Vues: 799 Created: 2011.12.17 Mis à jour: 2011.12.17

Morganne

Chapitre 2

La suite...

Le gynécologue de Morganne était en fait une femme. J'attendais avec elle dans la salle d'attente. Il y avait d'autres personnes dans la pièce. Au bout de vingt minutes, la porte s'ouvrit, et une femme d'une trentaine d'années ouvrit. Elle invita Morganne à la suivre dans la salle en face.

Morganne m'attrapa le bras.

-Viens avec moi, s'il-te-plaît.

La doctoresse comprit que j'étais son copain, et me salua également, nous invitant à la suivre tout les deux.

Une fois dans la salle d'examination, elle s'adressa à Morganne.

-C'est pour tes premiers rapports, c'est ça ?

-Oui.

-Ok, viens t'asseoir ici.

Elle lui indiqua la table où Morganne grimpa en se hissant.

-Ok, enlèves ta chemise.

Ma copine se retrouva rapidement la poitrine à l'air, et la doctoresse les toucha un peu, puis plaça une sonde dessus pour écouter avec un stéthoscope.

J'espérai qu'elle n'allait pas m'examiner, moi aussi. Je n'avais aucune envie de me faire tripoter par cette femme que je ne connaissais pas.

-Ça remonte à quand ? Interrogea-t-elle.

-Euh, deux semaines environ.

-Ok. Bien, on va regarder un peu ça. Tu peux enlever tout tes vêtements, maintenant.

Je restais assis sur la chaise, observant ma copine se déshabiller. La doctoresse lui demanda d'abord si elle devait aller aux toilettes, puis l'installa couchée sur le dos, les pieds posés sur des supports métalliques. Morganne montrait de cette façon complètement son sexe et son anus. La doctoresse enfila une paire de gants jetables, et commença à masser le sexe de Morganne avec une pommade blanche.

-Tu n'as pas eut de douleur, pendant le rapport ?

-Non.

-Ok. Je vais te mettre un objet pour regarder, ça ne fait pas mal.

La femme attrapa un écarteur métallique que je trouvais un peu gros, et l'enfonça sans difficulté dans l'intimité de Morganne. Cette dernière ne manifesta visiblement aucun signe de douleur.

Après avoir bloqué l'instrument dans une position, la gynécologue utilisa une petite lampe pour regarder dedans.

-Ok, l'hymen est bien déchiré. Tu as beaucoup saignée ?

-Non, pas trop.

-Tu as eu du plaisir ?

Elle posa cette question d'un ton très professionnel, et Morganne répondit par l'affirmative, et me jetant un regard complice en même temps.

-Ok, il n'y a pas de problème on dirait. Tout va bien.

Elle rangea sa lampe et retira l'écarteur de son sexe.

-Je vais te faire une douche, maintenant. Restes bien installée comme ça.

Elle se leva, puis alla chercher une poire à lavement pré-remplie, un peu similaire à la nôtre, mais l'utilisa sur son sexe.

L'embout s'enfonça d'une quinzaine de centimètres dans son vagin, et la doctoresse pressa la poire à deux mains.

Le liquide coula aussitôt dans un bac prévu à cet effet.

Après ça, je croyais que c'était terminé, quand elle posa à Morganne une question embarrassante pour savoir si elle avait eut des rapport « par l'anus ».

Celle-ci resta honnête et lui répondit par l'affirmative. En réalité, on avait essayé une fois mais ça avait terminé par un échec, et les quelques autres expériences se résumaient à des doigts dans le cul.

-Ok, fit la femme. Dans ce cas, tu as droit aussi à un petit examen anal. C'est un peu plus désagréable, mais c'est pour vérifier que tout va bien, là aussi.

Elle effectua d'abord un examen en surface, étirant un peu la peau de l'anus pour détecter d'éventuels micro-fissures.

-Ok, fit la doctoresse pour elle-même.

Je vis à son visage que là, Morganne était un peu plus gênée. Ses joues avait rougie et elle ne détachait pas son regard du plafond. La femme attrapa alors un autre tube, et fit couler un peu du contenu sur son doigt après avoir enfilé une nouvelle paire de gants.

-Je vais t'étaler une crème sur l'anus, expliqua-t-elle. Ça va un peu t'anesthésier localement.

Là aussi, elle fit un massage en surface, mais enchaîna en rentrant son doigt pour mettre de la crème aussi à l'intérieur, ne dépassant pas plus de deux phalanges de profondeur.

Elle laissa ensuite reposer la crème cinq minutes, puis plongea son doigt dans le cul de Morganne un peu plus profondément.

-C'est bon, tu n'as pas mal ?

Morganne secoua la tête pour dire non. Alors la doctoresse continua son examen, tâtant un peu de tout les côtés.

Je me demandai si elle ne sentait vraiment plus rien ou si ça atténuait juste un peu la douleur.

Après avoir retiré son doigt, elle lui annonça qu'elle allait pratiquer un lavement.

Comme je la connaissais, je me demandai si Morganne n'avait pas souhaité que je vienne avec elle juste pour m'exciter.

La doctoresse attacha un gros ballon rempli d'eau en hauteur, et pris dans sa main le long tube qui en descendait. Elle fit alors glisser l'embout étroit dans son derrière sans difficulté, et libéra l'eau.

J'essayais de me maîtriser, mais j'avais du mal à contenir mon érection dans mon pantalon en voyant cette scène. Morganne se laissait faire sans rien dire, la bouche fermée, le regard fixe.

Quand, après cinq bonnes minutes, alors que le ballon n'était qu'à moitié vide, la doctoresse jugea que c'était assez et referma sa main sur la partie de l'embout qui dépassait.

Comme je devinais ce qui allait se passer, je détournai le regard pour ne pas embarrasser Morganne. J'entendis juste un flot couler dans le même bac disposé sous ses fesses.

J'attendis de ne plus rien entendre, puis releva la tête.

La doctoresse n'avait pas perdu de temps et venait d'enfoncer un petit tube métallique creux dans son derrière. Elle observait maintenant de la même façon l'intérieur de son rectum avec une petite lampe.

-Bon, ben c'est parfait là aussi. Restes quand même prudente, fit-elle en retirant son instrument.

Elle attrapa une sorte de tampon et le poussa dans le cul de Morganne, laissant une ficelle dépasser d'une dizaine de centimètres.

-C'est pour absorber le reste d'eau, expliqua-t-elle. La crème que je t'ai mise risque de te rendre un peu incontinente encore une petite heure. Tu pourras le retirer après en tirant sur la ficelle.

Ensuite, Morganne se rhabilla, et la doctoresse nous salua tout les deux.

J'étais de nouveau chez Morganne, avec elle, dans sa salle de bain. Il était un peu plus de dix heure du matin. Ses parents étant une nouvelle fois absents, on décida de prendre un bain ensemble.

Ses parents avaient investi dans une grande baignoire style jacuzzi qui pouvait facilement contenir nos deux corps.

J'observais Morganne faire. Elle était toute nue, penchée en avant sur les robinets pour régler la température et le débit d'eau. Ses seins pendaient un peu et se balançaient doucement, mais j'étais beaucoup plus attiré par son derrière. En effet, dans cette position, et avec ses pieds espacés d'une vingtaine de centimètres, elle semblait lancer une invitation à se faire prendre par derrière.

Mon pénis était comme d'habitude dans ces moments-là tout dur, bien tendu devant moi.

Depuis qu'on s'était tout les deux lancés là-dedans, c'était difficile de ne plus penser à l'aspect anal dès que l'occasion se présentait, surtout avec une copine comme Morganne qui ne se montrait pas du tout réticente à ce genre de pratique.

Elle termina de remplir cette grande baignoire et y ajouta une grande quantité de savon liquide pour faire de la mousse.

-Voilà, c'est prêt, annonça-t-elle en enjambant le rebord.

Elle se baissa lentement, et tout son corps jusqu'au cou se disparût sous la mousse.

Je la rejoignis dans l'eau. C'était un peu trop chaud à mon goût, mais je m'habituai très vite.

En m'approchant d'elle, je la pris dans mes bras, puis descendis mes mains pour toucher sa poitrine. Le bout de ses tétons avaient durcis, signe de son excitation. Elle se contenta d'abord de me faire des petites caresses dans le dos, puis me proposa d'échanger nos places.

-Vas-y, assieds-toi, fit-elle en me laissant la place. Tu vas voir, il y a des petits jets d'eau qui caressent les fesses.

En effet, de multiples petits jets pas trop puissants commencèrent à me masser et me chatouiller le derrière. Morganne écarta ses jambes pour venir s'installer sur mes genoux, et commença à faire balancer ses fesses contre ma peau. Ses seins étaient hors de l'eau et couverts de mousse, alors je m'amusai à les caresser pour tout enlever.

Pendant que je m'attardais dans mes pensées, elle fut la première à « lancer les hostilités ». C'était une expression qu'on avait inventé pour désigner celui ou celle de nous deux qui craquerait en premier et commencerait à faire des caresses beaucoup plus coquines.

Elle se mit donc a tripoter un peu mon pénis, puis mes testicules, et enfin essaya de faire glisser sa main en-dessous de moi.

-On échange de place ? Demanda-t-elle.

-D'accord.

Je savais qu'elle demandait ça pour avoir plus de facilités à atteindre mon petit trou, mais ce ne fut pas aussi évident. En effet, sous l'eau, j'avais l'anus crispé naturellement et l'eau savonneuse avait fait rapidement partir le gras de ma peau à cet endroit.

Voyant que ça ne rentrait pas après plusieurs petites pressions du doigt, Morganne me regarda.

-Alors, on fait quoi ? Passage en force ou préparation tout en douceur ?

Elle savait que je n'aimais pas trop être brusqué, et s'amusait souvent à me faire comprendre qu'elle était capable d'être beaucoup moins douce que d'habitude.

-En douceur, s'il-te-plaît.

-Ok.

Elle replaça son doigt en appui sur mon anus récalcitrant, mais ne fis rien dans un premier temps. C'était excitant aussi, de sentir une légère pression à cette zone sensible.

-Ah, je sais ! S'exclama-t-elle. Ça fait combien de temps que tu n'as pas été aux toilettes, faire caca ?

-Euh, hier, au lycée, je crois.

-Ok. Ça te dérange si je te fais y aller maintenant ?

-Non. Pourquoi ? Tu veux faire quoi ?

-Tu vas voir. C'est une surprise !

Elle me demanda alors de fermer les yeux, et de m'accroupir au milieu de la baignoire, sans la regarder. Je n'aimais pas trop ne pas savoir, mais là encore la curiosité et le plaisir de satisfaire ses petits plaisirs passèrent en priorité.

Je lui obéis, et attendis les yeux fermés. Je pouvais juste entendre ce qui se passait.

D'abord, je devinai qu'elle sortit de l'eau, puis entendis des pas sur le sol. Dix secondes après elle était de retour, se plaça derrière moi, et mit une main sur mon épaule.

-Penches-toi encore un peu plus, demanda-t-elle en appuyant.

Les fesses s'écartant naturellement en position accroupie, je sentis directement un contact sur mon anus. Ce n'était pas le doigt de Morganne. C'était quelque chose de dur, qui avait l'air assez petit.

-Pousses, maintenant, fit-elle.

Je poussai, et sentis l'objet rentrer dans mon derrière, immédiatement suivi par son doigt. Elle se retira ensuite, et partit se rasseoir.

-C'est bon, c'est terminé. Tu peux revenir.

-C'était quoi ? Demandai-je. Un suppositoire ?

Elle garda d'abord un sourire mystérieux, puis me répondit enfin.

-Non. Enfin, presque. C'est un morceau de savon. Une amie m'avait expliqué une fois que ça fonctionnait bien pour faire aller aux toilettes. Ça va peut-être un peu piquer, mais pas trop fort.

-Oui, ça commence à piquer, confirmai-je après quelques minutes.

-Bien. Il ne te reste plus qu'à le faire sortir, alors. Tu vas y arriver tout seul ? Demanda-t-elle d'un ton ironique.

-Oui, ça va aller.

Je quittai la baignoire à mon tour, et m'installai confortablement sur le trône. Morganne pouvait me voir et me jetai de temps en temps des regards brefs. Je ne pensais pas que ça aurait pu être aussi gênant d'être observé de la sorte.

Les picotement revinrent, et je dus me résoudre à pousser pour arrêter cette sensation. Je restai cinq minutes à pousser, pour faire sortir le plus possible. Je devais avoir le visage tout rouge à la fin.

Quand je tirai la chasse, Morganne me demanda si son traitement avait été efficace.

-Oui, sans aucun doute, confirmai-je. Maintenant je saurais quoi utiliser si tu es constipée, un jour.

-hum, mouais. Je préférerais plutôt un lavement, à moins que tu veuilles absolument m'en mettre un.

Je revins vers elle, et retournai dans l'eau chaude. Morganne m'attrapa et m'attira vers elle pour me replacer sur ses genoux. Elle vint me chatouiller l'anus, puis, comme prévu, poussa son doigt à l'intérieur. Le morceau de savon avait eu un bon effet de lubrification, en comparant avec l'essai fait cinq minutes avant. Son doigt se promenait maintenant le long des parois intérieures de mon rectum, et trouva rapidement la prostate.

-Vas-y, fis-je. Continue à cet endroit.

-C'est ton point G ? Demanda-t-elle en faisant quelques mouvements à l'endroit où elle s'était arrêtée.

-Oui. Je crois que tu es pile sur la prostate. Ça fait vraiment du bien, soufflai-je.

Voyant que j'y prenais du plaisir, elle continua pendant une dizaine de minutes, sans retirer une seule fois son doigt.

À la fin, j'étais dans un état second, entre éveillé et endormi, lorsqu'elle fit glisser son doigt hors de mon cul. J'étais resté accroché à elle tout le long de l'opération.

-Voilà, on sort ? Fit-elle. L'eau commence à se refroidir.

Je sortis en premier et lui tendis sa serviette de bain qu'elle enroula autour d'elle après s'être un peu essuyée.

Après être tout les deux propres, je voulus qu'on rejoigne la chambre pour continuer nos coquineries, mais Morganne n'avait plus la tête à ça, et réclamait à présent une pause.

On descendit prendre un bon repas, puis on partit en ville pour se promener un peu, histoire de faire de l'exercice.

Une fois de retour chez elle, Morganne était de nouveau d'attaque.

-On fait quoi ? Demandai-je.

-Ben..., tu me dois toujours un lavement, je crois, et aussi une petite visite dans mon derrière.

-Tu veux le faire maintenant ?

-Oui, fit-elle en faisant un signe de tête pour faire comprendre qu'elle acceptait.

Elle récupéra la poire à lavement, ainsi que le lubrifiant, cachés dans ses affaires de sa chambre, et je l'emmenai dans la salle de bain.

Elle posa le matériel sur l'évier pendant que je réglais la température de l'eau.

-Tu peux attendre debout dans la douche, toute nue, indiquai-je.

Sans rien dire, elle s'exécuta, laissant ses vêtements par terre. Une fois qu'il y eu assez d'eau dans l'évier, j'y trempai un doigt pour vérifier la température, puis remplis la poire en aspirant le liquide.

Je revins ensuite vers Morganne. Mon cœur s'accéléra. Cette fille avait un corps magnifique, en tout point. Elle pivota un peu pour que je vois son postérieur, et je pris conscience que je m'apprêtais à lui introduire ce gros « tuyau » dans le derrière. J'en étais ému.

En premier, je posai la poire pleine sur le côté et m'étalai du lubrifiant sur le doigt. Je lui écartai le bas des fesses de l'autre main, et pénétrai son petit trou. J'avais l'habitude, et l'avais fait sans hésitation. Je fis durer son massage pour bien laisser agir le lubrifiant, puis me rappelai que j'avais un lavement à lui administrer.

Sortant mon doigt de son orifice tout gras, je repris la poire en main et posa l'embout contre elle. Les premiers centimètres rentrèrent tout seul, puis le reste suivit naturellement. Alors que je commençai à presser la poire pour injecter l'eau, elle se pencha en avant et se mit à caresser son sexe avec ses doigts.

-Tu veux que je m'occupe aussi de ton sexe avec ma main de libre ? Proposai-je.

-D'accord.

Elle remit sa main en appui sur le mur, et je pris la relève en continuant de la masturber. Elle mouillait déjà beaucoup : j'avais les doigts trempés. Je les fis rentrer et ressortir de son vagin jusqu'à la fin de la première poire, avant de retirer cette dernière. N'ayant pas prévenu, elle fut surprise et expulsa un peu d'eau dans la douche.

-Désolé. Contractes bien tes fesses, j'arrive avec la deuxième poire.

Je retournai la remplir à l'évier, puis revint l'enfoncer dans le derrière de Morganne, pensant qu'après ça elle allait être contrainte d'aller sur la cuvette.

Pendant l'opération, je passai ma main sur son ventre plat.

-Je ne vais pas gonfler avec deux poires, expliqua-t-elle. Il en faudrait plus.

-Tu veux que je t'en mette plus ?

-Non, ça va aller. Si tu y tiens par contre, on pourra se faire une séance exprès pour un lavement extrême, un jour.

Son idée me plaisait, je la mis de côté en mémoire.

-Bon voilà, serres bien les fesses, je t'enlève la poire.

Elle réussit à retenir tout le liquide, mais se précipita sur le cabinet et commença directement à expulser l'eau. Je pris le matériel et sortis pour aller dans la chambre, content de mon travail.

J'étais sous la couverture quand elle revint de la salle de bain. Elle monta sur le lit et s'allongea sur moi, pour qu'on soit face à face. Après qu'on se soit embrassés, je lui rappelai doucement la raison de ce lavement.

-C'est bon, tu es bien soulagée ?

-Complètement !

-Prête pour la sodo ?

-Oui.

Elle roula à côté de moi, et attendit sur le dos.

-Tu ne te mets pas sur le ventre, comme la dernière fois ?

-Non, répondit-elle en secouant la tête. Je préfère qu'on puisse se voir pendant cette fois-ci.

Elle me tendit ses jambes dans mes mains, que je repliai vers son ventre. Comme elle était très souple, elle put mettre ses genoux au niveau de ses épaule et retenir elle-même ses jambes en arrière.

Je lui remis un peu de lubrifiant sur son petit trou, ainsi que sur mon pénis, puis lui écartai l'anus avec mes deux pouces. Avec mon bassin, je plaçai mon pénis sur son ouverture, puis commençai la pénétration.

-Dis-moi si tu veux que j'arrête.

-Ok, mais pour le moment tu as l'air de bien te débrouiller.

Je rentrai mon sexe dans toute sa longueur, et sentis le « fond ». Alors je me mis à me balancer doucement d'avant en arrière. Avec le lubrifiant c'était beaucoup plus facile, bien que je sente son anus se resserrer très fort sur moi.

-On va jusqu'au bout ? Demandai-je.

Perdue dans ses pensée, le regard vague, elle me fit signe que oui. Alors je me mis à accélérer la cadence pour préparer l'éjaculation. Ça mit un bon moment à venir. Quand j'eus fini d'expulser ma semence, je m'arrêtai, le pénis encore rentré, respirant de grands coups pour reprendre mon souffle.

Morganne aussi soufflait, sa poitrine se soulevant et retombant rapidement.

-C'était génial ! Fit-elle en premier, dans un souffle. Je m'en souviendrai toute ma vie, de cette première sodomie !

-J'ai bien aimé, moi aussi, fis-je.

Je plaquai mes mains sur ses fesses, et fis glisser mon pénis hors de son trou. Cette fois, il était bien propre. Je m'endormis alors paisiblement contre Morganne.

Deux ans plus tard...

Je sortais à présent avec Cécile, notre amie du lycée. Morganne s'était également trouvé un nouveau partenaire, mais avait gardé de très bons contacts avec moi. Elle avait gardé le gode-ceinture, et moi la poire à lavement et les boules anales dont on s'était servi à de rares occasions quand on était ensemble.

Elle me manquait quand même beaucoup, même après tout ce temps, car si elle avait été très ouverte à plein de propositions, avec Cécile c'était tout le contraire. Je sortais avec elle depuis environ un mois. Un soir, je lui avais mis un doigt dans le cul, pour lui suggérer implicitement qu'on pourrait pimenter un peu notre relation, mais elle s'était gentiment décalée pour se retourner vers moi, et m'avait parlé d'autre chose.

Je continuai quand même d'espérer l'initier un jour à toutes ces pratiques que j'avais testées avec Morganne.

Pour cela, je dus un peu forcer les choses à arriver. Cécile se trouvait chez moi, dans le lit, et était malade depuis la veille. Cela me fis bien évidemment penser au début de ma relation avec Morganne.

Après lui avoir passé ma main sur le front, je lui expliquai qu'il serait bien que je lui prenne sa température, et elle accepta.

-Je vais chercher le thermomètre. Il est en bas.

Je descendis l'escalier, et me dirigeai vers la réserve. En trouvant l'instrument dans la boîte à pharmacie, mon sexe se tendit dans mon pantalon. C'était le même thermomètre qui s'était retrouvé à de nombreuses reprises dans le cul de mon ex, et parfois dans le mien. Aujourd'hui, ça allait être le tour de Cécile.

Quand je fus de retour, Cécile était toujours allongée et ne se doutait encore de rien. Je contournai le lit pour se retrouver de l'autre côté, et souleva un pan de couverture. Puis je tirai son pantalon vers le bas.

-Qu'est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle.

Je ne répondis pas. Tanpis si elle n'appréciait pas. Au moins, j'aurais essayé. Après tout, on était en couple depuis près d'un mois, je pouvais bien me permettre ce petit dérapage.

Je soulevai promptement sa fesse supérieure, et glissai la pointe du thermomètre d'environ deux centimètres dans son derrière.

-En non. T'es dégoûtant ! Fit-elle en comprenant ce qui venait de lui arriver.

Je la maintins en position pour ne pas qu'elle bouge.

-Ne t'inquiètes pas, c'est beaucoup plus fiable de mesurer la température comme ça, expliquai-je.

Elle respirait à présent rapidement, n'osant pas vraiment me regarder. J'écartai de nouveau bien ses fesses et caressai du doigt la peau autour du petit trou où était logé le thermomètre.

-Tu ne ressens rien, Cécile ? Je veux dire, en terme de plaisir ?

Je lui mis ma main sur l'épaule et la tournai vers moi.

-Oh non, fit-elle en fermant les yeux et en secouant doucement la tête de gauche à droite. Je vois très bien où tu veux en venir.

Je laissai son intimité tranquille, et la saisis à deux mains, tendrement.

-Tu ne veux pas essayer ? Proposai-je. Je serai doux avec toi, promis.

Elle tourna la tête, comme si elle était embêtée.

-Écoutes. Je n'ai rien contre toi, mais ce que tu tentes de faire fait rejaillir des souvenirs en moi, qui ne sont pas forcément agréables.

-Vas-y, racontes-moi. Ça va peut-être t'aider.

Je m'allongeai à côté d'elle. Elle ne semblait pas contre l'idée de se confier.

-Bon, d'accord, finit-elle par accepter. Mais promets-moi de garder tout ça pour toi.

-Promis.

Je croyais qu'elle allait me raconter des souvenirs lointains, remontant à son enfance, mais je me trompais.

« Tout ça s'est passé l'année dernière. Je m'étais absentée du lycée pendant une semaine.

Ma mère me conduit à l'hôpital à cause de troubles digestifs qui me donnaient des douleurs à l'estomac.

Dès mon arrivée, ce séjour devint un enfer. Je dus en premier aller voir un docteur pour me faire examinée. C'était un homme assez jeune, assez beau. J'avais été séduite dès que je l'avais vu en entrant dans son bureau.

Au début, c'était un examen tout à fait normal : il m'interrogea sur mon équilibre alimentaire, mon comportement de tout les jours, puis ensuite il observa ma poitrine, me massa le ventre, mais ça, j'en avais l'habitude en allant chez mon médecin traitant.

Après, il me demanda de rester debout. Il était dans mon dos, assis sur sa chaise, et avait ses doigts posés dans mon dos. À ce moment-là, je ne portais que ma culotte. Il l'a prise entre ses doigts, et l'a baissé d'une trentaine de centimètres. Mes fesses étaient à l'air libre, j'étais morte de honte. En plus, il n'en est pas resté là : il me les a écartées, et s'est mis à regarder mon anus. Il m'a demandé si j'allais souvent aux toilettes, si je faisais caca facilement, si j'avais parfois la diarrhée ou une constipation occasionnelle. J'étais super embarrassée.

Alors il m'a relâchée, m'a permis de me rhabiller, et m'a envoyer dans ma chambre de l'hôpital.

Là-bas, une infirmière est venue me rendre visite, le soir. Elle était jeune, et accompagnée par le docteur. Ce dernier a été très gentil avec moi, et j'ai remarqué un comportement de jalousie de la part de cette infirmière.

Le docteur, juste avant de quitter la pièce, a demandé de me donner des laxatifs cette nuit, pour des analyses le lendemain.

Horreur, je n'étais pas dans une chambre individuelle. Il y avait deux autres filles d'un peu près mon âge, qui bien sûr avaient tout entendu.

J'étais gênée, mais là ça allait encore, jusqu'à ce que cette garce d'infirmière revienne me voir, non pas avec des cachets, mais avec un gros suppositoire. J'ai protesté, comprenant qu'elle faisait ça seulement pour se venger du fait que le docteur s'occupait de moi, mais elle m'a répondu qu'il n'avait pas précisé de donner des cachets, et que pour moi ce serait un suppositoire.

-Je peux aller dans la salle de bain, pour le recevoir, au moins ?

-Non, répondit-elle. Allez, retournes-toi, sinon je te l'enfonce dans le cul par un moyen moins agréable.

Je ne savais pas à quoi elle faisait allusion, mais préférait ne pas le savoir. Je lui ai obéis et expliqué qu'il ne s'était rien passé entre le docteur et moi, mais elle ne semblait pas écouter, se contentant de me glisser à l'oreille :

-Tu as entendu ? Le docteur a dit que tu devais avoir la chiasse. Alors je vais te donner la chiasse !

Ma culotte s'est baissée, mes fesses se sont écartées, et j'ai sentis cette garce me mettre ce médicament en rentrant d'un coup son doigt, jusqu'au bout.

Ça m'a fait pousser un cri aigu, puis elle a enlevé son doigt et m'a laissée ainsi, le cul à l'air, devant les deux filles qui devaient se moquer intérieurement de moi.

Ce traitement a duré deux jours, où cette infirmière est venue me mettre en tout six suppositoires, venant même la nuit et de bon matin au réveil. J'ai effectivement très vite eu la « chiasse », et j'ai dus passer une grande partie du temps sur le cabinet.

Après, ça s'est mieux passé. Le docteur m'a prélevé un peu de tu sais quoi pour faire ses analyses, puis il m'a prescrit des antibiotiques et j'ai pu rentrer chez moi. Je suis restée tout le reste de la semaine chez moi, le temps de pouvoir retourner aux toilettes normalement. »

Cette histoire était très excitante à mon goût, mais je comprenais parfaitement sa réaction.

-Je suis désolé, m'excusai-je. Je ne savais pas tout ça.

À présent, j'avais des doutes si j'allais pouvoir un jour pratiquer des fantasmes anals avec Cécile.

Je lui retirai le thermomètre du derrière, puis vis que ça allait pas trop mal à ce niveau.

Alors, revenant à notre routine, on s'enroula tout les deux dans la couverture pour y faire l'amour.

J'ai attendu plusieurs mois avant la rupture de cette vie sexuelle monotone. Ce jour-là, j'eus une triple bonne surprise : tout d'abord, ce fut une idée qui venait de Cécile, ensuite, c'était pour me demander si je voulais faire de l'échangisme. Elle en avait parlé avec une amie qui lui avait fait cette proposition. Enfin, cette amie, c'était Morganne !

J'ai tout de suite fait comprendre que j'étais d'accord, et Cécile a renvoyé un mail à Morganne pour lui dire que j'acceptais, et elles ont fixé une séance pour le week-end qui approchait.

On s'est tous retrouvés chez Morganne : Moi, Cécile, elle, et son copain Patrick. Ce dernier était un gars très grand et musclé, comparé à moi. Je me demandai si il faisait les même choses que j'avais fait avec Morganne, mais cela me donnait un fort sentiment de nostalgie.

-Bon, on y va ? Fit Morganne.

On approuva, et on se déshabilla tout les quatre dans la chambre, chacun posant ses vêtements dans son coin. La première étape était la découverte, ou les retrouvailles, du physiques des autres. Morganne avait grandie, ses seins avaient beaucoup grossis, et elle était plus bronzée qu'avant. Patrick et moi on avait nos pénis en érection. Il regardait Cécile avec un regard admiratif.

Ensuite, quand tout le monde fut à son aise, on se regroupa en couples : Cécile rejoignis les bras de Patrick, et Morganne vint dans les miens.

Il y avait deux matelas par terre dans la chambre.

Patrick débuta et porta Cécile sur l'un d'eux, et la coucha sur le dos. Il se mit d'abord à lui caresser les seins, puis ensuite à la masturber en lui rentrant deux doigts dans le vagin.

Je commençai de la même façon, puis je demandai à Morganne :

-Tu te retournes ?

Elle m'a montré ses belles fesses, je les ai entrouverte, et j'ai doucement fait rentrer mon index dans son cul, sans l'aide de lubrifiant.

Après ces petits préliminaires, soit environ une petite dizaine de minutes plus tard, on était passé à l'action. On jeta tous un regard au couple d'à côté à peu près au même moment. Cécile était en pleine extase, sous les coups de son partenaire. C'était la même chose de notre côté, mis à part qu'on avait naturellement choisi la voie anale, après que Morganne ai été récupérer de la vaseline. C'était bon de retrouver cette sensation de toucher et doux d'anus serré autour du pénis.

Les deux filles se sourirent, satisfaite d'avoir organisé cette rencontre.

Après qu'on ait tous jouis chacun notre tour, on fit une pause, chacun retrouvant son vrai partenaire pour se reposer un peu.

Quand on décida de reprendre, Morganne me demanda de m'installer couché sur le matelas, et me montra le gode-ceinture pour m'indiquer ses intentions.

Je me suis mis de façon à pouvoir la regarder : sur le dos et les jambes relevées. À côté, Cécile venait de se relever du matelas en apercevant ce faux pénis que Morganne était entrain d'enfiler.

-Attends, fit-elle à Patrick. J'ai envie de regarder.

Elle resta debout, un mètre à côté de Morganne. Patrick vint se placer derrière elle et se mis à lui plotter les seins.

D'abord, je sentis le doigt de mon ex rentrer dans mon cul, en profitant aussi d'y faire rentrer de la vaseline. Elle m'en badigeonna de partout, puis sur le gode qu'elle portait. Ensuite je sus qu'elle allait commencer quand elle se suréleva un peu, pointant ce gode vers mon petit trou.

-Allez, fit-elle. Comme au bon vieux temps.

Elle me pénétra, moins en douceur que je ne le pensais. J'ai commencé par avoir mal, puis l'agréable sensation de se faire pénétrer par derrière revint. Morganne me tenait par la taille et débuta des mouvements du bassin à une cadence assez soutenue.

Cécile restait silencieuse, immobile, comme fascinée par ce qu'elle regardait. Patrick l'a regardée, puis une de ses mains s'est enlevée de sa poitrine, descendant doucement le long de son dos.

Je me rappelai alors que Cécile n'avait pas interdit de pratique en particulier. Quand j'ai compris que Patrick s'apprêtait à lui mettre un doigt, j'étais trop noyé de plaisir pour la prévenir à temps.

Je l'ai alors vue ouvrir d'un coup la bouche de surprise, sortant complètement de ses pensées.

Morganne fit les derniers mouvements de gode dans mon derrière puis s'enleva.

Cécile a porté ses mains à ses fesses pour attraper le poignet de Patrick.

-Non, arrête, s'il-te-plaît.

-Tu ne veux pas une petite sodomie ? Demanda-t-il.

-Non. Ressors ton doigt.

Il s'est empressé de faire marche arrière, pour la laisser tranquille.

-Tu es vierge du trou de balle ? Demanda Morganne, qui venait d'assister à la fin de la scène.

-Oui, avoua-t-elle. Je n'aime pas trop cette pratique.

Personne n'a su quoi répondre. Comme ça avait gelé l'ambiance, on a tous décider de s'arrêter là pour aujourd'hui. On s'est rhabillés et on est repartis.

Le soir, à la maison, alors que nous commencions nos préliminaires, Cécile me demanda de m'intéresser un peu à son derrière. Je n'étais pas sûr de bien comprendre ce qu'elle voulait exactement.

-De ton derrière ? Je croyais que tu n'aimais pas vraiment ça. Tu l'as encore rappelé tout à l'heure.

-Oui, mais j'aimerais bien qu'on commence doucement à s'y mettre. Et j'ai l'impression que tu y tiens aussi.

Comme elle portait encore sa culotte, je terminai de la déshabiller et plaquai mes mains à ses fesses.

-Tu en es sûre ?

-Oui, mais fais doucement. C'est la première fois.

-D'accord. Je vais te montrer quelques trucs alors.

Après avoir récupéré la poire à lavement qui traînait depuis pas mal de temps dans un de mes placards, j'ai emmené Cécile dans la salle de bain. Mes expériences passées avec Morganne m'avaient appris à faire systématiquement un petit lavement préliminaire avant tout jeu anal. Comme je n'avais par contre pas de lubrifiant, j'ai dus improviser et j'ai été chercher une bouteille d'huile dans la cuisine.

Une fois de retour dans la salle de bain, je demandai à Cécile de se mettre dans la douche, de dos, et de se pencher en avant : une position très pratique pour administrer un lavement à cet endroit.

-Tu as déjà reçu un lavement ? Lui demandai-je.

-Oui, quand j'étais petite. Je ne m'en souviens plus très bien.

-Ok. En premier, je vais commencer par lubrifier ton petit trou en mettant mon doigt. Essayes de penser à quelque chose d'agréable.

Une fois accroupi derrière elle, je commençai par lui écarter les fesses pour observer son anus. C'était quelque chose de très excitant aussi, surtout que c'était la première fois que Cécile se laissait examinée librement cette zone de son corps. Son orifice rose semblait plus petit et plus serré que celui de Morganne que j'avais observé plus tôt dans la journée.

Je fis tomber quelques gouttes d'huile sur mon doigt, et commençai par des petites caresses sur son petit trou. Je fis ensuite entrer progressivement mon doigt pour qu'elle s'y habitue.

-Ça va ? Demandai-je. Tu n'as pas mal ?

