Vues: 419 Created: 2012.10.01 Mis à jour: 2012.10.01

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 31

Bonsoir à tous,

Un extrait du dernier bouquin que j’ai acheté.

Il va pourtant falloir que je finisse de publier la fin des autres textes que j’ai laissé en plan…

AGNES CHERIE

En compagnie de sa mère Liliane, Sylvie me montra sa chambre et sa salle de bains. Là, Elle nous découvre une armoire contenant tout 1’attirail d’une jolie femme : poudre, onguent, boîte d’ovules, de suppositoires, canules vaginales, rectales, poire à lavement et à injection, thermomètres. Dans le bas, se trouvent trois tiroirs contenant l’un des fouets et des cravaches, le second des godemichets et le dernier un antique clystère qui nous a fait rire aux éclats.

Passant devant son lavabo elle jette un regard à son miroir afin de rajuster une mèche de cheveux. Sur la tablette repose un thermomètre.

- Tiens, dit-elle, j’ai oublié de le nettoyer. Tous les matins je me prends la température, si vous saviez ce que j’aime, à jeun, me le glisser dans le cul.

Je m’empare de l’engin et remarque à son extrémité quelques parcelles brunâtres témoignant de leur origine, je le flaire, la légère odeur qui s’en dégage me grise, vicieusement je me le fourre dans la bouche.

- Je vois que tu as la même technique que moi pour le décrasser, dit-elle en riant.

- Sylvie, dis-je en le tendant, je crois que j’ai un peu de fièvre.

- Alors, prépare-toi

Je me penche en me troussant, la jeune femme baisse ma culotte à mi-cuisses, écarte du pouce et de l’index mes deux joues rebondies, humecte le thermomètre et me l’enfonce doucement et profondément dans la rosette. Le maintenant de la main droite elle consulte sa montre fixée au poignet gauche. Une ou deux fois elle retire un peu l’instrument pour lire la température et le replonge aussi loin. J’ai compté au moins cinq minutes…

- Voilà. Dit-elle en le ressortant toujours aussi lentement, 37°7, ce n’est pas grave, sans doute un peu de constipation. Un bon lavement y pourvoira.

Naturellement, Lili elle aussi a besoin de connaître sa température. Nous ne saurions également oublier sa charmante maman.

Elle me présente sa lune, fiévreusement je déboutonne la fente, sa fille débusque la pastille en évasant les deux grosses fesses et j’introduis l’engin aussi lentement qu’elle et encore plus loin ; seul le bout que je tiens dépasse. Elle ne s’est pas plainte…. Je le lui laisse encore plus longtemps, me complaisant à contempler la petite flèche fichée au centre de la cible. J’ôte enfin le tube de verre, annonçant 38°,

- sans doute l’émotion de m’avoir pris la température ; allez Sylvie, à ton tour !

- Mais je l’ai déjà prise ce matin…

- Ce n’est pas une raison ; souvient-toi, hier tu a reçu trois fois au moins le thermomètre : deux fois par moi et la troisième fois par ta cousine Denise…

Elle s’assied sur la cuvette des wc et attire sa fille en travers de ses genoux, relève la robe sur ses reins

- regarde-moi ça Agnès, elle n’a pas de culotte !

Elle assène une claque sur les deux jolis globes puis les écarte,

- allez vas-y, prends-lui sa température à cette petite vicieuse ! Et enfonce bien le thermomètre.

Je pose l’extrémité argentée sur la rondelle qui s’ouvre et je pousse doucement sur le tube de verre jusqu'à ce que mes doigts reposent entre les fesses.

Pendant un quart d’heure, je maintiens le tube de verre que je retire de temps en temps « pour lire la température ». C’est Lili qui, ôtant ma main d’entre les fesses de Sylvie retire l’instrument médical du derrière de son enfant.

D’autres jeux nous attendent…

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Bonsoir,

la fin d’Agnès chérie ;

bonne lecture

D’autres jeux nous attendent…

Lorsque le châtiment s’achève je reste hébétée, tout endolorie, sur les cuisses dodues de mon amie.

- Ecarte, ordonne mon bourreau.

A peine ai-je le temps de réaliser que Lili ouvre mes deux grosses joues pour débusquer ma pastille où Sylvie m’enfonce le fameux clystère.

- Ecoute comme ça gargouille. Rien de tel qu’un hon lavement pour rendre le teint frais. Peut-être veux-tu te voir avec la seringue au cul ?

Toujours empalée, nous gagnons la glace et je me contemple, le corps ployé en avant, tendant mon fessier à l’injure de la canule ; je remarque aussi mon officiante qui, les yeux brillants, me clystérise lentement.

Patiemment j’attends, très excitée, sentant mes entrailles s’inonder d’eau tiède.

L’opération terminée, je m’accroupis sur un vase de nuit et devant elles restitue le bouillon pointu.

Et la fête continue. Enfin, la jeune femme paraît avec un bock, d’où serpente un long tuyau terminé par une canule de plus de cinquante centimètres

Penchées sur la donzelle, moi, présentant la pastille, Sylvie enfonce lentement l’instrument tandis que notre victime se pâme de joie.

Je referme les deux masses élastiques et glisse mes mains sous le ventre afin de constater les réactions de mon amie lorsque l’eau gagnera ses intestins. En souriant, sa mère élève le bock. Le lavement commence.

Que c’est plaisant de contempler la jeune fille vautrée sur le lit, se trémoussant au rythme de l’écoulement, son postérieur dodu d’où s’échappe le long tuyau rouge qui le relie au bock fumant, de sentir sous mes doigts son abdomen, de le pétrir, d’ajouter à l’affront du lavement, les caresses osées, J’atteins la toison bouclée. Le début de la fente où le clitoris gonflé se cabre.

Hélas ! Le bock est vide, mais la prévoyante Sylvie a apporté un broc et remplit l’ustensile.

- Arrête, gémit Liliane, j’en peux plus.

- Mais si, ma choute, tu n’as bu que deux litres, tu peux en absorber encore autant.

Cette fois, Sylvie redouble de lenteur, désirant que sa fille savoure davantage l’opération. Le ventre se gonfle de plus en plus, la gêne devient intolérable les intestins distendus compriment les organes.

- Attention ! Voilà la dernière goutte, tu vas te lever avec la canule, je ne veux pas te voir souiller mon lit.

Liliane debout, retenant ses jupes, nous exhibe son abdomen enflé comme si elle se trouvait enceinte. A nos yeux extasiés, elle mime une danse du ventre. Mais il est temps qu’elle se soulage. Sa mère la conduit à la salle de bains. Liliane toujours troussée, enfourche le bidet en nous tournant le dos, buste courbé.

Sylvie retire la canule et le liquide trop longtemps contenu, s’expulse Violemment. Dans sa hâte à se dégager elle ne prend pas garde à sa culotte et la macule de ses déjections ; la fine lingerie se colore d’une large tache brunâtre.

- Que tu es sale, dit sa mère, pour ta peine tu remettras ton slip trempé, ça t’apprendra à faire attention.

Reste Sylvie. Elle se dispose sur le lit, jupes levées, cuisses écartées, nous offrant dans l’échancrure de son pantalon la blondeur moussue de sa vulve. Je remonte la chemise sur la taille pour bien dégager le sexe, car la belle nous réclame une injection.

Mon amie distend les lèvres sexuelles.Avec délices j’entre lentement la canule dans le vagin.

Après ce premier service, la patiente se retourne pour nous présenter la splendeur de son cul. Nous inversons les rôles, Lili enfonce le bec de la poire à lavement, tandis que j’écarte les fesses…

Hélas, le châtiment prend fin. Une douleur intolérable me brûle le derrière, marqué d’une splendide plaque rouge brique.

- Appuie-toi sur tes avant-bras que je contemple ton séant. Si tu te voyais, grande salope, tu me montres tout ton univers : ta chatte velue, ta raie fessière merveilleusement dilatée, ton petit trou. Tu sens mon doigt. Oh, le mignon, je crois qu’il meurt de soif ! Ne bouge pas.

Elle revient avec une poire à lavement. Dans la position où je me trouve ma pastille est bien présentée, mais par l’indécence de la chose, Denise me demande de prendre mes fesses à pleines mains et de les écarter encore.

S’asseyant, elle me clystérise lentement en me caressant le conin.

Après une station nécessaire dans la pièce retirée de notre appartement, nous revenons dans la chambre.

- Je pense que te voilà plus légère pour être fouettée…

A quelque temps de là je contractai une angine. Mes parents jugèrent à propos d’avertir la nouvelle doctoresse et de me garder à la maison.

Vers dix heures ma bonne l’introduisit et nous laissa.

- Alors, mademoiselle, on joue à la malade, dit-elle en souriant.

Elle paraissait beaucoup plus humaine. En ôtant son manteau elle me questionna. Privée de la blouse blanche elle parut encore plus gracieuse. Elle portait une robe de jersey bleu marine dont les manches courtes s’ornaient de broderie anglaise ainsi que le décolleté très profond, comme je le remarquais lorsqu’elle se pencha sur moi.

- Avez-vous de la fièvre ?

- Je n’ai pas pris ma température.

- Eh bien, nous allons y remédier. Tournez-vous sur le ventre.

Saisissant le thermomètre sur ma table de nuit elle relève ma chemise sur mon dos, dénudant bien ma croupe qui bombe à souhait.

- Bigre, plaisante-t-elle, quel joli postérieur. Quel âge avez-vous ?

- C’est prometteur. Une grande fille comme vous ne doit plus faire d’histoires lorsqu’on lui prend sa température.

Intérieurement je pense qu’une « grande fille comme moi » a l’habitude de se la prendre et non de se la faire prendre !

Délicatement elle écarte mes deux rondeurs et enfonce le petit instrument presque jusqu’au bout .Elle le retire au bout de dix minutes seulement.

- 38°, ce n’est pas bien méchant. Déshabillez-vous je vais vous examiner…Voilà, je vous quitte, venez me voir la veille de retourner en classe…

Au jour dit je me présentai chez elle à quatorze heures.Elle vint elle-même m’ouvrir et m’introduisit dans son cabinet.

Prétextant mon âge, elle désira examiner mes parties génitales. Allongée sur la table gynécologique, les pieds dans les étriers, je lui présentai ma vulve.

Cette intimité avec cette belle jeune femme commençait à m’échauffer et mon sexe puceau disait clairement mon émoi.

- Tu es chaude, hein ?

- Terriblement.

- Je le vois. J’imagine l’état de ta culotte le soir, ajouta-t-elle en riant.

Comments

omega44 Il ya 11 ans  
clyso Il ya 11 ans  
cascajosillo Il ya 12 ans  
clyso Il ya 12 ans