Bonsoir,

Un autre texte du même site.

Confidences très intimes

J’ai acheté un vanity case dans lequel j’ai mis tous mes objets fétiches, à savoir un nécessaire à injection, une poire vaginale de trois cents cc, une grosse poire rectale de cinq cents cc, une poche à lavements souple de 2 litres avec un tuyau de 2 mètres et un jeu de trois canules de différentes longueur et grosseur, un thermomètre en verre bien sûr, des ventouses, du coton, de l’alcool à 70 °, de la vaseline, du gel vaginal, un vibromasseur, des suppositoires à la glycérine, du sérum physiologique et quelques autres objets dont des boules de geisha. Il m’est arrivé de me rendre chez des amies, rencontrées au hasard pour une nuit et d’emporter avec moi cette petite valise. En accord avec certaines partenaires nous jouons des jeux de rôle et le jeu du médecin ou de l’infirmière arrivent souvent en tête. Il y a de cela plus de trois ans j’avais une partenaire attitrée, devenue, pour quelque temps ma soumise. Elle avait accepté ce rôle car je crois qu’elle était un peu amoureuse de moi. Lorsque j’arrivais chez elle, suite à sa demande, on allait directement dans sa chambre et le jeu pouvait commencer. Je lui demandais de se déshabiller mais elle devait toujours garder ses sous vêtements et devait également enfiler une paire de bas noirs auto fixant que je sortais de mon vanity case et que je lui tendais puis, lorsqu’elle était prête, elle venait s’allonger sur son lit et attendait. Je caressais alors lentement ses cuisses gainées et le nylon électrisait mes doigts. Nous aimions tous deux ce contact pendant que je la caressais langoureusement puis je baissais les bretelles de son soutien gorge et je lui posais des questions intimes. Elle était alors en état d’excitation et le jeu à proprement parlé commençait. Je lui demandais si elle avait bien dormi. Elle me répondait toujours non. Je lui disais alors que j’allais prendre sa température et je sortais le thermomètre de mon vanity case ainsi que mon tube de vaseline. J’enduisais l’embout du thermomètre puis, du pouce et de l’index de la main gauche j’écartais sa rosette plissée et j’enfonçais lentement de la main droite l’embout du thermomètre de plusieurs centimètres entre ses fesses. Elle respirait soudainement plus fort. Je lui demandais de rester calme et de respirer lentement sinon elle allait faire monter la fièvre. Elle hochait la tête m’indiquant qu’elle avait compris puis fermait les yeux sur ses fantasmes les plus secrets. Elle gardait le thermomètre au fond de son rectum durant le temps que j’avais décidé, souvent près de cinq minutes puis je le retirais lentement de son petit cul et je lisais. Elle n’avait généralement pas de fièvre mais pour les besoins de la cause je lisais souvent 37°8 puis je secouais vigoureusement le thermomètre pour faire retomber le mercure et je lui disais que j’allais revérifier à nouveau. Dans le cadre du jeu elle me disait qu’elle se sentait chaude et je reprenais sa température mais cette fois j’enfonçais le thermomètre puis je le retirais doucement et le renfonçais encore, puis encore, de plus en plus régulièrement, de plus en plus profondément ; il glissait remarquablement bien et elle gémissait doucement. Au bout d’un moment assez bref elle l’avalait presque totalement, entièrement dans son joli petit cul dont j’adorais m’occuper lorsque j’avais commencé à aller et venir avec ce gode improvisé au fond de ses entrailles. Je lui disais

« vous aimez que le docteur prenne votre température ? »

elle me répondait « oui » dans un souffle et je continuais à lui branler le cul. J’arrivais ainsi souvent à la faire jouir une première fois. Je retirais ensuite définitivement le thermomètre de son petit cul et je lisais 38° je lui disais alors qu’elle avait la fièvre et que j’allais lui faire un lavement pour faire tomber sa fièvre. Elle me répondait « oh oui docteur j’en ai besoin. Je vais vous faire une confidence docteur j’aime que vous me fassiez des lavements » Dans ces moments là ma queue était très dure et je préparais alors son lavement. Lorsque j’avais fait sa connaissance je me contentais de lui injecter juste une poire au fond du cul mais elle y avait pris goût et assez rapidement elle m’en réclamait deux ce qui représentait environ un litre qu’elle absorbait sans aucune difficulté. Nous étions assez rapidement passés à la dimension supérieure et elle acceptait maintenant le bock de 2 litres entièrement rempli. Elle conservait ce liquide au moins trente minutes après l’avoir reçu. Je vissais au bout du tuyau la canule de 30 centimètres équipée d’une tête assez grosse percée de plusieurs trous ce qui créait des jets multiples. On avait mis à hauteur du milieu de son lit une potence à roulettes comme celle que l’on trouve dans les hôpitaux. Lorsque j’avais rempli la poche d’une solution d’eau distillée à laquelle j’ajoutais quelques gouttes de glycérine je pendais la poche à la potence. En me voyant remplir la poche elle ressentait une excitation formidable ; c’est ce qu’elle m’avait avoué sur l’oreiller lorsqu’on passait parfois la nuit ensemble. Pour la petite histoire elle m’a demandé à plusieurs reprises de lui faire un enfant. J’en étais flatté mais j’ai toujours refusé de m’engager pour différentes raisons, la plus importante étant que je ne me sentais pas prêt à assumer cette paternité. Aujourd’hui je ne sais pas quelle serait ma réaction si une gentille petite femme me demandait la même chose. J’avoue que l’occasion ne s’est pas présentée durant ces trois dernières années.

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La suite du précédent

Je vous rappelle que les derniers textes que je publie viennent intégralement d’un site Internet et ne sont en aucune façon de moi.[/i]

Pour en revenir au fil du récit lorsque la poche remplie de sa solution pendait à la potence je prenais le tube de vaseline et j’en enduisais copieusement la longue canule afin qu’elle pénètre sans difficulté dans ses intestins et je la présentais alors contre sa petite rosette puis j’enfonçais délicatement la canule dans ses entrailles. J’y allais lentement autant pour ne pas lui faire mal que pour faire durer le plaisir de la pénétration. La canule s’enfonçait lentement dans la profondeur de ses entrailles. Lorsqu’elle avait englouti les trente centimètres de canule il ne dépassait plus de ses fesses que le petit robinet que j’allais bientôt ouvrir, libérant ainsi la solution qui allait remplir lentement ses entrailles. Je prenais sa bouche enfiévrée pour un baiser fougueux tout en caressant alternativement ses jolis seins à travers le tissu de son soutien gorge puis je baissais alors l’un de ses bonnets pour peloter vigoureusement le sein qui s’offrait aux caresses de ma main chaude. J’ouvrais alors le petit robinet et lorsque la solution commençait à la remplir je pinçais délicatement d’un coup sec son bourgeon. Elle recevait une décharge au fond de sa matrice et ma bouche s’emparait alors de son sein puis je le suçais tendrement. La montée du liquide dans son ventre conjugué aux caresses de ma bouche sur son sein la mettait en état d’excitation. Certains soirs son excitation était si forte qu’elle entrait presque en transes. Le liquide montait lentement dans ses entrailles alors que je lui disais que son maître était content d’elle et qu’il trouvait qu’elle était une parfaite soumise. Le niveau baissait dans la poche et son ventre se gonflait de plus en plus. Pour la petite histoire j’ai eu l’occasion d’expérimenter la dite poche, un soir qu’elle jouait à être mon infirmière et j’avais réussi à accepter trois litres de solutions dans mon ventre. Pour en revenir à ma soumise, lorsqu’elle avait absorbé les deux litres de la solution son ventre était un peu gonflé comme si elle était enceinte de quelques mois. Je retirais lentement la canule de son fondement puis je me penchais sur elle pour déposer des baisers sur son ventre, ses seins ses épaules, son cou mais aussi ses cuisses. Elle roucoulait. C’était quasiment le début de l’extase.