Vues: 924 Created: 2010.08.01 Mis à jour: 2010.08.01

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 8

Bonjour à tous,

Cette fois-ci, je me suis lancé dans la traduction : je ne recommencerai plus... Il s'agit du dernier texte publié sur "Google rectal temp 2" avant sa fermeture.

Titre : La punition de Linda

Donna et Mary étaient lassées des enfantillages de Linda. Pour la deuxième fois en trois mois, elle était en retard pour sa part du loyer.

De plus elle avait tendance à oublier régulièrement son tour des travaux ménagers et la cuisine était un épouvantable capharnaüm.

Samedi elles passèrent à la pharmacie acheter les objets nécessaires à punition de la « gamine », thermomètre rectal, poire à lavement, suppositoires de glycérine et vaseline. Cela lui servira de leçon dont elle se souviendra longtemps.

Rentrées à l’appartement, Donna et Mary, pendant que Linda était sous la douche déballèrent leurs emplettes et s’installèrent dans la chambre de leur colocataire attendant qu’elle sorte de la salle de bain. Donna tendit le thermomètre à Mary qui l’enfonça dans le pot de vaseline et posa le tout sur la table de nuit et se rendit dans la cuisine pour remplir la poire d’eau tiède.

Linda sortit de la salle de bains, nue comme d'habitude et se figea en voyant Marie et les Linda assise sur son lit.

- que faites-vous dans ma chambre ?

bredouilla-t-elle.

- Nous en avons assez de tes gamineries ! tu es en retard pour le loyer et c'est nous qui te l'avançons. De plus tu as négligé une fois de plus ta part de travaux ménagers, la cuisine était vrai chantier.

Donna lui dit :

- Viens ici,

- je suis désolée, je vous rembourserai aussitôt que je serais en fonds.

Linda continua,

- on dirait une gamine ; tu crois qu'en disant « je suis désolée » cela suffira ?

Donna reprit :

- nous t’avons déjà donné plusieurs chances de se rattraper, et rien n'a changé ; nous allons voir si en te traitant comme une petite fille cela ira mieux.

Linda aperçut le pot de vaseline et le thermomètre qui en dépassait et Mary put le lire sur le son se visage.

- oui c'est pour toi ma chérie ; je vais prendre ta température dans ton petit derrière ; la prise de température anale est une expérience qui peut être embarrassante et humiliante. Peut-être que cela te fera devenir adulte. Si tu refuses, nous t’aiderons à faire tes bagages pour retourner chez ta mère. Allez Linda approche !

Donna la prit par le bras et la conduisit doucement en travers des genoux de Mary, et s'agenouilla pour maintenir les chevilles de Linda pour éviter qu'elle ne s'agit pendant qu'elle aurait le thermomètre entre les fesses. Elle avait une vue parfaite sur la belle lune de Linda.

- vous pourriez peut-être me donner quelques fessées à la place, c'est humiliant aussi.

Pleurnicha Linda

- je sais ma chérie, mais on fera comme on a décidé ; ne t'inquiète pas, ma mère est une infirmière diplômée et elle m'a toujours pris la température dans mon derrière. Je me rappelle d'ailleurs une fois ou ça avait été très embarrassant.

Tout en tapotant doucement le derrière exposé, elle raconta :

- je devais avoir huit ou neuf ans ; comme elle était infirmière les voisins était toujours à lui demander son avis à propos de tout ce qui concernait la santé.

Un jour, une voisine vient nous voir avec sa fille d'environ cinq ans. Maman m'appela et me demanda de lui apporter le thermomètre et la vaseline. Je pensais qu'elle allait prendre la température de la petite-fille.

Je lui apportais dans le salon où elle était assise et parlait à la voisine : « Mary je voudrais que tu m'aide en montrant à Mme Wilson comment il faut prendre correctement la température. » Avant que je n’aie réalisé, mon short et ma culotte étaient baissés ; j'étais toute rouge d'être exposée fesses nues devant Mme Wilson et sa fille.

