Vues: 697 Created: 2011.06.11 Mis à jour: 2011.06.11

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 18

Bonjour,

Un extrait d'un petit livre de la série "Les interdit" : "atteintes à la pudeur" de Bernard Margeride.

Le praticien appuya deux doigts sur son abdomen, les tapota de l’autre main et les déplaça par à-coups vers le slip. Il glissa sous l’élastique qu’il finit par baisser, dégageant tout le pubis et les légères frisettes brunes, qui s’enroulèrent autour des doigts, sous l’élastique qu’il finit par baisser, dégageant tout le pubis et les frisettes brunes, qui s’enroulèrent autour des doigts Il dénuda même le haut de la fente. Se soulevant, choquée d'un tel sans-gêne, Juliette devina son bouton gonflé. Devant son regard outragé, le docteur dit, comme pour la provoquer

- Tu es souvent constipée ?

Pourquoi lui demandait-il ça ? Cependant, elle ne put qu’acquiescer brièvement, honteuse d’un aveu sur une chose aussi intime. Et lui d’insister lourdement :

- Je le sens bien à la palpation.

Prenant sa culotte à deux mains, il la lui ôta sans lui demander la permission, sans même la prévenir. Il jeta un coup d’oeil très indiscret à I’empiècement du slip, qu’il replia et posa près du ventre dénudé. Il avait pris un air complice, vaguement égrillard, comme pour bien montrer qu’il avait remarqué les sécrétions. Juliette, le rouge aux joues, ne put lui résister quand il souleva ses jambes, pour poser ses pieds sur les étriers. Il la contempla. nue, les cuisses écartées, le sexe ouvert, immobile à sa disposition. Dans le contre-iour, Juliette vit la barbe autour des lèvres et sur le menton, dessinant un bouc méphistophélique.

Elle entendit un bruit, vit sa tante debout dans l’embrasure de la porte. Marie-Noëlle ne l’avait jamais vue à poil ; pour se faire pardonner sa curiosité, elle lui sourit.

- On va examiner cette grande fille,

dit, jovial, le toubib qui enfilait des gants.

Pourquoi, tout d’un coup, étaient-ils si gentils tous les deux ?

Juliette eut l’impression d’une complicité entre eux, pendant que Massiac enduisait son anus d’une noisette de gel translucide, très frais. Juliette se contracta, mais il fit lentement tourner le gras du doigt, élargissant son sphincter. Elle céda, incapable de résister à la pression insistante de l’index qui s’enfonça tout entier dans son cul. Massiac pressa fortement du poing refermé sur son ventre, en continuant à la fouiller avec désinvolture.

C’était inconvenant, brutal ; les os de la paume appuyaient contre ses fesses amollies. Une sensation curieuse grandissait dans le derrière de la jeune fille. La démangeaison était igréable ; des ondes voluptueuses parcouraient son corps,gagnaient ses seIns, son sexe. Elle soupira profondément, regardant au plafond pour éviter de croiser les yeux moqueurs de Marie-Noëlle.

- Ça va ? Je ne te fais pas mal ?

Elle sourit bravement, pour ne pas avouer ce qu’elle ressentait réellement : la gêne qui la paralysait, l’excitation qui l’envahissait. Massiac retira Son index, et ajouta à l’intention de sa tante :

- On va faire un petit prélèvement. Il doit y avoir des colibacilles. A propos, a-t’elle pris sa température rectale ces jours ci ?

- Oui docteur, comme vous l’aviez souhaité, je lui ai pris sa température, matin et soir depuis cinq jours.

Le rouge monta au joues de Juliette qui détourna sa tête ; sa tante avait bien précisé « je », à la honte de la grande jeune fille. Elle avait bien du se résoudre à tendre ses fesses à sa tante, pour qu’elle lui introduise ce satané thermomètre. Oh elle ne détestait pas ça ; il lui arrivait régulièrement de s’introduire le petit instrument. Ce qui lui déplaisait, c’était de montrer son derrière… Pourtant c’était encore sa mère qui lui prenait sa température… Et sa tante le savait bien…

- Ah très bien ! prenez le thermomètre sur le meuble à votre gauche, vous allez me servir d’assistante ; prenez-lui sa température maintenant.

Marie-Noëlle ne se fit pas prier. Dans la position de sa nièce, l’anus déjà lubrifié, le thermomètre glissa avec aisance dans la pastille frémissante jusqu’à ce que les doigts de la tante reposent dans la raie bien ouverte.

- Vous le lui enfoncez bien loin, dites-moi !

- rassurez-vous, sa mère lui prends régulièrement sa température depuis toute petite et l’a habituée peu à peu à une pénétration profonde.

Il bavardèrent ainsi pendant une dizaine de minutes avant que me médecin ne lui retire le thermomètre.

- 38°2 ! bien nous allons voir ça !

Juliette ne vit pas ce qu’il y avait dans le plateau qu’il posait près de ses jambes, Elle ferma les yeux, refusant de voir ce qu’il lui faisait. Elle sentit qu’il écartait ses petites lèvres à deux doigts, d’un geste sûr. Jamais un homme ne lui avait fait ça ! Jamais elle n’avait consulté un gynéco. Maintenant son sexe ou vert, il y plongea le doigt, jusqu’à toucher son pucelage,avec une obstination déplacée. Elle frémit sous le choc électrique dans son ventre. Et lui d’insister sur l’hymen, déclenchant des contractions ! Juliette n’avait jamais enfoncé ses doigts aussi loin en elle, même si elle savait effleurer avec délicatesse son clitoris, caresser son orifice, glisser son index entre ses lèvres humides.

S’il n’y avait pas eu sa tante si près, elle aurait gémi, se serait laissé aller aux sensations jouissives si puissantes, qui l’enflammaient.

- Votre nièce est une sage jeune fille.

Y avait-il de l’ironie dans ce commentaire sur sa virginité ? En tout cas, le docteur n’était pas pressé de cesser de la titiller. Elle l’entendit avaler sa salive ; sa pomme d’Adam saillait dans son cou musculeux. Il ne retira le doigt que pour lui introduire un tube frais. Elle se força à regarder. Il tenait une tige de métal avec, au bout, un morceau de gaze. Il la plongea dans son sexe, et elle ressentit une démangeaison sensuelle dans les chairs moites du vagin. Elle ne put s’empêcher de soupirer ; son ventre se contracta encore. Honteuse, elle sentit qu’elle était prête à jouir. Si elle avait été seule avec lui ! S’il avait insisté !

Il retira le tube qui distendait son sexe. Ses chairs dilatées ne se refermaient pas, alors qu’il frottait le prélèvement sur une boîte de culture.

- On va faire une coproculture

Et comme elle ne saisissait pas le terme, il précisa :

- Je te fais un prélèvement anal.

Au point où elle en était, Juliette le laissa disposer d’elle, mais il ne lui enfonça rien entre les fesses. Avant qu’elle s’en étonne, il commanda :

- Tu te tournes. La Position de la prière musulmane.

Il fallait exhiber son derrière ; elle obéit, incapable de dire non, mais serra machinalement les fesses. Il lui ouvrit les cuisses, pressant des deux mains dans le creux de ses aines, écartant ses genoux et rapprochant ses pieds. Tout à l’heure, elle était ainsi, avant que sa tante ne se lève, mais maintenant c’étaient des mains d’homme qui la palpaient, lui faisaient prendre une attitude qui choquait sa pudeur de vierge. Juliette, la joue contre le papier qui recouvrait le plateau de la table, le laissa enfiler un autre tube dans son anus. Il pressa sur ses reins, la faisant se cambrer, pour qu’elle lui présente encore mieux son trou du cul et son sexe ouvert.

Il prit sa vulve dans ses doigts, la pétrit brutalement, mais s’arrêta bien vite, comme si c’était une pulsion subite qui lui avait fait saisir sa conque, alors qu’il aurait du s’occuper de son cratère anal.

Il poussa encore le tube dans son anus ; elle sentit le souffle court sur ses fesses, pendant que la tige la fouillait, grattait ses entrailles pour obtenir le prélèvement. Elle craignit de péter tant c’était irritant. Et elle dut faire un terrible effort pour se retenir. Il retira l’instrument, mais la laissa avec la canule enfilée dans le cul, présentant son sexe. Il expliqua quels soins il prévoyait, au lieu de la libérer et de la laisser se rhabiller.

- Dans la plupart des infections urinaires, il y a auto-contamination, à partir de l’intestin. On retrouve les mêmes Escherischia Coli [/i]dans l’urine et dans les matières fécales.

Elle n’écoutait pas les noms bizarres, ne voulait pas les retenir. Il caressait maintenant avec gentillesse ses fesses, tout près de l’anus, touchant la sonde qui distendait l’orifice.

- On nettoie tout ça par lavement ou goutte-à-goutte rectal.

- Qu’est-ce que c’est ?

demanda-t-elle, étonnée de ces noms bizarres.

- C’est très simple, l’eau chargée d’oligo-éléments a un pouvoir cicatrisant et désinfectant. Il s’agit de la laisser sur les muqueuses le plus longtemps possible.

- Comment ça se passe ?

Juliette se sentait ridicule. Elle avait compris en quoi consistaient les soins. Il ne s’agissait pas de boire de l’eau, de prendre des douches ou des bains, mais de subir ce qu’on lui faisait petite quand elle n’arrivait pas à faire caca.

- Eh bien, dans la position où tu es là, on t’administre un litre d’eau, à deux ou trois reprises pour bien tout dégager Après on te met une sonde, et on laisse couler tout doucement, pour que ça pénètre bien profondément, partout.

C’était humiliant. A qui allait-elle devoir encore montrer ses fesses, son sexe ? Mais en même temps, elle avait envie que ce soit Massiac qui injecte l’eau dans son ventre, l’emplisse de liquide pesant. Elle voulait sentir une main sur son sexe moite, bizarrement partagée entre sa pudeur choquée et l’envie qu’il continue.

Juliette entendit Marie-Noëlle à ses côtés qui, d’une voix légèrement agacée, demandait si les examens étaient terminés. Comme s’il revenait à la réalité, le toubib retira la canule, disant simplement, d’un ton où perçait du regret :

- Tu peux te rhabiller.

Il n’alla pas tout de suite dans son bureau pour remplir les documents de prise en charge de la cure, la regardant se rajuster. Il passa sa langue sur ses lèvres sèches et dit :

- N’aie crainte, on va bien te soigner ! Une dernière recommandation : A partir de demain, température trois fois par jour au moins. De toute façon les soignants de l’établissement thermal on l’habitude…

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Bonsoir,

Un deuxième extrait de "Atteintes à la pudeur"

Bon week-end

Juliette, accompagnée de sa tante, entra dans une grande pharmacie, en face des thermes, afin d’acheter les canules pour les lavements exigés par le médecin. La pharmacienne expliqua avec force détails comment on les utilisait

- Celle-ci, la plus fine, est disposée sur la poire à lavement.

Les autres clients entendaient tout et devaient l’imaginer les fesses en l’air, attendant qu’on lui injecte le clystère. Juliette rougit ; la femme, avec un sourire amusé, insista, lui montrant un tube de quinze centimètres de long, gros comme une pouce.

- Celui-ci est pour le goutte-à-goutte.

Devant la moue de Juliette, la pharmacienne se crut obligée d’ajouter d’un ton convaincu

- C’est excellent pour l’intestin.

Désignant de l’ongle de son auriculaire le plastique transparent annelé, elle se vanta :

- Nous avons déposé le brevet, mon mari et moi. Avec notre système, le sphincter a enfin une prise, vous comprenez. ? La jeune fille a de la cystite ?

- Effectivement ! Autre chose, je ne savais pas devoir fournir certains instruments, or je n’ai pas pris de thermomètre et je dois lui prendre sa température trois fois par jour…

Juliette rougit encore plus…

- Suivez-moi, je vous montre notre choix.

Elle ouvrit un grand tiroir, dans lequel étaient alignés une multitude d’instruments, du classique thermomètre familial, jusqu’au plus grand modèle « hypothermique ».

- Je me permet de vous en conseiller un de taille intermédiaire, votre nièce étant adolescente, vous pourrez l’introduire plus loin, sans risquer de le voir disparaître…

Le lendemain matin, Marie-Noëlle vint réveiller Juliette,

- La température, ma chérie !

- Pourquoi ne me laisses-tu pas la prendre moi-même !

- Parce que j’adore prendre leur température aux petites et aux grandes filles ; je me régale de transpercer leurs joli derrière. Alors si tu ne veux pas en plus une fessée, montre-moi tes fesses !

L’adolescente se tourna sur le coté et laissa sa tante la découvrir puis remonter sa chemise de nuit. Elle sentit deux doigts écarter ses globes fessiers pour découvrir sa rosette, puis un autre mouillé de salive pénétra d’une phalange sans insister et fut remplacé par le thermomètre. Une fois l’extrémité argenté enfoncée, le tube de verre commença à s’enfoncer,

- aiee ! doucement, il est gros ce thermomètre !

- Mais oui ma chérie, il faut t’habituer à recevoir des visiteurs plus gros qu’un petit thermomètre pour enfant ; tu a bien vu la canule, elle est encore plus grosse alors soit sage !

Juliette ressentait un mélange de honte et de plaisir diffus à se laisser ainsi traiter comme une petite fille ; le thermomètre s’enfonçait doucement, lui procurant une satisfaction perverse qu’elle n’avait pas encore ressentie lors des précédentes intrusions du thermomètre… Elle sursauta et poussa un petit gémissement lorsque la tige de verre toucha au fond de son ventre.

- Là ma puce je n’irais pas plus loin pour cette fois !

Jusques là, Marie-Noêlle ne s’était pas intéressée au coquillage de sa nièce ; cette fois-ci, elle prit le temps de l’examiner. La fente longue et étroite était encore dépourvue de poils, malgré les dix-sept ans et demi de la jeune fille, mais elle constata rapidement qu’au fur et à mesure que le thermomètre s’enfonçait, les deux lèvres se séparaient et une brillance les tapissaient ; La petite coquine prenait plaisir a son « traitement ».

Elle décida de pousser plus loin « l’auscultation» et son doigt se glissa le long de la fente,

- nooon tatie je t’en supplie pas ça !

- mais si ma petite chérie, ta tante doit bien te connaître, même au plus intime.

Le doigt progressa dans la fissure jusqu’à rencontrer l’orifice vaginal dans lequel il s’engagea délicatement. Lâchant le thermomètre, Marie-Noëlle incita sa jolie nièce à lui ouvrir ses cuisses pour lui offrir entièrement son bijou féminin. Cette fois-ci, Juliette n’opposa aucune objection et ses cuisses s’ouvrirent en grand. Le thermomètre, pendant ce temps étant ressorti un peu, elle le renfonça, plus loin encore…

Son doigt franchit le seuil qu’il touchait et s’enfonça délicatement dans l’étroit conduit , souple malgré tout. Enfin le visiteur indiscret toucha la membrane attestant la virginité de l’adolescente.

- Tiens donc, ma jolie nièce est encore pucelle !

Pour une première incursion, elle décida de ne pas aller plus loin et le doigt remonta en haut de l’encoche, couronnée d’une légère toison châtain, à la rencontre du clitoris, sur lequel elle entama un lent mouvement circulaire.

La jeune fille se tendit et émit une petite protestation, puis fut traversée par un long frisson…

Marie-Noëlle retira le thermomètre,

- ma petite Juliette, je crois bien que ce séjour se passera très bien !

L’adolescente sauta de son lit dans les bras de sa tante…

Elles se rendirent aux Thermes pour commencer leur cure. La station avait été florissante, le bâtiment imposant avait de beaux restes. Sur une place coquette, au milieu de parterres fleuris, s’ouvrait un hall de style mauresque, avec une surabondance de mosaïques et de stucs datant le l’exposition coloniale.

La tante, suivant une infirmière, entra dans une des salles ; Une dame d’une petite trentaine, dont le badge indiquait qu’elle se prénommait Laure, mignonne et avenante, quelques frisettes blondes sortant de la coiffe, se présenta à Juliette. Laure, si elle n’était pas très grande, était bien roulée, avec une opulente poitrine et une croupe charnue qui tendait l’étoffe de sa blouse. Ignorant les regards de sa patiente sur son anatomie, elle l’amena à sa cabine de soins. Elle disposa une épaisse serviette-éponge sur une sorte de lit couvert d’une alèse en plastique, au centre de la petite pièce. Durant ces préparatifs, Laure se penchait de telle sorte qu’elle montrait ses cuisses pleines. Se tournant vers Juliette, elle sourit d’un air encourageant.

- Mettez-vous à l’aise.

Juliette hésita un instant, commença par, enlever sa Jupe, l’interrogea du regard.

- Vous seriez mieux nue, mais vous pouvez conserver votre soutien-gorge si vous le désirez.

Il y avait un zeste d’ironie dans le ton. Pour ne pas passer pour une mijaurée, après avoir ôté ,son chemisier et enlevé sa culotte, Juliette dégrafa ostensiblement son soutif. Elle se tenait très droite contractant les abdominaux, sans oser croiser les yeux de Laure. D’une yoix calme celle-ci, comme s’il )’agissait d’une banalité :

- Veuillez passer aux toilettes.

- C’est tout ? S’il vous plaît, mettez-vous en levrette.

L’enduisant, comme Massiac, d’un gel translucide, elle expliqua :

- Je te lubrifie ;

Elle avait opté pour le tutoiement.

L’infirmière avait des gestes sûrs, sans violence. Elle se montrait même caressante, détendant délicatement les chairs contractées de la jeune fille.

- D’abord je te prend ta température, ta maman m’a présenté l’ordonnance et les instruments nécessaires…

- Ce n’est pas ma mère mais ma tante.

- Je ne savais pas !

Comme le matin le gros tube de verre la pénétra aisément et le plaisir qu’elle ressentit alors lui fit pousser un gémissement qu’elle ne parvins pas à étouffer complètement.

- Je te fais mal ?

- non, pas du tout !

Elle n’avait pas pu retenir cette exclamation et le rouge lui monta au joues.

- Allons tu n’a pas à avoir honte ; crois-moi, tu n’est pas seule dans ton cas à aimer recevoir quelque chose dans le derrière. Bon maintenant, le premier lavement.

Elle lui enfila dans le rectum la plus longue des tiges, le plus profond qu’elle put, facilité par le passage du thermomètre.

La canule remua dans les intestins de Juliette, frottant contre ses parois. Laure y fixa la poire contenant le lavement. Elle pressa avec force pour expulser le liquide attiédi ; qui s’écoula dans les tréfonds des entrailles de Juliette, langoureusement engourdie. Elle poussa un soupir.

- Alors, ça te plaît ?

La jeune fille ne répondit pas. Lorsque Laure détacha la poire en caoutchouc de la canule toujours enfilée dans son cul, celle-ci racla ses parois intimes au passage. Juliette,bougea les fesses avec volupté. Et lorsque Laure pressa de nouveau la poire regonflée avec détermination, le liquide éjecté avec force la fit sursauter.

- Il faut te nettoyer tout le côlon,

dit l’infirmière en guise d’excuse.

Elle tira les jambes de Juliette vers elle, faisant frotter les fesses contre sa poitrine, alors qu’elle lui massait le ventre avec vigueur. Triturée, tripotée, Juliette eut l’impression que le lavement s’écoulait encore plus loin en elle. De soudaines coliques la firent grimacer. Sa position cul en l’air l’empêchait de se soulager, d’évacuer toute l’eau. Laure lui dit avec gentillesse :

- Retiens-toi. Ça va aller !

Doucement elle retira une partie de la canule en continuant de masser le ventre, puis par quelques va et vient elle finit de lui enfiler la canule en totalité, éjectant d’une dernière pression le reste du liquide.

Puis elle la fit s’étendre sur le ventre, la poire toujours fichée dans le derrière.

Comments

garrigus Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans  
n/a Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans