Vues: 443 Created: 2011.09.28 Mis à jour: 2011.09.28

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 26

Bonjour,

un premier extrait d'un petit livre, du Docteur Sonia G…

J’EXAMINE MES PATIENTES D’UNE FACON TRES POUSSEE

Elle sait pourquoi je souris ironiquement en la regardant. C’est pour cela qu’elle évite mon regard qui la trouble.

- Tu sais que tout le monde a dû voir que tu n’avais pas de culotte ?

Elle marque un temps d’arrêt puis reprend son ouvrage, sans répliquer à ma remarque. Sa gêne m’amuse. Je reprends :

- D’ailleurs, plusieurs fois, je t’ai vue te pencher si bas que j’ai failli voir tes fesses toutes nues. Viens un peu te faire voir. Allons, ne fais pas la sotte !

Je fais alors remonter ma main sous la blouse avec lenteur entraînant le fin tissu de celle-ci. Elle est si courte que très vite, je mets à nu le haut des cuisses qui, malgré la chaleur étouffante de la pièce, se couvrent instantanément de chair de poule.

Je continue à la retrousser au-dessus des reins dévoilant le derrière.

Ma paume effleure le galbe arrondi des fesses. J’en redessine les contours. Sa peau est fine, et si douce ! Du bout des doigts, lentement, je parcours les deux joues fessières, crispées de frousse.

- Alors… Rappelle-moi donc pourquoi je t’ai privée de culotte ce matin !

- C’est pour être prête.

- Prête à quoi ? explique-toi mieux !

- C’est pour la température…

Je soumets fréquemment Tamara à des prises de température ; j’aime à ces moments-là le rouge qui lui empourpre les joues. Je feins de me souvenir :

- Ah !... Oui, c’est cela · Eh bien, qu’attends-tu ? il faut y passer. Mets-toi vite en position !

De l’index je lui désigne mes genoux et je la tire en même temps par le poignet. Elle se penche, prend appui sur le bureau et s’allonge de tout son long en travers de mes cuisses. J’adore plus que tout ce moment où Tamara est à ma merci, le derrière offert à mes soins…

Pour l’instant, il est crispé et dur comme la pierre ; la jolie pénitente est si honteuse que les deux globes sont serrés l’un contre l’autre, et que mes doigts butent à l’entrée de la raie, réduite à un simple trait. Je pose mon pied droit sur la marche d’un petit escabeau, afin de remonter mon appui. Ainsi, la croupe se retrouve soulevée, les reins se creusent un peu. Cette résistance ridicule m’exaspère. Je lève bien haut ma main droite et l’abat avec force sur le cul crispé. Tamara, prise au dépourvu réagit par une ruade en poussant un cri aigu. Cela a pour effet de disjoindre quelque peu les deux globes joufflus, qui s’épanouissent par réflexe à l’air frais afin d’atténuer la cuisson de la gifle. Tamara sanglote.

Le derrière s’ouvre davantage. De deux doigts je les écarte, avec une exaspérante lenteur. Je sais que Tamara redoute par-dessus tout ce type d’exhibition. C’est pourquoi, elle pousse un gémisse ment sourd tout en se contractant.

- Je t’en prie pas ça !...

- Et pourquoi donc ? Je fais ce que je veux … Ce cul m’appartient ! Je peux le l’examiner comme je veux.

- J’ai honte … Oh que j’ai honte … d’être comme ça … Je me dégoûte

- Ce trou du cul est à moi. .. ! Regardez comme il est mignon … Pas un seul poil ne vient le voiler à nos regards.

Elle gémit de plus belle, alors je reprends :

- Mais ne le crispes pas si fort ! Assouplis-le, ouvres-le, au contraire …

Elle se garde bien, évidemment, de m’obéir. Pour l’instant, elle se contente de me laisser examiner la rondelle bistre, toute crispée. C’est cette résistance qui me plaît, qui m’excite, car tout est à conquérir.

Je glisse un coussin sous le bassin de mon souffre-douleur, afin de l’obliger à creuser les reins. L’anus s’entrouvre Tamara ne lutte plus. J’accentue l’écartèlement de son orifice, jusqu’à débusquer ses muqueuses corail.

J'ai toujours un thermomètre à son attention sur mon bureau. Je le saisis, le secoue longuement, l'enduit soigneusement de salive puis, accentuant l'écartement des deux collines, je commence à introduire l'instrument médical.

- Nooon ! aieee !

- Ouvre-le voyons, sans quoi je te ferai mal.

Cette fois-ci, elle cède complètement ; l'oeillet éclot et me permet d'introduire doucement et profondément le tube de verre.

- Bon la petite fille et bien sage et se laisse prendre gentiment la température…

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Bonsoir,

Deuxième extrait de « J’examine… »

Je ne laisse pas le thermomètre immobile, mais je l'agite d’un long mouvement, qui fait ressortir la tige de verre à moitié est rentrer presque entièrement.

Tamara ponctue le pistonnage de son rectum par des petits «non !» plaintifs qui me ravissent.

Je poursuis le traitement pendant une dizaine de minutes, puis retire le thermomètre et le consulte :

- tiens, tu as trente-huit ! Bon on contrôlera demain matin.

Elle tente de se relever, mais je la maintiens en place,

- non, tu ne bouges pas, je n'en ai pas fini avec toi.

Les cabinets de médecins recèlent des trésors insoupçonnables. Je tends le bras vers le bureau et y saisis une boîte. Elle contient toute une série d’anuscopes en plastique à usage unique. J’utilise ces instruments pour les examens rectaux. J’en extrais un de son emballage. Tamara se met aussitôt à supplier :

- Non, pas cela, Sonia, j’ai horreur de ce truc ; le thermomètre passe encore… Sois gentille, restons-en là …

Je me contente de sourire. Elle sait par expérience, qu’une fois que j’ai décidé quelque chose, ce n’est surtout pas en me suppliant que l’on me fera changer d’avis … Au contraire ! Je viens de saisir un tube de gel lubrifiant et j’en dépose une noix au centre de l’anus qui se met à palpiter. Sans me presser je lui graisse le trou du cul, puis j’y présente l’intrus. Je pousse alors sans pitié. L’anuscope est d’un diamètre moyen. Il glisse sans trop de difficultés au cœur du rectum de ma victime. D’une poussée oblique, je le fais pénétrer ainsi d’une bonne quinzaine de centimètres, jusqu’à la garde prévue par le fabriquant pour l’empêcher d’aller trop loin. Une fois le cylindre en place, je retire le petit piston de plastique blanc. Ne reste dans le derrière de ma secrétaire que le tube translucide qui permet d’examiner les parois du rectum par transparence. Le trou pourpre, distendu, forme un rond parfait de quatre centimètres de diamètre

Contrairement au spéculum, l’ouverture n’est pas réglable, mais la transparence du plastique, crée un effet d’optique saisissant et insolite. Un œil sombre me regarde, et cela a l’air parfaitement obscène.

L’effet subsiste même en position debout. Quand, sur mon ordre, Tamara se relève,

son derrière reste ouvert, sur ce trou béant, sombre, indécent, qui livre à la lumière du plafonnier ses muqueuses luisantes, écarlates. Tamara est moralement brisée, son humiliation est totale. Elle exécute comme un robot, le moindre de mes ordres, pressée maintenant d’en finir … Je l’oblige à s’accroupir en levrette sur la table d’examen, le cul pointé vers la porte, les cuisses et les fesses largement ouvertes, le menton sur le skaï blanc, et les mains aux chevilles.

- Si tu pouvais te voir ! Le spectacle vaut le déplacement. Mais j’y pense, la femme de ménage ne va pas tarder à arriver ; nous allons l’attendre.

Elle sursaute, mais ne proteste pas. Je la fais patienter une dizaine de minutes avant de lui retirer son occupant avec une grande lenteur.

- Non, finalement je ne peux pas attendre, tu peux rentrer chez toi, à demain.

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Bonsoir,

encore un extrait de « j'examine… »

Arrivée au cabinet, Tamara m’interpelle discrètement et me désigne d’un signe de tête la porte de la salle d’ attente. Elle me chuchote :

- Il y a une patiente pour vous. Il paraît que c’est urgent.

Elle me montre un bout de papier sur lequel elle a écrit le nom de la personne.

- Madame D. ? .. Je ne me souviens pas avoir pris de rendez-vous ! Elle sourit d’un air entendu :

- C’est paraît-il urgent. Cette femme se plaint de prurit et de fièvre légère.

Tamara baisse les paupières, les joues un peu roses.

- J’ai tout préparé, murmure-t-elle.

A son attitude, je devine qu’il s’agit d’un de ces « cas spéciaux » comme en connaissent tous les médecins. Sans doute une de ces hypocrites qui courent les cabinets médicaux sous des prétextes transparents afin de s’exhiber et de se faire tripoter. En principe Tamara les rembarre sans pitié… Sauf quand elles sont séduisantes …

Intriguée par le comportement ambigu de ma secrétaire, j’ouvre la porte de la salle d’attente. La jeune femme qui s’y trouve pose le magazine qu’elle tenait et se lève, souriante :

- Excusez mon audace, docteur, j’ignorais que vous ne consultiez pas le matin.

Elle a environ trente-cinq ans ; brune, un peu potelée, des yeux bleus, profonds, qui vous fixent d’une manière troublante et un peu insolite. L’Italienne sensuelle par excellence. Une cérébrale, cela saute aux yeux. Distinguée et provocante à la fois elle porte une robe élégante, très collante, qui lui découvre la moitié des cuisses. Le dos est décolleté, mettant en valeur une nuque un peu grasse aux lignes parfaites.

Je reconnais tout de suite le parfum qu’elle porte, c’est Chanel n° 5, chaud et sensuel, qui sied si bien aux brunes. Je lui désigne en souriant la porte de mon cabinet. Je la suis et m’installe à mon bureau, tandis que, sur un signe, elle prend p1ace dans le fauteuil qui me fait face. La femme ne me quitte pas des yeux, j’évite son regard insistant qui me met mal à l’aise.

- Que puis-je pour vous, madame D. ?

Elle prend aussitôt un air faussement gêné et se tortille légèrement sur sa chaise, tout en se rapprochant imperceptiblement de moi, comme si elle craignait d’être entendue.

- C’est que … C’est un peu délicat … Mais on ne doit rien cacher à son médecin … Voilà : je souffre depuis quinze jours d’horribles démangeaisons.

- Où ça ?

Elle baisse pudiquement les ‘paupières, toussote dans le creux de sa paume.

- A l’entrejambe, chuchote-t-elle. C’est terrible, docteur. J’ai tout le temps envie de me gratter et … Vous comprenez, à cet endroit, surtout en société, c’est … très désagréable …

Elle me sourit, l’air gêné, et se tortille sur son siège, comme si elle était assise sur une fourmilière. Je prends des notes, affectant de m’inquiéter de son sort.

- vous avez remarqué des rougeurs ? des petits boutons ?

Elle paraît décontenancée par ma froideur et bredouille :

- A dire vrai, je me suis examinée et je n’ai rien vu d’anormal. (Deux taches rouges se forment sur ses pommettes). Mais il faudrait l’ œil du spécialiste !

Nous y voilà. Je prends tout mon temps,

- Bien … Je vais voir cela de plus près. Je vais vous examiner … (Elle m’adresse un regard interrogatif.) Veuillez vous déshabiller.

Elle sursaute, à ces mots, et son visage devient cramoisi. Sans attendre, elle se lève et se dirige d’une démarche chaloupée derrière le paravent. Je l’entends faire glisser ses vêtements.

Pendant ce temps, je dispose un drap en papier sur la table d’examen … J’ai comme un mouvement de recul quand je vois ma patiente ressortir :

Elle a conservé pour tout vêtement un bustier blanc, en broderie anglaise qui comprime sa taille d’une manière exagérée et fait saillir sa lourde et sensuelle poitrine, dont les aréoles, larges et sombres, se voient par transparence à travers la fine dentelle. Le bas de la guêpière supporte des jarretelles qui fixent à mi-cuisses des bas de soie claire.

Ce qui est pour le moins insolite, en de telles circonstances, c’est le pubis, entièrement nu, encadré et mis en valeur par le froufrou de dentelle.

La toison noire et frisée, très épaisse, fait comme une tache incongrue au milieu de cette orgie de dentelles fines. Elle ne porte pas de culotte. Devant mon air surpris, elle me sourit d’un air équivoque :

- Excusez ma tenue. Il fait si chaud que je ne supporte pas la moindre culotte… Vous comprenez, avec mes démangeaisons …

Elle avait pris place avec désinvolture dans le fauteuil d’examen gynécologique, s’ouvrant sans gêne apparente en mettant les pieds dans les étriers chromés. Elle m’offre sans complexe une crevasse écarlate, très large, aux lèvres rasées, largement ouvertes sous une touffe épaisse et crépue qui recouvre tout le pubis renflé. Elle pousse un gémissement d’aise en avançant le bassin afin de mieux s’offrir à l’examen. Je joue le jeu. Ne sachant pas exactement où cela va nous mener. Prudemment je demeure froide et médicale pendant l’examen.

Tout en braquant le scialytique sur ses muqueuses pourpres qui bâillent entre ses cuisses écartées, j’enfile un doigtier en caoutchouc autour de mon index et mon majeur réunis. Elle accuse un petit frisson quand mes doigts caoutchoutés se posent sur ses chairs brûlantes. Elle chuchote :

- Oui … Docteur … C’est toute cette région … Vous y êtes … Oui c’est juste là !

J’ai beau me pencher, pour scruter son sexe béant, je ne vois rien d’anormal sur les petites lèvres écarlates que j’examine, que j’étire entre mes doigts. La chose anormale, si l’on peut dire, en pareille circonstance, c’est le flot de secrétions brûlantes qui ruisselle de ses replis intimes depuis qu’elle est en position sur la table … En outre, il émane de cette chatte impudiquement ouverte une odeur forte et troublante.

Je fais comme si je n’avais pas remarqué son trouble ; je reste très médicale pour procéder au « toucher ». Je pose mes deux doigts gantés à l’entrée du vagin dont j’écarquille l’ouverture écarlate de la main gauche et je plonge en elle sans aucune difficulté, glissant aisément dans le fourreau englué de cyprine. Elle a sur-le-champ un petit mouvement de rotation du bassin, qui ne me trompe pas sur ses sensations. Je palpe longuement les parois granuleuses du vagin comme si je recherchais des anomalies. La femme se mord les lèvres pour étouffer un petit gémissement incoercible.

- Je ne vois rien d’anormal, madame D., lui dis-je d’un ton indifférent. Mais pour en avoir le cœur net, je vais pratiquer un frottis qui déterminera si vos démangeaisons n’ont pas pour origine une mycose indécelable à l’œil nu.

Mais auparavant, je voudrais savoir si vous avez de la fièvre ?

- En vérité, je me trouve un peu chaude…

- Mais enfin, avez-vous pris votre température ce matin ?

- heu non !

- Vous auriez dû, cela nous aurait fait gagner du temps. Je vais vérifier, ne bougez pas.

Je n'avais pas manqué de remarquer que sur le plateau des instruments préparés par Tamara figurait un thermomètre. Je m'en saisis, le secouait de façon ostensible, puis le dirigeais en direction des babines largement ouvertes, entre lesquelles je passais sur la longueur.

- Je lubrifie le thermomètre avec vos sécrétions, cela suffira amplement ; j'ai pour habitude de prendre la température rectale.

- Vous pouvez y aller docteur, j'ai l'habitude depuis mon enfance et je n’y ai rien changé.

De deux doigts, j'écarte les rondeurs pour dégager la corolle anale, large et brune, bâillant légèrement, ce qui m'indique des « visites » régulières. Je pose l'embout argenté sur l'orifice et pousse le tube de verre dans le conduit.

Je suis obligée de retenir le thermomètre entre les deux fesses, pour l'empêcher de disparaître entièrement, tellement l'anus est décontracté

- eh bien dites-moi madame D., Votre derrière est très accueillant…

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Bonjour,

La suite de j’examine…

Il va falloir que je me procure un plus gros thermomètre pour ce genre de patiente. En attendant, tout en tenant fermement le tube de verre, je le sors et le replonge à plusieurs reprises pendant une dizaine de minutes.

madame D. n’a pas bronché pendant que je prenais sa température, mais j'ai bien vu par la réaction de sa crevasse, qu'elle y prenait plaisir…

Je retire le thermomètre,

- non, pas de température, il y a autre chose.

Elle soupire, manifestement rassurée, en comprenant que « l’examen » n’est pas terminé et qu’on va encore la tripoter. Je présente à l’entrée du vagin un spéculum à usage unique en plastique blanc. J’ai choisi volontairement un gros modèle de type « Cusco » qui permet de réaliser des dilatations importantes. J’écarte entre pouce et index l’orifice baveux de la chatte et je plante délicatement le « bec de canard » entre les muqueuses offertes.

L’ustensile pénètre sans difficulté jusqu’à la garde. La femme frémit violemment sous l’outrage froid du plastique médical. Je règle alors tranquillement l’ouverture en actionnant la petite vis. Peu à peu, contraint par la force mécanique des mâchoires qui s’ouvrent, l’orifice humide se dilate. On voit lentement apparaître un trou luisant, distendu. Je continue inexorablement tandis que la femme gémit de se sentir s’ouvrir de plus en plus, jusqu’à être béante … Je me recule, j’ai envie de l’humilier, mais je ne peux me le permettre pour l’instant. Je lui demande donc simplement :

- Ça va, vous supportez ?

Elle me dévisage alors avec des yeux mi-clos qui luisent d’un éclat trouble. Elle est incapable de répondre tant elle est troublée par ce que je lui impose … Je donne alors quelques tours de vis supplémentaires … le spectacle devient alors d’une obscénité totale, presque terrifiante. Elle est ouverte à l’extrême ; son sexe écartelé n’est plus qu’une plaie profonde dans lequel on pourrait aisément planter une bouteille de champagne. Je me penche pour en examiner les parois luisantes, bien mises en évidence par la lampe médicale dont le faisceau de lumière blanche pénètre au plus profond du gouffre écarlate.

Après de longues minutes, pendant lesquelles j’entends sa respiration haletante entrecoupée de gémissements sourds, je me relève et je toise la femme outrageusement exhibée avec un air méprisant.

- Je ne vois toujours rien d’anormal sauf que vous mouillez vraiment beaucoup, chère madame. Mais nous allons faire un frottis pour confirmer mon diagnostic.

J’appuie sur le bouton de l’interphone. Aussitôt la voix de ma secrétaire me répond :

- Docteur ?

- Tamara, veuillez m’apporter une spatule de « AYRE» et un flacon stérile. J’ai besoin de faire un prélèvement vaginal …

Prise au dépourvu, Mme D. me jette un regard interloqué. Elle n’a pas le temps de protester : la porte s’ouvre…

Comments

pitchoun Il ya 12 ans  
clyso Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans