Vues: 533 Created: 2011.02.19 Mis à jour: 2011.02.19

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 15

Bonjour à tous,

Un premier extrait d'un roman de Maryvonne Conti, dans les Editions Sabine Fournier.

SEVICES A DOMICILE

Après avoir détaillé la chambre, Armand se retourna et découvrit Amélie une adolescente de seize ans. La jeune fille jolie blonde aux cheveux longs, immobile sur son lit, était allongée sous les couvertures, un bras dessus, l’autre caché dessous. Il n’aperçut qu’un bref instant le pâle visage de la gamine, préférant reporter son attention sur la mère.

- Avant, elle adorait faire de la danse, de la gymnastique, elle sortait beaucoup. Vous pouvez la laver, lui donner à manger, la conduire aux toilettes, elle vous obéira, poursuivit la mère, toujours mal à l’aise. N’est-ce pas que tu obéiras au monsieur, Amélie ?

Armand la trouva incroyablement jolie. Le bras sous les couvertures remua un court instant, au niveau du ventre. Il se saisit de l‘autre, puis son stéthoscope autour du cou, il lui prit la tension en essayant de rester le plus professionnel possible. A présent, il pouvait la détailler tout à loisir. Ses yeux bleus, luisants dans la pénombre, l’inquiétaient. Il y avait quelque chose d’indéfinissable en eux, comme une , sensualité animale. Comment sa mère pouvait-elle ne pas s’en rendre compte ?

Il remarqua un thermomètre posé sur la table de nuit qui avait visiblement servi…

- vous lui avez pris sa température ?

- Comme chaque matin et chaque soir, et je la note sur le graphique hebdomadaire affiché au dessus du chevet. Bon, je dois vous laisser ! Je suis vendeuse au supermarché du coin et j’ai des horaires pas possibles...

D’une main, il baissa le drap, doucement, pour ne pas l’effrayer, mais suspendit son geste. La chemise de nuit déboutonnée sur sa poitrine montrait par l’ouverture ses tout petits seins blancs. Les pointes raidies dardaient au milieu des aréoles rose pale. Etonné, Armand poursuivit en tirant lentement le drap. Il vit le visage de la fille rougir, ses paupières battre … Mais elle continua à le fixer avec intensité. Quand le drap glissa sur ses jambes, sa bouche s’entrouvrit, et elle se lécha les lèvres comme si elles étaient sèches. Armand finit d’écarter le drap. Le bas de la chemise de nuit était retroussé sur le ventre, les cuisses.

D’abord, il vit la main posée près de la cuisse, l’autre crispée sur l’alèse, et tout de suite- après, le sexe. Il eut un choc ; c’ était un sexe de femme adulte … et excitée … Sur un corps de fillette. Sous la motte un peu renflée, il ressemblait à une bête chauve tapie entre les cuisses juvéniles. .

Les jambes de la fille s’écartèrent davantage, comme malgré elle, et Armand put découvrir entièrement son sexe. Il était gonflé, ouvert, mouillé… Les nymphes roses et luisantes, dépassaient … Le clitoris, rouge, gorgé de sang, dardait … L’odeur frappa les narines d’ Armand. C’était bien une odeur de mouille.

Il farfouilla dans sa mallette, sortit un long tube cylindrique en carton marron et en sorti un long thermomètre hypothermique,

- je crois souhaitable de reprendre ta température !

L’adolescente ouvrit de grand yeux et voulut se retourner,

- non, reste sur le dos, c’est mieux !

Il secoua longuement l’instrument, puis d’une main incita les cuisses à s’ouvrir davantage et à se relever. Il passa un doigt le long de la cicatrice trempée,

- nous allons nous servir de ta mouille pour te lubrifier.

Le doigt descendit sur l’anus minuscule, d’un rose clair ; un œillet de fillette contrairement à son coquillage. Le doigt entama un mouvement circulaire sur le poinçon qui bientôt laissa passer une phalange. Il n’insista pas davantage et se retira.

Il fit glisser le tube de verre le long de la fente pour mouiller l’instrument, puis posa l’embout sur l’orifice qui s’ouvrit à nouveau sans difficulté aucune. Le thermomètre glissait doucement entre les fesses rondes de la jeune fille, poussé par un seul doigt. L’intensité du regard d’Amélie augmentait au fur et à mesure de l’introduction. Elle sursauta et Armand cessa d’enfoncer l’instrument et le relâcha il était rentré à moitié.

- bien, nous allons attendre quelques minutes !

Imperceptiblement le thermomètre était repoussé par le conduit qu’il occupait et l’infirmier se faisait un plaisir de le renfoncer tout en le tournant.

Au bout d’un quart d’heure et cinq ou six « réintroductions », Armand procéda au retrait de l’instrument médical, toujours aussi doucement.

- 38°3, il convient de surveiller ça ! Allez, on va faire ta toilette, maintenant ! Tu sais, comme quand tu faisais la toilette de tes poupées ? Parce que pour moi, tu es comme une poupée … Une très jolie petite poupée …

- Il ne faut pas oublier les petites fesses … les jolies petites fesses …

Il remonta ses mains sur les reins de la fille, qui les creusa en se cambrant. Délicatement, il lui écarta la raie du popotin. L’anus rose, froncé, encore un peu dilaté de la visite du thermomètre, apparut

- Ici aussi … n’aie pas peur !

Il enduisit son index de savon et le glissa dans le sillon chaud. Amélie, la joue sur l’oreiller, fixait ses moindres gestes. Doucement, il savonna l’anus avec le bout de son doigt, s’attardant sur les bords striés. Il le sentit palpiter un instant. soudain, de sa main libre, il lui saisit la cheville et lui souleva la jambe. Le sexe de la gamine s’ouvrit en grand, montrant les parois des muqueuses roses tapissées de mouille. La respiration de la jeune fille s’accéléra, ses longs cils recourbés se mirent à papillonner.

- Voilà, mademoiselle est bien propre maintenant ! c’est fini ! Voyons, dit-il, on n’a rien oublié ? Oh, on avait oublié la petite fleur ! Idiot que je suis, c’est qu’il faut la nettoyer aussi, elle en a besoin c’est la petite fleur qui fait pipi … Il faut la nettoyer à cause des odeurs … Elle ëst déjà bien formée, cette petite orchidée, hein Amélie ? C’est bien comme ça que tu t’appelles ?

Il s’assit sur le bord du lit, trempa son doigt dans la bassine, puis le glissa dans les replis de chair. Il insista :

- Ça ne t’ennuie pas, Amélie, qu’un monsieur nettoie ta petite fleur. .. Je ne mets pas de savon pour ne pas l’irriter ; c’est très sensible … seulement, ça va durer plus longtemps.

Il n’avait pas besoin de parler, son impudeur était totale. Armand continua à toucher sa vulve molle et mouillée.

Quand il vit la mouille couler entre les nymphes fripées, l’idée d’enfoncer son doigt dans le vagin ouvert lui traversa l’esprit. Sans pouvoir résister, il le fit et, stupéfait, il constata que la jeune fille n’était plus vierge, et même qu’elle était aussi ouverte qu’une femme qui a eu très souvent des rapports sexuels. Il commenta :

- Oh, mais … tu m’avais caché ça, Amélie … eh bien … on est une vraie petite femme !

Il enfila son doigt profondément plusieurs fois dans l’orifice inondé de mouille.

- Il faut nettoyer dedans aussi, hein … C’est qu’elle aime ça, la petite poupée …

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Bonsoir,

Un deuxième extrait ! Sylvianne est une colègue de Armand...

SEVICES A DOMICILE 2

Au dernier étage, sous les combles, elle frappa à l’unique porte. La jeune Algérienne qui lui ouvrit ne lui était pas inconnue.

- Excusez-moi, je cherche Mlle Blanchard, j’ai dû me tromper …

Vêtue d’un jean et d’un débardeur, la fille avait des cheveux bruns coupés courts, des yeux noirs.

- Mais Je vous connais, répondit la fille. Vous faites vos courses dans 1’épicerie où je travaille ! Entrez, c’est bien ici. C’est ma copine qui est malade. Le docteur lui a prescrit un lavement. Venez, j’ai tout ce qu’il faut.

Sylviane la suivit dans le studio. Il n’y avait qu’un lit.

Sur la table de nuit se trouvaient un broc où pendait un long tuyau, une canule dans son étui et un tube de vaseline ; il y avait aussi un thermomètre qui avait visiblement servi ; il indiquait 38°2. Sylviane commençait à se poser des questions, car la pièce qui sentait le renfermé évoquait une promiscuité trouble. Elle essaya de paraître naturelle.

- Où est votre amie, je constate qu’elle prends sa température… ?

- Aux toilettes ; en réalité je lui ai pris moi-même la température ce matin ; le docteur dit qu’elle risque une occlusion, si elle n’arrive pas à faire…

- Espérons qu’il n’en est n’en est rien.

Elle déposa sa mallette, s’approcha du lit et prit la canule pour la visser à l’extrémité du tuyau. Dans un coin de la pièce, de l’eau était en train de bouillir sur un réchaud. Elle pensa que les deux filles, dans cette chambre de bonne, devaient entretenir des relations bizarres. Le lit tait défait, le drap douteux, une odeur particulière imprégnait l’atmosphère.

- Je m’appelle Ley1a, dit l’Algérienne. Je ne savais pas que vous étiez infirmière. Avec votre mallette, je vous prenais pour une représentante.

Sylviane esquissa un sourire. La fille la regardait, elle devait avoir a peine dix-huit ans, sa peau était mate, son nez retroussé. Ses yeux brillaient de malice. Avec ses formes menues, elle avait l’air d’une gamine espiègle. Sous son débardeur, ses petits seins dardaient leurs minuscules tétines. Sylviane se détourna, gênée. La porte de la salle de bains s’ouvrit derrière elle.

- Ah, voilà la malade ! s’exclama Leyla. Alors, tu y es arrivée ?

- Non, ça fait une semaine maintenant …

Sans comprendre pourquoi, Sylviane se sentit angoissée. Elle éteignit le feu sous la casserole et se voulut rassurante.

- Ne vous inquiétez pas, vous vous sentirez mieux après ça. Il faut attendre que 1’eau tiédisse. Allez vous allonger sur le lit.

La jeune femme avait une trentaine d’années. Ses cheveux étaient d’un roux décoloré, sa peau halée. De grands yeux en amande lui donnaient un regard troublant. Elle ne portait qu’une combinaison qui avait du mal à contenir ses formes fermes et plantureuses.

- Elle s’appelle Maryse. Soignez-la bien, madame, car c’est ma seule amie ! dit Leyla.

Sylviane, vaguement mal à l’aise, versa l’eau de la marmite dans le broc, puis saisit le tube de vaseline.

La jeune femme, couchée sur le côté, attendait, apparemment détendue.

- Vous avez déjà eu un lavement ? demanda Sylviane.

- Euh … oui, deux ou trois fois …

- Ce serait plutôt vingt ou trente, corrigea Leyla en se moquant.

Sylviane se dit que cette constipation était une comédie. Elle reposa le tube, pour palper le ventre. Il n’était pas dur.

L’infirmière pensa qu’elle devait entrer dans le jeu.

- Vous serez sans doute intéressée à connaître un petit truc pour combattre la constipation lorsque l’on n’a pas de matériel de lavement ?

De sa mallette elle sort un long tube en carton, en extrait un gros thermomètre hypothermique, qu’elle secoue et lubrifie,

- mais vous allez lui prendre sa température !

- En effet ; mais vous allez vous rendre compte que ça n’et pas tout. Voulez-vous écarter les fesses de votre amie ?

Leyla empoigna les deux demi-pêches et les sépara largement dégageant ainsi un anus strié bistre clair paraissant très étroit et dans lequel Sylvaine enfonça un index enduit de vaseline. L’anneau laissa facilement passer deux phalanges puis se contracta,

- voyons détendez-vous, vous devez avoir l’habitude !

Le doigt pénétra entièrement, fit deux va et vient puis se retira, remplacé par le thermomètre que la jeune femme enfonça doucement jusqu’à ce qu’elle sente une petite résistance, ponctuée par un sursaut de sa patiente. Une bonne moitié du thermomètre avait disparu dans le fondement de Maryse

- aiee arrêtez !

- voyons, je ne vous ai pas fait mal, restez tranquille !

Après environ une minute, elle entama un long va et vient, accompagné par de sourdes protestations,

- ooh nooon…nooon …

- Voilà où je voulais en venir ; tout en vérifiant la température, vous pouvez stimuler un intestin paresseux. Vous pouvez faire durer la séance jusqu'à vingt minutes si nécessaire, mais en général, j’obtiens un résultat en dix minutes la plupart du temps. Regardez le thermomètre, il entre plus profondément au fur et à mesure des mouvements ; maintenant il est entré au trois quarts.

Je ne garde que ce thermomètre avec moi, car il peut servir dans tous les cas, il suffit de ne l’introduire qu du nécessaire…

Bien j’arrête la démonstration. Passons au lavement !

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Bonjour,

Un nouvel extrait de "Sévices à domicile"

Soudain, Leyla lui prit la main, et de l’autre, elle remonta la combinaison de son amie jusqu’au-dessus des seins.

- C’est ça, touchez-la bien, vous allez voir comme c’est dur ici.

Malgré son apparence frêle, elle avait une poigne solide. Surprise, Sylviane se laissa guider vers le pubis couvert de poils noirs. Leyla posa sa main dessus, la pressa sur 1’os du bassin.

- Vous voyez comme c’est dur ? dit-elle.

- Euh … oui, bien sûr …

Elle n’osa pas la contredire. Cette fille lui faisait un frôle cl’ effet.

- Par contre, là, c’est tout mou…

D’autorité, elle lui plaqua la main sur la vulve. Les bourrelets renflés et humides gonflèrent contre sa paume. Sylviane réussit à retirer sa main en se redressant.

- Je … je_ pense que l’eau doit être tiède maintenant, dit-elle, troublée.

Mais Leyla n’en avait pas fini.

- Vous ne voulez pas toucher ses seins, pour vérifier que tout va bien ?

- Mais … le médecin ne l’a pas auscultée ?

- Le médecin n’a rien fait, à part lui prescrire ce lavement. Allez, faites-le …

Son insistance, rappela tout à coup à Sylviane la situation chez les Brévin. Elle se pencha et hésita, mais le contact des gros seins de Maryse la fit frissonner. Son ventre s’alourdi. Elle se releva précipitamment, pour récupérer le broc. Leyla lui rappela

- Vous avez oublié la vaseline.

Sylviane, de plus en plus mal à l’aise. Reposa le broc pour enduire la canule dë vaseline. Ses mains tremblaient.

- J’ai besoin d’une,bassine, s’il vous plaît ! Dit-elle

Leyla tira de sous le lit un bassin muni d’une poignée,

- Il est toujours à portée de main, dit-elle- en le lui donnant.

Sylviane plaça le bassin sous les fesses de Maryse qui se retourna en s’exhibant dans une totale impudeur. Cambrant les reins, elle lui tendait son cul.

- Vous ne lui mettez pas de la vaseline sur l’anus, son trou est très étroit vous savez, elle va avoir mal ?

- Oui, oui, ne vous inquiétez pas, bien qu’après le long passage du thermomètre, il soit encore lubrifié et détendu…

Sylviane eut l’impression de lui obéir, comme quand elle était encore élève de·première année. Depuis l’école, elle n’avait plus fait ce genre de lavement traditionnel

A l’hôpital, c’étaient les aides-soignantes qui pratiquaient ces soins et à domicile on utilisait plutôt des lavements prêts à l’emploi ou des suppositoires. Elle graissa l’anus de Maryse sous le regard attentif de Leyla. Soudain, elle réalisa qu’elle n’avait même pas pensé à mettre des gants Il était trop tard pour le faire, elle étendit la crème sur les bords bruns. Les yeux de la petite algérienne brillaient. Sous l’anus, la fente s’ouvrit et un peu de mouille coula. L’odeur qu’elle avait remarquée, c’était la même que celle, des vestiaires, parfois ; une odeur de sexe échauffé.

