Vues: 493 Created: 2011.06.30 Mis à jour: 2011.06.30

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 21

Bonjour,

Du même site, un autre texte.

Aventure hot à la maison de repos.

Je l’ai rappelée deux jours plus tard pour prendre de ses nouvelles et sous un prétexte fallacieux je lui dit qu’elle n’avait pas été sage et m’avait désobéi. Elle méritait donc en conséquence d’être punie et pour la punir j’allais l’initier aux joies du lavement. Elle me répondit qu’elle ne voulait pas ; j’ai insisté en lui disant que de toute façon étant son maître c’est moi qui décidais ce qui était bien pour elle et d’ajouter que puisqu’elle ne voulait pas obéir elle aurait droit non pas à une mais à deux injections de ma poire d’amour tout au fond de ses entrailles puis j’ajoutai, pour finir de la convaincre de ma décision que je n’hésiterais pas à l’attacher s’il le fallait car j’avais décidé de toute façon qu’elle recevrai deux poires d’amour dans son joli petit cul puis je raccrochai en ne lui laissant pas le temps de protester.

Le samedi après midi vers 15 heures elle m’embrassa et me prit par la main puis me conduisit à sa chambre. La porte se referma automatiquement alors que je déposais mon sac à dos au pied de son lit. Je l’enlaçais, très excité par ce qui allait se passer dans quelque temps puis je lui demandai d’autorité de se mettre nue et de s’allonger sur son lit. Elle s’exécuta docilement, elle commençait semble-t-il à comprendre qu’elle devrait se soumettre pour que notre relation dure. Lorsqu’elle fut nue, ne gardant que son serre taille en perle sur elle je lui dis que j’étais le docteur et que j’allais la soigner. Elle ne broncha pas lorsque je sortis de mon sac un thermomètre et un tube de vaseline. J’enduisis l’embout du thermomètre d’une noisette de vaseline puis en la regardant dans les yeux j’écartai les plis de sa rosette et j’enfonçais lentement l’embout du thermomètre dans son rectum. Elle se contracta une seconde et je lui demandai si elle avait mal. Elle me répondit que non et ajouta qu’elle avait un peu d’appréhension car elle craignait quelque peu mon air sévère. Je lui caressai alors la joue pour la rassurer tout en enfonçant encore plus loin le thermomètre dans son rectum. Elle ferma les yeux en soupirant. Elle était une fois de plus à ma merci. Elle ne bougea pas durant les cinq longues minutes où je lui laissai le thermomètre enfoncé entre les fesses alors que je caressai doucement ses cuisses puis je le retirai doucement. Elle n’avait pas de fièvre. Elle rouvrit les yeux et me fit un timide sourire puis je me penchai sur elle pour prendre sa bouche qu’elle m’offrit généreusement. Elle embrassait vraiment bien, je l’avais précédemment remarqué mais je ne lui dit rien de la chose réservant cela pour plus tard. Notre jeu de rôle reprit bientôt et je sortis de mon sac une seringue remplit d’huile d’olive dans le but de lubrifier ses entrailles car je voulais qu’elle ne sente pas la pénétration de la canule comme une douleur ou une irritation. Je lui dit, la seringue à la main, qu’elle allait maintenant subir sa punition et que j’allais lubrifier ses entrailles et avant qu’elle ne proteste, les doigts de ma main gauche écartèrent son œillet et j’enfonçai lentement le corps de la seringue entre ses fesses en lui demandant de respirer lentement et de se décontracter. Lorsque le corps de la seringue fut entièrement enfoncé entre ses fesses je lui dis, d’une voix un peu excitée que j’allais appuyer sur la seringue et que je serai si doux qu’elle n’allait rien sentir puis, alors qu’elle clignait des yeux pour approuver ce que je venais de dire, j’appuyai doucement sur le piston en la regardant dans les yeux pour voir ses réactions. Ses yeux étaient remplis d’excitation de sentir l’huile envahir ses intestins. Je lui demandai si c’était bon elle me répondit par l’affirmative, à croire qu’elle aimait recevoir quelque chose dans son joli petit cul, ce qu’elle m’avoua d’ailleurs sur l’oreiller après nos ébats du weekend, me disant qu’elle adorait sentir son cul se remplir ou se faire charger par un bon gode ou une belle queue...

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Bonsoir,

La suite du précédent

Lorsque la seringue fut vide je la retirai puis la remplit à nouveau en aspirant cinq cc d’huile d’olive puisque j’en avais apporté avec moi. Je lui fis une nouvelle injection d’huile dans le cul et lorsque la seringue se fut vidée je lui demandai alors sur un ton toujours aussi ferme de se caresser pendant que j’allais remplir sa poire d’amour. Je pris mon sac à dos et me dirigeai alors vers la salle de bain après m’être assuré qu’elle se caressait effectivement. Je sortis de mon sac la grosse poire verte de cinq cents cc, achetée le matin même dans une pharmacie et je la purgeai de l’air qu’elle contenait puis je présentai l’embout de la canule dans une bouteille d’eau distillée, achetée le matin même également et je relâchai la pression. L’eau commençait à baisser dans la bouteille et la poire grossissait doucement en faisant des bruits évocateurs. J’étais presque dans un état second en regardant la poire se remplir. Lorsque la poire fut remplie je revins près de Blanca ; elle se caressait toujours et son corps s’agitait doucement, preuve qu’elle se sentait bien et se donnait déjà du plaisir. Je me penchai sur elle, poire à la main, puis en la regardant dans les yeux et en prenant sa bouche j’enfonçais lentement la grosse canule dans son œillet jusqu’en butée puis nos bouches se séparèrent. La canule était maintenant totalement enfoncée dans son joli petit cul, seule la grosse poire verte dépassait de ses fesses. J’étais vraiment excité à la vue de ce tableau très évocateur. Je me mis à caresser ses cuisses de la main gauche en lui demandant d’avouer qu’elle avait effectivement désobéi, ce qu’elle fit ; j’aimais l’humilier de la sorte, cela m’excitait davantage. Je lui demandai de m’avouer également qu’elle méritait sa punition. Elle hocha la tête et me dit « oui maître, punissez moi, je le mérite » Ma main droite commença à faire pression sur la poire verte, l’eau envahissait son joli petit cul. Elle cligna des yeux et soupira en recevant sa punition ; je bandais de plus en plus fort. Je ne relâchai pas la pression et l’eau continuait d’envahir ses intestins. Elle gémissait de plus en plus fort, signe évident que je lui procurais du plaisir par poire d’amour interposée. La poire d’amour devint bientôt flasque, Blanca avait tout absorbé. Elle me dit que c’était très bon alors que je retirai délicatement la canule de son joli petit cul. J’étais très excité en cet instant précis.

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pierre Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans