Vues: 563 Created: 2010.03.09 Mis à jour: 2010.03.09

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 4

Dernier extrait de "Souvenirs érotiques de Suzy"

En parlant de fièvre je pensai au thermomètre et qui pense thermomètre songe à J’endroit où on le met. Cette idée m’amusa, je repoussai les draps, relevai ma chemise, saisit l’engin et l’enfonçai dans le trou de mon derrière. Je le remuai dans mon rectum. Ca faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé ; on s’en chargeait pour moi.

Or, mes parents laissaient toujours un trousseau de clefs chez la concierge, ma cousine au courant de cette habitude et qui me savait seule le demanda. Sans bruit de crainte de me réveil1er elle entra dans l’appartement, arrivant près de ma chambre, elle regarda par le trou de la serrure, me reluqua quelques instants et enfin ouvrit la porte. Je rougis violemment en cachant ma tête sous mon bras.

Elle avisa l’étui vide,

- mais qui t’a autorisée à prendre toi-même ta température, vilaine fille ! tu mérite une fessée !

Elle s’assit à coté de moi sur le lit, retira le thermomètre, qu’elle consulta, puis secoua et m’introduit presque entièrement, puis se mit à me fesser doucement.

Enfin elle me délivra ma température était de 37°8.

Le thermomètre présentait de nombreuses trace brunes :

- il y a longtemps que tu n’a pas fait caca ?

- trois jours, je crois.

- bon ne bouge pas, je reviens.

Elle rentra dans ma chambre tenant le bock à lavement en émail qu’elle avait du trouver au fond du placard de la salle de bain et qui n’avait qu’une seule canule en verre grosse comme mon pouce.

- ma petite Lise, je me propose de t’administrer un bon lavement pour te débarrasser.

- mais cousinette, cette canule est trop grosse, tu me fera mal.

- non ma chérie, je ferais très attention ; de la façon dont tu apprécie le thermomètre, ça glissera tout seul dans ton pertuis ; au deumeurant il n’y en a pas d’autres.

Ayant confiance en ma marraine, je me prosternai sur mon lit pour bien présenter mon séant.

- j’ai trouvé de la vaseline et, pour faciliter la pénétration de la grosse canule, je vais me servir du thermomètre.

Le tube de verre se glissa doucement dans mon petit cratère jusqu’au fond de moi, puis ma cousine l’agita d’avant en arrière pendant un moment me procurant de nouvelles sensations qui m’amenèrent à pousser des petits gémissements incontrôlés,

- tu aimes ça ma poulette ?

- Oh oui cousinette, surtout ne t’arrête pas !

Pourtant au bout de deux à trois minutes, elle ôta le thermomètre et je sentis le bout renflé de la canule se poser sur mon œillet.

Ma cousine ne poussait presque pas pour faire entrer l’instrument, mais ma petite corolle s’ouvrit d’elle même pour laisser passer le gros renflement. Le tube suivit naturellement et la progression ne cessa que lorsque les doigts de ma cousine reposèrent entre mes fesses.

Je n’avais pas gémis pendant l’introduction, mais une fois achevée je lâchai un soupir et quelques larmes.

- Mon dieu je te fais mal ma petite Lise ?

- Oh non Annie, mais cette sensation est tellement intense, c’est extraordinaire !

Rassurée, ma marraine souleva le bock, assez peu pour que l’écoulement soit lent. Peu à peu l’eau tiède m’envahit et je commençais à ressentir des tiraillements, n’ayant pas trop l’habitude des lavements, lorsque la canule se retira puis se renfonça faisant cesser l’impression désagréable.

A plusieurs reprise ma cousine répéta la manœuvre jusqu'à ce que quelques gargouillis annoncent que le bock était vide.

- tu en a reçu un litre ; maintenant attends un moment ; je te laisse la canule…

Pourtant, très vite le tube de verre se retira et replongea au fond de moi, pour ressortir aussitôt.

- Oooh non Annie arrête je vais tout lâcher !

- rassure-toi je la tiens fermement, ça ne risque rien ; tu aimes ?

Je n’osais pas répondre, mais j’enfouis ma tête dans l’oreiller pour mieux apprécier les sensations nouvelles pour moi. Un frisson me secoua toute, puis je sentis la canule se retirer,

- attention, retiens-toi bien, le temps d’aller sur le pot de chambre que j’ai sorti.

Comme une petite fille je m’accroupi sur le pot pour rejeter tout ce qui était entré dans mon petit derrière et plus encore…

Après m’avoir essuyée soigneusement et vidé le pot, ma marraine revint dans la chambre,

- alors ma chérie, comment te sens-tu ?

- Très bien et toute légère.

Elle m’autorisa à me lever.

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omega44 Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans