Vues: 403 Created: 2012.06.26 Mis à jour: 2012.06.26

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 30

Bonjour,

Un extrait d’un roman intitulé « CORRIGEZ-MOI »

Bonne lecture.

- Francine, tu m’excites ! Tu sais ce qui t’attend ?

- Oui, murmurai-je, tu veux me donner la fessée.

- Il y a longtemps que tu ne l’as pas reçue ?

- Trois jours.

- Maintenant relève l’arrière de tes jupes, baisse ton pantalon et remonte ta chemise

Tout en haut s’arrondissait ma lune ! Francine la contempla un bon moment, s’avança, m’empoigna les fesses, les malaxa, les pétrit nerveusement. Ce qu’elle pouvait aimer nos rondeurs ! Sur son ordre, je me rajustai. Francine me conduisit dans un élégant petit pavillon dont elle referma la porte derrière nous ; un pavillon luxueusement meublé, préparé pour le plaisir des sens et plus particulièrement celui de la fessée.

Outre de grands miroirs, il y avait des gravures représentant des femmes subissant le fouet, des panoplies d’objets flagellaires, des vitrines contenant une collection de pots de chambre, de canules vaginales et rectales, de thermomètres, d’antiques clystères en étain dotés d’une pointe impressionnante. Il y avait même un objet en étain, très rare, du XVIIIe siècle, permettant de se clystériser soi-même ; il comportait une pointe se dressant en l’air, suivie d’un pot afin que la belle irriguée puisse aussitôt s’accroupir sur le vase et restituer le bouillon pointu !

- Tu a fais caca aujourd’hui ?

Me demanda Francine.

- Non, à cause du voyage.

Elle posa une main sur mon front,

- je te trouve un peu chaude, alors je commencerais par prendre ta température.

Elle passa ses mains sous ma jupe et baissa ma petite culotte à mi-cuisse,

- étends-toi sur le divan, sur le côté !

Je m’exécutais tandis qu’elle cherchait un thermomètre dans une des vitrines et revenait en le secouant. Je regardais l’instrument médical, un peu plus gros que ceux que j’avais souvent reçus et que je reçois encore assez fréquemment…

- C’est bien tu es en bonne position

Elle m’a écarté les fesses largement,

- tu as une rosette d’adolescente, il ne semble pas y avoir passé grand-chose…

- Le thermomètre souvent, des suppositoires et quelques petites canules…

- Ca fera un thermomètre de plus…

Un doigt mouillé de salive se posa sur mon anneau, força doucement pour entrer une phalange, puis se retira pour être remplacé par le thermomètre qui glissa dans mon fondement de plus en plus profondément,

- aiee pas si loin, j’ai pas l’habitude !

- Ne me mens pas, Paule m’a conté souvent comment elle prenait ta température avec des instruments plus gros et plus longs !...

Je m’avouais vaincue et Francine ne s’arrêta que lorsque ses doigts touchèrent ma raie fessière.

- Il est entré bien profondément ; attendons dix minutes.

Au lieu de laisser l’instrument fiché dans ma lune, elle l’agita d’un discret mouvement qui provoqua de ma part un petit noon plaintif quelle ignora…

Finalement elle consentit à me délivrer de mon visiteur au bout d’un bon quart d’heure.

- 38°2, voyez-vous ça !

- Eh bien ! Avant de te fesser, je vais te donner un petit lavement, agenouille-toi maintenant.

Peu après mon amie revint, portant un bock fumant, nanti d’un long tuyau rouge et d’une canule d’ébonite en forme de petit pénis en érection. En dépit de ma sensualité, à vingt-trois ans, j’étais neuve devant et derrière. Je pâlis.

- Tu ne pourras jamais m’enfiler ça !

- Mais si ! Avec de la vaseline et après le thermomètre, elle entrera sans peine ; empoigne tes fesses, sépare-les au maximum, creuse tes reins, tends ton cul que je distingue bien ton petit oeillet !

Je m’exécutai, excitée et terrifiée à la fois ; je présentai honteusement mon cratère.

Francine posa le bock sur le tapis, prit en main la canule, la lubrifia et me tâta du bout du doigt le troufignon pour vérifier la lubrification, elle le lutina, chercha à le pénétrer et y entra deux phalanges, puis le lâcha pour en approcher l’extrémité de l’engin. De toutes mes forces, je tirai latéralement sur mes fesses, Enfin je sentis la canule m’empaler. Grâce à la vaseline, elle entra sans trop de peine en dépit de mon étroitesse, mais bientôt, sa grosseur dilata mon sphincter et me défonça littéralement. Je criai.

-Aïe ! Aïe ! Tu me déchires ! Je t’en supplie arrêtes !

- Douillette, que de manières pour si peu… attends de te faire enculer réellement, tu chanteras d’une autre façon !

Sadiquement elle me planta la canule dans le cul et l’actionna d’avant en arrière, me ramonant le rectum. Alors elle souleva le bock, ouvrit le robinet et le tiède liquide inonda mon ventre, me donnant l’envie d’évacuer. Je faiblis, la sueur mouilla mon front, le dessous de mes bras, le creux de mes reins, l’intérieur de ma raie, tandis que la chair de poule pigmentait ma croupe.

Lucienne cessa de parler, ces souvenirs la troublaient follement…

Comments

clyso Il ya 12 ans