Vues: 663 Created: 2010.08.08 Mis à jour: 2010.08.08

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 9

Bonjour,

Je suis consterné, j'ai oublié de publier le suite du "lavement d'Hélène". Je corrige...

L’infirmière revint au bout de dix minutes, manipula encore un peu le thermomètre dans le derrière d’Hélène puis le retira.

Le doigt de Maryse la pénétra à nouveau pour compléter la lubrification de son orifice en de rapides va et viens ;

- Elle me met la canule, My God, comme elle est grosse aujourd’hui !

Hélène sentit alors quelque chose de dur forcer les chairs délicates de son oeillet.

- C’est froid. D’habitude, elle la chauffe dans ma chatte, dit encore Jenny.

Le contact était moins doux que celui du doigt.

Hélène, pour ne pas avoir mal, relâcha ses sphincters pour s’offrir à l’intrusion du gros mandrin, bien plus gros que tout ce qu’elle avait reçu, qui glissa lentement et entièrement en elle pendant un temps qui lui parut interminable. Si elle avait prêté attention à la grosseur des différentes canule, elle n’avait pas remarqué leur longueur. Elle n’avait pas pu s’empêcher de crier quand le gros tube d’ébonite toucha tout au fond d’elle.

- Ca a touché le fond ; on a un peu mal la première fois et ensuite ça passe tout seul. Tu ne peux pas savoir quelle longueur est capable de recevoir notre fondement,

lui précisa Jenny.

Une fois ce dernier en place, les chairs distendues s’habituèrent.

Une bouillonnante tiédeur se répandit dans son ventre. Hélène comprit que c’était l’eau qui commençait à couler.

Elles restèrent un moment sans parler, concentrées sur le très lent ruissellement agréable qui leur baignait le ventre, créant un plaisir diffus. Jenny lui expliqua :

- Il leur faut une demi-heure pour nous remplir. On va pouvoir bavarder tranquillement.

La porte du salon s’ouvrit à ce moment sur une jeune fille en uniforme d’infirmière qui portait un plateau qu’elle déposa sur la table, devant elles.

- C’est l’heure du thé,

souffla Jenny.

Ses joues étaient cramoisies. Elle ajouta avec un rire cristallin :

- C’est amusant, on se fait remplir par les deux bouts.

Hélène fut saisie par l’insolite de la situation : d’un coté du mur, elles étaient affreusement obscènes, jambes écartées, derrière nu, l’anus distendu par une grosse canule. Et de l’autre, comme deux jeunes femmes élégantes, en train de prendre le thé dans un salon raffiné.

Mais celle-ci était trop troublée par l’eau qui commençait à la gonfler, la baignant en profondeur d’une exquise chaleur. Elle passa la main sur son ventre alourdi comme celui d’une femme enceinte. La porte s’ouvrit et l’infirmière qui était venue porter le thé demanda si tout allait bien.

L’infirmière, de temps à autre, retirait a moitié la canule tout en massant le ventre, « pour limiter les coliques »…et la repoussait

- Vous êtes presque pleines. Encore un demi-litre et vous pourrez vous vider.

Le débit du lavement d’ Hélène ralentit puis s’arrêta. Son ventre était si enflé qu’elle sentait, de l‘autre coté, sa vulve écarquillée rejetée en arrière. Son clitoris se dressait, des coliques lui tordaient les intestins. Elle sentit le frôlement de la blouse de l’infirmière contre ses jambes nues. Elle fit aller et venir la canule dans son cul, puis la retira d’un coup. Son étoile débouchée, ce fut alors comme une explosion, un geyser. En même temps, il sembla à Hélène qu’on dirigeait un jet puissant dans sa chatte. Les sensations était trop intenses et trop confuses pour qu’elle le sente avec précision.

Son corps se libérait par saccades interminables. une fois libérée, elle resta un moment prostrée.

La séance se termina par un doigt graissé dans la rosette pour l’intrusion inévitable du thermomètre qui lui sembla plus gros que précédemment ; cependant cela ne lui fut pas désagréable bien que Maryse le lui ai planté en presque totalité l’instrument médical.

Avant de repartir, on les essuya méticuleusement.

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omega44 Il ya 14 ans  
pitchoun Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans