Vues: 512 Created: 2012.04.02 Mis à jour: 2012.04.02

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 29

Bonjour,

Un extrait d’un livre paru vers 1950

ARLETTE

J’ai épousé une jeune fille de dix-neuf printemps, Arlette, blonde aux cheveux ondulés, orpheline en charge de ses deux sœurs, Suzy treize ans, fillette brune aux cheveux longs et Nicole neuf ans, blonde comme sa grande sœur, mais avec les cheveux raides.

Dans des styles différents, elles sont toutes les trois jolies et partagent des rondeurs fessières splendides.

J’ai cueilli une virginité ardente et sensuelle ; dès le début de notre union, Arlette se montra une jouisseuse gourmande et insatiable.

J’ai très vite connu les petits derrières de ses deux sœur, ma femme ne se gênant pas pour les fesser, prendre leur température, leur administrer des lavements en ma présence. Par contre, elle m’a fait comprendre que je ne devais jamais toucher aux petites. En même temps que les derrière, j’ai pu contempler leurs merveilleux petits abricots.

Au bout de quelques mois, j’ai commencé à passer mes doigts entre ses globes lors de nos ébats, passant un doigt sur son œillet. Elle ne se déroba pas…

Je la basculait en travers de mes genoux, tapotais la mappemonde, doucement puis de plus en plus fort,

- tu crois que j'ai mérité la fessée ?

- Une fille mérite souvent la fessée ; ceci pour te prévenir que je n'hésiterai pas à y recourir !

Je cessais puis écartais les deux joues, suçait mon index, le posait sur la rondelle, appuyais, l’orifice s’ouvrit, mon doigt pénétra doucement,

- oooh oui, plus loin…

- tu a l’air d’aimer ça,

- Cela tient peut-être au fait que ma mère me prenait fréquemment la température et me donnait souvent des lavements ; la pénétration du thermomètre ou de la canule me chatouillait agréablement ; en grandissant il m’arrivait de dérober l'un ou l'autre dans la salle de bain lorsque j’étais seule et de me les fourrer au bon endroit.

- et les petites, elles apprécient aussi ?

- Elles ne me disent rien, mais je me suis rendue compte que le thermomètre et la canule font suinter leur petit coquillage ; alors comme maman, je leur prends assez souvent la température… Peut-être qu’un jour je te permettrais de le faire ; je suis sûre que ça ne leur déplairait pas…

- Je pense que tu possèdes ce qu’il faut.

- naturellement. Je n’abuse pas des lavements, mais j’utilise le thermomètre cela m’excite, je me prends la température d’une main et me branle de l’autre.

- J’aimerais te donner un lavement.

- Vrai ! Oh ! mon chéri, je n’ose y croire...

- Mais avant tout, je vais prendre ta température.

Je relevai Arlette,

La laissant je gagnai la salle de bains où je trouvai le nécessaire, je préparai le bouillon pointu et revins tenant le bock et une serviette éponge. Je posai l’ustensile sur la table de nuit, m’assis au bord du lit, demandai à Arlette de se placer entre mes genoux en me tournant le dos et en se penchant en avant en travers de mes genoux.

J'ouvris le tiroir de la table de nuit ou je savais trouver un thermomètre, le sortis de son étui, le secouais longuement, le suçais pour l'enduire de salive.

De deux doigts j'écartai largement les fesses de mon épouse, découvrant à nouveau son oeillet plissé sur lequel je posais l'extrémité du thermomètre. Je poussai doucement sur le tube de verre qui glissa très profondément dans le fondement d'Arlette ;

- aieee ! Doucement, pas si loin !

- La, calme-toi je l’ai enfoncé aux trois quarts ; il faudra t’habituer à le recevoir encore plus profondément la prochaine fois. Maintenant attendons dix minutes.

Au bout de deux ou trois minutes, j'entamai un va-et-vient avec l'instrument médical que mon épouse accompagna de mouvements de sa croupe.

Je retirai le thermomètre, sans même le regarder…

Je m’emparai de la longue canule effilée d’ébonite que j’introduisis lentement dans le tunnel de la ma jeune femme en totalité. Je la forçai à écarter les cuisses et je m’aperçus qu’effectivement les pénétration de la canule dans son fondement provoquait le même flot abondant de ses sécrétions intimes poissant les poils de sa vulve qu’avec le thermomètre. Je la sodomisais doucement jusqu’à ce que la jouissance s’empare de son être. A l’instant où elle déchargeait j’ouvris le robinet faisant pénétrer l’eau dans son ventre.

Lentement le bock se vida. Le récipient contenant deux litres, l’opération nécessita un certain temps ; à l’issue de la dernière goutte je laissai quelques minutes la canule dans le rectum, puis l’ôtai lentement. Aux crispations de ses fesses je me doutais que la jeune fille désirait le plus rapidement possible gagner les cabinets. Mais je la retins. Elle me supplia de lui permettre d’aller se soulager et ; tout en implorant sa grâce, elle se dandinait, trépignait, serrant les cuisses, retardant le moment qu’elle sentait venir d’une façon inéluctable. Au lieu de 1a laisser, je 1a forçai à ouvrir les jambes me régalant de ses contorsions, mais surtout de celle de sa croupe. Le ventre tenaillé par le besoin urgent de restituer l’eau contenue dans ses intestins, son derrière ne cessait de frémir et les soubresauta de son joufflu, les frissons de l’épiderme de sa lune, conféraient à son arrière-train une émouvante beauté que ma plume ne peut dépeindre.

Les mouvements convulsifs de son pétard me ravissaient ; je ne pouvais détacher mes regards de cette masse de chair ne cessant de vibrer. Pour agrémenter l’envie de Arlette, je caressai ses hanches. Elle se tordait, geignant, suppliant, la lueur baignant son front et son cul à présent bondissait littéralement.

Je pressentis la conclusion de cette danse fessière ; effectivement ne pouvant plus contenir son envie, Arlette rejeta l’eau de ses entrailles, inondant de sa mignonne culotte bleue ciel et le parquet de la chambre de sa matière fécale diluée par le liquide.

Dès la restitution du lavement j’avais séparé ses fesses pour voir jaillir de son oeillet le jet puissant de couleur brune.

Atterrée, Arlette, après son désastre, resta les jupes levées, n’osant plus bouger, d’autant que l’eau merdeuse avait coulé le long de ses jambes souillant ses bas. Je l’obligeai à se traîner jusqu’aux cabinets où après l’avoir placée sous mon bras je la torchai comme une gosse ayant fait caca à la culotte.

Ensuite je la ramenai à la chambre, je 1a déshabillai et la couchais

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Bonjour

Un autre extrait d’Arlette

Au bout d'environ un an, j'avais pris un ascendant considérable sur Arlette, que je fessais régulièrement, dont je prenais la température pour un oui ou pour un non et lui administrais de nombreux lavements.

Cependant, elle ne m'avait pas encore demandé de s'occuper aussi de ses petites soeurs, et je n'osais pas lui imposer ça. La solution me fut fournie par les hasards de ma profession. Appelé à m'absenter parfois plus d'une semaine, une cousine éloignée, Irène me suggéra de l'engager comme gouvernante…

En principe, elle devait aider ma femme dans le quotidien et ses deux petites soeurs dans leurs devoirs.

Très vite je fis comprendre à Irène que je lui donnais autorité sur Arlette.

Un soir, après le coucher de Suzy et de Nicole, prétextant une maladresse de mon épouse, j'appelais Irène dans notre chambre ;

- Ma chère Irène, Arlette s'est mal conduite, elle mérite une bonne fessée, vous allez lui administrer, ceci entrant dans vos attributions.

Mon épouse commença à protester, mais je l'interrompis immédiatement.

Irène s'asseyant sur une chaise, bascula Arlette en travers de ses genoux, releva sa jupe au-dessus de son joufflu, faisant apparaître une simple culotte en coton blanc, comme une fillette, puis commença à asséner sur les rondeurs des claques de plus en plus fortes. Au bout d'environ vingt coups, elle cessa, saisit l'élastique de la culotte et malgré les protestations, vite interrompues par moi, la baissa à mi-cuisses, puis recommença la fessée jusqu'à ce que les globes soit bien rouges.

- Bien ! Une autre de vos attributions sera de lui prendre sa température aussi souvent que nécessaire, car elle n'a pas le droit de le faire elle-même et jusqu'à présent je m'en chargeais. Il y a un thermomètre dans la table de nuit et pour votre information il y en a aussi un dans la salle de bains et deux dans la chambre des filles.

Arlette se relève et pendant que le gouvernante cherche l'instrument, je fais s'agenouiller ma femme devant le lit, le buste posé sur celui-ci.

Irène a sorti le thermomètre de son étui, l’a secoué, enduit de salive.