Maman me bascula sur ses genoux ; je l’écoutais expliquer à la voisine la façon de prendre la température ; elle lui demandait s'approcher plus près pour mieux voir. Ensuite les doigts de sa main droite écartèrent mes globes et la voisine et se petite-fille regardèrent maman enfoncer doucement le thermomètre bien lubrifié dans mon petit trou.

J'aurais voulu disparaître ; au fur et à mesure que le thermomètre glissait dans mon orifice, maman expliquait combien de temps laisser le thermomètre introduit et comment maintenir sa fille pendant que le thermomètre enregistrait.

Je me tortillais lorsque maman ajustait le tube de verre dans mon derrière qui me démangeait ; quand elle eut bien renfoncé le thermomètre, elle reposa la paume de sa main sur mes fesses pour m’empêcher de bouger.

J'entendis maman dire, « les enfants ont tendance à remuer et il est important de les faire tenir tranquille pendant qu'ils ont le thermomètre enfoncé. »

Enfin elle retira le thermomètre et le montra à notre voisine pour lui expliquer comment lire la température correctement. Maman m'essuya et remonta ma culotte et mon short, puis m’envoya nettoyer le thermomètre en me demandant de lui ramener.

Quand je revins dans le salon, la fillette de la voisine était sur les genoux de sa mère, robe relevée, culotte baissée ; sans qu'on me dise quoi que ce soit, j'apportais le thermomètre à la voisine qui, sous mes yeux, et guidée par maman a pris la température de sa fille.

Finalement, cela me consola de la honte précédemment ressentie.

Linda écoutait, étendue en travers des genoux de Mary. L'histoire l'avait excitée, mais en même temps, elle avait honte, à dix-huit ans, de se trouver dans cette position, telle une petite fille.

C'est très exactement ce que voulait Mary et Donna.

Un instant après, de deux doigts de sa main droite, Mary écarta le derrière rond et potelé. Donna se régala quand l'oeillet de Linda apparut à sa vue. Il était rose et tout propre après la douche, avec quelques duvets bruns autour ; elle voyait l'orifice plissé qui s'ouvrait et se fermait spasmodiquement.

Linda gémit de honte d'être ainsi exposée. Mary retira le thermomètre du pot de vaseline, le secoua, puis l’ajusta soigneusement au centre de l'anus de Linda et doucement l'enfonça tout droit dans le rectum de la malheureuse jeune fille.

Linda grognait et remuait sous l'inconfortable pénétration ; il y avait des années qu'elle n'avait plus été en travers des genoux de sa mère pour une prise de température. Lorsque Mary se mit à agiter le tube de verre, le bout lui chatouilla le conduit rectal,

- enlève le moi !

- non pas encore, il est nécessaire de le laisser bien plus longtemps, alors tiens-toi tranquille.

Elle agita encore davantage le thermomètre qui s'enfonça de plus en plus profondément dans le fondement de Linda qui implora encore et toujours qu'on lui retire ce thermomètre.

Enfin Mary libéra la « petite-fille » de son visiteur.

Elle passa le thermomètre à Donna, qui le posa sur la table de nuit et lui remit en échange un suppositoire déballé.

À nouveau Linda sentit que Mary écartait ses fesses et, avant qu'elle n’ait pu réagir un objet froid franchit son étoile, propulsé par un doigt de Marie qui s'enfonça entièrement.

- aïe nooon

- reste tranquille, ce n'est qu'un petit suppositoire ; maintenant on va attendre cinq minutes, après quoi Donna t’administrera un petit lavement.

Linda éclata en sanglots, mais dut se résigner à l'effraction répétée de sa rosette par la canule de la poire lavement maniée par Donna.

Lorsque Donna eut fini de vider la poire, Linda se précipita aux toilettes...

Revenue dans sa chambre pour s'habiller, Mary l'informa des suites de sa punition :

- Pour te faire pardonner complètement, tu devras accepter de te laisser prendre la température matin et soir pendant une semaine, alternativement par Donna et moi.

Finalement dans son for intérieur, Linda dut admettre qu'elle n'avait pas trouvé le thermomètre si désagréable. Après tout, elle se rappelait que quand elle était gamine, sa maman lui avait fait apprécier, par sa douceur, les instants où elle lui prenait sa température.

Comments

omega44 Il ya 14 ans