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Vues: 1235 Created: 2014.01.01 Mis à jour: 2014.01.01

Les aventures de Kim

Chapitre 1

Bonjour,

voici comme promis une nouvelle histoire (fictive comme d'habitude). Une suite est déjà en route 😃

1 - Les débuts

Quand j'étais plus jeune, encore adolescente, je faisais de temps en temps des jeux médicaux pervers avec Marc, mon cousin, qui avait lui quelques années de plus que moi.

Malgré notre différence d'âge, Marc semblait fasciné par mon corps. Enfin, surtout certaines parties, il fallait bien l'avouer ! On pratiquait nos jeux quand on se retrouvait seuls, ou bien qu'on était sûr de ne pas être dérangés.

Marc, qui initiait en général le rituel, me demandait :

-Kim ? On joue au docteur ?

Ce à quoi je lui demandais souvent à mon tour s'il préférait faire le patient ou le docteur, mais il avait toujours préféré la deuxième option. J'avais pourtant envie de découvrir les deux côtés du jeu, pour ma part.

Une fois la proposition acceptée, la première phase était le déshabillage. Marc, qui jouait son rôle de docteur, me donnait les consignes.

-Enlèves tes habits. Tu peux garder ta culotte pour l'instant.

Alors je me dénudais tranquillement, lentement. Je dévoilais petit à petit les parties de mon corps à Marc, qui me contemplait. Puis une fois presque nue, je détachais mes cheveux, et je m'allongeais sur le dos sur le lit ou la couchette disponible là où nous jouions.

Marc m'examinait alors. C'était un examen très physique. Il n'hésitait pas à me toucher un peu partout : ma poitrine nue, mon ventre, mes cuisses, puis quand il me "retournait" c'était la nuque, le creux des reins, les fesses !

Je frissonnais à chacune de ses caresses. C'était de loin la partie de notre jeu que je préférais. Tous ces contacts intimes me plongeaient presque dans un état second.

Puis au bout d'un moment, Marc avait besoin de quelque chose de plus fort, de plus intime, de plus "sexuel". C'était alors le moment d'enlever ma culotte. C'était toujours lui qui s'en chargeait. En position à la papa (couchée sur le dos, les pieds appuyés sur ses épaules), il tirait ma culotte, dévoilant ainsi ma chatte et mon petit trou. J'étais toujours un peu gênée à ce moment-là, comme s'il découvrait pour la première fois mon entre-jambes.

Il maintenait ensuite pendant un moment mes jambes surélevées et écartées, et se plaisait à faire des commentaires sur mon intimité. Il adorait parler de ma chatte "fraîche", et de mon trou du cul qu'il qualifiait de "petit trou serré de constipée" !

Ensuite, les positions qu'il me faisait prendre étaient diverses et variées : couchée, sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, debout, penchée, jambes écartées, etc. Je lui étais complètement soumise, adorant en secret ce côté malsain d'être manipulée comme un jouet.

2 - Le déclic

C'est durant cette partie de notre jeu que les choses devinrent un soir, plus "hard". Marc était assis sur le rebord du lit. J'étais sur ses genoux, penchée en avant sur lui. Quelques secondes de calmes passèrent, puis d'un coup un claquement brisa le silence. Marc avait abattu sa main puissante sur mes fesses nues. La douleur vive du moment remonta le long de mon dos jusqu'à ma tête, le temps que je me rende compte qu'il venait de me donner une fessée !

-Aïe ! m'exclamai-je par réflexe.

C'était la première fois que Marc me donnait la fessée ! Je tournai ma tête vers lui, tandis qu'il posait tendrement à présent sa main sur mes fesses pour les masser. D'un ton un peu désolé, il me dit :

-Désolé, j'ai pas pu m'en empêcher, Kim. Tu sais, tes petites fesses fermes... J'avais cette envie depuis un petit temps !

Puis il ajouta :

-Tu as eu mal ?

Sa main me caressait doucement comme pour m'apaiser.

