Bonsoir,

Trouvé sur internet… Bonne lecture.

Les deux inséparables

Irina délaissait de plus en plus souvent le nid familial. Leurs jeux coquins avec Cléo s'éternisaient chaque soir et la maman de la jeune-fille avait beaucoup de mal à les sortir du lit le matin. Elles avaient des cernes sous les yeux, étaient un peu pâlottes. A tel point que la mère pensa qu'elles couvaient une angine ou la grippe et décida de prendre leur température. Elle alla dans la salle de bains chercher un thermomètre.

De retour dans la chambre elle demanda aux adolescentes de se déculotter et de s'agenouiller sur le lit. Cela fut vite fait car elles ne portaient pas de culotte. Elle commença par sa fille, mouilla un peu son doigt de salive qu'elle étala sur le petit trou et enfonça le thermomètre. Cela troublait Cléo, tant son anus était réceptif aux intrusions ; cela troublait aussi Irina qui regardait...

Et cela troublait aussi la mère. De plus, savoir qu'elle allait s'occuper d'Irina l'adorable copine de sa fille ensuite ne faisait qu'augmenter son trouble. Elle fit durer l'instant bien plus longtemps qu'il n'aurait fallu, puis retira le thermomètre qu'elle passa à l'alcool ensuite.

Puis vint le tour d'Irina. Elle répéta les même gestes. Elle ne put néanmoins s'empêcher de prolonger l'humectation de la pastille de l’adolescente. Elle faisait de gros efforts pour ne pas introduire son doigt plus avant, ne se doutant pas un seul moment que l’adolescente n'attendait que cela. Elle laissa le thermomètre plus de cinq minutes dans la rosette de la jeune fille, lui imprimant même imperceptiblement un très léger va et vient. Il va de soit que Cléo n'en perdait pas une goutte...

Sophie était toute rouge, la sueur perlait de ses tempes et elle sentait sa chatte devenir très humide. Surmontant ses envies elle retira le thermomètre du petit cratère d'Irina, au grand désespoir de cette dernière qui commençait à mouiller son petit abricot.

- Bon, pas de fièvre les filles... Pourtant vous n'avez pas bonne mine mes cocottes ! A moins que ce thermomètre ne fonctionne pas correctement. Je vais vous la reprendre avec un autre thermomètre, c'est quand même bizarre.

Les filles ne protestèrent pas, bien entendu ! Irina ajoutant en rigolant,

- maman, après on va te la prendre aussi.

Sophie éclata de rire et accepta, la voix un peu rauque, puis gagna sa chambre pour ramener son thermomètre personnel.

- Je vous préviens, les filles ce thermomètre est un peu plus gros !

- Ca n’a pas d’importance ; je me souviens que tu me l’a déjà mis…

lui rappela Cléo

Cette fois-ci, l'opération humectation fut nettement plus longue. Elle tartina de salive l'anus des adolescentes à tour de rôle, insistant plus sur celui d'Irina, allant même jusqu'à enfoncer la première phalange de son index.

Et tour à tour elle glissa son thermomètre, d’abord dans l’adorable petit œillet d’Irina, plus profondément que la première fois, arrachant à sa patiente un soupir de contentement. Elle le laissa presque dix minutes avant de constater l’absence de fièvre.

Puis ce fut le tour de sa Cléo de recevoir le thermomètre aussi longtemps et aussi loin que son amie… pas plus de fièvre

Comme promis, ce fut ensuite à son tour de se prêter à l’introduction du thermomètre…

Prenant la place de Cléo sur le lit, elle s'agenouilla et dit aux filles de bien humecter avant l'introduction. Elle se doutait, bien sûr, que cela exciterait au plus haut point les deux ingénues…

Cléo remonta aux hanches la jupe de sa mère tandis qu'Irina abaissait la culotte. Les deux fillettes purent s'apercevoir qu'une auréole humide en marquait le fond… Irina écarta les deux globes charnus, puis en suivant les conseils de sa mère, Cléo commença à humecter l'anus maternel, puis massa plus profondément. Sophie se mordait la langue pour ne pas gémir, tant le contact l'excitait. Puis le doigt se retira pour laisser place au thermomètre qui entra sur presque toute sa longueur…

- Houla ! tu lui a presque tout enfoncé ! Ca vous a pas fait mal ?

- mais non ma chérie, j’ai l’habitude…

Au bout de cinq minutes, Sophie réclama à sa fille de lui retirer le thermomètre.

- Bon, tu n’a pas de fièvre !

Sophie s’apprêtait à se relever,

- non maman, restes comme tu es ; Irina doit encore te prendre la température.

Ce fut au tour d'Irina « d'humecter ». Elle fut un peu moins délicate et après un frottage succinct, elle enfonça son doigt entièrement

L'introduction du thermomètre fut aussi profonde et encore plus longue, tant Sophie était excitée par l’idée que l’amie de sa fille lui maintenait le tube de verre…

Bien entendu, elle n'avait pas de fièvre, ou plutôt celle-ci ne se traduisait pas en degré… Bon, fini de jouer les filles ; allez vous brosser les dents et faites un brin de toilette.

Sophie fila dans sa chambre et se branla furieusement jouissant très vite, la tête pleine des images des ados sans culottes et leurs jolies fesses transpercées par le thermomètre…