Vues: 385 Created: 2013.02.20 Mis à jour: 2013.02.20

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 33

Bonsoir,

Un petit extrait d’un livre retrouvé dans mon bazar…

LES CONFIDENCES ENFLAMMÉES

Le jeudi suivant, dans la tente…

J’ai un beau derrière, Sabine ?

- Magnifique.

- Tu me montres le tien ?

Je l’imitai. Elle m’examina. Enfin, on se reculotta.

- Si on jouait au docteur ?

Oui, j’ai justement une trousse d’infirmière avec un vrai thermomètre que j’ai emprunté dans une chambre du haut de la maison de ma grand-mère

Ce fut elle le docteur. Je m’allongeai à plat ventre sur le lit où je posais ma tête l’oreiller ; Arlette chevaucha mon dos, releva mes jupes, baissa ma culotte,

- Ecarte bien les jambes.

De la main gauche elle sépara mes fesses pour bien dégager ma rosette et de la droite, m’introduisit le bout argenté du thermomètre puis poussa le tube jusqu’à ce que je me plaigne,

- Aïe stoppe !

Ça ne m’avait pas fait vraiment mal, mais je n’avais jamais reçu l’instrument aussi loin.

Quand j’étais malade et que maman agissait de même, cela me déplaisait assez. Or ce jour-là, je ressentis du plaisir à la pénétration de l’engin.

Curieusement, quelques jours plus tard, maman me trouvant pâlichonne m’a pris la température .Ça m’a rappelé notre petit jeu et depuis, ça ne me déplait plus, loin de là.

- Essaye de l’enfoncer plus profond, mais va doucement !

Demandai-je.

- Je vois bien le fond de ta raie et ton petit trou ! Gloussa Arlette,

c’est mignon !

Elle me pénétra plus à fond et agita le thermomètre dans mon derrière pendant un bon moment puis le laissa planté dans ma lune pendant quelques minutes puis le retira.

- Pas de fièvre !

Elle me reculotta.

Ensuite, je fis subir à Arlette le même sort. Je m’assis. Elle s’allongea en travers de mes cuisses à plat ventre.

Je remontai largement ses jupes, baissai sa culotte, séparai du pouce et de l’index gauches ses fesses rebondies, et lui enfilai le thermomètre dans le fondement aussi loin qu’elle.

- Tu sais Sabine, maman me l’enfonce presqu’entièrement et j’aime ça !

Délicatement, je poussai sur le tube de verre jusqu'à ce que mon doigt repose entre les petites fesses de mon amie

Un bon moment, je l’agitai dans son intestin, en le tournant et en lui imprimant un mouvement de va- et- vient. Arlette gloussait, se trémoussait, tortillait sa lune .En même temps, elle ouvrait et serrait les cuisses, me démasquant et me révélant son abricot délicieusement fendu.

Comme elle je lui laissai l’instrument médical de longues minutes.

Enfin, j’ôtai le thermomètre le plus lentement possible,

- Tu n’a pas de fièvre non plus ! Dis-moi Arlette, on y rejouera au docteur ?

- Oui je veux bien !