Vues: 537 Created: 2011.06.02 Mis à jour: 2011.06.02

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 17

Bonsoir,

Le dernier extrait que j'ai numérisé. Il faut maintenat que je remette la main sur le reste de ce bouquin.

Paule invita Elise à l’accompagner dans sa chambre un instant ;

- J’ai peut-être une idée pour Georgette : un mien cousin réside pas trop loin. Il a quatre ou cinq ans de plus qu’elle, il est tendre et ,au dire de certaines amies, amant attentionné et très fougueux. Je pourrais bien l’inviter à passer quelques jours ; il s’appelle Albert du Rosoy.

- Ah mais je le connais, c’est lui à qui j’ai offert mon pucelage il y a quelques années ; tout ce que vous avez affirmé à son sujet est exact ! si seulement il pouvait consoler définitivement ma pauvre Georgette.

- Ainsi coquine, tu n’est plus vierge ! Bah c’est mieux ainsi. Ma femme de chambre est pour quelques jours en congés pour aider sa sœur, qui vient d’accoucher ; me servirait-tu ?

- Avec plaisir !

Elise aida Paule à se mettre au lit. Elle remarqua que le cœur de la dame battait un peu vite ; sa main se posa sur le front de Paule,

- vous me semblez un peu fébrile, permettez-moi de prendre votre température. Je suppose que cela entre dans les attributions de Marthe.

- Oui ma chère ! Et elle ne s’en prive pas. Pour toi, ce ne sera pas une première… Tu te souviens… c’est toi qui a introduis le thermomètre dans nos jeux de clystère…

Paule se contenta de se tourner sur le coté, laissant sa suivante improvisée relever couvertures et chemise.

Elise dénicha dans la table de chevet un gros thermomètre qu’elle glissa profondément entre les deux somptueux globes. Dix minutes de silence avant le retrait du tube de verre. Pas trace de fièvre ! l’émotion sans doute.

- Demain matin, je tiens à ce que vous assistiez à la prise de température de Bébé avec son nouveau thermomètre…

A son réveil, Bébé trouva sa maman auprès de son lit, accompagnée de Georgette et de Lisette,

- bonjour ma chérie, j'espère que tu n'a pas oublié que je prends ta température ce matin ! découvre-toi et tends-moi ton joli derrière que j'y introduise ce nouveau thermomètre.

Elle tenait un joli coffret en bois de rose, dans lequel reposait un instrument plus gros et plus long qu'un thermomètre ordinaire, de couleur sable, à la pointe longue et bien arrondie.

- A partir de ce matin, ceci est ton thermomètre, il restera posé sur ta table de chevet,

Béatrice, pendant ce temps, avait rejeté ses couvertures et s'était tournée sur le côté ; Paule releva la chemise de nuit, écarta les deux collines pour accéder au petit œillet de sa fille qu'elle lubrifia avec de la salive et enfila lentement le thermomètre dans l'anus palpitant,

- doucement maman, pas trop loin, j'ai pas l'habitude d'un si gros tube,

- tu t'y habituera vite ; pour la première fois je n'entrerai qu'un tiers, mais d'ici la fin de la semaine, tu le recevra comme un ordinaire.

Tu le garde un quart d'heure !

Comments

patou39 Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans