Vues: 762 Created: 2010.08.18 Mis à jour: 2010.08.18

Chantelle

Chapitre 2 - Le lendemain matin

Ken met les deux suppositoires à sa dulcinée, il la lave sommairement, la vêtit humblement. Il la réveille un peu afin de l’installer confortablement sur la banquette avant du côté passager. Chantelle est tout sourire dans son demi-rêve, Ken en est bien content.

À 7 :30 heures, on fait entrer Ken. Ce dernier installe son amie dans le fauteuil d’examen. Une infirmière entre. Elle propose à Ken de dévêtir Chantelle, il accepte. Dès que la jaquette est passée, l’infirmière installe un soluté à sa patiente. Le patron arrive. Il prend les signes vitaux de Chantelle, tout semble bon. Certes le pouls et la pression sont bas mais c’est normal puisque Chantelle est sous calmant. Il patron demande à Ken s’il veut assister aux examens de son amie ou non, Ken dit qu’il veut être présent tout au long de ceux-ci.

À 8 heures, on commence les examens de Chantelle. Dans un premier temps, on fait un nouveau toucher vaginal puis rectal à la jeune fille. Celle-ci semble ne rien sentir. Par la suite, le patron fait un examen vaginal au spéculum à Chantelle, et il ne trouve rien. Il demande alors à Ken de bien soulever les jambes de Chantelle. Dès que c’est fait. Il lubrifie l’anus de la jeune fille et il introduit dans la cavité anale un petit rectoscope, tout semble parfait alors il prend la décision de placer celui de 60 cm afin de mieux voir, mais tout semble excellent. Le patron dit à Ken qu’ils vont maintenant passer aux choses sérieuses.

Une sonde de Foley est introduite dans la vessie de Chantelle. Le passage de celle-ci a déclenché quelques protestations de douleurs de la part de la patiente. Le patron s’aperçoit que la jeune fille commence à s’éveiller. Il demande donc à l’infirmière de vite préparer un lavement de 2 litres pour Chantelle. Ken aide son patron à placer son amie couchée sur le côté gauche. Le patron lubrifie encore l’anus de Chantelle, il insère la sonde très profondément dans l’arrière-train de Chantelle. Malgré l’effet des calmants qui subsistent, Christelle gémit et se tord. Les deux hommes la retournent sur le dos. Le patron tient fermement les jambes de la fille afin de ne pas recevoir de coups. IL dit à Ken : « Écoute, on ne peut pas lui redonner un calmant, car elle doit se vider par elle-même. Je t’invite donc à la caresser afin de créer en elle des ondes de plaisir. » Ken s’exécute, il trouve ça spécial, mais bon, si le patron le dit … Au contact des doigts de Ken sur son clitoris, la jeune fille cesse de se débattre, elle ondule. Le lavement est terminé, Ken cesse les caresses et un petit gémissement de contradiction sort des lèvres de Chantelle. La douleur donnée par le lavement combinée à celle que la jeune fille a toujours finissent de la réveiller. Ken doit lui expliquer qu’ils sont à sa clinique et qu’actuellement, on fait des examens afin de trouver quelle est la source de la douleur qu’elle a. La jeune fille dit : « j’ai besoin d’aller aux toilettes », les deux docteurs lui donnent leur accord en souriant. Chantelle arrive difficilement à se rendre à la salle de bain et dès qu’elle est assise, elle a une diarrhée du tonnerre. Elle reste dans le cabinet pendant plus de 10 minutes, Ken vient la voir pour s’assurer qu’elle est OK. Chantelle lui fait un sourire resplendissant. Elle lui dit, maintenant, je sais chéri ce que j’ai. Tu as dérangé ton patron pour rien, c’est juste une diarrhée. Ken ne dit rien. Il lui demande juste de revenir dans la salle de consultation. Chantelle le fait et dès qu’elle arrive, elle répète au directeur de la clinique qu’elle sera maintenant OK. Ce dernier regarde Ken. Il dit à ce dernier, je vais lui expliquer ce qui se passe et toi, pendant ce temps, tu donnes 5 ml de Morphine à Chantelle via son soluté et tu le fais immédiatement. Chantelle affirme ne pas en avoir besoin, elle dit être mieux être mieux, mais que la sonde lui fait mal. Le patron commence à parler très lentement, il veut que la Morphine fasse effet avant de tout expliquer à la jeune fille, car elle est déjà trop agitée. Chantelle s’endort juste après avoir entendu, vous venez d’avoir un lavement et c’est la raison de votre diarrhée. Puis à nouveau, elle est dans les limbes.

L’infirmière vient prélever un peu de sang pour faire diverses analyses puis elle enlève la sonde afin d’en placer une qui a une petite tubulure pour avoir un échantillon de l’urine toute fraîche et elle replace à nouveau une autre sonde comme la première. La dose de Morphine qu’a eue Chantelle n’est pas très forte alors quand la sonde entre à nouveau dans la vessie, Chantelle pleure de douleur. Ken demande à son patron pourquoi il ne donne pas plus de morphine mais celui-ci dit qu’il ne veut pas endormir inutilement la patiente. Si une opération s’impose, on aura à la placer sous anesthésie alors pour l’instant, on est mieux de s’abstenir.

L’infirmière revient peu de temps après, elle a des résultats partiels. Le taux de globules blancs de Chantelle est haut, de plus, il semble que la jeune fille ait une petite infection à la vessie. Le patron dit à Ken, je ne suis pas certain que la douleur soit expliquée par cette infection. Dis, veux-tu qu’on finisse la palette des examens et on verra si on trouve un autre truc. Ken dit, « oui, on poursuit ». On fait un écho abdominal à Chantelle, puis un pelvien et finalement un écho vaginal. Rien n’est trouvé là encore. Le patron demande à l’infirmière de prendre la température de la patiente, celle-ci va chercher l’appareil auriculaire. Ken dit, hier je lui ai pris par voie rectale et elle était limite. Le patron demande donc alors à l’infirmière de prendre aussi la température rectalement. Là encore, elle est toujours limite.

Le patron dit à Ken, écoute mon vieux, la douleur que tu m’as décrite semble être une douleur au gros intestin. J’opterais pour faire une coloscopie longue à ta blonde, mais avec ton accord seulement. Ken accepte. La jeune fille est placée encore du côté gauche. On redonne un peu de morphine à Chantelle puis le patron refait encore un toucher rectal à la patiente afin de bien lubrifier l’anus. Lentement, il commence à faire entrer l’appareil, la jeune fille se contracte au grand mécontentement des deux docteurs. Le patron dit : « Écoute Ken, pour que ton amie soit décontractée, je crois que tu vas devoir à nouveau la caresser, il est trop tôt pour redonner de la Morphine, je préfère attendre à la fin de l’examen. Ken s’exécute encore une fois et honnêtement, cela lui plait beaucoup. IL en a même une érection qu’il tente de cacher à son patron. L’examen avance, tout semble bon. À la sortie de l’appareil, rien n’a été vu de suspect. Le patron dit à l’infirmière de redonner un peu de Morphine à Chantelle puis d’aller assister le directeur adjoint pour l’intervention qu’il doit faire sous peu. L’infirmière quitte les deux hommes en leur souhaitant une bonne fin de journée.

L’Examen est presque terminé. Chantelle est dans les vapeurs, elle n’est consciente de rien, mais ce n’est que de l’engourdissement à la douleur. Le patron dit à Ken : « je ne vois rien, tout est beau au niveau du colon. Si j’ai bien compris hier, jamais tu n’as eu la chance de sodomiser Chantelle? ». Ken devient tout rouge et il confirme les dires du patron. Celui-ci lui fait donc la proposition suivante : « je n’ai rien trouvé à ton amie, elle est actuellement dans un état de béatitude. Tes caresses l’ont fait mouiller et de ton côté, tu es bien trop bandé … trop même pour une … Alors, je te propose de la sodomiser tout de suite. » Ken hésite, il aime et respecte Chantelle, mais il rêve tellement de ce joli petit cul que de refuser serait un pécher surtout que rien ne dit que Chantelle va vouloir le refaire quand elle sera en pleine procession de ces moyens. Donc, après avoir cogité, Ken accepte. Le patron se recule un peu. Ken déboutonne ses culottes, le recommence à masturber un peu son amie puis quand celle-ci est très très mouillée, il fait pénétrer son pénis dans le vagin de sa copine pour le ressortir quelques secondes plus tard et le faire entrer tout déglutinent de la glaire de Chantelle dans l’anus de celle-ci. Le patron l’entent dire « ah! Oui! Ah oui, comme c’est bon! » … Ken éjacule dans le fondement intime de sa bien-aimée puis lentement il se retire. Il n’est pas très fier de lui mais le patron lui dit : « écoute mon homme, elle était là, toute ouverte devant toi, alors pourquoi n’en aurais-tu pas profité? », ces paroles calment Ken.