Perdue dans ses pensées, ,elle enfonça son index dans l’orifice lubrifié. Les sphincters se mirent à palpiter et le rectum souple et chaud, nullement encombré et encore moins serré, avala ses phalanges. Maryse ondula des hanches en poussant un long soupir. Sylviane n’eut plus de doute. Elle s’état fait piéger. Elle retira prestement son index et le remplaça par la canule. Celle-ci enfilée doucement entre les fesses mates, fût aspirée par le trou lisse et sombre ; Sylviane dut la retenir pour prolonger l’enfoncement, que semblait apprécier sa patiente.. Leyla. qii ne perdait rien de ce qui se passait, eut un petit rire

- eh bien, elle est gourmande !

Sylviane ouvrit à fond le robinet fixé à 1’extrémité du tuyau. Le liquide tiède fusa dans les intestins de Maryse. Celle-ci frétilla du cul en gémissant. L’eau bouillonnait dans son ventre. Leyla se pencha au-dessus de son visage et la taquina.

- On dirait Que madame est pressée, hein ?

Elle ajouta à l’adresse de Sylvlane :

- Faites un peu durer son plaisir, s’il vous plaît...

Le bras en l’air, pour tenir le broc en hauteur, Sylviane s’étonna :

- Pourquoi demander une infirmière, si vous lui faites vous-même des lavements ?

Sans lui répondre Leyla déposa un baiser mouillé sur les lèvres de son amie. Sylviane pensa à Jocelyn et à ses camarades fardées comme des putes en train de se gouiner. Etait-elle condamnée à ne tomber que sur des filles vicieuses ? Elle sentit son slip s’humidifier.

- Tu n’es pas genti1le avec mon amie ! ralentis le débit, tu veux ?

Leyla l’avait tutoyée. Svlviane baissa le bras et coinça. le broc contre sa poitrine. Il était presque vide. Le reste d’eau gargouilla dans le tuyau et Maryse frissonna en crispant ses fesses. Leyla lui caressa la nuque.

- Tu veux faire ici, devant elle ?

- Oui

Maryse retira d’elle-même la canule et descendit du lit en emportant le bassin. Elle s’accroupit aussitôt dessus.

- Vas-y ma chérie, soulage-toi, elle en a vu d’autres… . c· est une infirmière.

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Bonjour,

Encore un extrait de "sévices a domicile"

Elle s’écarta de quelques pas et se retrouva coincée contre le lit. Leyla en profita pour enfouir de nouveau sa main entre ses cuisses.

- Tu es excitée, j’en suis certaine …

Elle avait raison. Sylviane se défendit mollement. Ses jambes tremblaient. Maryse vint prêter main forte à sa copine.

- Moi, je parie que c’est une gouine ! Tu sais que je les flaire …

Elle retroussa le bas de la robe de Sylviane et s’exclama en voyant les dessous affriolants :

- Bon sang, quelle culotte de salope !

- Elle s’est excitée en me regardant la chatte et le cul...

Maryse fit glisser le string en dentelle sur les genoux de Sylviane, qui ne résista pas quand elles 1’entraînèrent sur le lit.

- Laisse-toi faire … elle va te lécher, dit Maryse.

Elle la pencha en avant et sortit ses seins de son corsage. Sylviane s’abandonna aux caresses des deux filles. Leyla s’accroupit devant elle pour lécher sa chatte… . .

Maryse touchait ses seins, suçait ses bouts. Sylviane jouit, inondant l’index de Leyla qui s’enfonçait dans son con.

- Alors, salope, ça t’a fait jouir de me donner un lavement ! s’exclama Maryse. Et si on t’en donnait un, à présent ?

