Vues: 582 Created: 2010.11.04 Mis à jour: 2010.11.04

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 11

Bonsoir,

une petite mise au point : "Mama Girl" dont je publie un second extrait ci dessous n'est pad de Sophie Villalonga, mais de Jacques de Souabe. avec mes plus plates excuses.

A son réveil, elle s’ étonna d’avoir passé une si bonne nuit en dépit de l’angoisse que lui, causait la perspective d’un examen par un docteur inconnu. Elle attendit sa tante sachant qu’elle désirait prendre sa température avant qu’elle ne se lève se ; en attendant, elle se tourna sur le côté en espérant que sa tante ne l'obligerait pas à se mettre sur le dos comme souvent.

L’attente fut courte ;

- bonjour ma chérie, tu as bien dormi, tu sais ce qui t'attend ce matin ?

- Oui ma tante ;

- très bien, reste comme tu es, soit sage et tout se passera bien.

Aurélie repoussa les couvertures, releva la chemise de nuit de Lisa sur sa taille, découvrant les petites fesses qu'elle adorait écarter pour débusquer l'adorable rosace, dans laquelle elle se régalait d'introduire thermomètre, canules et doigts.

Elle prit le thermomètre sur la table de nuit, où il restait maintenant en permanence, le sortit de son étui, le secoua ostensiblement pour bien faire résonner le verre, puis s'asseyant à côté de sa nièce, de deux doigts elle écarta les globes jumeaux, d'un doigt mouillé de salive elle lubrifia le petit trou de l'adolescente en tournant doucement, puis rentrant délicatement deux phalanges.

Retirant son doigt, elle prit le thermomètre en bouche, puis le présenta à l'orifice dans lequel elle l’enfonça doucement et presque entièrement.

Lisa se laissait faire docilement, éprouvant moins de honte, sa position exposant peu son sexe glabre, et surtout elle devait admettre que cette effraction de son intimité profonde lui causait de plus en plus de plaisir.

Il ne se passa rien pendant au moins cinq minutes, après quoi Aurélie retira à moitié le thermomètre pour le consulter, le renfonçant aussi profondément, lui imprima des petits mouvements d'avant en arrière.

Malgré la honte qui commençait à l'envahir, Lisa ne protesta pas ; elle esquissa un mouvement de recul au moment ou Aurélie aventura un doigt indiscret en direction de son entaille, immédiatement suivi par une claque sur sa fesse.

- veux-tu bien te laisser examiner ; je constate avec plaisir que tu es trempée...

Enfin sa tante la délivra du thermomètre en annonçant,

- 36°2, c'est parfait pour le matin ; maintenant lève-toi, enlève ta chemise de nuit et va te peser.

Nue sur la balance, rassurée sur son poids, donc certaine de recevoir le dessert promis pour midi, elle ne pensa plus qu’à cette visite médicale. Mais elle ne dit rien, craignant la colère d’Aurélie. ..

Après l’école, tiraillée entre la curiosité et l’appréhension, elle se hâta de revenir chez elle. Aurélie qu’elle trouva au salon lui précisa que le spécialiste arriverai vers dix-huit heures trente. La consultation aura,lieu dans ma chambre. La jeune-fille s’ étonna et, sans savoir pourquoi s’inquiéta, car jamais sa tante ne lui, permettait d’entrer chez elle.

- en attendant, file dans ta chambre, j'arrive tout de suite.

Elle était pratiquement certaine qu'une fois de plus, sa tante s'apprêtait à lui prendre sa température. Elle se résigna et alla s'étendre sur son lit.

Aurélie la suivit de peu ;

- ma petite Lisa, avant ta visite médicale, le docteur m'a recommandé de te prendre la température, approche.

Aurélie glissa ses mains sous la robe de sa nièce et baissa sa culotte sur ses chenilles, l'adolescente leva ses pieds pour qu'elle puisse l'en débarrasser,

- va t’étendre sur ton lit, sur le dos.

Elle la rejoignit, releva la robe, lui fit relever et écarter les jambes et, après avoir lubrifié seulement le thermomètre le lui enfila prestement dans le derrière.

Sa tante lui fit ses recommandations pendant ce temps.

- Tu te laissera mettre nue, s’il désire le faire lui même,n’ est-ce pas ?

- Oui ma tante.

Après quoi, le silence revint dans la pièce. Après ce qui sembla une éternité à la jeune-fille, sa tante lui retira le thermomètre,

- c'est curieux, il n’a pas beaucoup monté, ne bouge pas, je te le remets,

et une fois de plus le tube de verre lui transperça l'anus.

- bien tiens-toi tranquille, je reviens dans un petit moment.

Lisa s'inquiéta de ce que pouvait bien faire sa tante.

Son angoisse prit consistance quand sa tante réapparut, tenant dans une main et une serviette de toilette et dans l'autre une grosse poire à lavement rouge, surmontée d'une canule de fort calibre.

La malheureuse nièce poussa un cri,

- non ma tante, non surtout pas ça, je ne suis plus un bébé !

- non seulement tu as sali le thermomètre, mais il te faut être absolument nette pour le docteur ; alors tu te laisses faire où tu reçois en plus une fessée.

Aurélie n'avait encore jamais administré de lavement à sa nièce ; ce n'était pas l'envie qui lui avait manqué, seulement le prétexte.

La jeune fille pleurnicha tandis que la tante déposait son matériel au bout du lit.

Retirant le thermomètre de son logement, elle annonça 36°8

- tout va bien ; tiens, regarde le thermomètre ! Maintenant descends du lit !

Elle étala la serviette sur le lit, puis ordonna à sa nièce de se prosterner sur celle-ci.

La canule étant assez grosse (comme un pouce) ; elle avait apporté avec elle un tube de vaseline.

Elle écarta largement les fesses de sa nièce, y déposa une noisette de lubrifiants, l'étala sur le petit cratère puis, fermement, enfonça son doigt à plusieurs reprises pour bien graisser le conduit ; elle enduit également le gros tube d'ébonite dont elle posa l'extrémité arrondie sur l'oeillet qui se crispa de frousse.

- Allons, détends-toi, ça va rentrer tout seul ; dis-toi bien que les messieurs t’entreront des choses bien plus grosses à cet endroit, alors il est nécessaire de t'y habituer.

Imperceptiblement, l'anus de l'adolescente se décrispa ; Aurélie appuya doucement et la canule commença à entrer dans la place, s’y glissant tout doucement, à peine accompagnée par la tante.

- aieee !

cria l'empalée.

Allons ne fait pas ta douillette, je n'appuie même pas, la canule rentre toute seule.

Lisa du bien reconnaître qu'elle avait crié de peur et pas de douleur.

Lorsque le gros tube eut totalement disparu dans les entrailles de l'adolescente, sa tante appuya doucement sur la poire, et un flot tiède envahit le ventre de Lise. La canule se retira, puis revint ; une nouvelle fois l'eau tiède coula dans le rectum. Aurélie laissa quelques minutes la canule bien enfoncée, puis entama un va-et-vient sodomisateur...

- tu vois ma chérie, c'est comme ça qu'ils feront les messieurs...

La tante s'aperçut rapidement que les fesses de sa nièce venaient à la rencontre de l'envahisseur et elle augmenta la rapidité de ses pénétrations, puis retirant une dernière fois la poire pour la regonfler, elle la renfonça d'un coup sec et précis et appuya vivement sur le caoutchouc.

La dernière giclée d'eau tiède provoqua un spasme qui tendit le ventre de Lisa qui s'écroula sur son lit.

Aurélie laissa sa nièce reprendre son souffle, puis l’accompagna aux toilettes en maintenant la poire enfoncée, dont elle la délivra sur les cabinets.

Elle la nettoya soigneusement, la ramena dans sa chambre, lui enfila une petite culotte rose propre, puis la ramena au salon

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pitchoun Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans