Bonjour à tous,

Encore un extrait d’un site internet.

Premiers instants d'émoi

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Quelques minutes plus tard Arnaud prit Aude dans ses bras puis, se dirigeant vers leur chambre, ouvrit la porte et déposa délicatement son amazone sur le lit qui allait être le témoin de leurs fougueux ébats puis il se dirigea vers la porte et en verrouilla la serrure.

Les choses sérieuses, maintes fois répétées au cours de leurs dialogues virtuels brûlants, allaient maintenant pouvoir se concrétiser. Arnaud sortit de l’armoire le vanity case qu’il avait emporté et le posa sur la table de nuit à côté du petit sac à main d’Aude. Il l’ouvrit et Aude, l’esprit déjà émoustillé, savait qu’elle allait enfin subir sa première visite intime réelle et que son docteur allait la faire fondre de plaisir. Elle s’allongea sur le lit en attendant la suite. Lorsqu’elle vit Arnaud revêtir la blouse blanche, son corps se mit à frissonner et lorsqu’elle le vit sortir un thermomètre et un tube de vaseline du vanity case elle sentit sa vulve s’humidifier légèrement. Son corps tremblait déjà d’excitation et lorsque le docteur Arnaud lui demanda d’écarter les cuisses et de replier les genoux après s’être dévêtue son sang se mit à battre dans ses tempes et sa respiration s’accéléra imperceptiblement. L’instant de la première intromission d’un objet dans son rectum par quelqu’un d’autre qu’elle-même était sur le point de s’accomplir. Elle retira son chemiser puis sa jupe et ferma les yeux, s’abandonnant aux mains expertes du docteur Arnaud. Elle sentit un contact froid à l’entrée de son œillet puis l’index ganté de la main d’Arnaud pénétra la petite rondelle très serrée d’Aude et commença un lent va-et-vient destiné à lubrifier son conduit anal. Lorsqu’il jugea qu’elle était prête, Arnaud écarta de deux doigts de sa main gauche le petit œillet frémissant d’Aude et y introduisit délicatement l’embout du thermomètre qui pénétra l’intimité de celle qui était devenue, par amour, avec le temps et par jeux érotiques librement consentis, sa patiente. Le thermomètre pénétrait lentement les entrailles de la belle Aude qui se mit à soupirer de plaisir. La main d’Arnaud continuait à pousser lentement le thermomètre qui pénétrait de plus en plus profondément le cul de sa jolie patiente à la fête et lorsque le corps du thermomètre eut presque disparu dans le fondement d’Aude, Arnaud retira ses doigts du thermomètre enfoncé quasiment entièrement dans le joli cul de sa patiente et vint prendre amoureusement sa bouche, lui donnant un doux baiser d’amour tout en caressant ses joyaux déjà gonflés de désir. La respiration d’Aude s’accéléra imperceptiblement et entre deux soupirs elle regarda amoureusement Arnaud dans les yeux lui disant

« Tu me fais du bien, docteur, j’aime la douceur de tes gestes, continue ! »

Pour toute réponse Arnaud se saisit une nouvelle fois du thermomètre, le transformant en gode improvisé et lui fit faire nombre de va-et-vient jusqu’à ce que le corps d’Aude se torde puis se cambre sur le lit devenu depuis un moment lieu de plaisir. Aude venait de connaître une nouvelle jouissance et Arnaud retira lentement le thermomètre des entrailles d’Aude puis l’embrassa tendrement pour la ramener au calme.

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Bonsoir,

Suite et fin du précédent.

Lorsque Aude eut quelque peu récupéré, Arnaud reprit sa consultation. Aude lui avait dit assez rapidement au début de leurs chaudes conversations passées que sa vulve était assez étroite l’empêchant d’accéder à certains plaisirs puisqu’elle ne pouvait enfoncer qu’au maximum deux doigts dans son intimité sous peine de douleurs insupportables si elle tentait d’y ajouter un troisième doigt. Arnaud lui expliqua qu’il avait maintenant envie de pénétrer sa conquête et que pour qu’elle ne souffre pas il allait lui faire une injection huileuse dans la vulve.

Aude était bouleversée de réaliser que non seulement Arnaud lui faisait vivre ses fantasmes de manière fantastique mais, qu’en homme prévenant, il prenait toutes les dispositions pour que les choses se passent le mieux possible. Elle avança une main en direction du visage de son amant et lui caressa affectueusement la joue droite. Arnaud se saisit de la main d’Aude et l’embrassa passionnément puis lui demanda de se détendre pendant qu’il préparait son injection. Il sortit du vanity case une seringue en verre, une petite sonde terminée par un embout et une grosse bouteille qui contenait un liquide gras et huileux. Il dévissa le bouchon de la bouteille et après avoir emmanché la sonde sur le corps de la seringue il la plongea dans la bouteille puis tira lentement sur le piston. Aude était fascinée par la seringue dans laquelle le liquide huileux était en train de monter lentement et cette seringue allait incessamment pénétrer son intimité et injecter le liquide qui allait lui permettre de recevoir en sa vulve le sexe d’Arnaud. Sa libido se mit en cavale alors qu’Arnaud, avec un discours toujours aussi professionnel, demanda à sa patiente d’écarter ses cuisses au maximum et de replier le plus haut possible ses genoux. Lorsqu’elle fut en position il lui demanda de lever les fesses et plaça sous elles un oreiller pour surélever sa vulve en vue de l’injection. La seringue était maintenant pleine. Le docteur Arnaud prit en main la seringue et demanda à sa patiente de respirer calmement. Un clignement des yeux lui fit comprendre qu’elle était prête à recevoir sa dose de bonheur. Il approcha l’embout de la seringue des lèvres intimes d’Aude et les écarta de deux doigts puis fit entrer lentement la sonde entre ses lèvres intimes. Aude avait fermé les yeux et respirait lentement, attendant le bonheur. Elle sentit le corps de la seringue pénétrer son intimité et lorsque le docteur Arnaud appuya sur le piston elle se mit à gémir en caressant la main d’Arnaud puis lui dit d’une voix plaintive « Oh, docteur je vous appartiens, vous me donnez tant de bonheur. Je vous aime, docteur »

Arnaud retira la seringue de la mangue dégoulinante d’Aude quelques instants plus tard puis se coucha à côté de sa maîtresse.