Vues: 606 Created: 2010.02.20 Mis à jour: 2010.02.20

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 3

Bonjour,

un extrait d'un petit livre de la série "Les Interdits" par Cathy Grimaldi paru en 1990

SÉVÈRE ÉDUCATION

Natacha répond à toutes ses questions d’une petite voix émue. Il écoute, tout en lui pelotant de plus belle les seins. De plus en plus troublée, Natacha a du mal à s’exprimer, J’ai l’impression que ça commence à lui plaire ! Mais le docteur la délaisse. La petite contemple, frustrée, ses seins dont la peau fragile est marbrée de rouge. Monsieur Smith reprend doucement,

- je vous trouve bien fébrile, il me faut prendre votre température.

Il ne la laisse pas réagir, et, la guidant jusqu’à un haut tabouret, la contraint à s’allonger à plat ventre. Le siège est si haut que ses pieds ont du mal à toucher le sol. Dès qu’elle se retrouve dans cette position très vulnérable, le cul en l’air comme pour recevoir une fessée, Natacha proteste faiblement :

- C’est inutile, Docteur, je vais déjà mieux… .

Elle fait mine de se relever, mais je la maintiens, l‘obligeant à rester à plat ventre. M. Smith, après avoir passé un coton imbibé d’alcool sur la pointe du thermomètre, s’approche de mon amie. J’ai plaqué mes mains sur ses reins, tant pour la rassurer que pour la maintenir en place ; Natacha ne peut le voir me sourire sans vergogne. Par sa blouse ouverte, j’aperçois sa braguette anormalement gonflée.

- Cathy, vous allez me servir d’assistante. C’est le moment de déculotter cette demoiselle !

Je ne me le fais pas dire deux fois ! Je saisis l’élastique de la taille et fais glisser avec lenteur l’épaisse culotte de coton. Je dénude le plus charmant cul du pensionnat : un derrière de femme qui a su garder les lignes rondes et dodues des fesses de petite fille. Pour l’instant, elles sont crispées de frousse. Leur profond sillon est fin, la peau très blanche, n’ayant manifestement jamais vu le soleil ! Natacha se tortille, profondément gênée de se trouver ainsi les fesses à l’air. Elle serre les cuisses, ce qui entrave le déculottage. M. Smith, que ces résistances exaspèrent, tonne, agacé :

- Cessez de vous débattre, cette pudeur est ridicule ! J’en ai vu d’autres, vous savez ! Allons, ne nous faites pas perdre de temps !

Effrayée, Natacha se relâche. J’en profite pour faire glisser la culotte jusqu’à ses chevilles et l’en débarrasser. En même temps, son cul se couvre de chair de poule.

- Ouvrez-la ! parfait, maintenez-la ainsi !

Je saisis les fesses et les écarte, afin de dévoiler la raie. Malgré les crispations de Natacha, je la tiens fermement ouverte, exhibant au docteur ses parties honteuses. Je me penche pour l’examiner de plus près. Je vois l’anus plissé qui lutte pour se clore et plus bas, les babines de la chatte. Sentant l‘air frais, et nos regards, lui chatouiller la raie, Natacha s’agite, se tortille et tente de se redresser. Elle a comme un tressaillement quand elle sent la pointe froide du thermomètre se poser au centre de son anus. Je vois la petite rondelle se crisper. Mais la pointe fine force sans difficulté le sphincter. Le tube pénètre beaucoup plus profondément que nécessaire arrachant à notre patiente un gémissement. Une fois en place, il s’agite, tourne comme s’il voulait élargir l’orifice. Natacha proteste sous l’outrage. Je sens cependant, à l’amollissement de ses muscles fessiers, que cela manque de conviction. Elle ne lutte plus, s’abandonne entre nos mains.

Edward, d’un clin d’œil, me désigne la chatte dont les babines sont à présent disjointes. Entre les lèvres enflées, on voit sourdre une mouille épaisse qui poisse le fin duvet de la raie. A n’en pas douter, le jeu plaît à l’ingénue. Il continue à lui pistonner le trou du cul avec le tube de verre. La bague de l’anus s’est ramollie, le trou est dilaté. Encouragé par la docilité de Natacha, M. Smith annonce sentencieusement :

- Mon diagnostic est sans appel, mademoiselle ! vos maux ne peuvent venir que d’une paresse intestinale ! Il vous faut d’urgence un traitement de choc. Cathy, allez me chercher un litre d’eau tiède et une poire . Nous allons lui administrer un bon lavement !

A ces mots, Natacha s’agite sur son tabouret :

- Non, pas ça ! Pas le… .

Excédé, M. Smith se met à lui claquer les fesses :

- Silence, insolente ! Ne discutez pas ! Vous l’aurez, ce lavement !

Je m’éclipse dans la pièce d’a côté où je rempli une petite bassine. Dans une armoire vitrée je choisi une poire de 250 cc sur laquelle j’emboîte un canule vaginale.

De retour dans la salle de soins, je constate que les fesses de Natacha sont bien colorées. M. Smith la maintien sur le tabouret tout en patinant les fesses qu’il vient de frapper.

Il me sourit en apercevant la canule,

- parfait Cathy ; allez-y je vous la tiens, administrez-lui ce lavement.

J’incite les globes jumeaux à se séparer davantage et, constatant que la corolle est encore mouillée et assouplie par la visite du thermomètre, après avoir rempli une première fois la poire, je pose la canule sur l’orifice et pousse le pal dans les profondeurs anales.

Natacha se cabre et crie,

- nooon arrête c’est trop gros aiee !

Mais pourtant sans heurts, la grosse canule est entrée complètement dans le fondement de la jeune fille.

Je presse la poire, arrachant un couinement à Natacha. Je ressort la canule pour regonfler la poire et renfonce la canule. Huit fois de suite je transperce la belle lune de la collégienne avant d’avoir épuisé la totalité de l’eau. Natacha s’agite de plus en plus à mesure que l’eau s’engouffre dans ses entrailles.

Lorsque tout le lavement a été absorbé, le docteur m’ordonne de laisser l’appareil en place. Ce n’est qu’au bout d’un quart d’heure et quelques pleurs que je délivre Natacha de son occupant. Elle se précipite au toilette sans plus tarder…

Comments

pierre Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
n/a Il ya 14 ans  
Aranam Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
medoc09 Il ya 14 ans  
Aranam Il ya 14 ans  
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chevreuil Il ya 14 ans