Vues: 512 Created: 2010.11.08 Mis à jour: 2010.11.08

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 12

Bonjour,

Ceci est le dernier extrait de "Mama girl". En effet, à partir de là le roman ne parle plus de s sujets qui nous interessent.

Aurélie avait laissé sa nièce lui prendre la main. La sonnerie de la porte d’entrée les fit sursauter. Lisa accompagna sa tante dans le vestibule. Tout sourire, la figure rouge, Aurélie accueillit son visiteur alors que sa nièce, yeux baissés restait en arrière.

- Bonjour, docteur, voici Lisa, dont je vous ai parlé.

L’homme referma la porte. Son épaisse chevelure, très blanche rassura la fille sans qu’elle sût pourquoi. Par contre, dans son visage impassible, aux traits marqués, aux lèvres minces, l’éclat métallique de ses yeux bleus lui fit froid dans le dos. Pendant qu’ils montaient l’escalier, elle regarda. Ses mains longues et fines et frissonna …

Sur le seuil de la chambre, elle s’arrêta. Ses jambes tremblaient.

- Eh bien entre, Je ne vais pas te manger,

dit le docteur.

Il souriait, mais son regard s’attardait sur son corps, comme s’il traversait sa robe. La gêne et la crainte la paralysaient. Le médecin s’impatientait.

- Allons-nous rester dans ce couloir ?

- Mais non, mais non, allez toi, ne nous fais pas attendre !

Fit Aurélie

D’une main ferme elle poussa sa nièce dans sa chambre.

Sa tante ayant refermé la porte, Lisa se rendit compte que tout, espoir de s’échapper s’était évanoui. La bouche sèche, elle se résigna à l’inévitable et remarqua que le médecin n’avait pas de sacoche.

- Pardon madame, puis-je vous emprunter un thermomètre,

- il y en a dans le tiroir de la table de nuit ; vous n’aurez besoin de rien d’autre, n’est ce pas ?

- Allons, jeune fille, il ne faut pas avoir peur de moi.

Tout en lui parlant d’une voix tranquille, il défaisait les boutons de sa robe qui glissa à terre. Paralysée par une faiblesse étrange elle ne fit pas un geste pour la retenir. Bientôt, elle serait nue sous les yeux de cet homme. Déjà, elle lui montrait sa chemise de batiste et sa petite culotte rose, qui montaient au dessus du nombril.

- Tu aimes que l’on te déshabille ?

Lisa baissa la tête et rougit. L’homme regardait ses jambes

Nue jusqu’à la taille, elle s’offrit debout, immobile, bras f écartés. Il tira doucement sur ses mamelons.

- Ça te fait plaisir ? Ça te donne chaud ? Peut-être as-tu envie d’enlever ta culotte ? Le fond est mouillé ? Montre.

Lisa obéit. Quand le docteur se pencha sut son entrejambe, elle devînt écarlate et sentît sa fente suinter. Avec une chaleur insidieuse au ventre et aux reins, elle laissa le drôle de médecin lui ôter sa culotte.

Sans souffler mot, il lui caressait le derrière à deux mains. Un gémissement lui ayant échappé, d’un ton agacé, il lui commanda de se taire. Domptée, elle se mordit la lèvre pour ne pas sangloter de honte quand il lui sépara les fesses. .

- Voilà un postérieur tout neuf, dit-il. Elle crut mourir de confusion quand il passa un doigt tout du long entre ses fesses et le fit tourner sur son anus. Sentant son souffle chaud sur son derrière, elle réalisa avec horreur qu’il s’était penché pour examiner de tout près sa raie, qu’il caressait en insistant sur son anus. Elle eut des soubresauts.

- Ah ! C’est bon, n’est-ce pas ? On ne te l’avait jamais fait ; que ressens-tu ?

Dit-il.

- Monsieur ! Ça me chatouille,

bredouilla-t-elle.

- Parfait. Seulement là ?

Il faisait le tour de son anus en l’effleurant du bout du doigt. En dépit de sa honte, Lisa ne pouvait s’empêcher de se tortiller.

- Non, ça me remue dans le ventre aussi.

- Et où, encore ? Allons ! Dis-le ! ,

- Entre les jambes, dedans,

lâcha-t-elle.

- Comment c’est, à cet endroit ? Je veux t’entendre !

- Monsieur, je suis mouillée.

- Peut-être cela t’a-t-il donné de la fièvre, nous allons voir, je te prends ta température.

Il la bascula à plat ventre sur le lit, puis glissa un oreiller sous son ventre. Il écarta les demi pêches.

D’instinct, elle se contracta au contact de l’extrémité froide du thermomètre.

- Allons, ton trou bien serré aura tôt fait de réchauffer la tige, écarte tes fesses

à deux mains.

Elle les sépara et attendit en se mordant les lèvres. Le médecin lui ouvrit l’anus ; elle tressaillit quand elle sentit l’air sur ses muqueuses internes. Il passa le bout froid qu’il avait lubrifié dessus.

- Tu verras, tes chairs sont toutes chaudes, je ne te fais pas mal ?

- Non, monsieur … non, docteur.

Il entra tout doucement le thermomètre dans son orifice et le plongea au trois quart puis ne bougea plus. Humiliée et excitée, Lisa imagina ce qu’il voyait : ses fesses ouvertes, le thermomètre fiché dans sa rondelle, sa fente luisante d’humidité en dessous.

- Ta tante prend souvent ta température ?

- de plus en plus souvent !

- alors c’est très bien, les petites filles doivent recevoir le thermomètre entre leurs jolies fesses tous les jours, je le rappellerai à ta tante.

- et quoi encore ?

- elle examine souvent mon trou du derrière et mon devant aussi, même que tout à l’heure, après le thermomètre, elle m’a mis un lavement, c’était la première fois !

Enfin le thermomètre se retira.

- Je constate que le lavement a été utile, le thermomètre est tout propre ; dommage, j’aurais bien aimé assister à ton lavement ! Ca sera pour la prochaine fois.

Après lui avoir annoncé une température de 36°5, il la fit asseoir sur ses genoux. Très gênée, elle se tenait droite, cuisses serrées. Quand il la renversa en arrière, elle cacha son visage contre son épaule.

- ]’ aime les filles qui n’ont pas de poils.

Quand il insinua un doigt dans sa fente, tout en bas, elle éprouva l’excitation habituelle. Le visage en feu, elle accepta cl’ écarter les jambes.

- Ouvre-toi plus que ça, soulève ton fessier.

- Tu veux bien que je te caresse là, je n’entrerai pas dans ton petit étui, je ne te ferai pas mal, d’accord ?

Son doigt longea sa fente de bas en haut insistant plus sur le point sensible, lui arrachant des miaulements…

Toute molle, elle se laissa aller dans ses bras. Il la coucha sur le lit.

Enfin, elle sentit qu’il la recouvrait, puis l’entendit partir. Enfin, l’ayant entendu prendre congé, elle descendit et trouva Aurélie dans la cuisine.

Aurélie lui fit sa toilette comme d’habitude. Après quoi, elle suivit sa nièce nue dans sa chambre.

- Mets-toi comme je t’ai montré.

Docilement, Lisa se disposa, les fesses au bord du lit, et écarta les cuisses en soulevant son derrière. Sans dire un mot, sa tante évasa délicatement l’entrée de son vagin où brillaient des gouttelettes sur les chairs roses. Elle les lécha, ce qui fit sursauter l’adolescente. Puis Aurélie examina son anus avec attention. D’un doigt, elle vérifia l’élasticité de son sphincter.

- Il t’a rentré quelque chose dans le derrière ?

- Rien que le thermomètre, je te jure.

- Bon, il m’a demandé de te prendre ta température deux fois par jour, matin et soir pendant un mois avant de revenir te voir ; il a ajouté qu’un ou deux lavements par semaine te conviendraient ; je me conformerai à son diagnostic.

Elle saisit le thermomètre, l’enduit de salive, le pointa sur la petite cible et le poussa jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un petit bout de verre pour le tenir.

- il te l’a enfoncé aussi profond le docteur ?

- Oh non, un peu plus de la moitié,

- il est temps que je trouve des thermomètres plus longs et plus gros…

Elle retira le thermomètre, mais ne lui annonça pas la température.

Aurélie la releva et lui donna un baiser sur la joue.

- C’est bien, tu es gentille tu te laisse bien soigner...

Le lendemain matin, sa tante vint la réveiller, lui prendre sa température et, pendant qu’elle était étendue sur le ventre avec le thermomètre bien enfoncé entre ses fesses, elle afficha une feuille sur la porte de sa chambre.

Seulement après un quart d’heure, elle lui retira le thermomètre et nota la température sur un carnet.

- Bien, lève-toi et vient à la salle de bains que je fasse ta toilette.

Avant de se rendre à sa toilette elle consulta la feuille :

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PROGRAMME DES SOINS

Matin : 7 h avant le lever, prise de la température

Soir : 21 h après le coucher, prise de la température

* en dehors des prises de températures nécessaires au contrôle de santé.

Si thermomètre sale, lavement immédiat à la poire 500 cl

Mardi et vendredi à 18 h après l’école grand lavement au bock 1 L ½

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Comments

clyso Il ya 13 ans  
pitchoun Il ya 13 ans