Vues: 540 Created: 2010.10.02 Mis à jour: 2010.10.02

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 10

Bonjour à tous,

Extrait d'un roman de la collection "les aphrodisiaques" de Sabine Fournier

MAMA GIRL

Lisa se mettait à plat ventre sur les cuisses de sa tante sans protester. Elle avait honte d’être corrigée comme une enfant. Tante Aurélie passait sur son derrière une main légère, lui donnant des frissons.

- Ton cul aura du succès,

disait-elle.

Oppressée, sa nièce restait immobile sur elle. Tout en gardant sur ses fesses une main qui se crispait, Aurélie indiquait à Lisa le nombre de claques qu’elle avait mérité. Elle devait les annoncer elle-même, à voix haute. Après quoi, c’était l’incertitude. Immédiatement, une claque vigoureuse s’abattait sur son derrière … ou bien se faisait attendre, augmentant son appréhension. De toute façon, elle avait bientôt la peau en feu ; les derniers coups lui arrachaient des cris de douleur.

Quand la fessée était terminée, Lisa savait qu’elle n’était pas quitte pour autant. La femme séparait les fesses tuméfiées.

- Ma tante, je t’en supplie, pas le thermomètre !

pleurnichait la jeune-fille. Cela ne lui faisait pas mal, mais l’humiliait toujours quand elle n’était pas engourdie de sommeil comme certains soirs, trop fréquents à son goût, où sa tante jugeait nécessaire de lui prendre sa température.

Aurélie passait lentement l’index mouillé de salive tout le long de sa raie et le lui enfonçait dans l’anus, puis le remplaçait par le thermomètre qu’elle glissait lentement dans le conduit de sa nièce jusqu'à ce qu’il ne dépassât plus qu’un petit bout de verre qu’elle retenait entre ses doigts

- Je suis sûre que ça ne te déplaît pas.

Avec une soumission perverse, Lisa laissait Aurélie jouer avec son derrière. Tout en lui touchant les fesses, elle faisait coulisser le tube de verre dans son anus dans un long va et vient. Lisa serrait les cuisses pour cacher sa fente qui commençait à suinter. Mais Aurélie, pas dupe, reniflait bruyamment.

- Je sens une odeur de fille échauffée !

Puis, elle lui écartait les cuisses de force et passait la main le long de la barquette encore chauve, puis essuyait sur ses fesses les doigts qu’elle avait passés sur sa fente.

- Tu sens ? Petite hypocrite !

Rougissante, Lisa restait à plat ventre, jambes ouvertes ; sa tante qui avait un instant lâché le thermomètre le reprit en main et l’agita de nouveau pendant un temps qui parut interminable à l’adolescente. Aussi lentement qu’elle l’avait entré, elle ôta enfin le thermomètre et consulta la température.

- tiens donc, 38°2 ! demain matin attends pour te lever, je vérifierais que tu n’a pas de fièvre.

Lorsque Lisa ouvrit le yeux, elle senti la rigidité du thermomètre qui occupait déjà son petit derrière ; tante Aurélie adorait la surprendre au réveil…

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medoc09 Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
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