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Vues: 793 Created: 2013.10.12 Mis à jour: 2013.10.12

Le pensionnat de Frau Müller

Chapitre 2

Le médecin, toujours assis, baissa le boxer de l’étudiant debout devant lui. Tout en lui triturant le pénis, il dit à Frau Müller :

- Frau Müller, vous pouvez noter dans votre dossier que Daniel n’est pas circoncis, que son pénis mesure environ 9 cm au repos, qu’il a le prépuce assez long. Je vais essayer de le décalotter.

Herr Doktor décalotta plusieurs fois l’étudiant, qui n’en menait pas large, et dit :

- J’ai un peu de peine à faire glisser le prépuce, ne t’a-t-on rien dit à la visite J2(1) ?

- Oui, mais je n’ai pas jugé utile de faire des examens complémentaires.

- Et cela ne te dérange pas lorsque tu te masturbes ?

- Euh non, ça va.

- Frau Müller, pourriez-vous venir regarder et soigner ça ces prochains jours ?

- Bien sûr, Herr Doktor, répondit Frau Müller.

- Frau Müller était infirmière avant de reprendre la direction du pensionnat à la mort de son mari, ne t’inquiète pas, elle a l’habitude de bien s’occuper de ses élèves.

- Je vous fais confiance, Herr Doktor.

Je commençais à être très gêné d’assister à cette conversation intime. Je devais cependant savoir comment cet examen se déroulait, je devrais traduire la conversation pour les étudiants étrangers. Frau Müller se leva et vint regarder de près, puis se rassit. Le médecin tâta ensuite les testicules, puis les orifices herniaires. Il demanda ensuite à Daniel de retourner et de se pencher sur la table. Il lubrifia son index, puis l’introduit dans l’anus. Pendant qu’il examinait la prostate, il demanda :

- Pas de problèmes de digestion.

- Non, mais je suis assez souvent constipé.

- Frau Müller est une experte en la matière, elle s’occupera aussi de ce souci. Bien nous avons terminé, vous pouvez vous rhabiller.

Le jeune homme se rhabilla, puis Frau Müller lui indiqua que la séance était finie. Il pouvait retourner dans sa chambre pour s’installer. Le déjeuner serait servi à midi. Frau Müller passerait dans sa chambre vers 22 heures.

(1) En Allemagne, il y a deux visites médicales prévues pendant la puberté, les Jugendgesundheitsuntersuchungen, qu’on pourrait traduire pas « bilan de santé pour la jeunesse ». Elles sont abrégées par J1 (13-15 ans) et J2 (17-18 ans).

Vers 17 heures, nous avions accueilli quatre autres étudiants, il y en aurait une dizaine en tout, mais le reste ne devait arriver que le lendemain. Frau Müller était venue s’asseoir à la table et elle faisait le bilan de la journée. Elle me demanda :

- Herr K., êtes-vous satisfait de votre première journée ?

- Oui, répondis-je, mais je suis quand même un peu étonné de cet examen minutieux des étudiants.

- Je ne vous cache pas que c’est pour les humilier, leur apprendre à m’obéir tout de suite. Ces jeunes ont besoin d’être encadrés pour qu’ils réussissent leurs études. Nous avons mis au point le scénario avec Herr Doktor depuis de nombreuses années.

- Je comprends.

- Après ce qui j’ai dit, cela me dérange de vous poser une question.

- Posez-la quand même.

- Herr K., voudriez-vous aussi profiter de la présence du docteur et vous faire examiner ?

Je fus très surpris, et je me mis à réfléchir. Je n’avais pas vu de médecin depuis plusieurs années et je pouvais profiter de cette occasion. Mais je savais ce qui m’attendait et ça m’inquiétait, mais bon je décidais de jouer le jeu, j’étais l’employé de Frau Müller, qui me payait d’ailleurs fort bien, et je ne pouvais pas refuser. Je mis cependant quelques conditions :

- Oui Frau Müller, je pourrais en profiter, mais je ne désirerais pas répondre à des questions concernant ma sexualité, ni faire une analyse d’urine.

- Certainement, Herr K.. Désirez-vous que je sorte ?

- Non vous pouvez rester. Puisque, sauf votre respect, vous inspectez de toute façon tous les mâles qui séjournent dans votre maison.

- Oui Herr K., vous m’avez comprise, je pense que nous allons bien nous entendre. Herr Doktor, vous pouvez examiner Herr K..

J’eus alors aussi droit au déshabillage et aux mêmes examens. J’avais également le pouls qui battait trop fort. J’eus en plus des commentaires de Frau Müller au sujet des différentes parties de mon corps, commentaires fort élogieux je dois le dire. Je ne me demandais plus si j’allais me retrouver dans son lit, mais seulement à quel moment.

Le soir, nous dinâmes à la salle à manger avec les quelques élèves déjà arrivés, mais à des tables séparées, bien sûr. Le docteur était resté. J’avais mis une veste et une cravate, comme c’était l’usage, les étudiants aussi. Après le repas, nous nous assîmes dans un salon pour boire le café et Frau Müller me raconta l’histoire de son internat. Peu avant 22 heures, le docteur prit congé et Frau Müller me dit :

- J’ai promis à Daniel de passer le voir. Vous venez avec moi, Peter ? Permettez-moi de vous appeler par votre prénom. Je suis Gertrud.

- Certainement Frau Müller, pardon, Gertrud. Pourquoi devrais-je venir aussi ?

- Ne devez-vous pas donner un mot de passe pour l’accès Internet à Daniel ?

- Oui, c’est exact. Je viens avec vous.

Nous montâmes à pied au deuxième étage, il n’y avait pas d’ascenseur et Gertrud frappa à la porte puis nous entrâmes dans la chambre de l’étudiant. Il était assis devant son ordinateur portable, en train de jouer à un jeu vidéo. Gertrud dit :

- Bonsoir Daniel.

- Bonsoir Frau Müller, bonsoir Herr K..

- Daniel, puis-je te rappeler que tu es là pour étudier, pas pour jouer. Les jeux ne sont autorisés que le week-end.

- Bien Frau Müller.

Je lui donnai les codes d’accès au réseau local et lui demandai s’il avait besoin d’aide pour configurer son ordinateur, il me répondit par la négative. Je lui indiquai qu’il pourrait copier ses fichiers sur le serveur local, ceux-ci seraient plus en sécurité que sur son PC et je lui donnai un mode d’emploi. Frau Müller m’avait demandé de surveiller discrètement le contenu des fichiers.

Daniel avait mis une combinaison OnePiece® avec une fermeture éclair s’ouvrant en haut et en bas. Frau Müller lui dit :

- Bien Daniel, Herr Doktor a demandé de prendre soin de toi et je vais suivre ses ordres. Pourrais-tu te coucher sur le lit ?

- Oui Frau Müller.

Daniel s’étendit sur le lit. Frau Müller lui remonta la fermeture éclair par le bas, elle sortit son pénis par l’ouverture du boxer blanc. Celui-ci était nettement plus gros que ce matin. Elle fit coulisser le prépuce plusieurs fois et Daniel eut rapidement une érection. Il s’excusa :

- Je suis désolé Frau Müller, je n’ai pas l’habitude de ce genre de soins.

- Pas de souci, tu n’es pas le premier élève que je vois bander.

Je pensais que Frau Müller verrait, d’une manière ou d’une autre, tous ses étudiants en érection. Elle demanda :

- Tu as dit au docteur que tu avais déjà eu des relations sexuelles, mais je pense que ce n’est pas vrai, tu es puceau ?

- Oui, Frau Müller, je n’osais pas le dire au docteur.

- Ne t’en fais pas, tu n’es pas le seul, et personne ne ressort vierge de chez moi. Ne va pas dépenser ton argent au bordel, viens plutôt me trouver, c’est compris dans le prix de l’école. J’ai de toute façon un entretien privé avec tous les internes, toutes les deux semaines environ, pour parler de leurs progrès scolaires et de Dieu et du monde(1).

- Bien Frau Müller.

- Je repasserai demain m’occuper de ton zizi. Tu as dit que tu étais souvent constipé, es-tu allé aux toilettes aujourd’hui ?

- Non Frau Müller.

- Nous pourrions faire un lavement. En as-tu déjà eu ?

- Non Frau Müller.

Je décidai de me retirer :

- Je pense que je vais vous laisser seuls.

(1) « Parler de Dieu et du monde », expression allemande qu’on pourrait traduire par « parler de tout et de rien ».

Frau Müller me dit :

- Mais vous pouvez rester Peter, vous ne nous dérangez pas. Nous sommes une grande famille, vous verrez les fesses de nos pensionnaires tous les matins sous la douche.

- Bien, si cela ne dérange pas Daniel, je reste.

Il n’osa pas répondre. Il semblait impressionné par Frau Müller, mais je pense aussi que la situation l’excitait un peu, ou même beaucoup. Je dois dire que j’étais aussi émoustillé. La directrice lui dit :

- Enlève donc ta combinaison, ça ira mieux.

Daniel obéit et se retrouva en boxer blanc, comme le matin, Gertrud le lui baissa jusqu’aux genoux, exposant complétement son sexe. Son érection avait diminué, mais son gland était déjà très humide. Il dut se coucher sur le côté doit, il était face au mur de la chambre. Gertrud lui dit :

- Je vais profiter de te prendre aussi la température.

Elle mit tout d’abord des gants en latex. Elle avait apporté un ancien thermomètre au mercure, elle le passa dans un pot de vaseline et l’introduisit très profondément.

- Voilà, nous allons attendre quelques minutes.

Elle retira le thermomètre, la température était normale. Elle sortit et revint avec un lavement acheté dans une pharmacie. Elle dit que c’était mieux la première fois. Elle mit la canule dans l’anus de Daniel, fit couler lentement le liquide et lui remonta le slip. Elle dit ensuite :

- Essaie de le garder le plus longtemps possible.

Après quelques minutes, l’étudiant dit :

- Je dois aller aux toilettes.

Il sortit rapidement de la chambre, presque nu. Je dis à Gertrud :

- J’espère qu’il ne rencontrera personne.

- Ne vous faites pas de souci, les élèves ne s’habillent pas la nuit pour se rendre aux WC.

Daniel revint, il avait l’air soulagé. La directrice prit congé :

- C’est terminé pour ce soir, tu sais ce qu’il te reste à faire pour libérer la tension. Ça t’aidera aussi à dormir cette première nuit loin de chez toi. Bonne nuit Daniel.

- Bonsoir Frau Müller, euh, merci pour tout.

Nous sortîmes et allâmes aussi nous coucher. Je fus obligé de me livrer à la même activité que l’étudiant, j’étais aussi très tendu, au propre comme au figuré.

Comments

arthur Il ya 11 ans  
clyso Il ya 11 ans  
Woyzeck Il ya 11 ans  
arthur Il ya 11 ans  
Runner Up Il ya 11 ans  
clyso Il ya 11 ans