Voici la suite de cette histoire, après un petit saut dans le futur :

10 - Transition

Plusieurs années passèrent...

Avec Marc, on se retrouva plusieurs fois, lors des réunions ou de vacances en famille. Notre période cul-cul d'adolescence était passée, et on prenait maintenant nos distances. Toutefois, le fait de se revoir à chaque fois nous remémorait ces moments à jouer à nos jeux médicaux, et cela nous mettait mal à l'aise plus qu'autre chose.

A présent, j'étais devenue une jeune femme, et lui un jeune homme. Je sortais alors avec un autre homme, Serge, que je venais de rencontrer depuis peu. Il travaillait dans une petite entreprise, et avait bientôt atteint la trentaine.

11 - Fantasmes

Le soir était bien avancé. Dans ma chambre, je me laissai m'allonger, nue, sur mon homme, après avoir baisé un bon moment avec lui. La transpiration de nos deux corps en témoignait, d'ailleurs.

Il m'enlaça, posant ses mains dans mon dos, puis se promena un peu sur mes fesses.

Mes fesses ! Ça faisait longtemps qu'on ne m'avait plus toucher à cet endroit ! Les dernières fois remontaient à mes jeux avec Marc, mon cousin. J'en gardais un souvenir agréable, bien sûr. Serge, lui, ne s'était jamais aventuré de ce côté.

Je profitai donc de cette opportunité pour lui faire savoir que j'étais ouverte à des "alternatives" sexuelles. Tandis qu'il avait ses deux mains à la fois dans le creux de mes reins et sur mes fesses, je fis bouger mon cul doucement, faisant rouler ma peau sous ses mains.

-Humm, encore bien chaude, ce soir, commenta-t-il. En voilà une qui veut un supplément !

"Mince, si je ne lui fais pas comprendre, il va penser que je veux baiser ! Pensai-je. Il faut que je le guide dans la bonne direction"

Je continuai à faire rouler les rondeurs de mes fesses dans ses mains, lui souris quand il caressa ma raie, mais il ne saisit pas le message, ou bien n'osait pas. J'étais moi-même trop timide pour oser aborder le sujet directement. On refit donc l'amour normalement, puis épuisés, on s'endormit comme des bébés dans les bras l'un de l'autre.

12 - Retour aux sources

Le lendemain soir, j'avais préparé le terrain, déterminée à tenter l'anal avec Serge. Comme je ne savais pas comment l'aborder sexuellement, je me souvins qu'avec Marc ça avait commencé par des gestes médicaux, et je décidai de suivre la même voie.

Durant la journée, je fis croire à Serge que j'avais quelques soucis pour aller aux toilettes, sans insister, juste pour qu'il l'ait en tête. En fin d'après-midi, je lui annonçais que je filais à la pharmacie prendre de quoi me soigner. J'achetai alors une boîte de suppositoires à la glycérine pour adultes, ainsi qu'un tube de vaseline à usage médical.

Je choisis comme moment pour agir le soir, dans la salle de bain. On prenait nos douche à deux. J'avais secrètement rangé auparavant mon traitement fictif dans la salle de bain.

Quand on sortit de la douche, tout les deux nus, je le devançai pour aller me pencher, ouvrir l'armoire, et sortir le sachet de la pharmacie.

-Serge, mon chéri, tu peux m'aider à me donner mon traitement pour la constipation ? Demandai-je tout naturellement.

Il vint à ma rencontre, puis, arrivé à côté de moi, il vit le traitement en question. La boîte de suppo et la vaseline.

-Je dois prendre deux suppositoires ce soir, mentis-je. Tu pourrais me les mettre ? Je risque d'avoir un peu de mal toute seule.

Je guettai sa réaction. Il parut d'abord très surpris, je crus même qu'il allait refuser, mais les choses se passèrent comme prévu.

-Oui, bien sûr, fit-il.

-Merci.

Je restai debout, et me penchai en avant sur la cuvette des toilettes. j'espaçai également mes pieds à une trentaine de centimètres l'un de l'autre, pour éviter de serrer les fesses.

Serge prit un peu de vaseline sur son doigt, puis porta ce dernier en bas de ma raie des fesses. Respectueux, il en étala rapidement autour et sur mon anus, sans aller plus loin, puis se retira.

-C'est bizarre, fit-il en prenant un premier médicament, qu'il faut que tu prennes deux suppositoires. Tu veux d'abord essayer avec un seul, ma chérie ?

-Non, le pharmacien m'a conseillé deux ce soir, pour être sûr de résoudre le problème. Tu peux les mettre, ça ne me gêne pas.

Il revint derrière moi, et plaça la petite fusée en position de départ.

-Prête ?

-Prête ! Répondis-je.

Il poussa, et fit rentrer son doigt dans mon cul, de quelques centimètres, le suppositoire se logea au fond.

-Ça va ? Je ne t'ai pas fait mal ? Demanda-t-il en se retirant.

-Non ça va.

-Bon, alors on passe au suivant !

Il sortit un deuxième suppositoire, et procéda de même. Il logea la fusée dans mon derrière sans problème.

-Merci, docteur ! Fis-je.

Je me relevai, et tandis qu'il se lavait les mains, je jetai un coup d'œil discret vers son entre-jambes. Bingo ! Il avait un début d'érection. Pas encore tout à fait complète, mais cela ne laissait pas de doute à son état d'excitation.

-Tu bandes ? Demandai-je.

Il fut d'abord mal à l'aise, et commença à s'excuser, mais je vins à son secours.

-T'inquiètes pas, chéri. J'ai bien aimé ça aussi. Je dois même t'avouer que ça m'excite un peu, ces doigts dans le derrière, c'est stimulant !

On s'échangea un baiser, puis je lui dis, non sans un sourire coquin :

-J'espère que les deux suppos ne suffiront pas. Comme ça j'aurai droit à deux autres demain matin !

Mais juste après que je dise ça, ce fut à son tour de me glisser un mot à l'oreille :

-T'en fais pas, Kim, j'ai compris. Ce soir je m'occupe de ce côté !

Il accompagna ce dernier mot d'une petite tape sur mes fesses, puis me laissa à la salle de bain. En sortant, il prit le tube de vaseline avec lui.

-Je crois qu'on va en avoir besoin d'un peu plus, fit-il avec un sourire.

13 - Sodomie

Une fois seule, je m'assis sur la cuvette. Pour bien me vider, je laissai les deux suppositoires agir le plus longtemps possible. Puis quand j'eus fini, je rejoignis la chambre où Serge m'attendait, tout nu.

Je commençai par lui enfiler une capote, profitant de son sexe bien tendu vers le haut.

"Bientôt, tu seras dans mes fesses ! Me dis-je en regardant ce pénis."

Bien que j'eus envie de ça, cela ne m'empêcha pas d'être stressée, vu que c'était la première fois qu'un homme me allait me sodomiser. Je lui demandai alors s'il avait déjà fait ça avant.

-Oui, fit-il, mais il y a longtemps.

-Ok, bon ben alors je te laisses faire. Mais vas-y doucement. Moi ça va être ma première fois !

Il se montra compréhensif, et me rassura en me disant qu'il n'y aurait aucun problème, et que ce serait agréable. Il me conseilla pour me détendre de m'allonger sur le ventre, et plaça un oreiller sous mon bassin pour surélever mes fesses.

-Détends-toi complètement, fit-il.

J'obéis, essayant de me relaxer au maximum. Serge m'écarta alors les fesses, et commença en déposant sur mon trou du cul une dose généreuse de vaseline, qu'il étala ensuite. Puis son doigt passa de l'autre côté, pour une série de va-et-vient lents. Comme dans mes souvenirs, le geste faisait du bien. La vaseline laissait glisser le doigt sans problème, sans laisser de douleur. Le fait de m'être vidée juste avant contribuait aussi.

Au bout d'un moment, Serge m'annonça qu'il allait mettre un deuxième doigt, pour dilater mon anus.

Tout en douceur, il ajouta son majeur. De son autre main, il me caressait le dos pour m'aider à me détendre. Le massage anal se prolongea un bon moment, si bien que je commençais à m'impatienter.

Il retira finalement ses deux doigts, et se mit en position. Il écarta davantage mes jambes, pour poser les siennes entre les miennes, puis tint son sexe pour le guider correctement. Il mit son gland dans ma raie, puis sur mon anus, appuya un peu pour se "caler", et enfin se pencha au-dessus de moi, les avant-bras appuyés sur le matelas.

-Bon, allez, j'y vais doucement, fit-il. N'oublies pas de rester décontractée.

Il laissa son bassin aller, et la gravité fit le reste. Son gland dur et chaud ne tarda pas à percer et s'introduire dans mon orifice anal.

Je restai silencieuse, respirant profondément et me concentrant sur cette nouvelle sensation. Serge resta logé au fond de mon rectum un moment, puis commença à bouger, d'avant en arrière. Il resta lent dans ses mouvements. Plusieurs fois pendant l'acte, il fit une pause en s'enfonçant en moi et me demanda si j'allais bien.

-Oui, répondis-je à chaque fois.

-Tu veux que j'achève le travail dedans ?

-Oui, vas-y.

Il reprit alors, une dernière fois, mais commença à accélérer ses va-et-vient. Très rapidement, ma peau commença à me brûler, mais ça restait supportable. Je ne lui dis rien et le laissa faire, jusqu'à ce qu'il se soulage.

Il ressortit alors, me laissant avec un anus bien ouvert, et partit à la salle de bain se nettoyer.

Quand il revint, on se jeta un regard complice, et il me rejoignit sous la couette. On passa le reste de la soirée à se câliner, jusqu'à ce que le sommeil nous gagne tout les deux.

14 - Lavement en couple

La suite de notre relation fut une période très physique, très sexuelle ! Plusieurs fois par semaine, on s'adonnait avec Serge en plus de baiser à notre nouveau plaisir commun : la sodomie. Comme pour notre première fois, Serge commençait toujours, avec mon accord, par me mettre deux suppositoires pour me vider avant, souvent juste après le repas.

Un jour cependant, on vit qu'on avait terminé la boîte. Je proposai d'aller en racheter plusieurs pour nous faire une réserve, mais il proposa une nouvelle solution. C'était le moment pour moi de découvrir les lavements !

J'avais laissé Serge aller au sex-shop tout seul, malgré qu'il ait insisté pour que je l'accompagne là-bas. Il revint peu après, un sac à la main. On rentra à la maison, et il me montra son achat : un nécessaire à lavement.

Le kit était composé d'un ballon de deux litres, d'un long tube souple, où l'on pouvait fixer à l'extrémité plusieurs canules, de tailles variables.

Après avoir fini de manger le soir, on se rendit dans la chambre pour mon premier lavement.

Serge prépara le matériel, tandis que je me préparais à recevoir. J'étais dans la même position que pour être sodomisée : couchée sur le ventre, un oreiller sous mon bassin. On avait choisi ensemble une canule de taille moyenne pour ce premier lavement. De toute façon, les pénétrations anales ne me faisaient plus vraiment peur. En effet en pratiquant régulièrement la sodomie mon anus avait gagné en souplesse.

Serge fit le mélange d'eau salée, et remplit le ballon au maximum de sa capacité : les deux litres ! Il raccorda le tuyau et la canule, suspendit le ballon en hauteur, puis ce fut le moment de commencer.

-Je vais te mettre la canule, fit-il en se penchant par dessus moi.

-Vas-y, chérie.

Il lubrifia un peu mon anus, et fit rentrer sans problème l'engin. C'était un modèle comportant des reliefs qui évitait toute expulsion involontaire de ma part.

-Attention, je libère l'eau !

Il retira la pince métallique du tuyau, et je sentis aussitôt l'eau s'écouler rapidement en moi. Serge jetai un œil au ballon pour vérifier que le niveau descendait bien.

L'effet désiré du lavement, par rapport aux suppositoires, se fit presque immédiatement ressentir. J'en fis part à mon homme.

-Euh, Serge, j'ai déjà envie d'aller aux toilettes, là.

-Déjà ? Tu n'as pris qu'un petit quart de litre. Il va falloir que tu te retiennes un peu, sinon tu auras du mal à tout évacuer aux toilettes !

-Ok, je vais essayer...

Je me concentrai sur d'autres choses pendant un temps, essayant d'oublier le besoin. Serge me demanda de temps en temps si ça allait.

-Je commence à me sentir pleine, fis-je.

En remuant mon ventre par secousses, je pouvais ressentir l'eau bouger en moi, c'était amusant.

-Restes calme, Kim, fit-il. Il n'y en a plus pour très longtemps, le niveau descend à bonne vitesse.

Il continua à m'encourager à prendre le maximum d'eau, avant de finalement remettre la pince quand je le suppliai d'arrêter.

-Bon, tu as dû absorber un litre et demi, c'est déjà pas mal, fit-il.

Il retira la canule, et je dus forcer pour ne pas pousser à ce moment-là, sinon c'était sûr que j'allais inonder le lit. Je me relevai doucement pour aller vers la salle de bain.

-C'est ça, fit Serge, pas de geste brusque jusqu'à la cuvette.

Il m'accompagna jusqu'à la porte de la salle de bain, puis me laissa seule faire mon affaire.

Je restai plusieurs minutes sur la cuvette, laissant l'eau s'écouler de mon derrière tandis que mon ventre se dégonflait au fur et à mesure. La technique du lavement était en effet bien plus rapide et bien plus efficace que les suppos. Je pris soin de me laisser me vider totalement avant d'aller rejoindre Serge au lit.

Là, il m'attendait sur le lit, le sexe déjà bien au garde-à-vous. Je me mis moi-même sur le matelas, en position pour une sodomie, les jambes écartées. Serge se plaça au-dessus de moi, puis dirigea son pénis vers mon petit trou.

Par rapport à nos premières fois, il était devenu un peu plus direct, moins doux. Il fit rentrer son pénis assez profondément dans mon trou du cul, et commença directement ses allers et venues. Je m'y étais habituée. Au lieu de prendre du plaisir par sa douceur et sa patiente, j'apprenais maintenant plutôt à apprécier cette vigueur, cette passion pour venir me sodomiser au lit comme ça !

Quand il termina, j'avais l'anus dilaté et en feu. Je dus attendre plusieurs minutes pour que l'effet s'estompe un peu.