Sylviane se retrouva à plat ventre sur le lit, les genoux par terre. Elle vit l’Algérienne se baisser pour récupérer sous le lit une poire à lavement. Elle hurla :

- Non, Je vous en prie … pas ça ! ,

- Je vais te montrer, dit Leyla. Je suis sûre que tu fais ça toute la journée et que tu n’en as jamais pris un seul. .

C’était vrai, elle n’en avait jamais eu. Elle ne s’était même jamais posé la question de ce qu’on pouvait ressentir.

Maryse, poursuivant son idée, ajouta :

- en plus elle m’a pris ma température ; je lui rends la pareille pendant que tu prépare le lavement.

Deux doigts écartèrent ses globes jumeaux et le bout du thermomètre pénétra sa rosace.

Ca elle connaissait ; elle prenait sa température lorsque c’était nécessaire, comme sa mère, jusqu’à ses vingt ans. Mieux, sa collègue et amie Axelle, à l’occasion d’une fatigue passagère, l’avait convaincue de se laisser prendre la température par elle. Axelle n’avait pas eu a beaucoup insister et finalement Sylviane avait apprécié les soins de son amie qui se renouvelèrent régulièrement. Très vite Sylviane rendit ce même service à Axelle…

Le tube de verre progressait lentement dans son fondement et elle se rendit vite compte que Maryse utilisait le thermomètre hypothermique lorsque une bonne longueur eurent disparu…

- aieee non pas si loin !

Maryse cessa sa progression, puis comme l’infirmière avait procédé elle agita le thermomètre d’avant en arrière, le lui enfonçant encore plus loin…

Leyla remplit la petite poire directement dans la marmite d’eau, puis elle disparut de nouveau à sa vue. Elle s’était accroupie derrière ses fesses.

Aussi lentement qu’il s’était enfoncé, le thermomètre se retira. Elle poussa un petit cri plaintif. Le doigt de la fille s’infiltrait à la place du thermomètre. Lâchement, elle cambra les reins, et l’autre lui pistonna l’anus. La canule froide remplaça le doigt et la pénétra lentement, Elle protesta encore.

- Aaaah, non … je vous en supplie… Arrêtez, ça me donne envie d’aller aux toilettes…

- C’est une impression, crois-moi ! répondit malicieusement Leyla.

Trois fois la canule se retira et rentra pour vider entièrement la poire.

.

Elle fit aller et venir le tuyau de plastique entre les fesses qui oscillaient. Puis elle pressa sur la poire une dernière fois. Le reste du liquide tiède fusa dans les intestins de Sylviane en produisant d’horribles gargouillis.

- Non, je vous en supplie !

Son anus se crispa, puis elle s’alanguit d’un seul coup. Tous ses muscles se relâchèrent sous la pression de l’ eau. Maryse s’assit sur le bord du lit. Elle ôta la poire à lavement, remplit le broc, puis s’empara du tuyau et lui planta la grosse canule dans le cul, lui arrachant un sursaut.

- c’est trop gros, nooon !

- Taisez-vous, vous ne vous êtes pas gênée pour me défoncer !

Elle prit soin de poser le récipient sur l’étagère qui se trouvait juste au-dessus du lit, pour avoir les mains libres, et aspira dans la poire en caoutchouc le reste d’eau de la marmite. Puis elle s’accroupit de nouveau derrière Sylviane.

Lorsque le broc fut vide, elle retira prestement la grosse canule qu’elle remplaça par la poire… Plus tard, l’excitation retombée, Sylviane remit de l’ordre dans sa tenue, en évitant le regard des deux femmes.

- Tu crois qu’elle reviendra ? demanda Maryse à Leyla…

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Bonjour à tous,

Voici la suite d'un récit, passé il y a un certain temps dans la rubrique "Library". Il s'agit de "Servante maîtresse" dont j'ai retrouvé une partie des copies manquantes (pas toutes, mais il y a de l'espoir) !

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Pour toute réponse, Elise glissa son bras autour de la taille de sa patronne et l'embrassa tendrement sur une joue...

...La pharmacienne, avec un joli sourire, nous nous précisa ce qui devait en général se trouver dans les bonnes maisons.

- ce que nous conseillons, pour des raisons pratiques, c'est d'avoir au minimum dans chaque chambre de la maison au moins un thermomètre et un petit flacon de vaseline. Dans la mesure ou un cabinet de toilette est attenant à la chambre, doit s'y trouver une petite poire à lavement de 25 cl avec jeu de canules, une petite rectale, normale avec une olive et une vaginale en ébonite.

Le reste, à savoir deux ou trois thermomètres médicaux, deux poires à lavement de deux contenances supérieures à celles se trouvant dans les chambres, avec toutes les canules différentes dont une ou deux vaginales en verre, ainsi que la glycérine et l'eau de mélilot, doit prendre place dans la salle de bains principale.

Reste à déterminer le genre d'instrument dans chaque catégorie.

Il est une règle d'avoir un matériel adapté pour chaque cas :

ainsi dans la chambre d'un enfant, se trouvera le plus petit thermomètre, dont il faudra un modèle de taille supérieure pour un adulte, en fonction de la rotondité de son postérieur ; en effet, pour qu'il reste une longueur suffisante pour retenir le thermomètre et qu'il soit introduit assez loin, il faut que l'instrument soit à peu près adapté.

De même pour les canules, petite et droite pour les enfants, plus longue et avec une, deux ou trois olives pour les adultes.

Si vous voulez bien, commençons par les thermomètres ; le modèle ordinaire mesure quinze cm, c'est celui dont on se sert couramment pour les enfants ; à partir de six ans, il peut être introduit à moitié. Pour les enfants plus grands et les adolescents, le modèle dix-huit cm est parfait et enfin, nous avons une superbe modèle de vingt cm pour adultes bien fessues ; vous avez combien de chambres occupées ?

- deux adultes, par conséquent nous prendrons deux thermomètres adulte, deux ordinaires et un intermédiaire.

- Ça me paraît tout à fait adéquat.

- Je vous montre notre assortiment,

plusieurs coffrets sont déposés sur la table,

- d'abord les instruments ordinaires,

Elle ouvre le plus grand des coffrets, deux douzaines de thermomètres avec leurs étuis, s'offrent à nos yeux, dans des tons pastels très clairs, jaune,vert,bleu, rose, sable,orange.

Nous les sortons délicatement, jugeons de la visibilité de leur colonne de mercure, de la netteté des chiffres etc…

Georgette en choisit deux, un bleu et un jaune.

Le second coffret en contiens dix ils sont bicolores, effectivement plus longs et un peu plus gros que les précédents, Georgette demande à Elise de choisir, elle opte pour un rose et sable.

Le troisième coffret n'en contiens que six en deux coloris,chamois et pistache, il paraissent énormes au yeux des deux jeunes femmes, leur diamètre est celui d'un pouce ; Lucienne voyant nos hésitations, nous rassure,

- j'utilise pour moi ce même modèle et je vous assure qu'il ne procure aucun désagrément, pourvu qu'il soit manié avec douceur et habileté, ce qui est le cas de ma femme de chambre.

Accordant sa confiance à la pharmacienne, Georgette et Elise choisissent chacune un instrument, pistache pour Georgette, Chamois pour Elise.

-Je vous montre les poires à lavements… mais j'y pense vous conviendrait-il d'assister à une démonstration d'un de ces instrument ? il se trouve que ma fille, Adèle est rentrée de classe tout à l'heure assez fatiguée, elle se repose et je lui ai promis de monter prendre sa température, voulez-vous y assister ?

Georgette s'inquiète de déranger, mais Lucienne balaye son hésitation d'un sourire et invite ses deux clientes à la suivre.

Elle entrent dans une jolie petite chambre rose et blanche ; un très jeune fille blonde repose toute habillés sur son lit,

- comment te sens-tu ma chérie,

L'adolescente se tourne vers sa mère, elle doit avoir une quinzaine d'année, elle à un joli visage de poupée, un peu pâlotte,

- pas trop bien,

- je te présente Georgette et sa femme de chambre Elise, elle sont en train d'acheter des thermomètres et je leur ai proposé d'assister à ta prise de température.

Georgette, toujours inquiète, s'adresse à la gamine,

- Bonjour Adèle, tu es sûre que nous ne te gênons pas ?

La jeune fille esquisse un pâle et gentil sourire,

- oh non madame, si vous voulez, prenez-moi vous-même ma température.

Lucienne approuve et sort du tiroir de la table de nuit l'étui cylindrique contenant le thermomètre, pendant qu'Elise s'approche du lit et pose sa main sur le front de la jeune-fille,

- ma pauvre petite, tu me sembles bien chaude,

puis se tournant vers sa maîtresse,

- vous avez déjà opéré ?

- oui j'ai quelques jeunes nièces qui ont eu besoin une ou deux fois de mes services…

Adèle s'est tournée sur le coté, Lucienne a sorti le thermomètre de son étui, l’a secoué et l'a tendu à Georgette qui s'est assise sur le lit derrière Adèle et l'a posé pour retrousser la robe sur un adorable pantalon ouvert dont elle a dénoué le ruban sur un adorable derrière rond à souhait et d'une blancheur marmoréenne.

Elle a écarté les deux demi-lunes, a sucé son doigt et l'a posé sur la pâquerette beige clair pour la lubrifier, l'anneau s'est détendu et, après avoir sucé le thermomètre elle en a introduit le bout dans le petit anus qui s'est ouvert sous l'intrusion, puis poursuivant son geste, elle a glissé un peu plus loin le tube de verre, l'a retiré un peu, puis enfoncé plus loin ; en trois va et vient, Adèle a reçu les trois quart de la longueur du thermomètre ; les deux jeunes femmes ont entendu la jeune-fille murmurer,

- comme il est loin, c'est doux…

Se tournant vers la maman,

- combien de temps ?

- dix minutes au moins ; je suis impressionnée par votre façon d'opérer, c'est d'une douceur infinie,

- c'est ma belle-sœur qui me l'a montré, elle a deux petites filles de six et huit ans et j'ai eu l'occasion de l'observer lorsqu'elle prenait la température de ses filles ; j'ai même opéré une fois ou deux sur les gamines.

Pendant la discussion, elle avait lâché le thermomètre qui était un peu ressorti, elle le repoussa toujours aussi délicatement dans le conduit anal.

C'est Elise qui dégagea le thermomètre et annonça 38°6, vous devriez appeler le médecin ; sa mère partie, Adèle se rajusta et sauta au cou des deux jeunes femme pour les embrasser,

- c'était si doux avec vous ; vous savez, ce n'est pas la première fois que je sert de "démonstratrice" de thermomètre, mais personne hors de ma famille ne m'avait encore pris la température…les autres fois j'étais seulement regardée.

- Allez soigne-toi bien, nous reviendrons te visiter ; pour l'instant nous allons achever nos achats.

La pharmacienne les rejoignit rapidement et sortit quelques modèles de poires à lavements et une demi douzaine de sortes canules,

- vous voyez les canules sont calibrée de façon analogue aux thermomètres, aussi je vous conseille d'acquérir le même assortiment ; la seule différence, c'est la grosse canule vaginale.

Georgette se reposa sur sa suivante, qui choisi deux poires de 25 cl équipées d'une canule simple, une de 50 cl et de100 cl équipées chacune d'une canule à trois olive et, pour compléter le tout, deux grosses canules vaginales, verre et ébonite. Un superbe bock en faïence de deux litres et deux grosses seringues complétèrent les achats des deux jeunes femmes qui rentrèrent enchantées de leurs emplettes. Elles installèrent leurs instruments aux endroits stratégiques et Elise conta à Georgette sa vie avec Léonore, les petites réunions où elle officiait comme infirmière.

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patou39 Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
lavement68a Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
pierre Il ya 13 ans