-Non, tu peux continuer.

-Ok, je vais commencer le lavement alors.

Je pris la poire en main et la remplis dans l'évier, à l'eau tiède, puis je revins me placer en face du derrière de Cécile.

-Voilà. Laisses-toi faire, je vais commencer. Essayes de ne pas te crisper, si possible.

Je dirigeai la pointe de la canule contre son anus, puis poussa lentement l'instrument dans son rectum. Aussitôt je pressai la poire pour injecter l'eau dans son cul.

Contrairement à Morganne qui absorbait deux poires sans broncher, Cécile se mit à se tordre doucement dans tout les sens presque dès le commencement de l'opération.

-Ça va toujours ? Demandai-je.

-Oui, mais je dois déjà aller aux toilettes. Ça commence à presser.

Je terminai de lui administrer la poire et la retirai.

-Restes encore sous la douche, je t'en donne une deuxième.

-Non, je dois vraiment faire, s'il-te-plaît.

-Ne t'inquiètes pas, ça va vite se terminer, mais tu seras plus propre avec deux poires.

Je lui écartai les fesses après avoir remplis à nouveau la poire à lavement. Un mince filet d'eau que Cécile n'arrivait pas à retenir s'écoulait lentement hors de son petit trou. Cela m'excita encore plus.

Je plongeai la canule une deuxième fois dans son cul, et pressai plus fort pour qu'elle n'attende pas trop longtemps.

J'entendis plusieurs fois son ventre gargouiller, puis quand ce fut presque terminé, je la libérai pour la laisser se soulager.

Là aussi, comme moi lors de ma première fois, elle n'arriva pas à se contenir une fois installée sur la cuvette, lorsque j'entendis l'eau du lavement couler. Je la laissai seule continuer, et repartis l'attendre dans ma chambre.

J'avais attendu une vingtaine de minutes dans le lit. Pour une raison qui m'échappait un peu, Cécile avait tenu à prendre une douche seule après avoir été aux toilettes.

Elle se trouvait à présent sous la couverture, nue, à côté de moi. Elle m'avait demandé d'éteindre la lumière de la chambre avant de commencer.

Je commençai d'abord par caresser son dos de la main, avant de lui demander si elle était prête. Quand elle consentit, je me relevai pour me mettre à genoux, entre ses cuisses pour ne pas qu'elle referme trop ses jambes.

Je mis à nouveau quelques gouttes d'huile sur mon doigt, et trouvai à l'aveuglette son anus pour le lubrifier davantage.

Son anus était tout chaud. J'étais content qu'elle se laisse enfin toucher à cette zone qu'elle avait longtemps gardée inaccessible. J'enfonçai progressivement deux doigts sans qu'elle ne se plaigne.

-Tu vas faire quoi ? Demanda-t-elle, la tête dans son oreiller.

-On va essayer une petite sodomie, pour commencer, proposai-je. Tu n'as pas mal quand je mets mes doigts ?

-Non, ça va, en fait.

-Ok, je vais commencer, alors. Je vais d'abord rentrer une première fois. N'hésite pas à demander d'arrêter, si tu as peur ou que tu as mal.

Je retirai mes deux doigt hors de son trou de balle, puis avançai mon corps au-dessus du sien, prenant appui sur mes avants-bras. J'avais visé juste et sentis directement mon gland se plaquer sur son anus, sans avoir besoin de m'y reprendre. J'appliquai une légère pression pour bien garder le contact.

-Maintenant, il faut que tu m'aides un peu, en poussant, lui demandai-je.

-Il faut que je pousse fort ?

-Comme quand tu vas aux toilettes, si tu y arrives.

J'attendis un peu.

-Voilà, fit-elle.

Je commençai alors à pousser plus fort mon sexe vers son petit trou. Ce fut plus difficile que ce que j'avais connu avec Morganne. Cécile devait avoir son derrière beaucoup plus serré, ou alors elle ne forçait pas assez pour m'aider. Je continuai d'appuyer, puis un moment je sentis son anus qui s'ouvrit, et qui laissa passer en une fois tout mon pénis.

Je lui demandai si ça allait car j'avais peur de lui avoir fait mal, mais elle ne se plaignit pas du tout. J'enchaînai alors avec des mouvements lents, dans un premier temps, puis plus rapides ensuite.

Cécile se laissait secouer à mon rythme sur le matelas, se contentant de garder les jambes espacées pour me faciliter le travail.

L'excitation de cette première fois était telle que je n'arrivai pas à me contenir très longtemps : je laissai partir ma semence dans son intestin et me laissant lentement retomber sur elle.

-Merci, lui fis-je. J'espère que tu as apprécié.

-C'est encore un peu nouveau pour moi, mais en tout cas je n'ai pas trouvé ça désagréable, si tu veux savoir.

Après lui avoir déposé un baiser dans le cou, je me retirai d'elle pour la laisser souffler aussi.

Comments

clyso Il ya 12 ans  
patou39 Il ya 12 ans  
pierre Il ya 12 ans  
pitchoun Il ya 12 ans  
pierre Il ya 12 ans  
clyso Il ya 12 ans