Voici un petit épisode spécial noel, bonne lecture !

À la suite de cette première sodomie, Cécile avait franchi un cap, et se laissait maintenant toucher à son petit trou. Même si elle restait quand même assez réticente à ce vice, en insistant un peu je finissais en général par lui glisser un doigt dans les fesses.

En fait je trouvais cela même plus excitant, car il fallait un peu la forcer psychologiquement pour arriver à la tripoter à cet endroit.

Ce soir, nous fêtions Noël chez moi, avec une dizaine d'amis du lycée. Morganne était présente également, seule car elle n'était plus en couple actuellement.

Au milieu de la soirée, je pris Cécile par le bras pour l'entraîner doucement vers les escaliers, afin de l'emmener dans la chambre.

-Qu'est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle après que j'eus refermée la porte.

-C'est notre petite pause plaisir ! Lui répondis-je en la prenant dans mes bras.

Je fis glisser une main de son dos jusqu'à ses fesses, et la soulevai pour la coucher sur le lit.

-Oh, petit pervers ! Tu ne veux pas attendre qu'on soit couchés ?

-Non. Mais ne t'inquiètes pas, on n'en a pas pour très longtemps.

Je venais de déboutonner sa braguette, et tirai à présent sur son pantalon pour dévoiler sa petite culotte. Je la pris ensuite par la taille et le retournai sur son ventre.

-Voyons un peu ces petites fesses, commentai-je à haute voix.

-Oh non, pas par là ! Fit-elle.

-Si, si, si, lui fis-je en tirant sa culotte jusqu'aux cuisses.

Je lui écartai les fesses d'une main, tout en suçant mon index. Son anus était comme d'habitude tout refermé.

-Non, s'il-te-plaît, Sacha. J'ai vraiment pas la tête à ça, pour le moment.

-C'est juste la petite surprise de Noël, expliquai-je. Maintenant, détends-toi.

Tout en gardant ses fesses écartées, je posai mon index sur son petit trou. Je sentis aussitôt Cécile se crisper.

-Prête ?

-Je n'ai pas le choix, avec toi, de toute façon, remarqua-t-elle. Bon allez, petit cochon, vas-y, je pousse.

Son orifice s'élargit doucement. Je profitai de ce moment idéal pour y rentrer mon doigt. En un instant, mon index se trouva au chaud dans le derrière de Cécile. Dans mon pantalon, mon pénis était tout raide. Je commençai à la tripoter dans son intimité, tout en déboutonnant ma braguette moi aussi.

Après un certains nombre d'aller-retour, Cécile me confia sa gêne.

-On arrête là, maintenant. Tu me donnes envie d'aller aux toilettes, en faisant bouger ton doigt.

-Oui, je sais, répondis-je.

Je retirai mon index de son trou de balle, mais maintins Cécile couchée sur le ventre.

-Je vais t'aider un peu à y aller, d'ailleurs.

Je fouillai dans mon jeans, et sortis du fond de ma poche une petite boîte d'où je pris un suppositoire à la glycérine, déjà un peu gras et humide avec la chaleur de la pièce.

Je tendis le bras devant le visage de Cécile, et lui montrai le médicament que je tenais entre mes doigts.

-Voici ton cadeau de Noël, ma chérie.

-Non, s'il-te-plaît, Sacha, pas de suppo ! Ça va me donner la chiasse !

-Ne t'inquiètes pas, expliquai-je. Il est tout petit, ça va juste te faire aller plus vite à la selle.

Je me remis en position face à ses fesses, les écartai et me préparai à enfoncer ce suppositoire de force.

Je plaçai d'abord le médicament sur son anus, côté plat vers l'avant pour éviter qu'elle ne l'expulse.

-Allez, on pousse bien fort.

-Non, ne me le mets pas, Sacha ! S'il-te-plaît.

-Allez, c'est parti ! Annonçai-je.

Je n'eus pas besoin de forcer pour introduire le suppo, il rentra sans problème et fut comme aspiré dans son intestin. Pour la taquiner, je laissai mon doigt dans son derrière.

J'avais été trop concentré sur ce que je faisais pour entendre les pas qui montaient l'escalier. Quelqu'un frappa trois coups à la porte.

-Je peux entrer ? Demanda une voix féminine.

Je sortis précipitamment mon doigt du cul de Cécile, juste au moment où la porte s'ouvrit. Je n'avais pas pensé à verrouiller la porte.

Morganne venait d'ouvrir la porte de la chambre, et me vit avec mon pénis sorti, et Cécile les fesses à l'air.

-Et bien, commenta-t-elle, vous avez l'air de bien profiter de la soirée de Noël, tout les deux !

Elle fit un pas à l'intérieur de la chambre et ferma la porte derrière elle.

-Morganne ! Se fâcha Cécile en se redressant, je suis avec Sacha !

Elle remonta sa culotte et son pantalon pour cacher ses parties intimes.

-Ne t'inquiètes pas, répondit-elle, je ne dirai rien à personne. Et puis on s'est déjà vu à poil, tout les trois. Tu te rappelle ?

-Oui, fit Cécile en s'asseyant sur le bord du lit. Mais là, on faisait des choses un peu gênantes.

Morganne ouvrit la bouche.

-Ah, devina-t-elle. Tu as fini par te mettre à l'anal.

-Moi pas trop, répondit-elle. Mais ça fait plaisir à Sacha. Bon moi je vais descendre, il faut que j'aille faire un tour aux toilettes.

Cette fois, Morganne me regarda, puis regarda Cécile.

-Je lui ai mis un suppositoire, expliquai-je avant qu'elle ne demande.

-Ok, je comprend, fit-elle.

Elle hésita ensuite quelque secondes, avant de nous demander.

-Vous voulez bien de moi pour vos jeux coquins, ce soir ? En bas ils font la fête, je ne pense pas qu'ils ont besoin de nous.

-Euh, on pensait rejoindre les autres... commençai-je, devinant ce que Cécile allait répondre.

Mais celle-ci réagi différemment.

-D'accord. Après tout, on peut bien s'amuser un peu, c'est Noël.

J'avais du mal à croire à ce que je venais d'entendre, mais le regard complice des deux amies ne m'échappa pas. Avant de rejoindre les toilettes en bas, Cécile murmura quelque chose à l'oreille de Morganne.

-Hum, ok. Fit cette dernière. À tout de suite.