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Vues: 798 Created: 2010.11.10 Mis à jour: 2010.11.10

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 13

Bonjour,

Un premier extrait d'un roman de Sophie Villalonga. Il n'y a pas d'erreur cette fois-ci

LA STAGIAIRE DE MADAME

Du bout des doigts, elle frôla l’intérieur de la raie. C’était moite et fiévreux. Françoise chuchota d’une voix presque tremblante :

- J’ai très envie de te prendre la température. D’enfoncer la pointe du thermomètre dans ton petit trou.

Françoise adorait que Hubert le lui fasse, dans son cabinet médical. Il possédait tout un assortiment de thermomètres, de plus en plus gros, qui lui élargissaient l’anus de façon délicieuse. Elle pense de plus en plus y amener Candice . En plus elle songe à s’équiper de ce type d’instrument pour sa «stagiaire».

La jeune fille matée et excitée respirait bruyamment. Elle ne serra pas les fesses au contact des doigts. L’index de Françoise appuya sur l’anus, qu’elle sentit se froncer à son contact. Candice soupira de bonheur. Elle voulut tourner à nouveau la tête pour embrasser la femme sur les lèvres, mais l’autre la châtia d’une claque sèche sur les fesses.

- Non ! Pas pour l’instant ; je me propose de concrétiser mon envie de te t’introduire un thermomètre entre tes jolies fesses, mais je n’en ai pas ici, je suis donc obligée de m’en procurer un. Pendant ce temps, je t’emmène te faire enlever tous ces poils, tu es encore une petite fille après tout !

J’ai lu en passant devant l’esthéticienne dans le hall de l’hôtel qu’elle assurait les soins intimes.

Elle déposa la jeune fille désemparée dans le salon d’esthétique, après avoir expliqué ses désirs à la patronne du salon.

Après avoir visité cinq pharmacies où elle ne trouva que des instruments ordinaires, le dernier praticien lui indiqua une boutique de petits équipements de laboratoire.

Elle y trouva d’anciens thermomètre médicaux plus gros que les autres, sans être de grosseur exceptionnelle ; tout juste ce qui était nécessaire pour apprivoiser le petit derrière de Candice.

Pour la suite, Hubert lui fournirait tous les instruments voulus.

Elle rentra à l'hôtel en passant de salon récupérer Candice qui descendait juste du fauteuil de soins. L'esthéticienne retint la jeune fille par la main, et de l'autre souleva la petite robe de la jeune fille,

- regardez, Madame, le travail accompli.

Françoise s'approcha et passa la main entre les cuisses de Candice passant son doigt du haut des fesses jusqu'au clitoris, faisant sursauter l'adolescente.

- c'est tout à fait bien ! Savez-vous combien il est difficile de trouver un thermomètre médical convenable dans cette ville ; je dois surveiller la température de cette péronnelle !

- vous avez trouvé ce que vous désirez ? Dans le cas contraire nous sommes en mesure de vous prêter des instruments à votre convenance ; je suppose, bien sûr, que vous opérez dans le derrière de cette jeune personne ?

- je ne connais aucune meilleure façon de prendre leur température à une petite fille, ne croyez-vous pas ?

- assurément, d'ailleurs si je vous ai proposé des thermomètres, c'est que nous en utilisons parfois sur nos jeunes apprenties...

- je vous félicite ! Eh bien, Candice allons-y !

Elle s'aperçut alors que la jeune fille était toute rouge de confusion,

- je ne vois pas en quoi ça peut te gêner que cette dame sache que je m'apprête à te prendre ta température dans ton petit trou, tu as bien entendu qu'elle aussi pratiquait sur certaines de ses employés alors...

Françoise et Candice remontèrent dans la chambre. Françoise s'assit sur le lit, retira de son sac le tube en carton marron qui contenait le thermomètre, sorti l'instrument médical, le secoua fermement.

- Aller ma petite Candice, vient t'allonger en travers de mes genoux, que je t'enfile ce joli thermomètre ; regarde, il est vert clair.

Résignée, la jeune fille s'allongea comme Françoise lui demandait, alors que celle-ci relevait sa robe.

- très bien, maintenant écarte tes fesses avec tes deux mains, ouvre-moi bien ton petit trou ; voilà, comme ça !

Françoise glissa son doigt plus bas dans la fente et, il trouva ce qu'elle cherchait, une humidité providentielle avec laquelle elle lubrifia la corolle de Candice en y introduisant doucement de la totalité de son index. Candice se tortilla sous cette effraction de son entrée la plus secrète, mais ne réussit qu'à recevoir une tape sèche sur les fesses.

- veut-tu bien te tenir tranquille !

Elle retira son doigt qu'elle remplaça par le thermomètre, qui glissa sans heurts sur la moitié de sa longueur,

- Madame madame, arrêtez, c'est trop gros !

- tais-toi donc petite idiote ; il te faudra t'y habituer, j'ai décidé de prendre régulièrement ta température.

Pour bien souligner son propos, elle appuya sur le thermomètre qui rentra encore plus loin, jusqu'à sentir une résistance qu'elle ne voulut pas franchir tout de suite.

- nous allons attendre dix minutes ! Écarte mieux tes cuisses, que j'admire le travail de l'esthéticienne ; mais tu es toute trempée, petite vicieuse. Je savais bien que tu adorais que l'on enfonce des choses dans le derrière. Rassure-toi ça va continuer et ça sera de plus en plus gros, car tôt ou tard tu goûteras aux thermomètre de mon ami Hubert.

Plusieurs fois auparavant, Françoise avait parlé de ce docteur auquel elle souhaitait amener Candice.

Machinalement, Françoise anima le thermomètre de petits va et vient, provoquant l'accélération de la respiration de la jeune fille.

À ce moment on frappa à la porte de la chambre ; Candice se pétrifia et Françoise demanda,

- qui est-ce ?

- Room-service madame, votre thé !

- vous pouvez entrer !

Candice tenta de se dégager, mais reçut une violente tape sur la fesse,

- tiens-toi donc tranquille, il n'y a rien d'anormal à ce que la serveuse voie une petite fille se faire prendre ta température par sa maman !

Pendant que la bonne installait le thé sur la table, Françoise retira lentement le thermomètre et le consulta,

- 37°8 cela me semble un peut trop, va dans ta chambre te reposer jusqu'au dîner, je vérifierai ta température tout à l’heure.

- Je constate que madame prend bien soin de sa petite-fille,

- tu vois bien, Candice, la demoiselle estime que c'est normal que je te prenne la température.

- Vous savez mademoiselle, j'ai vingt-cinq ans, je suis toujours chez mes parents et c'est toujours maman qui me prend ma température et très souvent en plus...

Encore toute confuse, Candice s'en fut dans sa chambre.

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Bonsoir,

Deuxième extrait de "la stagiaire de madame"

Bonne lecture

Depuis leur voyage, Candice et Françoise étaient devenues des complices inséparables. Pour la jeune fille, Françoise représentait à la fois l’ amour maternel dont elle était privée et l’amie qui lui donnait le plaisir charnel dont elle avait été longtemps frustrée. A la boutique, pour un oui ou pour un non, Françoise ne se gênait pas pour lui relever la blouse, baisser sa culotte, dans un coin relativement discret du magasin.

- Oh, Madame, j’ai honte. Si quelqu’un entrait

- Tais-toi, sinon je te confisque la culotte et tu resteras cul nu toute la journée.

pour ta peine, tu vas tenir toi-même tes fesses ouvertes ; mieux que ça, avec tes deux mains, penchetoi !

Françoise glissait ses doigts dans la raie ; elle touchait 1’anus qui se fronçait craintivement.

- Veux-tu te laisser faire

- Ce n’ est pas ma faute, madame, je me crispe par réflexe.

- Ouvre ton trou.

Candice prenait une profonde inspiration et Françoise sentait le sphincter se relâcher timidement. .Elle y vissait son doigt ; il entrait comme dans du beurre dans l’orifice soumis. Quand il était bien au fond, l’anus se contractait par réflexe, serrait l’index, cherchant à l’expulser.

- Veux-tu bien rester ouverte ! C’est mieux. Je veux ton trou du cul bien ouvert, compris ?

- Oui, Madame.

- Tu as fais caca, ce matin ?

- Oh … Madame !

- Réponds !Tu ne dois rien me cacher.

- Oh, madame … j’ai honte.

Une nouvelle claque à l’intérieur des cuisses, là où la peau est encore plus sensible, la rendait plus docile.

-Aie !. .. Oui, madame.

- Oui quoi ?

- Oui, j’ai fait caca.

- Je veux tout savoir de toi, tu m’entends ? Tout.

- Oui, madame. Pardon,

répondait Candice déroutée.

- bien, tu échappe au lavement ce matin ; c’est bien chaud là dedans et ta crevasse est toute trempée ; reste comme tu es, je suis sûre que tu a de la fièvre, je te prends la température !

Depuis leur retour, Françoise avait complété la petite valise à pharmacie qu’elle gardait dans la réserve par un thermomètre médical assez gros fournis par Hubert et une poire à lavement de ½ litre, munie d’une grosse canule.

Elle sortit de la réserve en secouant le tube de verre ; Candice n’avait pas bougé.

- Tu es une petite fille bien sage, ne bouge pas pendant que je t’enfile ton visiteur.

Pour le lubrifier, elle le passa à plusieurs reprises le long de la conque trempée, puis elle posa le bout sur la corolle anale qui se crispe à ce contact,

- une claque sur chaque fesse décrispa le petit orifice et le thermomètre glissa dans le fondement ,

- aieee madame, c’est trop gros arrêtez !

- Tait toi petite sotte, c’est le nouveau thermomètre que m’a donné Hubert ; je désire t’habituer à des visiteurs de plus en plus gros alors fait toi une raison !

Le tube de verre continua à s’enfoncer jusqu'à ce que Candice pousse un cri,

- aiee mal !

- bon, il est assez loin pour cette fois.

Le thermomètre, de vingt-cinq cm, avait disparu des deux-tiers dans le derrière de la jeune fille, qui, malgré la honte qui la dominait, ne détestait pas ça. Elle s’était habitué aux pénétrations de plus en plus fréquentes des thermomètres et des canules et en tirait un plaisir honteux.

Quelques jours plus tard, Françoise prit la décision d’offrir Candice à son amant. La complicité, qui s’était nouée entre la jeune fille et elle, commençait à tomber dans la monotonie, car l’Anglaise était devenue trop docile. C’était beaucoup plus excitant avant quand il y avait de la contrainte.

- A quatre pattes sur le lit, le cul en l’air tourné vers moi !

ordonna Françoise d’un ton sec

Candice grimpa sur le lit. Ses lèvres entrouvertes exhalèrent un profond soupir. La position, que Françoise lui faisait souvent prendre, lui procurait toujours une violente bouffée de plaisir honteux. Elle montrait ses orifices ouverts sans défense.

- En chienne !

Ordonnait-elle souvent ; et cette posture avilissante la ramenait au rang de l’animal.

- Le trou du derrière est bien graissé

- Oui madame, vous y avez procédé vous même

avoua Candice dans un murmure.

- Ah oui tu a raison, je vais tout de même vérifier.

Elle eut un sanglot en sentant un doigt fouiller la raie et se poser sur l’anus, mais elle se camba ma1gré elle pour faciliter le passage. Candice ressentait une telle langueur que son anus s’ouvrait et qu’elle luttait contre la vertigineuse envie de s’asseoir sur le doigt. La maîtresse appuya, l’index glissa en elle. Françoise fit bouger le doigt, s’amusant des contraction des sphincters

A la plage, chez Marius, elle avait soupiré :

- Le docteur te prendra la température, c’est sur chérie. ; En arrivant à la maison, je te mettrai un peu de vaseline dans le petit trou, rappelle le moi.

Elle sortit son doigt

- ne bouges pas tu a besoin d’un lavement avant la visite du docteur…

- Mais j’ai fais caca aujourd’hui !

- Je constate que ce n’est pas suffisant, tais-toi donc !

Françoise reparut tenant une serviette et une grosse poire d’un litre surmontée d’une canule encore plus grosse que la dernière fois. Candice ressentit un grand trouble en pensant à ce qui allait la transpercer. Cependant elle commençait à s’habituer à sentir des hôtes de plus en plus gros visiter ses orifices.

Françoise posa la serviette entre ses jambes qu’elle écarta davantage, puis posa la grosse olive sur la rosace qui se crispa,

- Non, ouvre-toi bien, pousse fort !

Elle abandonna toute résistance et la grosse canule s’enfonça jusqu’au bout,

- aaaaaaah madaaaaame !

La réponse immédiate fut deux claques, une sur chaque fesse…

Un flot d’eau tiède envahit son intérieur puis Françoise imprima à la canule un mouvement de va et vient,

- nooon madame arrêtez !

- mais tais toi donc, ton coquillage est ruisselant !

Candice versa quelques larmes de honte en sentant son corps répondre si positivement aux avanies auxquelles elle était soumise. La canule se retira et pénétra à nouveau cinq fois de suite avant que la poire ne soit vide et resta fichée dans son fondement.

- Allonge-toi sur le ventre, nous allons attendre un peu.

Françoise passa sa main entre les cuisses de la jeune fille, deux doigts disparurent dans la conque féminine,

- tu es souple et onctueuse, il est temps pour toi de perdre ta virginité ; nous demanderons ce qu’il en pense au docteur.

Au bout de dix minutes, Candice s’agita,

- madame, madame, je dois y aller, je ne tiens plus !

Françoise donna son feu vert et la suivit dans la salle de bain. Après l’avoir nettoyée et essuyé, elle lui graissa de nouveau, longuement, l’anneau qui palpitait sous ses intrusions.

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Bonjour à tous,

Un troisième extrait de "La stagiaire de Madame"

Candice savait que le moment était venu. C’était comme si elle assistait à une mauvaise pièce de théâtre, dont elle connaissait les répliques par cœur, dont les dialogues sonnaient faux. Tout avait été arrangé d’avance.

- Nous ne voudrions pas abuser de votre gentillesse, Docteur. La petite peut attendre.

- Aucune importance. Cette visite médicale fera un petit intermède à ce délicieux repas. J’en ai pour deux minutes à prendre ma sacoche. Qu’elle se prépare attendant.

Il sortit, les laissant seules un instant. Françoise murmura de cette ridicule voix bêtifiante qu’elle employait chaque fois qu’elle la punissait :

- Déshabille-toi, ma chérie. Ne fais pas attendre le docteur.

- Je lui fais retirer sa culotte ?

Demanda Françoise au médecin qui venait juste de revenir.

- Pas pour l’instant.

Le docteur reprit sa place. Ils obligèrent Candice à marcher autour de la table, à petits pas, les mains sur la tête. Le ventre lourd d’un plaisir honteux, seulement vêtue de sa culotte trop petite, elle défila en silence.

- Installe la petite, je vais l’examiner.

- Le docteur va t’examiner, ma chérie.

Françoise, accroupie devant elle, glissa les mains sous sa jupe, pour tirer l’élastique de la culotte.

- Je vais te la retirer. Mon Dieu, que tu as chaud ! Tu es en nage, ma pauvre chérie. Elle leva les fesses pour laisser passer la lingerie. La culotte glissa le long des jambes jusqu’aux chevilles. Françoise lui souleva un pied, puis l’autre. Comme elle se relevait, Candice réunit les cuisses.

- Voyez-vous cela ? On joue les pudiques, maintenant ?

Cramoisie de honte, Candice ferma les yeux pour ne pas croiser le regard du médecin sur le compas à mi ouvert de ses jambes. Françoise la bascula sur le canapé.

Le médecin lui palpa les muscles des jambes. Elle reconnut le contact du latex.

- Les cuisses sont musclées, les jambes fuselées. Cette gamine est faite pour la danse.

Mais très vite, il la toucha là où elle en avait très envie

- Elle n’est pas tout à fait ouverte, fit la voix éraillée de Françoise.

- Je vous l’ai rasée pour que vous puissiez mieux l’examiner, fit la voix servile de Françoise.

- Bonne idée.

Il posait à Françoise des questions indiscrètes, demandant si « la gamine» avait des règles douloureuses, si elle souffrait de constipation. Pour l’humilier, il s’adressait à Françoise par-dessus sa tête, d’une voix feutrée, comme si elle-même n’existait pas. Puis son doigt se posa sur la bordure de l’anus qui se fronça, mais se relâcha aussitôt. Hubert enfonça son index

- Docteur, vous avez remarqué, que cette coquine s’est graissé le petit trou, dans l’espoir de se faire mettre le thermomètre, fit Françoise d’une voix fielleuse,

- Oh, Madame, c’est vous qui … s’indigna Candice.

- Tais-toi ! Ne fais pas l’insolente devant le docteur.

- Ce n’est pas que de la vaseline, précisa Hubert.

Il se mit à agiter son doigt pour provoquer des bruits visqueux qui firent gémir la jeune fille. Malgré elle, Candice serrait le doigt dans la bague nerveuse de son anus. Cette réaction involontaire amusa le médecin, qui prit Françoise à témoin :

- Regardez comme elle aime ça, cette petite enculée. Elle retient mon doigt de peur qu’il ne l’abandonne.

Hubert sortit de sa mallette un écrin contenant un thermomètre d’un format épouvantable. Candice jeta un regard terrorisé en le voyant brandir l’impressionnant tube gradué avec sa pointe de verre aussi grosse qu’un petit Havane. La panique lui serra les sphincters, ce qui fit palpiter sa chatte.

- Je suis désolé. Je n’ai qu’un thermomètre vétérinaire,

fit-il en l’agitant pour faire descendre le niveau du mercure.

- Aucune importance, Docteur, Elle a l’habitude que je l’assouplisse au doigt ainsi qu’avec thermomètres et canules. A cet âge, on a le trou élastique. Elle fait des crottes beaucoup plus grosses que ce malheureux thermomètre destiné au cul des vaches.

Le médecin retira son doigt. Au moment où il quitta son anus, dans un mouvement réflexe, comme si elle craignait de se vider, Candice se crispa. Son cul se boucha avec un bruit mouillé. Gagnée par un vertige, elle eut un gémissement. Mais très vite, la pointe de verre remplaça l’index. L’intrus glissa à fond, distendant les muqueuses, s’imposant de façon irrépressible. Elle était trop molle pour résister. Les picotements désagréables se muèrent en ondes de plaisir.

- Voilà. Tu vas rester thermomètre au cul, un bon moment. Le temps que je fasse un toucher vaginal.

Repliant deux doigts, il les fourra dans le sexe de Candice. La sensation fut si violente qu’elle suffoqua, luttant contre la montée de l’orgasme. Le docteur les faisait doucement bouger, comme quand Françoise la « fessait de l’intérieur ».

- Tout me paraît normal, commenta Hubert d’une voix neutre, à part une légère rétroversion de l’utérus, parfaitement anodine.

- Vous avez remarqué, fit Françoise avec une joie enfantine, quand elle jouit, la température monte. Le thermomètre indique 38°5. Elle a chaud au cul.

- Tu as le nécessaire pour lui administrer un lavement ? De préférence une poire et une canule vaginale, il faut refroidir cette gamine.

Françoise alla chercher le matériel réclamé par Hubert. Il remplit la grosse poire dans le seau à champagne, puis s’approchant de Candice, il fit signe à Françoise de retirer le thermomètre, qu’il remplaça aussitôt par la grosse canule, la glissant lentement sur toute sa longueur.

Il l’agita à plusieurs reprises avant d’expédier une première giclée d’eau froide.

Une contraction traversa le ventre de l’adolescente qui poussa un cri strident,

- oui je sais c’est froid, mais c’est nécessaire, ça va vite passer.

La canule se retira pour revenir aussitôt et un nouveau jet irrigua les entrailles de Candice. Seul un frisson la traversa à cet instant. Quatre fois la canule la pénétra avant que la poire ne soit vidée.

- Je laisse la poire en place pendant que le lavement agira, tiens-toi bien tranquille.

Au bout de cinq minutes, des contractions affreuses lui traversèrent le ventre,

- je vous en supplie, j’ai mal, laissez-moi aller me vider !

- encore un petit moment, soit courageuse,

répondit Hubert.

Ils se rendirent vite compte qu’elle ne tiendrait plus très longtemps et l’autorisèrent à aller aux toilettes.

Revenue au salon, sur l’ordre du docteur, elle se recoucha sur le canapé, pour un contrôle de propreté qui s’acheva par une nouvelle intrusion du gros thermomètre dans son petit orifice,

- tu comprends bien qu’il faut vérifier si ta température a baissé !

Hubert agitait doucement le tube de verre dans le conduit anal de Candice, puis le laissa profondément enfoncé.

Il s’éloignèrent d’elle pour bavarder discrètement ; elle resta vingt minutes avec son thermomètre avant qu’il ne viennent vérifier la température.

- Bon, 37°9 c’est mieux. J’aimerai que tu contrôles sa température tous les jours pendant une semaine avant de me l’amener au cabinet…

Comments

omega44 Il ya 13 ans  
medoc09 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans