Vues: 583 Created: 2010.07.08 Mis à jour: 2010.07.08

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 7

Bonsoir à tous,

Un deuxième extrait de "Cure thermale"

Deux heures environ après l’humiliant rituel de la prise de température, une autre infirmière entra dans sa chambre pour lui annoncer qu’on allait lui administrer son premier lavement. C’était une petite brune au teint mat qui s’appelait Maryse. Hélène eut un frisson d’appréhension, car elle trouvait ce soin particulièrement répugnant. Mais elle avait perdu le goût de la révolte.

Elle fut surprise d’apercevoir, devant la porte de la chambre voisine, une jeune fille qui attendait. Elle était menue comme une gamine, portait juste un spencer qui lui dénudait le bas du ventre. Elle lui fit un petit signe amical de la main. Ses cheveux d’un blond presque roux et ses taches de rousseur lui donnaient un visage de poupée. L’infirmière leur demanda de la suivre. Hélène ressentit à nouveau la gêne de marcher à moitié nue, les fesses à l’air. Cela la réconforta d’avoir une compagne. Celle-ci semblait prendre la chose avec désinvolture. En marchant elle lui jetait des clins d’œil malicieux. Elle avait un visage aux lignes, pures, une peau très pâle et des taches de rousseur sur les joues, mais aussi sur les fesses. Bien qu’elles n’aient échangé aucune parole, Hélène la trouvait sympathique. L’infirmière les conduisit dans une grande salle. Une des cloisons était percée d’une dizaine de guichets circulaires, à un mètre du sol. Au-dessus, sur une étagère, se trouvait un alignement de bocks à lavement en fer émaillé, dont les tuyaux de caoutchouc pendaient. La vision de toutes les canules menaçantes, rangées par ordre le taille, effraya Hélène. Son cœur se mit à battre très fort. L’ambiance était pesante, comme si elles étaient punies. L’infirmière les fit monter l’une après l’autre sur la balance, pour une nouvelle pesée. L’infirmière nota leur poids dans un registre. Puis, elle leur indiqua d’un signe de tête les ouvertures percées dans le mur :

- En position, mesdames.

La jeune rousse, qui semblait habituée, engagea le haut le son corps dans un des guichets ; Hélène fit de même. L’autre côté donnait dans un petit salon coquettement meublé. Accolée à la cloison se trouvait une table sur laquelle elle put appuyer ses coudes, ce qui rendit sa position moins inconfortable. Levant la tête, Hélène vit qu’en face, un grand miroir les reflétait toutes deux côte à côte. On entendit dans l’autre pièce un bruit de charnière et Hélène sentit comme un lourd couvercle se refermer autour de sa taille et la serrer étroitement. Il lui était maintenant impossible de faire le moindre mouvement pour s’extraire du guichet, comme si elle était prisonnière d’un carcan. Une sensation étrange la gagna. D’un côté elle était dans ce salon, habillée et, de l’autre, elle cambrait ses fesses nues, sans rien voir de ce qu’on allait lui faire.

- Maintenant, nous avons le droit de parler, chuchota sa voisine.

Elle avait un charmant accent britannique.

- Je m’appelle Jenny. C’est la première fois que tu viens pour le lavement ?

Hélène lui répondit que oui. Elles se parlaient dans le reflet de la glace. Hélène vit à ses pommettes roses et à son œil brillant que Jenny trouvait agréable d’être là. Derrière elle, une main ferme l’obligeait à écarter les cuisses. Elle rougit en songeant au spectacle qu’elle devait offrir. Dans le miroir, Jenny la scrutait.

- Elle t’ouvre les fesses, n’est-ce pas ? C’est Maryse, la plus vicieuse des infirmières. C’est une gouine, elle adore tripoter pendant les soins.

Puis elle ferma les yeux et ne dit plus rien. Son visage s’était figé sur un sourire béat. Hélène comprit que Maryse devait lui écarter le derrière. Jenny soupira avant d’ouvrir les paupières.

- C’est le meilleur moment, quand elle te vaseline le petit trou.

Sa voix était devenue rauque. L’infirmière devait prolonger l’opération car Jenny se mordit la lèvre. Hélène sentit à son tour des mains chaudes sur ses fesses, et un doigt s’insinua dans sa raie Pour peser avec une exquise lenteur sur l’anus. Malgré elle, elle eut un raidissement. Une claque sèche la rappela aussitôt à l’ordre. Jenny éclata de rire :

- Méfie-toi de Maryse, c’est une vraie peste. Elle n’hésite pas à donner la fessée si on lui résiste.

Hélène, une boule dans la gorge, hocha la tête.

Tina semblait trouver naturel qu’on les traite d’une façon aussi dégradante. Une autre claque, plus sèche, lui fit comprendre que, de l’autre coté, l’infirmière s’impatientait. Elle tâcha rouge d’indignation, de résister en serrant les fesses, mais une gifle plus cinglante lui fit comprendre qu’il était préférable de se soumettre. Hélène céda en poussant un soupir vaincu, et ouvrit largement les cuisses.

- C’est bien, dans notre situation, l’obéissance a quelque chose de rassurant. Nous sommes toutes de stupides petites filles gourmandes, qu’il faut dresser.

La voix de Jenny parvenait de loin à Hélène qui s’abandonna matée, gagnée par une sorte d’accablement. Quelque chose de froid et de visqueux se posa sur son anus. L’infirmière l’étala du bout du doigt en appuyant légèrement. La pommade chauffait agréablement et Hélène s’abandonna complètement.

Dans le miroir, le visage de Jenny était écarlate. Les paupières fermées, la langue tendue, elle souriait voluptueusement. Se sentant observée, elle ouvrit les yeux et avoua d’une voix essoufflée :

- Elle m’a mis le doigt dans le derrière, c’est répugnant n’est-ce pas ?

Hélène, trop troublée par les massages circulaires sur son petit trou pour répondre, se faisait toute molle pour relâcher ses sphincters. Le doigt se vrilla à l’intérieur, élargissant l’orifice. Hélène eut une bouffée de chaleur au fond du vagin sans oser l’avouer, elle puisait de ce viol le même plaisir sale.

Tina la regarda avec un sourire vicieux :

- Tu aimes ?

Hélène, malgré sa gêne, avoua que oui. Jenny expliqua à mi-voix qu’elle avait découvert le plaisir anal à la clinique :

- Notre éducation puritaine considère cet endroit-là comme sale. James, mon mari, ne m’a jamais touché le trou du derrière.

Le doigt se retira et fut remplacé par un tube de verre…

- mais ce n’est pas une canule, c’est un thermomètre !

- Oui madame, avant un lavement, nous devons toujours vous prendre votre température.

Hélène se laissa aller à cette intrusion qu’elle trouva plus agréable que plus tôt dans l’après-midi ; le thermomètre glissait bien et Hélène le senti profondément en elle,

- je vous en supplie, pas si loin !

- Taisez-vous, vous en avez les trois quart et il faudra vous y habituer : il sera plus gros et plus long au fur et à mesure des séances.

Au grand désespoir d’Hélène, Maryse imprima un lent va et vient au thermomètre, lui amenant des ondes de plaisirs,

- oooh non !

- Elle te branle avec le thermo et ça te plaît ? Laisse-toi aller ; à moi aussi elle me le fait ; si tu savait, le thermomètre est gros comme un pouce !

Au bout d’environ cinq minutes de « traitement », l’infirmière les laissa avec leur thermomètre pour aller préparer les lavements.

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Bonsoir,

Encore un extrait de "La Cure Thermale"

L’infirmière la raccompagna dans sa chambre.

- reposez-vous, ma collègue du soir viendra avant le repas pour la pesée et la température.

Seule, Hélène laissa errer ses pensées qui l’amenèrent doucement à son enfance…

Elle devait avoir une douzaine d’années. Pendant les vacances, chez ses grands-parents où elle retrouvait ses cousins Laurent et Christophe et leur sœur Lucie. Ils jouaient souvent avec une jeune voisine Suzette…

A l’heure de la sieste, elle retourna auprès des cousins, le ventre alourdi de désir. Lucie était avec Suzette, la voisine, une brunette délurée qui était déjà là la veille. El1es jouaient à la poupée au milieu du foin. Elles levèrent vers elle un regard distant. Hélène demanda où étaient les garçons. Lucie répondit qu’ils étaient partis au ruisseau pêcher des anguilles. Hélène fut déçue. Malgré l’accueil froid, elle s’installa dans le foin avec elles. Lucie et Suzette continuèrent à jouer comme si elle n’existait pas. Puis, Lucie se tourna vers elle et lui demanda d’une voix ridicule, comme si elle parlait encore à ses poupées :

- Tu boudes, pisseuse ?

-Non.

Suzette montra la culotte qu’Hélène dévoilait un peu, en ouvrant les cuisses :

- Tu as chaud au derrière ?

Lucie voulut passer la main sous la jupe. En un sursaut de pudeur, Hélène serra les cuisses. Lucie se fâcha :

- Veux-tu bien te laisser faire, vilaine poupée !

Elle lui donna une tape agacée au creux du genou et Hélène ouvrit aussitôt les cuisses. Suzette eut un petit rire cynique :

- Elle est bien docile, ta poupée. Pas besoin de lui donner la fessée pour la faire obéir.

- J’en fais tout ce que je veux,

affirma Lucie avec fierté.

Elle tira Hélène pour la forcer à se coucher dans le foin. Une fois allongée, Hélène s’étira mollement et resta immobile, alanguie comme si elle dormait.

- On va Jouer au docteur,

décida Lucie.

La passivité d’Hélène la grisait. Elles lui tirèrent les chevilles pour l’obliger à écarter les cuisses. Hélène, rouge de honte et d’excitation, ferma les yeux. L’air frais lui caressait les cuisses. Elles lui touchèrent le sexe à travers la culotte. Une chaleur familière lui baigna le ventre.

- Tu as vu, elle est déjà mouillée.

Elles palpaient le devant de la culotte, insinuant leurs doigts dessous en frôlant les bourrelets du sexe. Hélène sentit sa vulve gonfler.

- Si c’est pas une honte d’être aussi vicieuse,

s’indigna sa cousine.

- On devrait peut-être l’examiner,

suggéra Suzette d’une voix rauque.

- C’est une bonne idée. On va lui faire une visite médicale. D’abord, on va la mettre toute nue.

Hélène soupira de honte quand elle sentit qu’on la tournait sur le côté pour déboutonner sa robe d’été. Elle protesta d’une voix mourante :

- Laissez-moi les filles !

- Elle est même pas formée,

gloussa Suzette en agaçant les pointes roses de ses tétons pour les faire durcir.

Lucie, qui était encore plus plate que sa cousine, n’osa rien dire. Elles la dépouillèrent de sa robe. Lucie voulut la déculotter. Hélène lui prit le poignet.

- Pas ça, Lucie. J’ai trop honte

D’une tape du bout des doigts, elle lui fit lâcher prise.

Hélène sentit sa culotte glisser, elle serra pudiquement les cuisses, puis s’abandonna avec un soupir vaincu.

- Et tes frères, s’ils venaient ?

Lucie se contenta de hausser les épaules et de lui donner une claque sur les cuisses.

- Nous allons examiner cette grande poupée,

décida Suzette.

Les deux filles à croupetons sur ses cuisses ouvrirent sa fente entre leurs doigts. Hélène étouffa un gémissement en sentant l’air frais sur ses chairs retroussées. Elle se débattit pour la forme.

Elles lui tiraillaient les petites lèvres.

- C’est tout rouge,

souffla Suzette d’une voix rauque.

- Tu as encore dû te tripoter sale vicieuse.

- On devrait lui mettre de la pommade.

Suzette dans sa boîte à poupée, avait tout un nécessaire : de vieilles seringues sans aiguille, des boîtes de médicaments et même un thermomètre et une vieille poire à lavement. Elle prit un tube de pommade.

- j’ai justement ce qui lui faut. C’est pour calmer l’irritation des fesses des bébés.

Lucie ouvrit la fente d’Hélène entre deux doigts tandis que Suzette lui pommadait les petites lèvres. Les nymphes enflèrent.

- Elle est fiévreuse,

commenta Suzette en enfournant une grosse quantité de pommade à l’intérieur du sexe.

Hélène eut un incontrôlable raidissement. Lucie s’inquiéta en voyant les doigts pénétrer :

- Fais gaffe, faut pas la percer. .

Hélène suffoqua quand elle écrasa son clitoris et le fit rouler sous ses doigts.

- Elle aime ça,

pouffa sa cousine.

- Et le petit trou ? On devrait vérifier

- Non, Suzette. C’est trop sale.

Les deux filles eurent vite fait de tirer ses jambes vers le haut. Sans vraiment opposer de résistance, Hélène se retrouva le cul en l’air, les pieds rejetés au-dessus de la tête. Dans cette position, elle leur montrait son anus ouvert. Suzette y passa le bout de ses doigts encore graissés de pommade. Elle toucha les bords. Hélène avait le trou tellement ouvert que les chairs de l’intérieur étaient déplissées. Cette caresse réveilla la sensation de sa vulnérabilité et la fit jouir encore plus. Suzette lui tapota l’anus, provoquant un petit bruit mouillé.

- Son trou est tout rouge. .

- Elle a peut-être de la fièvre.

- Alors nous devons lui prendre sa température

Hélène sentit le thermomètre qui pénétrait son orifice.

Elle se tortilla en crispant l’anus.

- Vous me faites mal. Arrêtez !

- sois sage, ce n’est pas la première fois que tu reçois le thermomètre… hier soir encore…

Hélène rougit de plus belle ; comment sa cousine pouvait-elle savoir que sa grand-mère…

Avec délicatesse Suzette fit glisser le thermomètre dans le petit œillet qui palpitait sous l’intrusion. Finalement elle devait s’avouer honteusement que ça ne lui déplaisait pas tant que ça. Elle s’apprêtait à protester contre la profondeur de la pénétration lorsque sa cousine posa la main sur le bras de Suzette,

- Pas plus loin, il ne faut pas l’abîmer !

Elle cessa d’enfoncer le thermomètre,

- bon d’accord, mais il faut qu’elle le garde au moins dix minutes

- tu a raison c’est le minimum

reconnut Lucie.

Au bout de ce qui lui parut une éternité, Suzette lui ôta le thermomètre,

- 38°1, elle a vraiment chaud, il faut un lavement,

- non pitié pas ça !

Mais déjà Lucie avait attrapé la poire et introduit entièrement la canule dans le petit anneau qui n’avait pas eu le temps de se refermer. Heureusement il n’y avait pas de liquide dans la poire et sa cousine se contenta d’agiter pendant un moment le tube d’ébonite dans le conduit anal de sa cousine qui ponctuait chaque intrusion d’un non plaintif…

Hélène fut tiré de sa rêverie par l’infirmière qui brandissait un thermomètre… Si ce soir là elle n’avait de fièvre !...

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Bonjour,

Un autre extrait de "Cure thermale"

Vous pouvez ranger vos affaires là, madame Laugier.

Carole désigna l’armoire métallique près du lit. Le dortoir était vide à cette heure de la journée. C’était une vaste pièce, tout en longueur, avec deux rangées de cinq lits de chaque côté. Hélène retrouvait les même sensations qu’à son entrée au pensionnat, quand elle était adolescente.

Dans la clinique, les curistes étaient séparées en deux groupes. Celles qui étaient vêtues d’un peignoir rose suivaient une cure de thalassothérapie classique. Les autres, triées sur le volet dès leur arrivée, constituaient ce que le Dr Marquis et sa complice, Carole, appelaient la « section spécialisée » ou, en aparté, le « dortoir des salopes ». On leur dispensait un traitement basé sur la sévérité et l’épanouissement des instincts sexuels…

…Joëlle frappa dans ses mains pour autoriser les jeunes femmes à reprendre une position plus décente sur leur lit.

- Maintenant que vous êtes calmées, mesdames, je veux un silence complet.

Elle referma la porte derrière elle. Cette fois il n’y eut pas de bavardages. Le dortoir était apaisé. Les jeunes femmes se retournèrent à plat ventre sur leur lit. Isabelle fit de même. Elle ferma les yeux et se laissa bercer par la sensation d’apaisement qui l’irradiait des pieds à la tête. Elle s’assoupit.

Puis Joëlle revint dans le dortoir et secoua celles qui dormaient encore. Hélène rouvrit les yeux au moment ou elle s’approchait de son lit. Elle s’étira.

- Allons, mesdames, en position pour la température.

Elle regarda ses voisines s’installer à quatre pattes sur leur lit, avec naturel.

Jenny lui chuchota,

- elle nous prends la température presque toujours dans cette position ; parfois si elle le précise, c’est sur le dos jambes relevées.

- Nadine, la vaseline. .

- Bien madame.

Joëlle était accompagnée d’une fille très jeune qui portait sur sa blouse rose un tablier de broderie. L’ensemble très court, dénudait presque entièrement ses cuisses. Avec sa coiffe de nurse, elle ressemblait plutôt à une indécente soubrette. La jeune fille portait les instruments sur un plateau ; il semblaient énormes à Hélène. Elle le posa sur une des tables de nuit et s’empara d’un tube de pommade.

- Elle a la main douce, votre stagiaire, souffla Jenny.

L’anglaise tortillait du derrière, tandis que la main de Nadine s’activait entre ses fesses. Jenny se pencha pour étudier le visage de l’élève ,infirmière.

- Oh, chochotte, la voilà qui se met à rougir !

Joëlle lui commanda de se taire, mais on sentait bien qu’elle éprouvait une joie malsaine à voir la jeune fille être l‘objet de moqueries. Elle s’empara d’un thermomètre qu’elle agita avant de le planter avec précision et sur une bonne moitié entre les fesses de Jenny.

Ce fut au tour d’ Hélène de se faire pommader l’anus par la jeune fille. Joëlle surveillait, le thermomètre à la maIn. Nadine déposa une noisette de vaseline au centre du cratère. Hélène n’éprouvait plus la moindre honte à dévoiler son intimité. La pommade était froide et elle sentit son anus palpiter malgré elle. Mais quand Nadine posa son doigt, ce fut une caresse excitante. Elle se relâcha sous la pression, et mordit l’oreiller pour étouffer un soupir de volupté quand l’index pénétra très loin, pour masser les parois rectales.

Nadine se retira trop vite. Hélène commençait déjà à sentir le plaisir la gagner. Puis il y eut le contact du thermomètre, dont l’embout entra sans difficultés ; la stagiaire marqua un temps d’arrêt puis engagea le gros tube dans le conduit qui le laissa passer sans heurts. Hélène le senti remonter loin dans son rectum ; le thermomètre ne la gênait même plus, tant elle était habituée aux énormes canules qu’elle recevait tous les deux ou trois jours ; sans parler du thermomètre, cinq fois par jour au moins à présent . Quand Nadine lâcha le tube de verre elle serra les fesses pour l’empêcher de glisser. Le thermomètre fut très vite réchauffé. En se crispant par saccades, elle ressentait cette sensation excitante de viol dans son anus. Joëlle et son assistante s’éloignèrent et Hélène continua à se donner du plaisir en contractant par spasmes ses sphincters.

Une fois tous les thermomètre mis en place, Hélène vit Nadine s’approcher de Jenny, retirer un peu le thermomètre, puis l’agiter et le remettre en place. Puis derrière elle, elle opéra de même ; Hélène sentit le thermomètre se retirer a moitié, puis Nadine le replongea et elle le fit bouger d’avant en arrière, l‘obligeant à renfoncer sa tête dans l’oreiller pour que l’on ne puisse pas entendre ses gémissement.

Puis la stagiaire ayant remis le thermomètre en place, elle passa au lit suivant. En face, Joëlle agissait de même. La cérémonie dura un quart d’heure environ, dans un silence total, les deux infirmières tournant toujours dans le même sens. Hélène s’aperçut que Joëlle lui repoussai chaque fois le thermomètre encore plus profondément…

Comments

omega44 Il ya 14 ans  
chevreuil Il ya 14 ans  
medoc09 Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans