? J'y vais ?

-Oui, mais doucement.

Elle tira alors tout mon corps un peu en arrière, tout en se poussant elle-même en avant. Instinctivement, je serrai les fesses, mais le gode se fraya inévitablement un chemin et commença à entrer tout doucement dans mon cul.

Ce fut tout d'abord un peu douloureux, la peau était tirée au maximum autour de mon anus, et les premiers aller-retours firent ressortir une sensation de brûlure. Je ne le fis pas remarquer à Morganne, qui continuait doucement son geste. Ensuite, je ressentis du plaisir : comme elle faisait rentrer le gode assez loin, il devait toucher ma prostate et me donnait l'impression de jouir à chaque mouvement.

Morganne s'arrêta d'elle-même après quelques minutes, et me demanda comment ça s'était passer pour moi.

-C'est peu dur au début, mais après ça fait du bien.

-Tu veux que je le fasse encore une fois ?

-D'accord.

Je me remis à quatre pattes, et elle derrière moi. Maintenant mon anus était bien dilaté et l'introduction se passa plus facilement.

Cette seconde session dura une dizaine de minutes, puis je demandai à Morganne de se retirer, car ça recommençait un peu à faire mal.

Après l'avoir retiré, je touchai discrètement mon anus pendant qu'elle enlevait son faux pénis. Il était encore un peu ouvert. En me rejoignant dans le lit, Morganne me fit :

-Demain, c'est toi qui t'occupes de moi.

Le lendemain matin, au réveil, Morganne ne se sentait pas bien du tout. Elle avait dû tomber malade pendant la nuit.

Elle était couchée, les yeux mi-clos et le visage un peu rouge, et se plaignait de mal de ventre et de mal de tête.

-Je crois que j'ai attrapé un mauvais coup de froid, fit-elle en me regardant.

Du coup, je suis descendu aller voir mes parents pour savoir s'il n'y avait pas un médicament à la maison pour Morganne.

Ma mère me demanda ce qu'elle avait, et je lui expliquai ce que Morganne m'avait raconté dans la chambre. Alors, elle m'emmena jusqu'à la boîte à pharmacie, et me tendit plusieurs choses.

-Tiens. Voici un aspirine, il faut la prendre avec un verre d'eau. Et aussi le thermomètre. Si elle pense qu'elle a de la température, il vaut mieux vérifier.

Je pris l'aspirine et le thermomètre en main, préparai un verre d'eau, et remontai dans ma chambre. Morganne prit tout de suite l'aspirine qu'elle avala avec le verre d'eau, puis ayant remarquer le thermomètre, elle se retourna vers le mur.

-Tu peux le mettre dans mon derrière, si tu veux, pour prendre ma température.

Après un brève hésitation, j'acceptai cette méthode. Même malade, elle arrivait à m'exciter avec ses idées. J'ôtai la couverture jusqu'à ses genoux, et dévoilai ses fesses nues. En posant ma main dessus, je remarquai qu'elles étaient brûlante, façon de parler. J'écartai légèrement pour y voir mieux, me penchai, et orientai correctement le thermomètre.

-J'y vais.

Je plantai le thermomètre de cinq bons centimètres dans son derrière, puis attendis qu'il « bip » en le gardant en main.

Trente secondes plus tard, je sortis l'instrument de ses fesses, et lui annonçai qu'elle avait 38,5°C.

-Oui, en effet, tu as de la température.

Du coup, elle dormi tout le reste de la matinée, puis, ne se sentant toujours pas mieux, elle décida de prendre un bus pour rentrer chez elle.

Le lundi et le mardi de la semaine suivante, Morganne ne revint pas au lycée. Elle m'avait envoyé un message pour me dire qu'elle était encore un peu malade et qu'elle ne pourrait pas venir.

Le mercredi, je ne la vis pas non plus. Elle me téléphona dans le milieu de l'après-midi, et m'expliqua qu'elle avait un rendez-vous le soir chez le gynécologue.

-C'est à cause de ta maladie ? Demandai-je.

-Non. C'est bon, je suis guérie. C'est un rendez-vous que j'aurais dû faire il y a un moment. Depuis notre première fois, en fait, pour vérifier que tout va bien chez moi.

Elle me demanda alors si je voulais bien l'accompagner, car elle ne voulait pas y aller toute seule.

-D'accord, fis-je. On peut se rejoindre en ville, si tu veux.

-Merci.