Salut à tous,

Premier extrait d'un livre des années cinquante par André Vergereau...Une veuve de la quarantaine ayant tendance à l'embompoint entre en cure...

Elle lui montra le thermomètre.

- Pour terminer, une dernière formalité …La température !

On n’arrêtait pas de lui prendre sa température, matin, midi et soir, avant et après les soins et elle redoutait ce rituel, tout en le désirant sournoisement.

Une bouffée chaude lui irradia le ventre, remontant jusqu’à la pointe de ses seins qu’elle vit, à sa plus grande honte, se dresser sous les yeux de l’infirmière. Essayant de dominer son trouble, elle• se dirigea vers le lit, s’y allongea sur le coté, remontant ses jambes vers sa poitrine. La raie s’ouvrit et, malgré sa gêne, elle ne serra pas les fesses.

Peu à peu envahie par une doucereuse torpeur, attendit, les tempes bourdonnantes, l’ordre humiliant.

- Ouvrez-vous mieux, s’il vous plaît. .

Hélène agrippa une de ses fesses et la tira pour dévoiler son anus. L’infirmière ajusta la pointe de verre et appuya. Pour ne pas avoir mal, car Françoise lubrifiait très peu le thermomètre, Hélène poussa doucement, et faillit gémir en sentant le tube de verre forcer son rectum. l’infirmière le faisait pénétrer bien plus qu’elle ne le jugeait nécessaire, mais elle se laissa faire.

Elle se rendait bien compte depuis cinq jours que la cure avait débuté, que les trois infirmières qui étaient chargées d’elle poussaient le thermomètre de plus en plus profondément

Pendant tout le temps que dura l’opération, Françoise gardait les doigts sur le tube, pour l’empêcher de sortir. Hélène, la main sur sa fesse, était moite. Les doigts de l’infirmière donnaient parfois quelques impulsions nerveuses qui résonnaient dans son ventre d’une façon excitante. Elle sentit une chaude humidité sourdre dans sa vulve et ne put réprimer un gémissement affolé.

- Vous ne vous sentez pas bien ? s’inquiéta l’infirmière.

Hélène crut déceler une pointe d’ironie dans le ton de sa voix.

- Non, mademoiselle. Tout va bien. C’était juste un petit étourdissement.

- C’est une réaction fréquente, à cause du régime hypocalorique. .

Hélène enfonça son visage dans l’oreiller. Ses joues s’embrasèrent à l’idée qu’elle était suffisamment ouverte pour que l’infirmière puisse s’apercevoir qu’elle mouillait ; la fille retira le thermomètre d’un geste vif et lui donna une. claque sur les fesses pour l’autoriser à reprendre une position moins impudique.

- Vous pouvez reposer, maintenant, madame Laugier.

Elle s’apprêtait à sortir,

- tiens donc, 37°9 hum, c’est un peu trop ! restez bien allongée, je reviens dans dix minutes pour contrôler.

Elle sortit et referma la porte à clef. Hélène, cramoisie, se retourna sur le dos. Malgré sa gêne, elle ne trouvait en elle aucune énergie pour s’insurger. Tout cela 1’excitait trop, et elle se masturbait plusieurs fois par jour sous ses draps.

Environ un quart d'heure plus tard, Françoise revint dans la chambre en secouant le thermomètre que Hélène regarda avec stupeur.

- Mais il est bien trop gros ce thermomètre !

- allons, pas d'histoire, c'est pour introduire dans votre vagin, restez sur le dos ; relevez et écartez vos jambes.

Françoise posa deux doigts sur la fente, glabre depuis son admission dans l'établissement, écarta les grandes lèvres, puis les petites et enfila le thermomètre dans le conduit vaginal jusqu'à ce qu'il touche le fond, faisant sursauter Hélène.

- je n’ais pas eu besoin de lubrifier le thermomètre, vous êtes toute mouillée.

À nouveau, Hélène rougit comme une adolescente ; il faut dire que sa position était particulièrement impudique. L'infirmière pouvait contempler toute son intimité, qu’aucune pilosité ne cachait plus.

Il se passa dix minutes silencieuses avant que Françoise ne retire le thermomètre pour le consulter.

Sans rien dire, elle secoua le tube de verre ; puis Hélène sentit la grosse pointe argentée se poser sur son cratère anal,

- noon, je vous en supplie pas la, c'est beaucoup trop gros !

- la température semble avoir baissé un peu et je veux être sure

Mais avant que l'orifice ne se rétracte, le gros tube avait pénétré sans lui faire mal et s'enfonçait doucement dans son rectum.

Ce que ressentait Hélène était bizarre ; la sensation de pointe du thermomètre ordinaire avait disparue et la rondeur du tube de verre épousait mieux les parois de son rectum.

Elle ne se souvenait pas d'avoir reçu à cet endroit un aussi gros visiteur, mais cela était loin de lui être désagréable ; elle était sure que l'infirmière s’en rendait compte, car pendant toute la durée de la prise de température, au lieu de maintenir le thermomètre, elle le laissait ressortir, expulsé par les muscles internes, se faisant un plaisir de le réintroduire.

Au bout de ce qui parut à Hélène une éternité, Françoise délivra sa patiente de son occupant.

- bien, 37°5, c'est parfait. En attendant, reposez-vous, je viendrai vous chercher tout à l'heure, pour vous emmener prendre votre premier lavement.