15 - Nouveau partenaire

Les semaines suivantes se passèrent, puis les mois. Ma vie avec Serge suivait son cours, alternant les périodes de romance, de froid, et de sexualité exagérée bien sûr. Malgré ça, des changements se firent inévitables, et on finit par se séparer avec Serge, en bons termes. Le courant ne passait tout simplement plus entre nous.

Il s'en suivit alors pour moi une longue période de célibat. Je vivais seule dans un appartement en ville. Pendant cette période, je pris un peu de poids, alors je décidai de changer un peu mon quotidien. J'étais aussi un peu en manque de sexualité. L'absence d'un homme dans mon lit me manquait, et je commençais à me lasser des plaisirs solo, qui ne permettaient pas les même choses, il fallait bien l'admettre.

Comme j'aimais bien le sport, en particulier la nage, je m'inscris en abonnement à des séances de natation. Ainsi j'aurais peut-être la chance aussi de faire de nouvelles rencontres !

En effet, après quelques séances seulement, je fus repérée, puis abordée tandis que j'étais assise au bord de la piscine.

-Salut, fit cet inconnu en arrivant à mon niveau. Moi c'est Bastien.

-Salut, lui répondis-je pour lancer la conversation.

Bastien était beau, jeune, sportif, mais un détail me faisait bizarre : il était très jeune par rapport à moi. J'arrivais sur mes vingt-sept ans, et lui devait peut-être à peine avoir eu son bac. Moi qui n'avais eu que des partenaires plus âgés que moi, j'espérai en acceptant de m'engager dans cette histoire que tout se passerait bien.

On engagea la conversation tous les deux, alors il prit place à côté de moi. Je compris dès cette première rencontre qu'il était sexuellement intéressé. Sa façon de me relooker discrètement la poitrine et les jambes, ça ne faisait aucun doute !

Voulant tenter le coup moi aussi, même si ce n'était qu'une seule fois, je décidai de dissiper toutes dragues, invitations, ou discussions qui nous feraient perdre du temps. D'un clin d'œil, je lui proposai qu'on aille tout les deux faire un tour aux vestiaires.

-Tu peux venir chez les femmes, il n'y a personne à cette heure-ci, et il paraît que les cabine pour se changer sont plus spacieuses !

Il fut étonné que les choses aillent si vite, avec tant de facilité, mais il accepta sans trop d'hésitation.

En arrivant avec Bastien dans les vestiaires, on s'enferma dans une cabine et on se débarrassa tout les deux de notre maillot de bain. Je vis en jetant un œil à son sexe qu'il bandait déjà. De mon côté aussi, j'étais excitée. Je mouillais déjà bien assez pour commencer. Je m'approchai de lui, rentrai en contact avec sa peau, et mis mes mains sur ses épaules.

-Vas-y, prends-moi ! Fis-je.

Sa réaction n'attendit pas. Il me prit dans ses bras, me souleva un peu en s'appuyant contre le mur, et dirigea son pénis entre mes cuisses. Il trouva son chemin, et commença à me baiser dans la cabine. C'était une agréable sensation que je n'avais pas eu depuis un moment. Je fis tout de même attention de ne pas faire de bruit au cas où d'autres passeraient pas loin.

Quand il termina, qu'on eut joui tous les deux, on rigola entre nous de ce qu'on venait de faire, et on se rhabilla pour repartir. Comme on ne s'était pas échangé de numéro, je lui demandai avant qu'il ne parte.

-Tu veux qu'on se revoit, Bastien ? Ou c'était juste une fois pour s'amuser ?

-J'avoue que je veux bien passer la soirée avec toi, fit-il, je suis disponible.

-Tu n'as qu'à passer chez moi, proposai-je. j'habite juste à côté, dans un appartement. Je vis seule.

-Ok, fit-il. Bon ben je vais me rhabiller, moi aussi. On n'a qu'à se retrouver à la sortie de la piscine.

16 - Sous la douche

Une fois arrivé chez moi, je ne perdis pas de temps pour l'emmener dans ma chambre. On refit l'amour encore une fois, et on se laissa aller sur le matelas, épuisés tous les deux de cette séance de sport.

-Houa ! C'était génial ! Fis-je.

Je pensais au début que j'allais avoir à faire à un garçon sans trop d'expérience, mais je me trompais : il savait y faire avec les femmes ! Je me dis quand même que je pourrais en profiter pour lui apprendre deux ou trois trucs qu'il ne connaissait pas. Après tout, j'avais il y a quelque temps développé certains besoins, côté anal principalement !

J'attendis le soir pour passer à l'action. On venait de manger un bout, et quand il m'annonça que si je voulais il pouvait passer la nuit ici, je lui proposai d'aller prendre une douche avec moi avant d'aller au lit.

Il me suivit, et on passa un moment sous l'eau chaude à se laver et se détendre. Puis un moment, j'en profitai pour m'échapper de ses bras et me glisser derrière lui. Ses fesses étaient bien exposées. Je rassemblai alors un peu de courage, et glissai mon doigt dans sa raie. Tombant directement sur son anus, je poussais légèrement pour le titiller.

-Hé ! Qu'est-ce que tu fais ? Demanda-t-il en voulant se retourner.

-Je te montre quelques trucs sympa, répondis-je en posant ma main gauche sur son épaule pour le détendre.

-Holà, Kim ! Je ne suis pas sûr que ...

Je ne l'avais pas laissé finir sa phrase. D'une bonne poussée, je fis rentrer mon doigt en force dans son derrière. Je trouvai sa prostate comme j'avais eu l'occasion d'apprendre à le faire à mon ex, Serge. J'entrepris alors de lui faire un massage anal.

Bastien eut plusieurs respirations assez fortes. Il poussa quelques gémissements qui m'indiquèrent que j'avais bien trouvé son point G. Je continuai à presser sa prostate, et observai avec amusement ses petites convulsions due à l'excitation.

Quand je terminai, je retirai mon doigt de son cul, et quittai la douche pour aller me laver les mains, le laissant apprécier la séance.

-T'as aimé ? Lui demandai-je quand il sortit de la douche à son tour.

-J'avoue que c'était quelque chose ! Fit-il. Je ne m'y attendais pas, et on ne m'avais jamais fait ça avant, mais ça fait du bien !

Lorsqu'on regagna ensuite la chambre, on refit une troisième fois l'amour dans la journée. Puis mon petit geste coquin que j'avais eu porta ses fruits : Bastien me proposa pour finir une sodomie, que j'acceptai volontiers. Cette fois, pas de suppositoire ni de lavement, on fit ça naturellement. J'avais été aux toilettes peu de temps avant donc il n'eut pas de soucis côté hygiène.

J'étais installée sur le ventre, sur le lit. On avait placé un oreiller sous mon ventre pour relever mes fesses. A cheval sur mes cuisses, il s'est d'abord occupé de me mettre un peu de vaseline d'un pot que je lui avais confié, puis ça a été vite. J'étais détendue, je l'ai senti s'allonger sur moi, son pénis appuyer sur mon trou, puis me pénétrer une seconde après.

Cette séance avait été moyennement agréable car Bastien y avait été un peu fort en me sodomisant. J'avais l'anus qui me brûlait. Je lui fis remarquer de faire plus doucement, la prochaine fois qu'il aurait l'occasion de m'enculer.

17 - Domination

Mes rapports avec Bastien m'excitaient beaucoup. On ne vivait pas en couple, mais on se voyait de temps en temps, environ une fois par semaine, pour passer la soirée ensemble et finir au lit. J'avais découvert qu'il était très sensible du petit trou, ce qui me donnait pas mal d'occasion de le taquiner. Au bout d'un moment, les rôles avaient plus ou moins été inversés par rapport à mes expériences avec mes anciens partenaires, Marc et Serge. C'était moi qui m'occupait de ses fesses, qui prenait les initiatives, et qui décidait quoi faire. Mon moment préféré pour passer à l'action était après la douche, que l'on prenait toujours ensemble.

J'étais contre Bastien, derrière lui. Mes mains caressaient son dos avec du savon, tandis que l'eau chaude ruisselait sur nos corps. Je baissai mes yeux vers son postérieur : ses fesses étaient crispées, contractées. Il avait beau aimer se prendre des doigts, je ressentais toujours chez lui un certain stress et aussi une certaine gêne. Il avait raison de serrer les fesses car je lui avait déjà fait sous la douche. Mais pas cette fois-ci, j'attendis qu'on sorte. Je finis de la savonner, puis le rinçai complètement.

Quand il sortit de la douche en premier, je profitai de me trouver derrière lui pour lancer le jeu. Je fis claquer sans lui faire mal ma main sur ses fesses.

-Allez, mon grand ! C'est l'heure de l'inspection du derrière ! Lui annonçai-je.

J'aimais bien utiliser cette formule, qui me donnait l'impression d'être maîtresse de la situation. Bastien comprit et s'avança jusqu'à la commode, puis se pencha légèrement dessus en avant pour avoir les fesses en retrait, encore mouillées.

-Détends-toi, lui fis-je en lui caressant le dos. Je rassemble le matériel et je m'occupe de ton derrière.

J'ouvris plusieurs placard, et rassemblai beaucoup d'accessoires. Aujourd'hui, j'étais particulièrement excitée et j'avais envie de lui faire la totale. J'avais même acheté des gants à usage médical, histoire de faire tout correctement. Quand tout fut prêt, je revins vers lui, et reposai une main sur son dos.

-Je vais commencer, fis-je.

En me penchant un peu, je vis au niveau de son entre-jambes son pénis durci. "Ça y est, là je peux commencer, pensai-je". Je fis glisser ma main de son dos à ses fesses, et de deux doigts, je les écartai un peu pour voir son anus serré. Je donnai une brève caresse du bout de mon doigt dessus, et vis l'orifice se resserrer en réponse.

-Bon, je vois que tu es encore un peu crispé. Est-ce que tu as été aux toilettes aujourd'hui ?

-Non, pas encore aujourd'hui.

-Tu veux que je te mette un suppositoire ?

Bastien hocha la tête en guise de réponse, sachant que de toute façon, j'allais lui en donner un. Je retirai alors ma main de ses fesses, laissant celles-ci se refermer, et retournai vers l'évier. Là, j'ouvris l'emballage d'un suppositoire à la glycérine. Je tenais ce petit médicament en me dirigeant à nouveau vers Bastien, qui attendait les fesses à l'air. Commençant à le connaître un peu, je savais qu'il était stressé dans ce genre de situation. Accroupie derrière lui, je pris mon temps pour lui écarter les fesses, et poser la pointe du suppo sur son anus. Puis après lui avoir dit de pousser, je lui insérai mon doigt dans son derrière, rapidement. Je ressortis ensuite mon doigt ganté avec quelques traces discrètes dessus.

-Il va agir dans une vingtaine de minutes, annonçai-je.

Puis j'ajoutai :

-Ça me laisse encore le temps de compléter ton traitement avec un bon lavement !

Commençant à le connaître, je savais que par contre, contrairement aux suppositoires, Bastien n'allait pas être très excité par cette pratique. Il se redressa et voulut commencer à protester, mais j'avais déjà attrapé la poire à lavement mise de côté, que j'avais aussi remplie par la même occasion.

-Allez, on se remet en place ! Fis-je en prenant un ton plus sévère pour éviter toute discussion.

A mon grand plaisir, Bastien m'obéit sans discuter. Il se pencha de nouveau sur la commode, me présentant ses fesses nues et mouillées. Je me remis moi aussi en position , accroupie derrière lui, je lui écartai ensuite les fesses, mais attendis un peu avant de lui introduire l'embout de la poire dans sa rondelle.

Excitée de le faire attendre ainsi dans cette position humiliante, je lui dis :

-Humm, tu m'as l'air tout serré là dedans !

Comme pour me répondre, je vis que Bastien eu une poussée, par réflexe. Je n'eus pas le temps de réagir que je vis son anus s'étirer, puis s'ouvrir, et le suppositoire apparut à l'entrée de cet orifice. Le médicament fut expulsé et tomba à terre, laissant aussitôt après l'anus se refermer.

-Eh bien, fis-je, on essaye d'échapper à son traitement ? Tu vas me finir d'absorber ce suppo, tu peux me croire !

Je ramassais alors le médicament, qui avait déjà un peu fondu, sur le carrelage de la salle de bain, et le rapprochait de l'entre-jambes de Bastien.

-Oh, Kim ! Arrêtes, c'est gênant ! Fit-il.

Ne l'écoutant pas, je mis le suppositoire en position, et le renfonçai, plus profondément cette fois, dans son cul. Bastien luttait en serrant les fesses mais le gras du suppo me permit de lui donner tout de même son traitement.

-Voilà, dans le cu-cul ! Et maintenant, le lavement.

Ne lui laissant pas le temps de réagir, je sortis mon doigt de son derrière et le remplaçai par la canule de la poire, que j'enfonçai avec facilité. Bastien laissa échapper un petit gémissement en réaction à cette intrusion de force, mais je ne m'en préoccupai pas. Ce qui m'intéressait, c'était de lui faire son lavement, ça faisait trop longtemps que je le voyais et que je n'avais pas fait ce genre de jeu avec ce nouveau partenaire.

Pressant la poire à deux main, je fis lentement mais srement pénétrer l'eau tiède dans son intestin. Il tourna la tête vers moi pour me regarder faire, alors je lui lançai un sourire coquin.

-Ton lavement va bientôt être finir, lui annonçai-je.

Je terminai de vider la poire dans ses fesses, puis retirai la canule et partis la laver à l'évier de la salle de bain.

-Je peux aller sur la cuvette, maintenant ? Me demanda-t-il.

-Ok, vas-y, répondis-je. Quand tu seras vidé, rejoins-moi dans la chambre. Ce soir, je m'occupe de ton trou du cul !