-Oui, un peu ! Répondis-je. Ne le refais plus, s'il te plaît.

Puis je me détendis à nouveau, et reposai ma tête sur le matelas. Un repos de courte durée : discrètement, Marc m'écarta les fesses, très peu, et glissa son index dans ma raie, pile poil au niveau de mon petit trou. Je relevai brusquement la tête, aux aguets, et mes jambes se raidirent. Mais Marc maintint son doigt contre mon anus.

-Non. Pas ça, Marc ! Fis-je d'une petite voix.

Durant nos jeux pervers, j'avais été très clair avec lui sur ce point : pas de doigt dans la chatte, ni dans le cul ! Il avait voulu essayer une première fois, mais je ne voulais pas aller plus loin que ce qu'on faisait déjà. J'étais surtout un peu anxieuse de me faire toucher de cette façon par lui.

Il enleva un moment son doigt de ma raie, le porta à la bouche pour y poser un de salive (beurk, pensai-je), et le remis immédiatement au même endroit qu'avant.

-Ce que tu es mignonne quand tu es stressée, Kim, me fit-il d'un ton moqueur. Surtout quand il s'agit de ton petit trou du cul serré !

Il exerça une sorte de pression du bout du doigt, et je sentis mon anus commencer à "offrir un baiser" à son index.

-Arrêtes d'appuyer ton doigt comme ça, Marc ! T'es entrain de le faire rentrer !

-Oh, allez, Kim ? Tu peux bien m'offrir ça, pour une fois.

Il me provoqua en me titillant, faisant vibrer son doigt sur mon anus. Mon corps tout entier se raidit alors, des pieds à la tête.

-S'il te plaît, suppliai-je. Pas de doigt dans le cul !

-Allons, Kim. Tu peux avouer. Je suis sûr que ça t'excite !

-Non ! Tu me fais mal ! Sors ton doigt !

-Pour ça, faudrait déjà que je le rentre !

Je me demandais jusqu'où il allait oser aller. Allait-il vraiment me planter son doigt dans le cul ? Ou bien cherchait-il juste à m'embêter ou à me faire peur ?

Je commençais à croire qu'il allait sérieusement s'y oser, vu sa détermination.

J'attendis donc sa réaction, me préparant aux éventualités possibles.

-Bon d'accord, finit-il par dire en retirant son doigt et en me libérant de ses genoux. Je voulais juste te faire découvrir une nouvelle sensation, c'est tout.

La scène m'ayant refroidie, j'avais attrapé vivement ma culotte pour la remettre et placer ainsi mon trou du cul à l'abri.

-Sans façon, répondis-je. Me faire doigter le cul de force, je m'en passe volontiers !

3 - Plaisirs nocturnes

Une fois cette mauvaise dispute passée, on se réconcilia petit à petit, et on regagna finalement le lit ensemble quand la nuit tomba. On ne couchait pas ensemble, mais on aimait dormir ensemble, l'un contre l'autre, ou en tout cas dans le même lit. Marc était torse nu, et ne portait qu'un short pyjama. Quant à moi, je m'étais allongée en culotte, que j'avais gardée tout le reste de la soirée.

Marc s'endormit rapidement, alors je pus tranquillement, et en secret, m'adonner à mes plaisirs solo. D'abord en m'occupant de ma chatte de mes doigts agiles, puis j'en vins à repenser à la scène qui avait eu lieu tout à l'heure. Et petit à petit, peut-être par curiosité, je rapprochai mon doigt de mon petit trou, jusqu'à l'atteindre et bien le sentir à l'entrée de l'orifice.

Restant immobile, je tournai uniquement les yeux vers le côté. Marc dormait profondément.

"Et si j'essayais de me doigter là ? Pensai-je" Je commençai à appuyer doucement, puis plus fort. "Merde ! Ça ne rentre pas facilement ! Pensai-je en arrivant juste à appuyer sur mon anus". J'essayai un moment de persévérer, mais sans résultat, et je n'osai pas pousser trop fort non plus. "Je ne dois pas m'y prendre correctement, finis-je par penser".

Puis, abandonnant cet essai infructueux, je me dis : "Finalement, il faudrait que ce soit Marc qui s'en occupe, il a l'air de savoir s'y prendre avec mon petit trou !"

Après une bonne heure de réflexion, ayant enfin décidé de franchir le pas, je choisis une façon romantique de sortir Marc de son sommeil : l'enlaçant, puis le chevauchant, je lui glissai plein de bisous dans le cou et au niveau du torse.

-Kim... ? Qu'est-ce que tu fais ? Demanda Marc en revenant à lui.

Je continuai un peu mon réveil, en en profitant au passage pour lui tâter ses muscles. Il finit par se réveiller totalement, assez amusé par tout mes bisous.

-A quoi tu joues, Kim ? Me demanda-t-il.

Il me prit aussi dans ses bras. Ses mains caressèrent mon dos, puis il se rendit compte d'un truc.

-Et, mais Kim ? Tu es nue ? Tu n'as plus ta culotte ?

Je stoppai alors mes baisers, et lui répondis.

-Oui. Je tenais à m'excuser pour tout à l'heure. Tu sais, quand tu voulais me doigter...

-C'est pas grave, Kim...

-Mais finalement, je veux bien essayer ! Lui avouai-je en lui lançant un sourire coquin.

4 - Passage à l'acte

Cinq minutes plus tard, retour à la case départ. On avait rallumé la lumière dans la chambre, et nous étions tout les deux bien réveillés.

-Je ne comprends pas ce qui t'a fait changer d'avis comme ça, s'interrogea Marc.

-J'ai juste eu plus de temps pour y réfléchir, fis-je. Tout à l'heure, tu m'as un peu prise par surprise, ça m'a embarrassée.

Cette fois, c'est aussi moi qui choisit la position : à la papa ! J'avais les fesses au bord du lit, vers l'extérieur, les pieds appuyés comme d'habitude sur les épaules de Marc.

-Prête ? Me demanda-t-il.

J'approuvai d'un signe de tête, espérant ne pas avoir de regret. Alors il ne perdit pas de temps. Il plaça son doigt tendu sur mon petit trou, et commença à pousser dessus. Mais je sentis cette fois une résistance à la pénétration. Marc aussi semblait avoir quelques difficultés à me doigter.

-Ça ne rentre pas ? Demandai-je.

-T'inquiètes pas. Ton anus est un peu sec, je vais m'occuper de ça !

Du coup, il enleva son doigt, puis s'agenouilla en face, approchant sa tête vraiment tout près de mon entre-jambes. Je pus presque sentir sa respiration sur ma peau. Puis je sentis un truc mou et humide me toucher le trou du cul, et je compris que Marc est entrain d'utiliser sa langue.

Je me laissai faire, appréciant cette nouvelle sensation que je trouvais assez agréable. Marc me tenait à présent les fesses bien écartées de ses deux mains, et continuait à faire jouer sa langue. D'abord des caresses en surface, puis il la contracta et tenta de la faire rentrer un peu. Sa langue appuyait sur mon orifice, qui commençait à se détendre et à accepter de s'ouvrir. Là aussi j'avais l'impression de me trouver dans un état second. Cependant ça ne dura pas très longtemps. Marc retira sa tête, et remplaça sa langue par son doigt.

-Ça devrait bien se faire, maintenant, commenta-t-il.

En effet, quand il se remit à appuyer, je sentis comme dans la soirée son doigt commencer à s'introduire dans mon cul. Comme je ne résistais pas, cette fois-ci, il progressa lentement mais fit rentrer son doigt de plusieurs centimètres ! Je me rendis compte alors que quand on était consentent, ce geste pouvait tout à fait être agréable et excitant !

Très vite, il eut rentré son doigt de toute sa longueur, alors il commença de petits va-et-vient. Cela provoqua des bruits gras de sucions qui me firent sourirent un peu.

-Tu aimes bien, Kim ?

-Mmmh, oui, c'est sympa, avouai-je.

-Ça veut dire que maintenant tu voudras bien que je te touche là pendant qu'on joue au docteur ?

-Qu'est-ce que tu as en tête ? Lui demandai-je d'un ton amusé, le laissant continuer à me doigter.

-Plein de trucs ! Un toucher rectal, comme maintenant, mais aussi prendre ta température dans le derrière, te donner un suppositoire, ou même éventuellement te faire un lavement !

-Pour ça, va falloir me convaincre !

5 - Un suppo et au lit !

Marc retira son doigt de mon cul, et fit une pause. On se replaça tout les deux sous la couverture, pour discuter un peu de ses nouvelles propositions. Il m'avoua qu'il y avait tout ce qu'il fallait ici, dans sa maison, et qu'il savait où les trouver. Finalement il n'en fallut pas plus pour attirer ma curiosité et me lancer. Comme j'étais encore bien "chaude", je voulus tester ça tout de suite.

-Marc, ça te dirait d'aller me chercher un suppositoire ? Je crois bien que je suis un peu constipée, moi !

-Maintenant, Kim ?

-Oui, vas-y. Je veux tester tes talents de docteur !

Il se leva alors, et quitta la chambre en pleine nuit, pour revenir quelques instants après. Il tenait un petit médicament blanc dans sa main.

Les couvertures enlevées, je me tournai sur le côté, lui présentant mes fesses pour l'opération.

-Il n'y avait pas de suppositoire à la glycérine pour te faire aller aux toilettes, précisa Marc, mais je suis sûr qu'un suppo à l'eucalyptus te fera le plus grand bien !

-Si tu le dis. C'est toi le docteur, après tout.

Arrivé sur le lit derrière moi, sa main écarta mes fesses, au niveau de mon petit trou, puis je sentis le médicament toucher mon anus. Marc le fit rentrer sans difficulté. En quelques secondes, c'était fini, j'avais absorbé la petite fusée sans la faire ressortir. Ce n'était pas exceptionnel, mais ça valait son petit plaisir tout de même.

-On fait quoi, maintenant ? Demanda Marc.

Fatiguée de ne pas avoir encore dormi, je baillai, puis lui fis :

-Je crois que je suis vraiment crevée, avouai-je. On va s'arrêter ici pour cette fois, je pense.

Il accepta sans problème, alors on éteignit les lumières, et on regagna la chaleur de la couette. Une forte odeur d'eucalyptus nous accompagna d'ailleurs dans notre sommeil pendant un moment.

6 - Soin obligatoire !

Quelques jours plus tard...

En arrivant à la maison, on monta Marc et moi dans la chambre d'amis, tout en haut de la maison. Là-bas, on était tranquille et sûr de ne pas être dérangés, et c'était exactement ce qu'on voulait.

Marc avait enfin réussi à trouver le courage dans l'après-midi de pénétrer dans la pharmacie pour y acheter des suppositoires à la glycérine. Il avait aussi apparemment réuni dans la chambre divers accessoires utiles pour notre séance de "jeu du docteur".

Je ne savais pas encore ce que j'allais ressentir, ni si j'allais trouver ça agréable, mais déjà l'idée de quelque chose de nouveau m'excitait sexuellement. En fait, je n'avais pas vraiment d'expérience personnelle en rapport avec les suppositoires. Je n'avais jamais eu l'occasion d'en recevoir étant plus jeune. Le premier que j'avais reçu était celui que Marc m'avait mis quelques jours plus tôt, dans sa chambre la nuit. Ça s'était passé rapidement, un peu trop pour définir clairement ce que j'en avais ressenti, mais en tout cas, je n'en gardais pas un souvenir désagréable, d'où le fait que j'ai acceptée cette séance aujourd'hui.

Comme d'habitude, Marc commença par me demander de me dévêtir. Je déposai donc mes vêtements un par un sur le lit, gardant juste ma culotte pour laisser le plaisir à Marc de finir de me déshabiller.

Cette fois, il sembla pressé d'en venir à la partie intéressante : il s'approcha de moi, et mis sa main contre mes fesses.

-Je te mets un petit suppositoire tout de suite, Kim ? Me demanda-t-il.

Je n'avais pour ma part pas envie de passer à ça tout de suite, et je ne voulais pas louper la première partie de la visite médicale, que je trouvais très agréable.

-Chaque chose en son temps, répondis-je avec un sourire à Marc. Tu pourras me mettre un suppositoire que quand tu m'auras examinée.

-Très bien, fit-il. Alors allonges-toi sur le lit, on va commencer.

Il débuta en me mettant sur le ventre, cette fois-ci, et fit mine d'examiner mon dos en me massant. J'installai confortablement ma tête, appréciant ce massage. J'espérais juste qu'il n'allait pas essayer de baisser ma culotte trop vite. En continuant, peu après, il me demanda :

-Si tu veux bien, Kim, j'aurais une faveur à te demander...

-Vas-y, demande.

-Quand ce sera le moment du suppo, si tu pouvais résister un peu, faire comme si tu ne voulais pas en avoir, ça me ferait plaisir.

Je souris d'un air amusé suite à cette demande peu commune, et surtout perverse.

-Ça t'exciterait, tu veux dire, que je sois réticente ?

-Euh, oui, avoua-t-il, un peu mal à l'aise.

-Et tu veux que je résiste physiquement ?

-Non, juste que tu me dises que tu ne veux pas, tout ça, mais que tu me laisses le mettre quand même !

-Bon d'accord, acceptai-je.

Marc avait eu là une idée pour le moins bizarre, voire perverse, mais après tout pourquoi pas, vu que j'avais accepté de recevoir un autre suppositoire aujourd'hui, ça ne changeait rien à part un peu de comédie de ma part.

-Merci, fit-il. Tu peux te retourner sur le dos, maintenant, je vais examiner ton ventre...

Le laissant me toucher le ventre, puis la poitrine, la gorge, les jambes, etc, je fermai les yeux pour mieux apprécier cette examination. Je ne pouvais cependant pas m'empêcher de penser au suppositoire qui m'attendait, vu que c'était aussi le but principal de cette visite de m'envoyer aux toilettes.

-Humm, tu as le ventre un peu crispé, aujourd'hui, commenta-t-il en me touchant le bas du ventre.

J'ouvris les yeux, et le vis me faire un clin d'œil. La première partie de la visite médicale était déjà finie visiblement. Les fantasmes de Marc n'attendaient pas très longtemps, apparemment. Tant pis, il fallait bien passer aux choses sérieuses, un moment !

-Qu'est-ce qui se passe ? L'interrogeai-je comme si je m'adressais à un docteur.

-Je ne sais pas. Peut-être une constipation occasionnelle, fit-il. Je vais devoir enlever ta culotte pour regarder ça.

-Pourquoi ? Demandai-je en prenant un ton légèrement inquiet.

-Il faut que j'examine ton cul, pour voir si c'est bien ça. Allez, on lève les jambes en l'air !

Tout en obéissant, lui donnant mes jambes, je me fis réticente comme il voulait. Au moment où il tira ma culotte pour l'enlever complètement, j'attendis qu'il écarte mes fesses pour demander :

-Eh ! Qu'est-ce que tu fais là ?

-Je t'examine, répondit-il simplement. En effet, tu as l'anus très serré. Sûrement une constipation. Il va falloir soigner ça rapidement !

Il me relâcha, et je le vis alors attraper pas loin de lui la boîte de suppositoires à la glycérine. Tout en en sortant un, il m'annonça le traitement.

-Je vais te mettre un suppositoire comme laxatif. Avec ça, tu vas pouvoir aller aux toilettes facilement.

-Euh, j'ai pas vraiment envie, fis-je. J'ai un peu peur, de ce genre de médicament.

J'aurais bien retiré mes jambes de ses épaules pour lui compliquer la tâche, mais comme il ne souhaitait pas de résistance physique, je restai bien immobile, le laissant maître des évènements.

-Allez, fit Marc, pas de discussion ! Tu es constipée, donc tu auras un suppo !

Le tenant entre deux doigts, il le dirigea vers mon entre-jambes, et juste après je sentis qu'il m'écartait à nouveau les fesses pour poser la pointe contre mon trou du cul.

-S'il-te-plaît, Marc ! Pas ça ! Je veux pas !

Il eut alors sur son visage un petit sourire pervers une fraction de secondes, puis je sentis son doigt presser mon petit trou. Mon muscle se relâcha, et en un instant son doigt me pénétra entièrement, faisant rentrer le médicament avec. Il retira son doigt presqu'aussitôt après, et comme la première fois ce fut une sorte de soulagement.

-Et voilà, il est dans ton derrière ! Fit Marc. d'un ton vainqueur.

7 - Température rectale

Je me rassis sur le lit en tailleur, encore un peu troublée par ce geste peu commun. C'était la première fois que je prenais un laxatif, alors je me concentrai pour voir si je ressentais déjà l'envie d'aller faire caca, mais pour l'instant aucun changement.

Marc me demanda si je voulais me recoucher, pour m'examiner encore un peu, mais je refusai. Je voulais d'abord aller aux toilettes avant de poursuivre quoique ce soit.

-Il ne vas pas faire effet avant une bonne dizaine de minutes ! M'expliqua Marc en rigolant de mon ignorance. On a encore un peu de temps pour s'amuser ! Si t'es pressée, la prochaine fois, je penserai à te donner un lavement !

Je me remis donc sur le ventre, les fesses à l'air, et il m'annonça qu'il allait me prendre ma température rectale. Il alla s'emparer du thermomètre en verre qu'il avait pris dans la boîte à pharmacie, puis déposa avant toute chose un peu de salive sur mon petit trou. Puis quand je fus lubrifiée, il glissa la pointe du thermomètre dans mon derrière, juste suffisamment pour pouvoir le lâcher et qu'il tienne en place.

Il se releva ensuite du lit, et recula de quelques pas pour me contempler.

-Tu veux une petite photo souvenir, Kim ?

-Eh, non ! Pas de photo ! Répondis-je, stressée.

-T'es sûre ? Juste pour nous deux.

-Non, je veux pas qu'on garde des preuves de ce qu'on fait, répondis-je catégoriquement.

Marc n'insista pas. Il revint auprès de moi, s'excusa, et me caressa doucement les fesses en prime, pendant que le thermomètre me sondait. On resta silencieux un moment ensuite. Je me concentrai, mais le suppositoire ne faisait toujours aucun effet. "Pourvu que ça ne fasse pas mal, pensai-je."

Après ce moment de silence, Marc m'annonça que la température devait être mesurée, et me sortit le thermomètre du cul.

-Trente-sept degrés, lut-il. Bravo, Kim, tu n'as pas de température !

Il remis sa main ensuite au niveau de mon entre-jambe, et passa un doigt sur mes lèvres vaginales.

-Quand tu seras prête, on pourra aussi examiner cette partie, fit-il.

-Contentes-toi de mon cul pour l'instant, répliquai-je. Je ne vais pas te laisser tout faire d'un coup.

Un petit moment passa, et enfin je sentis l'effet du suppo commencer à se faire sentir. C'était exactement comme quand on commence à avoir envie d'aller aux toilettes. Comme je n'étais pas très douée pour me retenir très longtemps, et que je ne savais pas si l'envie allait vite se faire pressante, je m'excusai auprès de Marc avant de remettre mes vêtements et m'absenter.

8 - Examen approfondi

Une fois la porte des toilettes verrouillée, je baissai mon pantalon et ma culotte et m'assis confortablement sur la cuvette, les jambes écartées. Le suppositoire allait probablement bientôt m'obliger à pousser.

C'était quelque chose ! Se faire de cette façon obliger à aller faire caca par quelqu'un d'autre ! Je pense qu'à ce moment je commençais vraiment à apprécier ce côté soumise en moi. Et les désirs de Marc allaient visiblement dans ce sens aussi.

Je me décontractai, et en cinq minutes, ce fut terminé. Le suppositoire avait merveilleusement fait son boulot. Je repartis donc dans la chambre du haut retrouver Marc, lui annonçant la "réussite de son traitement".

-Tu veux un examen rectal approfondi, maintenant ? Me proposa-t-il, voyant que j'étais toujours partante pour continuer.

Il me montra alors ce qui se nommait un anustoscope : un tube métallique destiné à être introduit dans le derrière, qui maintenait le trou du cul ouvert pour examiner à l'intérieur plus facilement. L'embout était pour des raisons évidentes arrondi, mais la taille et la largeur de l'instrument m'impressionnait un peu. Ce n'était pas si gros que ça, mais c'était autre chose qu'un doigt ou un suppositoire !

-Où est-ce que tu as trouvé ça ? Demandai-je.

-Un achat surprise d'un sex-shop en ville ! Me répondit Marc. Alors tu veux l'essayer ?

-D'accord, mais vas-y doucement alors. J'ai pas envie que tu me fasses mal en le rentrant !

Je m'installai de ma propre initiative contre le lit, penchée en avant, les fesses en retrait. Marc me rassura.

-Ne t'inquiètes pas, Kim. C'était fourni avec un gel lubrifiant et apaisant, je vais t'en mettre pour que ça rentre facilement.

Je le vis faire couler une noisette du gel en question sur son doigt, puis aller se placer derrière moi pour m'écarter les fesses. Son doigt vint m'étaler le gel froid en surface, mais ne tarda pas à s'insérer dans mon petit trou pour en mettre aussi en profondeur.

Cette crème était agréable. Je pouvais sentir le doigt de Marc se glisser dans et en dehors de mon cul sans problème. Là je pus enfin prendre le temps de ressentir correctement l'effet d'un doigt dans le cul ! Et c'était plutôt sympathique comme sensation ! Il faudrait qu'à l'avenir il prenne l'habitude de commencer par m'appliquer un lubrifiant !

Au bout d'un moment, mon anus se mit à faire des bruits gras pour accompagner les mouvements du doigt de Marc. Et comme je venais d'aller aux toilettes, je n'avais presque aucunement la sensation d'avoir besoin de faire à nouveau, ce qui facilitait les choses.

-Bon, on y va, fit-il en retirant son doigt à présent tout gras.

L'engin métallique fut placé contre mon trou du cul par ses soins, tandis que je restais calme, penchée en avant.

-Allez, je pousse, annonça-t-il.

Je m'attendais à quelque chose de plus fort que jusqu'à présent, voire une douleur au moment de la pénétration, mais cela se passa sans soucis. Le tube rentra sans difficulté dans mon derrière, glissant aussi facilement que son doigt.

Une fois enfoncé de cinq bons centimètres, il libéra l'embout, et se pencha pour regarder par le trou du tube.

-Penches-toi un peu, Kim, pour orienter tes fesses vers la lumière, demanda-t-il. Je ne vois rien comme ça.

Je fis ce qu'il me demandait, et le laissai un moment observer avec une certaine curiosité l'intérieur de mon intestin. Curieuse également, je lui demandai :

-Tu vois quoi, là-dedans ?

-Pas grand chose, en fait. C'est un peu rouge.

-Ok. Bon ben si tu pouvais me le sortir maintenant... J'ai pas envie de partir au lit ce soir avec l'anus tout dilaté !

-Je crois pas que t'auras le choix, Kim. Le gel que j'ai mis à pour effet de dilater l'anus pour les prochaines heures.

-Tu plaisantes, Marc ?

-Pas du tout. Mais ne t'en fais pas, ça va vite redevenir comme avant : bien serré et bien ferme !

Il me retira le tube du cul, et le passa un peu sous l'eau pour le nettoyer. Je lui en voulais un peu de m'avoir mis cette crème qui dilate sans me prévenir avant ! Je n'avais pas envie de le disputer maintenant, mais ce geste ne resterait pas impuni !

9 - Vengeance

La nuit était tombée depuis un bon moment déjà. Minuit était passé. Marc s'était endormi rapidement, comme l'autre fois. Je portai encore une fois mon doigt à mon anus. C'était encore un peu gras, mais je le sentais déjà plus ferme. La crème et son effet dilatant finissaient enfin par s'estomper !

Je jetai un coup d'œil en biais et vit Marc couché sur le ventre, dormant profondément. Parfait, j'allais pouvoir mettre ma vengeance à exécution ! Heureusement que les parents s'étaient absentés et qu'on dormait dans le même lit, ainsi les choses seraient plus faciles.

Je retrouvai rapidement dans la pénombre le gel qu'il m'avait appliqué, et le gardait précieusement avec moi.

"Maintenant, au tour de Marc, pensai-je."

Je me dirigeai doucement vers lui, posai ma main sur son dos, puis sur ses fesses. Il ne réagit pas. J'entrepris alors de lui baisser son short de pyjama juste assez pour découvrir ses fesses. Je ne les avait jamais vues avant, bien que là la pénombre de la pièce empêchait de bien y voir clair. Je n'avais jamais touché un garçon à cet endroit, mais ça ne devait pas être très compliqué. Je glissai délicatement mon doigt dans sa raie, prenant garde de ne pas le réveiller, et parcourus le creux jusqu'à repérer son trou du cul ! "Ça y est, j'y suis, pensai-je." Je pris une bonne dose de gel sur mon doigt, puis en appliquai en surface de son anus. Marc bougea un peu pendant l'opération, mais ne se réveilla pas et ne se retourna pas. Je pus ainsi finir tranquillement mon travail, terminant même par une petite pénétration d'un centimètre.

Je le rhabillai, remis sa couverture sur lui, et me remis au lit. Vu l'heure, l'effet ne serait dissiper qu'en milieu de matinée !

Au réveil, j'étais déjà consciente. J'observai Marc discrètement, pensant qu'il allait s'apercevoir tout de suite de mon tour de cette nuit, mais il ne sembla rien remarquer.

Pour l'humilier un peu, je décidai alors de lui avouer tout.

-Quoi ! Mais pourquoi tu as fait ça ? Fit-il en glissant son doigt dans son short, à un endroit bien précis que je devinai sans peine.

Je le regardai faire avec un sourire.

-Et oui, mon grand ! C'est donnant donnant ! T'avais qu'à me prévenir que ça dilatait l'anus, ta crème !

-Mais du coup, t'as mis ton doigt dans...

-Oui, le coupai-je. Dans ton cul. Mais ne t'inquiètes pas, il faisait noir, j'ai pas vu grand chose.

Il rougit alors de tout son visage. J'étais satisfaite de le voir ainsi embarrassé. Il portait sans arrêt son doigt à son derrière, sous son short évidemment.

-C'est tout mou, se plaignit-il. J'espère que je ne vais pas avoir de fuite !

-Ça, fis-je, tu ferais mieux d'aller d'abord aux toilettes, on ne sait jamais.

Je le laissai seul, et partis en bas prendre un petit-déjeuner. Marc ne se montra que bien plus tard, après avoir passé un temps incroyablement long à la salle de bain équipée de toilettes.

-Ça va mieux, ton trou du cul ? Demandai-je pour le narguer une dernière fois.

Il m'avoua que c'était presque fini, que ça allait mieux. Alors on sut qu'on était quittes pour cette fois.

Comments

clyso Il ya 10 ans