Les deux docteurs laissent Chantelle sur la chaise afin de lui permettre de se réveiller un peu plus. Le patron dit à Ken : « on n’a rien trouvé, je vais la placer sous antibiotiques pour 90 jours afin que l’infection soit totalement résorbée. Je te donne aussi des suppositoires vaginaux à lui mettre pour 5 jours, car elle sera possiblement irritée à cause de la sonde et finalement, je te donne des suppositoires à lui mettre matin et soir pour 7 jours et par la suite de soir seulement pour 21 jours afin qu’elle n’ait pas d’hémorroïdes. J’espère que tu vas t’amuser avec ses traitements qui en passant, sont vraiment obligatoires. Si elle ne va pas mieux, appelle-moi et revient tout de suite ici, on revalidera nos examens et au besoin, on en fera de nouveau».

Chantelle est réveillée. Le patron lui explique qu’ils ont trouvé une infection de sa vessie et que le seul traitement pour cette sorte de bactéries c’est des suppositoires vaginaux pour une courte période de temps et que parallèlement elle devra aussi accepter de recevoir de Ken ses suppositoires à mettrre dans le rectum pour quelques semaines, mais qu’au bout du traitement, elle sera nettement mieux. Chantelle se plaint d’avoir mal à l’intérieur de son ventre, une sensation de brûlement dans son vagin et aussi entre ses fesses. Le patron lui dit que c’est la bactérie. Afin de la calmer un peu, il lui propose de commencer un autre traitement de suppositoires de deux jours de Démérol comme la veille, contre la douleur. Chantelle devient toute rouge et décide finalement d’accepter le suppositoire si gentiment offert. Le patron demande à Ken d’aider son amie à se placer le côté gauche et de la tenir solidement. Il lubrifie son index, il le fait entrer profondément dans le rectum de la jeune fille puis, il retire son doigt, pousse le suppositoire pour garder encore son doigt dans l’anus le temps que le suppositoire fonde un peu. Quand il a terminé, il invite Ken à aller à la pharmacie alors que Chantelle va rester avec lui afin de bien de remettre. Ken quitte la pièce et revient très vite. Pendant ce temps, le patron a repris la tension, le pouls et l’osculation de la patiente afin de noter tout ça dans le dossier.

Ken en compagnie de Chantelle quitte la clinique. Dès leur arrivée au loft, Ken installe confortablement son amie dans le lit. Il revient vite avec des jus et des grignotines. C’est maintenant l’heure de dormir. Ken dit à Chantelle qu’il doit commencer les traitements. Elle a le choix de débuter sois par le suppositoire vaginal ou par l’un des trois rectaux. Elle choisit de faire moitié-moitié. Afin de voir si la douleur de Chantelle est bien contrôlée, il lui demande de se placer à quatre pattes devant lui et lentement, il fait entrer le premier suppositoire puis le second et il laisse son index dans le fondement de son amie histoire qu’ils ne ressortent pas. Après, il demande à son amie de se replacer sur le dos, de bien plier ses jambes et de les ouvrir au maximum, il fait faire des va et vient au traitement sur le clitoris de Chantelle, celle-ci commence à jouir alors il fait vite entrer le suppositoire vaginal et demande à son amie de bien lever ses jambes dans les airs, avec son bras gauche, il met une pression sur les jambes afin que les fesses soient décollées du matelas et il fait entrer doucement le dernier suppositoire dans le popotin de son amour. Il se passe un peu de Purel sur les doigts et revient pour embrasser et coller son amie. Celle-ci lui fait comprendre qu’elle a le goût de lui, elle veut être caressée, elle veut avoir du plaisir, …

Épilogue

La nuit passe, les journées aussi. Chantelle et Ken sont toujours ensemble. Ken n’a jamais raconté à Chantelle les examens et tout ce qui va avec, elle ne se souvient même pas d’avoir eu un lavement.

Est-ce que Chantelle va bien? Je ne le sais pas encore. 😉