Vues: 448 Created: 2011.07.30 Mis à jour: 2011.07.30

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 24

Bonjour,

Revenons-en aux textes que j’ai chez moi : la suite de « atteintes à la pudeur »

Laure lui dit avec gentillesse

- Retiens-toi. Ça va aller !

Juliette, mise en confiance, fit un effort pour obéir à la voix persuasive. L’infirmière l’aida à se relever avec précaution puis la conduisit aux toilettes, la poire bien enfoncée. A peine la poire fut-elle retirée, qu’un flot, qu’elle ne pouvait contrôler, s’échappa de son cul. Elle croyait que c’était fini, quand un spasme la tordit. Et elle eut une diarrhée entrecoupée de pets sonores.

Sans sourire aux bruits indécents, Laure passa les mains sur son ventre, le pressant avec force, pour aider à tout expulser

Les seins de Juliette frottèrent contre les bras qui sortaient, nus, de la blouse blanche. Le contact de ce corps chaud devint voluptueux pour Juliette, alors que d’ultimes contractions agitaient son ventre.

- Fais encore un effort !

De toutes ses forces, Juliette contracta ses abdominaux. Une explosion liquide éclaboussa la cuvette, lui mouillant les fesses. Humiliée, elle baissa la tête. Les paumes de Laure glissaient doucement sur ses seins nus.

- essuie-toi, et viens.

Elle la détaillait, alors que, les jambes à demi pliées, la jeune fille séchait ses fesses au papier hygiénique, les tamponnant avec soin. Juliette reprit la pose, avec le plus d’assurance possible. Elle posa la main sur ses fesses, tout près de son cul puis, cambrant les reins, présenta sa vulve qui s’ouvrait. Elle tourna la tête pour, crânement, fixer la nouvelle canule, plus grosse encore, d’un bock celle-ci, qui s’approchait. Quand l’objet la pénétra, en totalité, elle frissonna de plaisir. Elle s’abandonna, se laissant envahir par le liquide qui l’inondait plus lentement que précédemment.

- Il faut laisser le temps aux éléments minéraux de se déposer. Je reviens dans un quart d’heure.

L’eau la gonflait de plus en plus ; elle osa saisir la canule, la retira à moitié, puis la replongea tout au fond, à plusieurs reprises, étouffant ses gémissements.

Des pas résonnèrent dans le couloir. On frappa à la porte ; elle entendit la voix enjouée de Laure.

- C’est moi. Le supplice est presque terminé pour aujourd’hui. Attention j’enlève la canule, serre bien les fesses.

Juliette se précipita au toilettes. Lorsqu’elle revint, Laure agitait le thermomètre,

- allonge-toi sur le dos, je dois encore reprendre ta température !

Elle lui releva les jambes ver sa poitrine et la jeune fille senti le tube de verre remonter dans son rectum, jusqu'à ce que la main qui le tenait repose sur ses fesses.

Juliette sentait sa conque, exposée au regard de Laure s’ouvrir et s’humidifier,

Laure remarqua un mince filet de sang

- Tu sais que tu vas avoir tes règles ?

- Merde !

Cela lui avait échappé. Elle détestait l’indisposition et ses contraines. laure lança :

- Il te faut un tampon.

Elle en avait déjà pris un, et s’apprêtait à le lui enfiler, quand Juliette dit craintivement :

- Je suis vierge !

Même si elle aimait sentir la pression d’un doigt sur son hymen, toute pénétration ressemblait à un viol. Laure se montra douce, compréhensive, flattant l’aine moite de la jeune fille.

- Il y a des mini-tampons, tu sais.

Du bout du doigt, Laure jouait sur ses petites lèvres, les écartait, pressait sur l’orifice vaginal qui se dilatait. Elle la préparait à une nouvelle pénétration. Juliette s’abandonnait. Elle eut une bizarre ,sensation quand le Tampax l’emplit. Son colibri était dilaté et cela n’était pas du tout déplaisant…

Pendant la mise en place du tampon, le thermomètre était ressorti de moitié ; Laure le repoussa ;

- quand tes règles seront terminées, si tu veut bien, une fois sur deux, je prendrais ta température dans ton petit vagin.

- Ah bon ! c’est possible !

- bien sur ! C’est le meilleur moyen pour habituer les très jeunes filles aux pénétrations en respectant leur virginité.

- Je veux bien essayer.

Juliette sentis le thermomètre se retirer,

- allez, c’est fini pour aujourd’hui, tu peux te rhabiller ; à demain !

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Bonjour,

La suite de « Atteintes …»

Juliette, mise en confiance, avait pris l’habitude de se déshabiller devant Laure, de s’en remettre sans réticence à ses mains expertes. Une complicité naissait entre elles. Laure savait se faire caressante pour décontracter sa patiente, ménageant sa pudeur,la prévenant avant d’entrer dans sa cabine, et agissant comme si sa nudité et les soins intimes étaient tout naturels. Juliette, elle, attendait avec impatience l’heure de son traitement, enflammée à l’idée de s’exhiber devant cette femme, de se laisser peloter. Elle, qui fermait toujours avec soin la porte des toilettes pour uriner, déféquait sans gêne devant Laure, et y prenait du plaisir.

A diverses reprises, Juliette avait aperçu Massiac dans les couloirs des thermes. Une fois, elle crut que sa tante était allongée dans une cabine d’où il sortait. La chevelure était semblable, mais elle n’avait fait qu’entrevoir le dos de la femme nue, la croupe bien en évidence, une jambe repliée dégageant l’anus et la vulve. Elle avait aperçu, dépassant des fesses un bout de verre… un thermomètre.. En fait, ce ne pouvait pas être Marie-Noëlle, qui recevait ses soins l’après~midi et qui, le matin, jouait au tennis.

L’association de l’image du thermomètre et de sa tante, lui rappela qu’elle lui prenait sa température matin et soir, de plus en plus longuement et qu’elle rêvait de lui rendre la pareille.

Massiac, par souci de décence, avait refermé la porte derrière lui, et annoncé à Juliette, avec un sourire qui se voulait bienveillant :

- Il faut que je te rende visite.

Juliette venait à peine de se mettre en levrette, quand on frappa. Sans attendre la réponse, Massiac entra, la saluant avec Une gaieté bon enfant.

- Alors fillette, comment ça va ?

Juliette, surprise, grommela quelques mots indistincts dont il sembla se satisfaire. A l’aise devant une personne de son sexe, elle se contracta, serrant les fesses, gênée d’être vue par un homme. Même si c’était le docteur qui l’avait examinée dans cette même position. Elle rougit violemment à ce souvenir. Tandis que Laure la regardait. Plissant les lèvres en un sourire équivoque.

Massiac entreprit de palper l’abdomen de Juliette. Pour pousser plus loin l’observation, il posa une main sur ses reins, passa son bras entre ses cuisses. Et malaxa son ventre. De la main, il avait effleuré sa vulve, par mégarde semblait-il, mais durant tout l’examen, son clitoris enflé frotta par à-coups sur la manche. C’était si voluptueux, que Juliette rêva qu’oubliant toute retenue, elle pressait son bouton sur le tissu rêche, s’ abandonnant à des picotements électriques. Elle ne put retenir un frémissement sensuel de tout le bassin.

- C’est bien, tu es beaucoup plus dégagée que lors de ta première visite.

Qu’entendait-il exactement par là ? la phrase était à double sens. Il pouvait parler des intestins libérés des matières qui les encombraient, mais le ton léger pouvait signifier qu’il approuvait son attitude affranchie.

Il appuya discrètement du poignet sur son bouton gonflé. Juliette eut un mouvement voluptueux des reins, comme si elle lui offrait Son cul. Elle relâcha lascivement son corps, ses genoux glissant sur la serviette, s’écartant encore, pour dévoi1er le sexe et l’anus. Le docteur ne pouvait que voir le fil du tampax, mais elle se fichait qu’il apprenne des détails intimes. Au contraire même, se montrer à lui en de telles circonstances l’enflammait. Massiac, si ses mains se faisaient de plus en plus caressantes, avait repris une voix neutre, très professionnelle, quand il énonça son diagnostic en phrases courtes :

- Tu as trop de poils. Ce n’est pas hygiénique. Il va falloir te raser.

Juliette n’eut pas le temps de lui demander ce qu’il voulait ire, que déjà il commandait :

- Mademoiselle, s’il vous plaît !

Laure sortit. Massiac décidait de tout. Juliette se tut, ne pouvant que suivre sa volonté, et appréciant, malgré une vague inquiétude, d’être en son pouvoir. Pour meubler le silence qui s’installait. Il continua :

- J’ai eu tes analyses. Des E. Coli, dans les selles et les urines. La même souche. C’est bien ce que je pensais.

Pour mieux expliquer, il toucha le pubis de la jeune fille, la main enfouie dans ses poils :

– Chez la femme, l’appareil génito-urinaire est très proche du côlon. Des communications au travers des parois sont fréquentes. Tes colibacilles, qui ne sont pas pathogènes dans le milieu intestinal, peuvent le devenir dans ton urètre ou ta vessie.

Juliette ne saisissait pas grand chose des commentaires longs et compliqués ; elle pensait plutôt aux mains baladeuses qui la palpaient avec insistance. Le docteur saisit ses grandes lèvres, en pressa les chairs tendres, et écarta son anus.

- C’est vrai, tu as des hémorroïdes.

Juliette se contracta. Pour qu’il dise des choses pareilles, il fallait que Laure lui ait raconté ce qu’elle faisait avec elle dans la cabine. Devant sa réticence, il ajouta :

- C’est noté sur ton rapport.

Du bout de l’index, en un mouvement circulaire, il distendait le sphincter. C’était très doux, très sensuel ; Juliette s’abandonna, le laissant jouer tant qu’il voulait. D’une paume ferme, il serra sa vulve, en fit glisser les lèvres l’une sur l’autre. Oubliant toute pruderie, elle eut envie qu’il enlève le tampon et lui enfile ses doigts, profondément, dans son sexe et dans son cul. Elle émit un soupir lascif.

- Décidément, tu aimes tout ce que je te fais !

Il assourdissait sa voix, mais le ton avait changé, était devenu oppressé. Massiac oubliait les attitudes médicales, maintenant qu’il était seul avec elle. Mais on entendit tousser dans le couloir ; le pas de l’infirmière cognait le carrelage. Le praticien recula, laissa retomber sa maIn.

- Vous pouvez y aller, Mademoiselle.

La tondeuse ronronna, alors que Laure tendait de la main l’entrecuisse de Juliette. Avec délicatesse, elle faisait passer l’instrument sur les chairs molles de son pubis. Les poils couvraient les lames ; elle s’arrêta pour secouer l’engin, avant de passer à l’autre côté du sexe. Elle tirait sur les lèvres, appuyait un doigt sur toute la longueur de la vulve, comme pour la protéger, pour guider la tondeuse. La peau, d’un blanc d’ivoire paraissait encore plus nue privée de la protection de la pilosité brune, et rosissait sous le feu du rasoir. Laure remonta autour de l’anus, le contourna en pressant les fesses.

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Bonsoir,

La suite de « Atteintes…»

Après moults ennuis informatiques, et la perte de tous mes textes (édités ou non), tout est rentré dans l’ordre. Bonne lecture !

- Je continue ?

Massiac approcha le visage des fesses de Juliette. N considérait avec attention le sexe dénudé, et tira sur un des poils raccourcis.

- Très bien, passez au rasoir.

Laure prit une tige allongée, en passa la tête sur les poils qui venaient d’être taillés. L’appareil, avec un ronflement régulier, frottait tout près de la vulve. Il accrocha un poil rebelle et l’arracha. Juliette, surprise, se contracta, fit une petite moue.

- Comprends-tu pourquoi on commence par passer la tondeuse ?

Laure insistait autour du sexe, avant de remonter le long du périnée, de faire le tour de l’anus, de revenir avec persévérance.

- Maintenant, dégagez-lui le bas du ventre. Allonge-toi, dit-il, s’adressant à Juliette.

Elle obéit, les pieds posés sur le lit, les jambes écartées, le ventre arrondi, calée sur les coudes pour voir ce qu’on lui faisait. Laure ajusta le sabot de la tondeuse, qu’elle passa juste au-dessus de Son clitoris, taillant les frisettes trop longues.

Prenant un blaireau sec, Laure brossa le pubis de Juliette, le caressa avec une délicatesse sensuelle. La chair dénudée frissonnait sous l’attouchement luxurieux. Juliette se souleva pour regarder les longs poils bruns, soyeux, qui glissaient sur son sexe. Jamais elle n’avait vu aussi bien le petit monticule de son clitoris, ses lèvres gonflées, avec leurs chairs humides.

- C’est charmant comme ça. Vous pouvez procéder aux soins. N’oubliez pas la température ! Un lavement et le goutte-à-goutte.

Laure attrapa un thermomètre plongé dans un bocal posé sur l’un des meubles, le secoua longuement,

- tourne-toi sur le coté.

Le tube de verre froid glissa lentement dans son conduit, jusqu'à ce que les doigts de l’infirmière repose entre ses deux globes.

- Voilà, il est bien enfoncé, on attend un moment.

De temps à autre elle retirait le thermomètre pour consulter la température, puis le repoussais aussi loin. Juliette s’était habituée à ces pénétrations profondes qu’elle désirait confusément. Enfin après une éternité, le tube de verre se retira.

Elle frémit quand la canule entra encore plus loin que le thermomètre. Elle soupira aux chocs du liquide dans son ventre, remua les fesses quand Laure la massa. Comme pour contrebalancer son excitation, celle-ci se montrait réservée, évitant de palper le sexe, ce qu’à l’évidence Juliette regrettait. Tout dans sa façon de bouger son cul et de geindre était une invitation à des caresses, mais l’infirmière demeura inflexible, comme si elle voulait la frustrer. Elle la regarda se soulager, sans l’approcher, et se contenta de passer sa main discrètement sur son ventre, pour s’assurer qu’elle avait bien évacué.

- Allonge-toi.

Elle disposa sous son ventre un oreiller qui faisait saillir sa croupe, et elle replia une de ses jambes, ouvrant ses fesses, écartant sa vulve, dégageant son anus. Elle posa une question de femme, en voyant le fil du tampon :

- N’as-tu pas l’impression que cela allonge tes règles ?

Elle toucha du bout du doigt son sexe, et continua :

- Pour une jeune fille, on recommande d’utiliser aussi des serviettes. Juliette acceptait les conseils qui, venant d’une autre personne, sa mère ou sa tante, l’auraient choquée.

- Ce sera différent quand tu seras allée avec un garçon.

Elle redevenait complice. Laure enduisait son cul de gel, le fouillait profondément, et elle se détendit sous les attouchements. Elle demanda, comme pour se défendre d’y prendre trop de plaisir :

- Que me faites-vous ?

- Comme d’habitude !

Et de lui faire passer sous le nez, la grosse tige translucide et annelée.

- Elle est plus petite qu’une queue. Tu peux t’habituer, dit-elle par plaisanterie.

-Mais …

- Tu ne sais pas que les mecs adorent enculer.

Juliette s’en voulut de sa question sotte. Le doigt qui la fouillait dilata son sphincter, tournant comme un plantoir. Et de plonger le tube, de le faire aller et venir, en coups réguliers, chaque fois plus profonds. Son sphincter se moula sur les anneaux, les serra. Elle avait chaud au vagin ; une démangeaison délicieuse l’envahit. Si elle avait pu lui caresser la chatte ! Laure ne remuait plus la canule. Dépitée que cela s’arrête, Juliette demanda, le souffle court, d’un ton où perçait le désespoir :

- Et maintenant ?

Comments

pierre Il ya 13 ans  
dudu Il ya 13 ans  
medoc09 Il ya 13 ans  
dudu Il ya 13 ans