Vues: 549 Created: 2010.04.26 Mis à jour: 2010.04.26

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 5

Bonjour,

Un autre extrait des souvenirs de Madeleine,

Je profite du moment où les filles jouent dans la piscine, pour entraîner mon amie dans ma chambre ; j'attaque d'une voix assez sèche,

- ma chérie, tu n’as jamais voulu jouer au docteur avec nos copains et copines, maintenant tu fesses ta fille et la mienne pour un jeu somme toute normal pour des enfants de cet âge ; tu commences sérieusement à m'agacer avec tes simagrées ;

Elle commence à devenir rouge, mais je ne la laisse pas placer un mot,

- je vais te rendre la fessée que tu as donnée à Arlette ; si tu refuses, ton mari recevra cette photo.

Je la lui montre ; elle éclate en sanglots et je la laisse pleurer un moment, puis je la tire vers moi, la bascule à plat-ventre sur mes cuisses ; d'une main je la ceinture, de l'autre je relève sa robe légère découvrant un joufflu superbe ; je saisi l'élastique de la culotte blanche

- nooon, pas mes fesses nues !

Elle recommence à pleurer,

- ne pleure pas inutilement, une bonne fessée se donne sans la culotte ;

j'achève de déculotter Thérèse et débute la fessée, alternant les claques sur chaque fesse, les rondeurs jumelles commencent à rougir sérieusement ; j'augmente la cadence de mes coups, la jeune femme se met à crier et à pédaler,

- arrêêête, aaaiiiiie, je t'en supplie, j'ai trop mal, mamaaan !

je redouble les claques, me régalant de sa vulve longue que je distingue sous sa toison soyeuse d'un noir de jais, quand elle lance ses jambes sous l'averse qui tombe sur sa lune ; Je cesse la fessée quand ma main me fait mal et je la laisse sangloter.

Je la bascule sur le lit, elle gémit,

- j'ai chaud !

Je la déshabille entièrement, la tourne sur le ventre, sors de la table de nuit un tube de pommade calmante et un thermomètre ; je glisse un traversin sous son ventre et j'enduis son postérieur avec la pommade calmante.

- Je crois qu'il est nécessaire de vérifier que tu n’as pas de fièvre, je vais donc te prendre la température rectale, ne bouge pas ;

elle recommence à sangloter :

- nononononon, j'ai horreur de ça, on me l'a pas fait depuis que je suis gamine, nooon je t'en supplie, ça fait mal !

- tu es stupide ma pauvre Thérèse, on la prend à tout le monde comme ça à la maison alors....

Ses rondeurs sont idéalement présentées, je les sépare de deux doigts, avec l'index de l'autre main, je prélève de la pommade et m'en sers pour lui lubrifier le petit trou en enfonçant mon doigt,

- noooon, pas le doigt, pas le doigt !

- si tu continues à te conduire comme une petite fille, je recommence la fessée au martinet cette fois !

Je prend le thermomètre, l'enduis de salive, enfile le bout dans l'oeillet et doucement le fait glisser dans le trou de balle jusqu'a ce qu'il soit planté aux trois-quart

- tu l'enfonce trop, il est trop gros, enlève le-moi

- tiens-toi tranquille, est-ce que ça te fait mal ?

- euh non,

je commence à agiter l'engin dans l'intestin, elle réagit immédiatement

- qu'est-ce que tu fait, arrête tout de suite !

- que tu es conne, c'est désagréable ?

- ...nnnnon...

Sa voix à changé, je suis en voie de gagner la partie ; je lui laisse le thermomètre un quart d'heure, puis le consulte : 37°9, je maintiens ses fesses écartées et lui enfile un gros suppositoire, que j'accompagne tout au fond avec mon majeur

- qu'est-ce que tu me fais encore ?

- je te mets un suppositoire calmant, repose-toi maintenant.

Pour pouvoir avoir les mains libres avec Thérèse, j'ai mis Monique et Arlette dans le même lit. Le soir, après avoir couché les gamines, j'accompagne mon amie dans sa chambre,

- par acquit de conscience, je vais vérifier ta température, étends-toi sur le dos ;

elle me regarde avec un air de chien battu, mais se couche docilement sur son lit ; je retrousse sa robe et me rend compte qu'elle n'a pas remis de culotte,

- je vois que tu commences à te décontracter...

elle rougit à peine, j'écarte en grand ses cuisses, puis je choisit un thermomètre vaginal moyen que je mouille dans ma bouche ; en le voyant elle s'effraie,

- nooon, il est trop gros, tu vas me déchirer, je t'en supplie Madeleine, laisse-moi tranquille !

Je passe outre ses jérémiades et je lubrifie sa rondelle avec mon doigt enduit de salive que je plonge en entier,

je remplace mon doigt par le thermomètre que j'enfile dans le petit cratère tout doucement et entièrement

-aaaah arrête, j'ai envie de faire caca !

- Mais non, c'est l'impression que ça donne, détends-toi

j'insère mes doigts dans sa moule, elle tente une dernière révolte,

- noonononon, me touche pas !

- mais tais-toi donc hypocrite, tu es toute trempée, tu jouis de ce que tu subis ;

tout d'un coup elle craque, elle éclate en long sanglots

- je suis une salooope, j'essaye de résister, mais j'y arrive pas bouououh !!!

je délaisse le thermomètre dans son fondement, la prend tendrement contre moi

- ma Thérèse, il faut pas te mettre dans de tels états, cède à tes envies, tu t'en trouvera beaucoup mieux, crois-moi.

Elle se calme dans mes bras, laisse aller sa tête sur mon épaule et je sens sa main se faufiler sous ma robe et se poser sur ma motte glabre, car moi non plus je n'ai pas de culotte,

- comme c'est doux, comme c'est chaud,

je coupe court à ses épanchements

- voyons ta température,

le thermomètre a complètement disparu dans son rectum comme un suppositoire,

- Madeleine, qu'est-ce qu'on va faire ?

- te tracasse pas, pousse comme pour faire caca,

elle m'obéit et très vite l'instrument ressort comme une crotte, je le récupère, elle à 37°3 ça va bien ; je lui dis bonsoir en lui posant un baiser sur la bouche qu'elle me rend, cette fois-ci, j'en suis sure, Thérèse a accepté de vivre sa grande sensualité.

Le matin après le départ de Bernard, je me rend dans la chambre de Thérèse ; elle dort nue, sur le côté, je ne peux pas résister à la tentation, je sors un long thermomètre que je lui enfonce en totalité avant qu'elle ne se réveille ; quand elle le fait, elle se retourne sur le dos, s'assied sur son lit et se rend compte que son anus est occupé.

Elle me sourit,

- qu'est-ce que tu peux être salope alors,

elle se recouche sur le côté pour attendre que je lui retire son thermomètre ; quand je l'en délivre elle s'exclame sur sa longueur ;

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omega44 Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans