Vues: 504 Created: 2010.12.17 Mis à jour: 2010.12.17

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 14

Bonjour,

Un extrait d'un petit livre de la collection "Simples murmures"

L’ÉDUCATION D’ALEXANDRA

La directrice, qui s’est absentée un moment, revient de la cuisine en portant, avec des précautions excessives, un bock à lavement fumant. « Nous y voilà l » pense Alex. Le moment de l’affrontement qu’elle espérait et redoutait tout à la fois. Il fallait bien que leur nuit se termine ainsi. Ni l’une ni l’autre n’étant femmes à se séparer sans conflit.

- Restez comme vous êtes, sur le dos, et laissez-vous faire !

Recommande Barbara.

Elle pose son bock sur la table de chevet et s’approche de la jeune fille. Celle-ci fait un bond de carpe dès que la dirlo veut la toucher.

- Pas question ! Ce lavement qui doit fêter notre séparation, c’est moi qui vais vous le donner !

S’exclame-t-elle,

- C’est mon idée et c’est moi qui commande !

Proteste la Junon.

- Non ma chère, vous ne commandez plus quand je suis là et vous le savez. Je vais vous dire ce qui va arriver si vous ne cédez pas et refusez de ne donner le petit trou de votre gros cul. Je vais mêler quelques unes de vos pensionnaires à notre tête à tête et votre appétissant derrière y passera de toute façon. Cela vous fera une publicité à laquelle vous ne tenez guère, et vous perdrez toute autorité sur les élèves de Yorkshire School. Si c’est ce que vous voulez ?

- Espèce de petite garce !

Grince Barbara entre ses dents. Mais elle n’est pas vraiment en colère. Le ton est plutôt admiratif. Orfèvre en la matière, elle apprécie Alex pour son manque de scrupule et parce qu’elle n’a peur de rien.

Après avoir poussé un soupir gros comme une maison, elle se tourne afin de présenter ses fesses en une attitude obscène.

- Ce que j’en disais … J’aimerais assez que vous me perforiez l’anus. Après tout, le plaisir sera pour moi !

- Pour moi aussi, jubile la Française, alors part à deux. Avant de vous administrer ce lavement, nous allons procéder à un petit cérémonial que vous affectionnez, si je m’en tiens à mes souvenirs…

Alex fouille dans la table de nuit, certaine d’y trouver un thermomètre… Après l’avoir sorti de son étui, elle le secoue longuement,

- Tous les prétextes vous étaient bon pour nous prendre la température ; je me souviens même que vous n’hésitiez pas à nous infliger le thermomètre devant la classe… A votre tour à présent !

Elle présenta le tube de verre devant la rondelle plissée qui se contracta,

- allons détendez-vous sinon je vous ferai mal !

Alexandra poussa lentement et fermement le thermomètre dans l’orifice qui s’était relâché et l’enfonça en quasi totalité dans le derrière de Barbara malgré ses protestations.

-Voilà qui est bien ! Je pense que dix minutes au moins sont nécessaires pour avoir la bonne température…

Se remémorant les nombreuses prises de température qu’elle avait du subir toutes ces années, elle manipula à plusieurs reprise le tube de verre pour le consulter ou pour le rajuster car l’anus de la directrice tendait à le repousser.

Enfin elle le retira comme à regrets,

- 38°2, vous êtes fiévreuse ma chère, le lavement vous fera du bien ! Mettez-vous sur le dos !

Saisissant les grandes et fortes jambes, elle les lève vers le plafond et demande à la directrice de plier les genoux.

- Empoignez vos mollets ! Ordonne-t-elle. Plus bas, près des chevilles !

Elle s’agenouille à nouveau, et saisit le tuyau de caoutchouc rouge adapté à la sortie du bock et que termine une canule, le genre tête de serpent, sans aspérité, pointue et dont l’avantage est de ne point plier.

- Jamais mon anus ne pourra tout avaler, proteste la dirlo.

Mais si, je vous jure que je vais tout faire entrer. D’ailleurs, en cas où vous résisteriez, une bonne fessée saurait convaincre votre gros cul.

A deux doigts, Alex écarte la raie, faisant apparaître la grosse chatte poilue et le trou du cul bronzé cerné par de fines rides. Pointant la canule au entre de la rondelle, elle procède, céans, à l’introduction. La directrice se contracte légèrement quand le pal pénètre de plus en plus profondément dans ses entrailles. Malgré les contractions du sphincter, la canule disparaît dans le rectum et, guidé d’une main sûre, le tuyau de caoutchouc suit.

Aux frissons qui traversent le gros pétard avant de s’étendre sur les cuisses charnues, l’adolescente peut deviner sa progression interne, et juger de l’effet qu’il produit. Longtemps le serpent rouge progresse d’une prudente reptation dans les intestins. Fascinée par l’œuvre qu’elle a entreprise, Alex ne cesse que lorsque son visage, qui suit l’adroit enculage, est si proche de la rosette avide, écarquillée, que la directrice sent la caresse de son haleine tiède contre la peau de ses fesses.

Intéressée par tout ce qui concerne le trou de balle, Alex remarque que l’écartement provoqué par l’intromission a effacé les ridules qui cernaient l’œillet, et rendu lisse la margelle. Dans le trou convenablement agrandi, le tuyau, d’ailleurs de diamètre moyen, coulisse harmonieusement. Ses deux doigts, qui tiennent le tuyau, viennent buter contre la rosette.

- Je vous avais dit, que tout entrerait. Ne bougez plus !

Triomphe-t-elle

Se saisissant du robinet elle l’ouvre. L’eau chaude s’écoule dans les entrailles sensibilisées de la directrice, qui a un vigoureux soubresaut.

Les boyaux envahis par le flux régulier, Barbara ressemble à une grosse vache au ventre enflé, qui rumine. Le lavement se poursuit durant vingt minutes au moins. Le contenu du bock achève de se vider en produisant des glouglous peu harmonieux qui font, à chaque fois, courir des spasmes sur la nudité du ventre forcé, et dessinent une chair de poule sur les larges cuisses. Alexandra s’accorde un répit puis entreprend de retirer le tuyau. Elle s’y prend comme à l’aller, mais en sens contraire et en faisant pivoter entre ses deux doigts le caoutchouc qu’elle retire. À chaque rotation, la partie immergée provoque des sensations à sa patiente, qui tremble des pieds à la tête en poussant des gémissements de femelle violée.

Peu après, Barbara avec une expression de fille battue peinte sur son visage, s’éclipse. Une main plaquée sur son anus, joue les bouchons.

Comments

pitchoun Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans