Bonsoir,

Un extrait d’un roman de 1980

FAIS PIPI, MON AMOUR

Enfin elle sort de sa torpeur, elle se lève et déclare :

- Va chercher le thermomètre, pour prendre ma température dans mon derrière.

Dominique obéit. Peu après elle revient portant l’engin. Thérèse se reculotte. La jeune fille sort le thermomètre de son étui, le secoue longuement et le suce soigneusement. Ma femme se couche en travers du lit, les jambes dépassant toutes droites. Dominique s’assoit à côté d’elle. Lentement, elle relève la jupe par derrière, des deux mains empoigne l’élastique de la culotte, la baisse et la lui retire, puis écarte du pouce et de l’index gauche les fesses de ma femme. Elle la laisse ainsi quelques instants savourer la honte de sa position, la rondelle bistre bien démasqué, puis elle en approche l’extrémité du thermomètre qu’elle introduit doucement et très profondément.

Le derrière de Thérèse tressaille sous la pénétration de l’engin lorsqu’il a presque disparu dans le fondement.

- aie ! Doucement, j’ai pas trop l’habitude si loin.

La jeune fille attend environ dix minutes, dégageant à plusieurs reprises le thermomètre pour lire la température avant de retirer le tube de verre et de le tendre à ma femme,

- bon, je me trompais, je n’ai pas de fièvre ; va nettoyer le thermomètre et rapporte-le.

Dominique entre dans la chambre et tend le thermomètre à Thérèse.

Mon épouse l’attrape par la main, la basculant en travers de ses genoux,

- non, Thérèse pas ça, je déteste !

- Menteuse, ta mère et ta tante Nicole qui sont mes amies, m’ont dit autre chose…

Elle ne proteste plus et se laisse déculotter entièrement docilement.

Thérèse lui écarte largement les cuisses, dévoilant un véritable abricot de fillette, complètement glabre.

- Comme c’est mignon, qui donc t’a fait ça ?

- c’est maman ; pour elle, je suis toujours sa petite fille. Parfois elle me donne une fessée ; elle a toujours un prétexte pour prendre ma température. Et c’est pareil avec tata Nick.

- et je suis sûre que tu adore !

- Oh non, ne dit pas ça !

- tu ne t’en rends pas compte, mais ta conque est trempée.

Ma femme écarte le joufflu, dévoilant l’œillet de Dominique dans lequel elle plonge le thermomètre progressivement et très profondément. La jeune-fille n’a pas protesté bien que les doigts de Thérèse reposent entre les deux jolis globes fessier retenant le bout du tube de verre qui seul dépasse. Preuve que la coquine a l’habitude de cette intrusion de ses arrières.

Dix longues minutes s’écoulent avant que Thérèse ne retire l’instrument.

- Toi non plus tu n’a pas de fièvre…