Elle se penche sur les fesses d'Arlette qu'elle écarte largement de deux doigts ; elle pose la pointe argentée sur l'anneau froncé et commence à introduire le tube de verre qui disparaît peu à peu dans le conduit anal jusqu'à ce que la patiente sursaute.

- Monsieur Hervé pense-t-il que le thermomètre soit assez loin ?

- Oui ça ira, mais je pense qu'il faudra rapidement l’habituer à le recevoir entièrement ce que je n'avais pas encore fait.

- Combien de temps monsieur ?

- Dix minutes au moins .Pour les prochaines fois, vous jugerez par vous-même.

À plusieurs reprises, à ma grande satisfaction, la gouvernante retira le thermomètre à moitié, pour lire la température, le replongeant toujours aussi profondément. Je constate que la contemplation de cette scène me plaît autant que d'en être l'acteur.

Enfin elle le retira,

- 38°1, monsieur.

- C'est un peu trop .Venez nous réveiller demain matin à sept heures pour vérifier qu'elle n'est point malade. Comme je constate des traces sur le thermomètre et à titre de punition, vous allez débarrasser Arlette des matières qu’elle n’a pas encore jugé bon d’expulser depuis ce matin.

Ma femme reste en position inclinée et je remonte sa culotte tandis que la gouvernante, disparaissant dans la salle de bains prépare un lavement. Enfin elle revient portant le bock fumant où s’adapte le tuyau de caoutchouc.

- Chère Arlette, veuillez vous déculotter, mais ne baissez pas votre culotte plus bas que la moitié de vos cuisses, cela suffira amplement.

Docilement, mon épouse s’exécute. Saisissant délicatement l’élastique retenant son vêtement intime, elle roule celui-ci lentement le long de ses hanches, redémasquant progressivement ses fesses rebondies.

- Parfait, ma chérie ! A présent veuillez séparer votre lune pour que j’introduise la canule dans votre fondement.

Je constate avec plaisir que ma cousine prend très au sérieux son rôle.

Arlette empoigne à deux mains sa croupe, se penche davantage, ouvre sa raie où se voit l’étroite ouverture striée de ses fesses. La gouvernante enduit la grosse canule de vaseline et lentement l’enfonce dans l’intestin en dilatant la bague anale.

Lorsque l’objet disparaît entièrement à notre vue, Arlette lâche ses rondeurs qui, en se refermant, emprisonnent la canule et nous n’apercevons plus que le tuyau qui jaillit en serpentant de sa mappemonde. Ma femme reste inclinée sur le lit, les mains aux fesses, attendant l’inondation.

Irène lève le bock, ouvre le petit robinet et l’eau tiède coulant par le tuyau impudique s’engouffre dans le fondement féminin. Les jolies fesses rebondies d’Arlette tressaillent lorsque le liquide se répand dans son ventre .Fascinés, nous contemplons ces rondeurs divines et tout au long de l'opération nous les voyons palpiter doucement.

- Voici la dernière goutte absorbée, je vais vous enlever la canule, mais veuillez serrer les fesses.

Irène écartant du pouce et de l'index gauche les deux globes déniche l'oeillet de mon épouse où se trouve planté l'engin, puis de son autre main le retire délicatement. Ensuite elle rapproche les deux rondeurs qu’Arlette crispe aussitôt pour ne pas trop vite restituer le bouillon pointu.

La gouvernante la relève et la fait s'allonger sur le lit, sur le dos, les pieds ramenés au bord de la couche et les cuisses largement écartées. Dans cette position fort inconvenante, mais fort délicieuse, Arlette nous révèle sa longue estafilade et surtout, objet principal de cette exposition, son adorable rondelle.

- Nous aimerions le voir davantage, ma chérie, veuillez passer vos mains sous vos cuisses, pour mieux évaser votre indécente raie.

Le conseil me semble superflu, car l'anneau d'Arlette se présente on ne peut mieux mais néanmoins j’avoue que de l'obliger à empoigner ses cuisses et à relever ses fesses ajoute du piquant à la scène, la rend encore plus érotique.

Irène place un tabouret à côté du lit et pose dessus un grand pot de chambre.

- Je peux ?

Demande humblement Arlette,

- oui, mais fais bien attention de ne pas en mettre à côté

lui répond la gouvernante.

Comments

clyso Il ya 12 ans  
omega44 Il ya 12 ans  
fred bastide Il ya 12 ans  
clyso Il ya 12 ans