Vues: 1002 Created: 2011.05.28 Mis à jour: 2011.05.28

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 16

Bonjour,

J'ai encore numérisé un petit passage de "Servante maîtresse".

Bon week-end

- je suis certaine qu vous aimeriez bien connaître ces jeunes femmes ; j'ai encore de bon contacts, je vous présenterai, elles sont toutes délicieuses.

Le même soir, en couchant sa patronne, Elise sorti le long thermomètre posé en évidence sur la table de chevet et tout en le secouant,

- Georgette mon amie, votre joli derrière va étrenner ce bel instrument, restez sur le dos et relevez votre chemise de nuit.

Après l'avoir enduit de salive, elle enfila doucement le thermomètre dans l'œillet fripé qui s'ouvrit docilement sous l'intrusion, puis le glissa dans le sombre tunnel jusqu'à ce que la jeune femme tressaillisse,

- ah, trop loin !

- voilà, c'est fini, vous en avez les trois quart, ça ne vous fait pas mal au moins ?

- euh non, ça a touché tout au fond, mais c'est mieux qu'un petit thermomètre, je suis comblée…

- Nous allons attendre dix minutes ; mais vous me semblez bien tendue,

- depuis que tu m'a soumise à toutes ces pratiques, il me manque quelque chose…

- je crois connaître votre mal madame, nous allons y remédier après la température ; je gage que l'humidité de votre minnette en est le symptôme,

Elise fit glisser son doigt le long de l'encoche féminine, puis remonta sur le sommet bombé pour attaquer le minuscule bouton,

- ooooh noooon aaaah !

La jeune femme se cambra pour mieux sentir la caresse,

- hé doucement, n'allez pas casser le thermomètre !

Elle le retira et constata 37°9,

- houlà, vous semblez un peu chaude, je crois que je connais un moyen de vous calmer, demeurez ainsi !

La femme de chambre se rendit dans la salle de bain pour en ramener la grosse canule,

- vous allez goûter à un avantage de ce bel objet ;

après l'avoir sucée, elle posa son doigt entre les lèvres rose du bijoux de sa maîtresse et le fit pénétrer dans l'étui féminin jusqu'au bout, puis en ajouta un deuxième qui arracha un gémissement à Georgette,

- oooh ouiii !

Après quelques va et vient, elle remplaça ses doigts par la grosse canule qu'elle introduit doucement dans le sexe étroit de la jeune femme qui couina un peu,

- aiee ! tu me dépucelle une deuxième fois,

mais dès que le tube fut en place et s'agita la plainte cessa et Georgette laissa entendre une suite de gémissements de plus en plus rauques jusqu'à l'explosion finale.

- chaque fois que madame en aura besoin en attendant qu'elle trouve un homme, je la soignerai.

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Bonsoir à tous,

"Servante maitresse" continue...

Elise estima le temps venu de présenter Georgette au "Club du Clystère" et qu'il s'imposait de se rendre chez Paule en premier lieu.

Les deux jeunes femmes débarquèrent par un bel après-midi d'automne dans un manoir sis à quelques lieues de là.

Une accorte servante leur ouvrit la porte et des éclats de voix parvinrent à leurs oreilles,

- Bébé vous commencez sérieusement à m'agacer, vous allez vous laisser prendre sagement la température, sinon votre derrière en pâtira !

- mais maman, je sui trop grande pour recevoir le thermomètre entre mes fesses, c'est bon pour les petites filles, ma préceptrice l'a compris elle,

- il me surprendrait beaucoup qu'Edith ait renoncé à vous prendre la température dans votre grosse lune, petite péronnelle.

Puisque en plus vous mentez effrontément, vous n'y couperez pas d'une bonne fessée.

La servante les accompagna à la chambre de Bébé,

- Lisette comme je suis contente de te voir, que deviens-tu

- comme vous le voyez, Paule, je suis la dame de compagnie de Georgette, que je désirai vous présenter,

- Bienvenue dans cette maison, vous arrivez à point nommé pour assister à la fessée que je me propose d'administrer à ma fille Béatrice.

L'adolescente, ravissante blondinette bouclée, est allongée en travers des cuisses de sa mère, assise sur son lit, robe relevée sur ses reins, pantalon tombant sur les chevilles…

- Figurez-vous que cette gamine d'à peine quinze ans prétend refuser le thermomètre dans son petit trou en prétendant que sa préceptrice n'y recours plus.

Elise ne se priva pas de préciser qu'elle avait été élevée par cette dernière et qu'il était évident que Bébé avait menti,

- trois jours avant que je n'entre au service d'Eléonore, Edith m'a trouvée fébrile et ma lune postérieure à été visitée par le thermomètre…

La main de Paule s'abattit sur les rondeurs offertes, à un rythme lent et ample, puis la fesseuse augmenta la cadence, soulignée par les cris et les pleurs de Bébé. La main s'abattait de plus en plus fort sur la lune qui tournait au rouge ; au bout de quarante gifles, Paule abandonna sa fille qui s'écroula à plat ventre sur son lit en massant ses fesses brûlantes

- Tu n'a rien à me dire, Bébé ?

- Pardon maman, je veux bien que tu me prenne la température dans mon derrière comme Edith.

- bien, glisse ton oreiller sous ton ventre, c'est notre invitée Georgette que je charge d'opérer.

La grande fillette n'osa pas protester et se laissa écarter ses fesses rubicondes par la jeune femme qui glissa délicatement le thermomètre dans un petit trou rose qui s'ouvrit docilement, puis le plongea d'un tiers environ dans le sombre tunnel.

- voyons Georgette, plus loin le thermomètre, elle est habituée à le recevoir au trois quart.

Toujours aussi délicatement, la jeune femme poussa le tube de verre plus profondément jusqu'à ce que Bébé sursaute.

- Voilà c'est très bien, attendons dix minutes,

- maman comment savais tu ?

Dis toi bien mon chaton que chaque fois que ta préceptrice te prends ta température, t'administre un lavement ou t'octroie une fessée, soit je vous regarde, soit elle me le raconte.

Pendant tout le temps que dura la prise de température, Paule s'adressa à nous,

- vous resterez bien quelques jours, le temps que je fasse bien connaissance avec Georgette ; vous me seconderez auprès de ma fille ?

N'ayant pas d'urgence, nous acceptâmes avec plaisir et notre hôtesse fixa un programme :

- Ma petite Béatrice, je te punis pendant une semaine : le matin, à ton lever, je te prendrais ta température, après la sieste ce sera Georgette et le soir, Lisette qui en plus t'administrera un lavement, à partir de ce soir.

Dans le cas ou tu regimberai, tu recevra une fessée, cela suffira je pense.

Les pleurs de l'adolescente redoublèrent, puis se calmèrent lorsque Georgette sur un signe de Paule délivra le joli derrière de son visiteur,

- 37°8, avec la fessée, c'est normal,

Elise retourna Bébé sur le dos, lui fit écarter les cuisses, dévoilant un ravissant petit nid fendu, à peine ombré d'un duvet blond tout emperlé de rosée,

- regardez mesdames, comme cette enfant apprécie le traitement qui lui a été infligé, sa souris est toute humide.

Elle releva Bébé, la pris dans ses bras et lui murmura doucement à l'oreille,

- ne t'en fais pas, ma chérie, la plupart des filles réagissent comme toi, tu a tout le temps de t'en rendre compte, laisse-toi aller, tu y trouvera encore plus de plaisir et de satisfaction.

L'après-midi se déroula entre des jeux et l'organisation de notre futur emploi du temps.

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Bonsoir,

pour finir le mois, encore un extrait de "Servante maîtresse"

Le soir, Lisette déshabilla totalement Bébé et, allongée sur le dos, jambe relevée sur sa poitrine, sa petite pâquerette rose reçut la visite profonde d'un thermomètre qui tendrement agité par ses soins demeura un quart d'heure dans l'orifice, ses doigt tenant juste entre les jolies fesses, un tout petit bout de verre.

- pourquoi m'a-tu disposée comme une gamine, j'ai honte tu me vois toute ; et tu l'enfonce trop le thermomètre, retire le un peu,

- tu a mal ?

- non mais…

- tu dois t'y habituer, car je sais que bientôt, ta maman te réserve un autre thermomètre, plus gros et plus long…

Tout en tenant le tube de verre, Elise se livra à un examen minutieux de l'orchidée bien exposée ; son doigt soigneusement enduit de salive glissa le long de la cicatrice, séparant les pétales puis pénétrant dans un conduit étroit mais souple, buta sur le pucelage de la demoiselle, mais le franchit quand même arrachant à la pucelle quelque protestations,

- nooon pas ça, je suis vierge, ne me déchire pas,

- allons, tu sent bien que j'ai rentré mon doigt entièrement et que ta fleur l'a laissé passer ; je sui sûre que tu a été visitée par là, raconte-moi ça.

- C'est avec une cousine de mon âge, nous ne nous gênons pas entre nous depuis toute petites, elle m'a montré comment, sans perdre sa virginité elle se caresse avec une assez grosse canule ; il n'y a pas très longtemps elle m'a convaincue de me laisser faire par elle et je reconnais que j'ai bien aimé ; même qu'en ressortant la canule, elle me l'a plantée dans le derrière…

- Petite coquine, je suis sûre que vous vous amusez aussi avec le thermomètre…

- tu a raison, depuis que nous avons cinq ou six ans… je t'en supplie, ne le raconte pas à maman !

- bah, ce ne sont que des jeux d'enfants, je suis persuadé qu'elle le sait ; mais je sais être discrète ; dis-toi bien qu'elle s'adonne aussi à ce genre de distraction en compagnie de ses amies ; l'une ou l'autre des bonnes leur servant d'infirmière.

Elise délivra l'adolescente du thermomètre,

- 37°2 c'est parfait, maintenant le lavement !

Bébé n'osa pas protester ; Lisette lui administra deux grosse poires munie d'une longue canule assez épaisse ; pour cela elle glissa le tube d'ébonite dix fois dans la rosette avant de laisser Bébé se vider devant elle sur un superbe pot de chambre.

Lorsqu’elle revins vers sa chambre, en passant devant celle de Georgette elle la trouvas entr’ouverte et jeta un coup d’œil ; elle ne le regretta pas : sa « patronne », prosternée sur son lit, chemise de nuit relevée sur sa taille présentait ses rondeurs callipyges à Paule qui secouait un thermomètre. Elle entra dans la chambre,

- tu tombe bien Lisette, j’ai trouvé Georgette un peu tendue, fatiguée et pâlichonne ; je l’ai convaincue d’aller se coucher et je l’ai suivie pour lui prendre sa température.

- Vous avez eu raison Paule, continuez !

Elle passas de l’autre coté du lit pour bien observer la scène :

Paule suça soigneusement le thermomètre, puis écartant les collines marmoréennes pour débusquer la petite pastille que je connaissais si bien elle y planta le tube de verre jusqu'à ce que ses doigt reposent dans la raie.

- Bien ma chère Georgette, vous allez garder cet engin pendant un moment…

Elise attira Paule dans un coin de la chambre pour bavarder tranquillement,

- je me doute de son mal : Georgette est une jeune veuve, que son tendre mari avait habituée à de profonds plaisirs ; cela lui manque beaucoup. J’ai trouvé un dérivatif… Vous devez bien avoir une grosse canule vaginale ?

- Bien sur, dans le cabinet de toilette ; je la sort.

Elle revint vers le lit, dégagea un peu le thermomètre,

- trente-huit deux, nous allons bien te soigner !

Elle renfonça le thermomètre ; allons, encore un petit moment !

Paule amena une superbe canule en verre, qu’elle tendit à Elise.

La soubrette s’assoit derrière sa maîtresse, d’un doigt vérifie l’état du vagin étroit, le trouve humide à souhait, suce la grosse canule puis pose la grosse olive contre l’orifice sexuel et fait pénétrer lentement le tube dans l’étui naturel.

- oooh non pas devant elle, nooon !

- Mais si, vous en avez grand besoin, laissez vous soigner !

Dans le même temps, elle fait signe à Paule de s’occuper du thermomètre, qui se fait un plaisir d’agiter la petite tige en rythme avec la canule.

Georgette ne fut pas longue à jouir ; elle s’effondra sur son lit, dans un long râle…

Après l’avoir bordée, les deux jeunes femmes la laissèrent s’endormir.

Comments

clyso Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
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pierre Il ya 13 ans